C'est toujours un plaisir de recevoir vos textes. En raison de leur longueur ou de leur nature (ce ne sont pas forcément des textes érotiques, malgré leur qualité), je ne peux pas tout publier. Mais voici une sélection, à vos plumes ! |
Petit poème sidéral T'as fait de moi un animal Un fou, un feu de Bengale Je suis parti comme en cavale Sur ton bateau amiral Toi la femme fatale Tu m'as endormi au penthotal Moi le pauvre tantale Qui te croyais simple vestale Tu m'amènes au point zénithal Tu m'enlaces de tes pétales Tu es mon amour floral Je suis ton zombi étal Ton esclave, ton commensal Ton instrument orbital Ton serviteur, ton éristale Je suis perdu dans les dédales De ton système féodal Je vais crier au scandale De ma prison abyssale Du fond de mon arrière-salle Je vais devenir anencéphale Si tu ne cesses tes rafales De cet amour phénoménal Presque caricatural Je suis un homme horizontal Pris dans un combat inégal Une guerre unilatérale Gagnée par une femme sculpturale Une ondine vespérale Et je m'endors amoral Dans ce lit carcéral T'as fait de moi un animal Un animal peu banal T'as fait de moi un animal Un animal peu banal T'as fait de moi un animal... |
Désirs, Ce soir je me destine à ce que vous souhaitiez Au plaisir des caresses que mes mains me procurent Elles vont et viennent au rythme de mes pensées Et font monter en moi au fur et à mesure Le désir de vous plaire et de vous contenter. Et j'imagine ainsi en flattant tout mon être Qu'une main plus habile sur mon corps, s'agite Et espère haletante la venue de mon Maître Pour qu'il dompte avec fougue le démon qui m'habite Et lie mes mains goulues au-dessus de ma tête. Ainsi pieds et poings liés je perdrai tout honneur Et de mon sexe chaud s'écoulera l'essence Et dans mon ventre moite résonnera la peur Et j'apprendrai aussi à contrôler mes sens Pour m'ouvrir totalement et fondre de bonheur. Par plaisir, je guiderai les élans de sa main En basculant mon corps pour le rendre accessible Et dans ma bouche ouverte j'espérerai en vain Qu'il entre et me possède d'une force indicible Puis pénètre mes chairs jusqu'au fond de mes reins. Ainsi, femme soumise et entièrement offerte, Je tâcherai de plaire à mon amant subtil En acceptant toujours !, Ecoutant ses requêtes, Du mieux que je pourrais, toujours les accomplir Et capter sans faillir ses envies si expertes. Pour pouvoir lui offrir au mieux, mes sentiments Pour qu'il soit, presque heureux d'avoir si fièrement Dominé ma personne, pour me faire m'ouvrir Dominé mes envies, pour me faire ainsi jouir, Et pris mon âme vierge de tels assouvissements Pour les forger, vainqueur, à leur épanouissement Et les ancrer en moi, pour les faire grandir . |
Tu es arrivé tard ce
soir. On a mangé, puis on est parti directement en boîte.
Je suis très sexy, j'ai mis ma jupe noire courte à la
rose bleue brodée, mon corset aubade rouge, celui qui
fait porte jarretelle, des bas noirs, et pas de culotte.
Je sais, je sens que tu apprécies. Et tu n'es pas le
seul à apprécier dans cette boîte. On danse un moment
ensemble, nous sommes tous les deux très excités. Mais
tu te lasses vite de danser. Je te regarde, tu me dis que
je peux continuer, que tu vas t'asseoir, tu es fatigué.
Je continue à danser, et je me fais draguer. C'est sûr,
je plais! Et je m'amuse à les allumer. Oui, les, car ils
sont deux. Je danse avec eux, sulfureuse, excitante. Je
te lance des regards à la fois amusés et chauds. J'ai
envie de sexe. Ma danse devient lascive, s'adapte à
cette musique qui passe. J'ose tout, les provoque et me dérobe,
allume leur désir. Je vois une lueur inquiète dans tes
yeux. Tu connais mon fantasme, tu as peur que je ne le réalise
ce soir, à tes dépens. L'un d'eux m'embrasse. Je te
regarde, je vois de la colère. Je décide d'aller un peu
plus loin. Le second m'enlace par derrière et me dépose
un baiser dans le cou. Tu essaies de te contenir, tu es
en colère. Le premier commence à me peloter, sans que
je l'y ai autorisé. J'en ai marre, je profite de la fin
de la chanson pour me dégager et les envoyer me chercher
à boire. Je te rejoins, te dis qu'on peut partir. Dans
la voiture, tu ne dis pas un mot. Je finis par m'endormir.
Arrivés à la maison, tu ne me dis toujours rien, tu ne
me touches pas. Quand on rentre dans l'appartement,
brusquement tu me plaques contre le mur. Tu m'embrasses
à pleine bouche, tu fais sortir mes seins du soutien-gorge
et les pelotes violemment. Ta main descend, passe sous ma
jupe, tu caresses mon sexe. Tu prends mon sein droit à
pleine bouche, le suce, le mords. Je me tends, gémis.
Tes doigts se font plus inquisiteurs, tu taquines mon
clitoris. Je m'écoule sur tes doigts, je suis une véritable
fontaine. Je gémis de plaisir, je frissonne. Une de tes
mains tient fermement mes poignets contre le mur. Jamais
tu n'avais été violent comme ça. Tu me retournes, éloignes
mes hanches du mur, poses tes mains sur les miennes sur
le mur, et tu me pénètres violemment. Je suis une telle
fontaine que tu n'as aucun mal. Mais tu te lubrifies
juste, là, tu ressors et me prends violemment par derrière.
Un cri m'échappe, de surprise et de douleur. Tu es
violent, et j'aime ça, le plaisir vient, monte. Ma
respiration s'accélère, je commence à gémir doucement.
Je ne tiens plus, le plaisir est trop fort, je hurle ma
jouissance. Mais tu es toujours dur, tu n'as pas joui. Tu
te retires de moi, j'ai les jambes en coton, je manque de
m'écrouler. Mais tu me retiens de ton bras que tu passes
sous mon ventre. Tu me prends à nouveau, le plaisir est
immédiat. Tu accélères le rythme, tu veux jouir, je le
sens. Mon plaisir monte encore, je me mords les lèvres
pour ne pas crier à nouveau, mais c'est trop fort, à
nouveau je hurle mon plaisir alors que dans un râle
ultime tu jouis en moi. Nous nous effondrons ensemble. Je
me retourne vers toi, tu as des larmes dans les yeux. Je
t'embrasse avec passion, je ne suis qu'un sourire. Mmm.
Oui, je t'aime. |
Lettre d'amour a toi Je t'allume de toutes les manières possibles, aucun centimètre de ton corps n'échappe à mes mains depuis trop longtemps en attente, ma langue curieuse de ton goût, j'aime te voir tendu de désir, te faire attendre, te pousser à bout jusqu'à ce que tu perdes ton contrôle, tes "bonnes manières" et me bouscule, me prenne, crois-tu, de force alors que je n'attendais que ça, tu n'es pas dupe, tu es vainqueur et moi aussi. Qu'il est bon de t'exciter, de jouer avec ton sexe, le prendre, le quitter y revenir après m'être promené sur ton corps, te caresser avec mes cheveux, ma peau, ramper sur toi, aller mordiller ta bouche, la lécher, la fouiller et brusquement me retourner, cambrer les reins comme une invitation, me dérober, encore, juste pour que ton envie de moi soit au maximum et après baisser les armes et me laisser dominer, te laisser jouer avec ma chatte, mon bouton qui n'attend que toi, jouer avec moi sur toutes les notes pour que ce soit moi alors qui t'implore, demande !! et ainsi le jeu du "dessus-dessous" peut continuer !! A ce jeu j'aime perdre, j'aime me perdre et après me retrouver lovée contre toi toute molle, chaude, humide de ton désir, de mon désir, les cuisses serrées, pour mieux garder encore un moment les derniers frissons de plaisir, mais aussi prête à les écarter, offertes, pour mieux t'accueillir, lorsque tu le désireras à nouveau !. |
C'est toi la vérité,
plus forte que le rêve. C'est toi, l'ange et le vent, la flamme qui soulève Et le bonheur humain qui fait briller les yeux. Je vole à ton appel vers les climats joyeux. O toi monde enchanteur, qui réveille mes passions, Complainte enjôlée de notre union. |
RIVAGE Je ne sais pas qui il est, ni d'où il vient. Mais quand la lune est bien ronde, il vient me posséder, ici, sur cette plage de galets, dans cette crique où personne ne vient jamais. Cette nuit, la lune est pleine. Je me suis déshabillée et allongée sur les galets ; doux contact minéral. J'écarte les jambes pour offrir mon intimité à la caresse du vent du large. Déjà, ma fente est bien humide, et la caresse semble plus vive entre mes cuisses. Je ferme les yeux. J'entends l'océan gémir sans cesse. Il va venir. Une caresse mouillée, précise sur mon sexe, il est là, enfin. Je ne peux retenir un soupir voluptueux. Mes yeux restent clos, il m'est impossible de les ouvrir quand il est là. Je sens sa langue taquiner mon clitoris, alors qu'il me malaxe les seins de ses mains si douces. Je l'imagine allongé à plat ventre, sa tête entre mes jambes, son membre en érection coincé entre son ventre et les galets. Je commence à relever mon bassin, mes mains dans ses cheveux épais exercent une légère pression ; je ruisselle. Je veux sa queue en moi ! Il entre d'un seul coup, sa dague de chair s'enfonce jusqu'à la garde, m'arrachant un cri. Il ne lui faut que quelques va-et-vient pour faire naître une puissante vague de délicieuse volupté qui déferle sur mon être. Et je crie ma jouissance. Soudain, il me prend dans ses bras et me met sur lui, sans se retirer de moi. Puis il m'oblige, de ses bras puissants, à m'allonger tout contre lui. Mon visage au creux de son cou, je lèche sa peau et trouve un goût de sel qui me fais saliver et augmente encore l'humidité de ma chatte. J'aimerais ouvrir les yeux, mais c'est impossible. Ses mains empoignent mes fesses et les écartent, comme pour offrir mon petit trou... Et je comprends trop tard qu'aujourd'hui il n'est pas venu seul. Je veux protester, mais déjà deux nouvelles mains se posent sur moi et je sens un morceau de chair chaud contre mon anus;le gland s'enfonce rapidement puis toute la verge. La douleur est insupportable et je crie. Des dizaines d'étoiles rouges explosent derrière mes paupières que je ne peux ouvrir ; une étrange magie, ou sorcellerie, les maintient baissées. L'océan, avec ses vagues grondantes ne peut couvrir mes cris de souffrance. Le vertige me saisit, mais je ne sombre pas dans le néant, et bientôt une singulière alchimie s'opère. La douleur devient plaisir. Mes râles sont d'extase. Quatre mains explorent mon corps frémissant, deux bites sont en moi, prêtes à m'inonder les deux trous. Un nouvel orgasme, incomparable au premier, m'anéantit de bonheur alors que deux flots de sperme brûlant se répandent en moi. Je vacille, les étoiles rouges réapparaissent, plus nombreuses, je n'entends plus l'océan, je me noie dans l'extase. Quand j'ouvre les yeux, enfin, le jour se lève. Je passe une main entre mes cuisses et mes fesses, je ne ressens aucune douleur, mon anus n'est pas dilaté, je suis comblée. Je remet mes vêtements et je quitte le rivage. Aujourd'hui, mon mari rentre de voyage d'affaire;il saura me faire patienter jusqu'à la prochaine pleine lune... |
MA MIE A l'aube du grand jour, Quand le soleil et la lune Se réunissent et se séparent, Je te quitterai. Sans briser la sérénité Qui illumine ton visage divin Je t'abandonnerai dans ce grand lit, Témoin privilégié de nos ébats, Puis retournerai vers mon destin monotone. Quand je repenserai aux heures passées Mon coeur battra très fort dans ma poitrine L'image de ton corps Viendra envahir mes pensées. Mon dieu, que j'aime le parcourir, Que j'aime ressentir la chaleur Créée par mes caresses. Tes lèvres sont si douces Que j'imagine les voir parcourir mon intimité Mon ange, guide moi vers ton plaisir Comme un maestro qui dirige Les orgues du plaisir et de la jouissance. Que d'émotions à te voir te cambrer, A t'entendre râler, me supplier D'apaiser tes souffrances, te rejoindre Communier enfin, pour ne former plus qu'un. Est-ce le requiem d'un fou Ou l'adoration d'une icône sacrée ? Je ne suis qu'un amoureux, Epris de toi, de ton corps, de ton âme, Malgré tout je te quitterai Et je rejoindrai mon univers Si dénué de couleurs et de gaieté Mais avant de partir, je te susurrerai Doucement ces mots qui viendront , Je l'espère te toucher au plus profond De ton sommeil Je t'aime |
OPUSCULE Dans mon corps la canicule Emoi dans mes molécules Affolées mes particules Tremblements des corpuscules Ca bouillonne se bouscule Tu t'approches majuscule Je crains pour mon matricule Tu me dis viens mon Hercule Lèche moi les auricules Ta langue sur mes saccules Caresse mon ventricule Effeuille ma renoncule J'y dresse mon pédoncule Je te cueille tu bascules Je presse ton monticule Défriche ton karakul On s'agite on gesticule Ensemble on se véhicule Nos corps se désarticulent Ouverts tous les opercules Con cul bite testicules Tes mains sont des tentacules Qui excitent mon spicule Lui retirent sa cuculle Sur lui tes fesses reculent Je t'habite je t'encule Et dans ton gîte à l'accul Mon apex j'inocule Dans ton sexe follicule Ce fabuleux calicule Tu exultes j'éjacule De mon lait je t'immacule Alors tu me dis circule Y'a rien dans le binocule Ce pénis est minuscule Regardez ce radicule Il est vraiment ridicule Las, tu n'es plus mon Hercule Je m'en vais au crépuscule. Pardonne ces versicules Je ne suis qu'un homoncule. Ton Jules. |
AU VISITEUR Un trouble et frémit ton trinitron Elle est là quelque part, ta contrepartie noire, Drapée de pourpre et d'ombre, Sueur sur cuir Sur la peau sombre De ta nuit. Serrer ses liens Goûter ses seins Sous le joug Sous le fer Le sang souille Sa peau claire Etre le bourreau Faire mon office Mêler le sang et l'eau Forcer chaque orifice, Exploser, mourir enfin Sur ma déesse ensanglantée. |
L'acte. De vit à pubis, Ah, douce Gomorrhe, Et puis l'anus suit, Ah, douce Sodome, |
Mollets galbés Cuisses dorées Slip envolé (Oh! Comme je le voudrais!) Mini-jupe au ras des fossettes Le fruit de ses gambades Dans ses bras je l'imagine Quand elle se donna Cuisses écartées Sexe mâle planté Dans sa toison mouillée Je l'imagine Alanguie Impudique Moite et offerte Dans les draps froissés Et puis... Faisant ses courses la mini-jupe au ras des fossettes Et tant de regards se posant sur ses hanches Rêvant de fente et de mouillure De gambade et de ventre rond ! |
Lettre d'un
amant Déjà minuit. Assis à la terrasse d'un restaurant, seul à scruter le ciel noir parsemé de minuscules étoiles scintillantes au loin dans la galaxie. Il fait bon, chaud même; une de ces soirées où l'on a envie de se perdre dans la nuit jusqu'à l'aube, à faire la fête ou à méditer. J'ai beaucoup de respect pour toi, je suis à ton écoute, je pense ne t'être pas indifférent, et pourtant je ne sais pas me placer vis-à-vis de toi. Je ne suis pas l'homme tel que tu te l'imagines par excellence, que cela veut-il bien signifier ? "Je me sens bien": cela doit tenir en ces quelques mots, où l'aspect physique tant recherché par beaucoup que l'on veut bien se donner est peu de chose. A la force qui est en nous et qui nous donne cette particularité qui nous est propre, je sais aussi que cette soif de découverte, de comprendre cette remise en question et de comprendre un être ne te laisse pas indifférente. Prête à bousculer les sens interdits, pour voir ce qu'il y à après, curieuse de nature, soif de vie, allant jusqu'au bout des choses ! Pourvu que cela puisse te réussir et t'ouvrir de nouveaux horizons et que cette approche t'apporte sérénité, confiance, enthousiasme et que tu en sortes grandie. Bien sûr, j'aimerai que tu sois là, à bavarder de je ne sais quoi. Je n'aurai pas à noircir ce papier qui me fait penser à toi. Mais il faut rester prudent, d'une situation qui puisse te faire à l'aube d'un matin, changer le chemin de la vie. |
Entre
violence et tendresse A ma bouche bénie Ou seul le diable, a cette ivresse, S'aventure la nuit . Entre raison et folie L' appel évident d'une messe A genoux, je lis A mes mains, je caresse De cet enfer au paradis Au point de non retour A te faire l'amour Plus que tes envies J' abandonne insoumis, Au pacte, qui nous lie Que, diable et dieux puissent A cet univers exquis , A la chaleur de tes cuisses Me garder encore en vie . |
Main tiède
égarée Rondeurs serrées Sillon secret Fossettes affolantes Tchador de ta jupe Pudeur des gambettes Moiteur Si haut dans le tissu Main tiède affolée Sombre gorge Portes secrètes Faille offerte Chasteté de dentelle Frémissement Si doux dans la toison Qu'y puis-je Si je te fous sans pardon De tout mon être. J'aime écrire Je suis électrisé par l'acte sexuel, la femme qui s'ouvre et l'homme prêt à la foutre. Ecrire, c'est faire l'amour à celle qui va vous lire, se l'imaginer en nuisette, un doigt dans sa toison mouillée. Je recherche une complicité tendre, coquine, et sans pudeur d'une femme gourmande de sexe et de phantasmes. Mille caresses à toi. |
VIENS
Je suis là depuis plus dune heure à tattendre Alors viens approche Regarde je suis là . juste là Dans ton nombril . Oui, regarde Jai préféré me mettre là, en boule Baisse la tête et regarde Je métire . Mon corps tout chaud du tien se réveille Je glisse le long de cette ligne verticale sur ton bas ventre Je maccroche à tes poils qui se dresse à mon passage Ils me caressent et mirritent . Jai des frissons la pointe de mes seins se froisse Leurs galbes frémissent . Jadore Je me frotte à toi .. me sens-tu ? Non ? jenfonce mes doigts dans ta peau Mes ongles saccrochent à toi et te déchirent . Ta peau menvoie des décharges jaime continue . Tout mon corps te respire et mouille de ta transpiration Lodeur de ton excitation menvahie . Elle est forte et mâle . Je suffoque et transpire à mon tour Touche-moi du bout de tes doigts Mes jambes d'elles-même s'entrouvent et t'attendent... |
Des fois t'en vois |
Elle se fit gicler à bout tendu |
17h30, nous attendons
tous les deux le bus. Tu es vêtue d'un long manteau qui
ne cache pas ta féminité. Je te connais mais je n'y
pense pas. Tu es belle. Je te regarde avec insistance, tu ne t'en aperçois pas. Le bus arrive nous rentrons. Tu t'assois, je m'installe face a toi. Tu ouvres ton manteau et je découvre tes seins pointer sous ton chemisier blanc. Je vois tes jambes gainées dans des bas noirs. Tu portes une jupe courte en cuir noir. Le bus démarre. Soudain tu croises les jambes et je vois ton sexe, à peine caché sous une culotte en dentelle blanche. Je ne puis regarder autre chose. Tu me remarques et je te reconnais enfin. Maintenant tu sais que je te connais et tu joues avec moi. Tu poses furtivement et délicatement une main sur ton sein droit. Mon sexe est si dur dans mon jean qu'il me fait mal. Je te regarde dans les yeux. Le bus s'arrête. Des passagers entrent et le bus se rempli. Tu te lèves et me fais un signe imperceptible des yeux. Je me lève à mon tour. Le bus redémarre. Nous sommes désormais debout l'un derrière l'autre. Je vois une de tes mains descendre jusqu'à ta jupe et je sens ta respiration saccadée suivre les mouvements de cette main que je voudrais mienne. Je ne peux m'empêcher de me toucher à travers l'étoffe de ma poche. Le bus s'arrête à nouveau, et se rempli encore. Nous sommes maintenant collés l'un contre l'autre. Je baisse les yeux et je vois ta jupe relevée. Je vois tes fesses, je pose une main dessus. Tu frémis. Ma main tourne et dessine tes formes puis elle passe entre tes cuisses. Tu la guides. Je sens ton petit passage sous un doigt, il s'ouvre. Je passe un doigt, tu sembles défaillir. Tu as joui. |
Tu sais tout ce que j'aime Où je mets tous mes paquets de haine vierge Tu sais tout ce que j'aime Je n'en fais pas de mystère Moi j'aime tout ce qui fait mal, Ce qui est sale et le thé J'aime ça le thé Ca coule dans nos artères fatiguées Couleur eau de vaisselle sale Tu appelles ça passer le temps Laver en famille notre linge Ca déménage mais moi je t'aime saleté |
Regarder au fond de tes yeux L'accord de tout ton corps Te déshabiller
toute Jupe, dentelles, soies Sous ton aisselle, entre tes cuisses Chaude mouillée fente pénétré Eau de tes lèvres, tétons bruns Flots de sperme de mon ventre Tes cheveux tes yeux tes lèvres Tu es mouillée de blanc chaude et pleine Tu m'as dit oui |
Dans la chaleur de ton sexe je me suis glissée Roulée en boule dans ses profondeurs J'attends que le flot de ton sperme m'englue et me noie... |
La Source Sacrée Le rideau se lève
sur ton sexe sensible : |
Fantasme Passager Je suis fou de toi mon amour...fou de tes beaux cheveux bruns, de tes yeux pétillants, de ton rire, de tes souliers à talons, de tes jolis chemisiers, de ton parfum... j'aimerais te serrer dans mes bras, te caresser tendrement, t'embrasser sur la tête, sur la bouche, te sentir tout contre moi...j'aimerais te bercer doucement, te masser le dos, puis te soulever pour t'emmener dans un bain tourbillon chaud où nos corps s'enflammeraient progressivement...tu te jucherais sur mes cuisses et tout en t'embrassant, j'enfilerais mon sexe dur et brûlant entre tes cuisses...comme une chaise bercante, nous nous balancerions dans un ébat amoureux explosif, jusqu'à l'extase finale. Dédié à une certaine jeune femme appelée Lucy.
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