Françoys - Sans titre
Posté: 05 Juin 2005, 15:47
Il était une fois :
" Quand j'ai reçu ta description j'étais au bureau. Le caractère inattendu de ton message dans le contexte de brouhaha quotidien des activités du bureau ajoutait au côté un peu surréaliste de la situation. À mesure que j'entrais dans ton texte, le bruit tumultueux environnant s'est estompé progressivement à mesure que mon esprit entrait dans la mise en scène; mon oeil, tel une loupe balayait ton corps du regard, frôlant ta peau, j'avais l'impression d'en sentir le grain. Quelqu'un qui serait entré dans mon bureau à ce moment m'aurait ramené à la réalité en me faisant sursauter. Heureuseument ç'a na pas été le cas et j'ai pû continuer mon érotique inquisition.
Plus mon imagination descendait, suivant ton texte, plus mon bas ventre, prenant de l'expansion, me suppliait de l'emmener dans un endroit plus discret afin qu'il puisse, en toute jouissance, libérer une montée de sève printanière...
Si jamais tu veux voir une montée de sève libérée, tu me le diras et je
t'enverrai une illustration.
En ce qui me concerne, je suis un châtain aux cheveux courts. Je fais 1m72 et je pèse normalement 73 kl. Normalement pcq actuellement je suis rendu à 82 kl. Et c'est ma bedaine de bière qui encaisse. Normalement, j'ai le petit bedon rond de la fin quarantaine, mais là je viens de couper, depuis une semaine, bière et vin afin de revenir à une "rondeur" moins "prononcée". Alors on est quitte pour les rondeurs!! Je mesure 1m72 et j'ai une éternelle barbe sel et poivre. Mes yeux sont pers et mon nez normal. Mes lèvres forment volontiers un franc sourire.
En général les femmes aiment bien se frotter, telle une chatte, une joue sur mon torse velu avant d'aller saisir entre leurs lèvres l'un de mes mamelons.
La ligne velue, du milieu de mon torse, descend jusqu'à l'orée de mon pubis avant de s'y fondre. Mes fesses sont presque celles d'un callipyge. Mes cuisses, légèrement velues, sont quand même dans l'esprit pileux de mon abdomen et j'ai de belles jambes...d'hommes! I.E. qu'elles ne ressemblent pas à celles des frères Dalton !
J'aime bien les caleçons moulants à mi taille qui se plaisent à suggérer la position et la forme de mon sexe au repos.
Tu me parlais de ton goût pour les soutiens-gorge en dentelle que j'aime beaucoup moi aussi, mais qu'en est-il de tes petites culottes? Les aimes-tu à taille basse toi aussi, couvrant d'un tissu suggestif, juste l'orée de ton pubis, laissant deviner un léger renflement entre tes cuisses...
Mon parfum de prédilection est le Escape de Calvin Klein. J'ai aussi un shampoing et un baume de la même famille que je me plais à parsemer, avec une certaine excitation, dans les replis les plus inattendus comme les plus prévisibles de mon anatomie.
Mes mains sont fines et dotées de doigts normaux terminés, sans cuticules, d'ongles, en général plutôt longs, mais très réguliers...Une finition propre quoi !
Ces mains justement se plaisent volontiers à "sentir" le grain d'un tissu en le palpant et en caressant du même coup ce qui se trouve en dessous; ou se glissent simplement sous une blouse, une jupe, un pantalon, un sous-vêtement...
Ces mains, de toute la délicatesse dont elle sont capables aiment bien aussi affleurer de leur revers un mollet, une omoplate, une hanche,une joue ; ou explorer doucement une chevelure après en avoir humé le subtil parfum...Et cette joue, elle aussi tel un chat, frotter délicatement sa barbe sur une fesse, un ventre...Et cette langue goûter la sueur légèrement salée d'une épaule, une bouche, des lèvres...palper goulûment une autre langue, et ces dents mordiller le lobe d'une oreille ou un mamelon gonflé et gorgé d'excitation avant que la bouche et les lèvres amorcent une lente, langoureuse et sensuelle descente vers le ventre; tourner autour du nombril, et; pendant que mes mains glissent les petites culottes le long des cuisses, puis des chevilles, puis les libèrent des pieds et écartent légèrement les cuisses; frôler les lèvres humides, explorer par petits coups de langue, l'entrée du vagin alors que le nez plonge dans les poils,humant l'odeur excitante du sexe féminin, massant de plus en plus résolument le clitoris avant d'être remplacé par la langue qui va et vient du vagin au clitoris en caressant les petites lèvres et débordant vers le pubis, l'intérieur des cuisses...Mes mains qui caressent le dos, les reins, les fesses, les cuisses, s'emparent des mollets, écartent encore les chevilles...
Là les positions changent. Continuité et échange de plaisirs. Je suis sur le dos; à mon tour de voir et de sentir mon corps exploré de mouvements, de délicatesse et de sensibilité féminines. Bientôt mes derniers sous vêtements glissent révélant mon sexe tendu, pointé, dont une main chaude va libérer le gland lisse, brillant et luisant avant que celui-ci se perde, (moment de jouissance particulier, comme la langue humide qui entrouvre lentement le vagin), se noie donc dans la douceur d'une bouche féminine... C'est quelques instants après que la partenaire, quand elle en sentira l'envie, m'enjambant, va venir appuyer son sexe contre le mien. Cette position lui laisse toute latitude dans la recherche parfois laborieuse voire même violente de cet instant suprême.
Mon sexe est plus petit que la moyenne, mais au dire de ces dames, mon pénis compense largement l'humilité de sa taille par la fougue et surtout l'intelligence, la patience et l'attention portées au bien-être de la partenaire. En effet, guidé par la main de la partenaire, mon gland enflammé va entrouvrir les lèvres; les seins de la partenaire seront blottis contre ma poitrine, sa bouche contre la mienne ou je caresserai la pointe de ses seins gonflés en les admirant du regard, ou j'aurai un mamelon entre mes lèvres pendant que je vais pénétrer lentement...très lentement se lubrifiant..., le vagin, jusqu'au fond...et va sentir le mouvement des hanches se régulariser, s'accélérer, ralentir, moi, les mains sur les fesses, suivant le contrepoint des hanches. Mon sexe sait d'instinct se réfugier dans une partie, une anse, du vagin moins tourmentée, attendant le moment propice pour projeter soudainement son gland gonflé, tête baissée, se joignant à l'instant ultime d'orgasme spasmodique de sa partenaire. C'est à ce moment d'extase que celle-ci peut sentir, au plus profond de ses entrailles, un doux liquide chaud l'envahir au moment où les contractions de part et d'autres sont à leur paroxysme...Et dans un calme progressif, celle-ci va poser doucement son corps le long du mien...je vais sentir le poids réconfortant, si chaleureux, si cher de cette partenaire et l'on va rester ainsi sans bouger, le pouls reprenant lentement son rythme..."
Françoys
" Quand j'ai reçu ta description j'étais au bureau. Le caractère inattendu de ton message dans le contexte de brouhaha quotidien des activités du bureau ajoutait au côté un peu surréaliste de la situation. À mesure que j'entrais dans ton texte, le bruit tumultueux environnant s'est estompé progressivement à mesure que mon esprit entrait dans la mise en scène; mon oeil, tel une loupe balayait ton corps du regard, frôlant ta peau, j'avais l'impression d'en sentir le grain. Quelqu'un qui serait entré dans mon bureau à ce moment m'aurait ramené à la réalité en me faisant sursauter. Heureuseument ç'a na pas été le cas et j'ai pû continuer mon érotique inquisition.
Plus mon imagination descendait, suivant ton texte, plus mon bas ventre, prenant de l'expansion, me suppliait de l'emmener dans un endroit plus discret afin qu'il puisse, en toute jouissance, libérer une montée de sève printanière...
Si jamais tu veux voir une montée de sève libérée, tu me le diras et je
t'enverrai une illustration.
En ce qui me concerne, je suis un châtain aux cheveux courts. Je fais 1m72 et je pèse normalement 73 kl. Normalement pcq actuellement je suis rendu à 82 kl. Et c'est ma bedaine de bière qui encaisse. Normalement, j'ai le petit bedon rond de la fin quarantaine, mais là je viens de couper, depuis une semaine, bière et vin afin de revenir à une "rondeur" moins "prononcée". Alors on est quitte pour les rondeurs!! Je mesure 1m72 et j'ai une éternelle barbe sel et poivre. Mes yeux sont pers et mon nez normal. Mes lèvres forment volontiers un franc sourire.
En général les femmes aiment bien se frotter, telle une chatte, une joue sur mon torse velu avant d'aller saisir entre leurs lèvres l'un de mes mamelons.
La ligne velue, du milieu de mon torse, descend jusqu'à l'orée de mon pubis avant de s'y fondre. Mes fesses sont presque celles d'un callipyge. Mes cuisses, légèrement velues, sont quand même dans l'esprit pileux de mon abdomen et j'ai de belles jambes...d'hommes! I.E. qu'elles ne ressemblent pas à celles des frères Dalton !
J'aime bien les caleçons moulants à mi taille qui se plaisent à suggérer la position et la forme de mon sexe au repos.
Tu me parlais de ton goût pour les soutiens-gorge en dentelle que j'aime beaucoup moi aussi, mais qu'en est-il de tes petites culottes? Les aimes-tu à taille basse toi aussi, couvrant d'un tissu suggestif, juste l'orée de ton pubis, laissant deviner un léger renflement entre tes cuisses...
Mon parfum de prédilection est le Escape de Calvin Klein. J'ai aussi un shampoing et un baume de la même famille que je me plais à parsemer, avec une certaine excitation, dans les replis les plus inattendus comme les plus prévisibles de mon anatomie.
Mes mains sont fines et dotées de doigts normaux terminés, sans cuticules, d'ongles, en général plutôt longs, mais très réguliers...Une finition propre quoi !
Ces mains justement se plaisent volontiers à "sentir" le grain d'un tissu en le palpant et en caressant du même coup ce qui se trouve en dessous; ou se glissent simplement sous une blouse, une jupe, un pantalon, un sous-vêtement...
Ces mains, de toute la délicatesse dont elle sont capables aiment bien aussi affleurer de leur revers un mollet, une omoplate, une hanche,une joue ; ou explorer doucement une chevelure après en avoir humé le subtil parfum...Et cette joue, elle aussi tel un chat, frotter délicatement sa barbe sur une fesse, un ventre...Et cette langue goûter la sueur légèrement salée d'une épaule, une bouche, des lèvres...palper goulûment une autre langue, et ces dents mordiller le lobe d'une oreille ou un mamelon gonflé et gorgé d'excitation avant que la bouche et les lèvres amorcent une lente, langoureuse et sensuelle descente vers le ventre; tourner autour du nombril, et; pendant que mes mains glissent les petites culottes le long des cuisses, puis des chevilles, puis les libèrent des pieds et écartent légèrement les cuisses; frôler les lèvres humides, explorer par petits coups de langue, l'entrée du vagin alors que le nez plonge dans les poils,humant l'odeur excitante du sexe féminin, massant de plus en plus résolument le clitoris avant d'être remplacé par la langue qui va et vient du vagin au clitoris en caressant les petites lèvres et débordant vers le pubis, l'intérieur des cuisses...Mes mains qui caressent le dos, les reins, les fesses, les cuisses, s'emparent des mollets, écartent encore les chevilles...
Là les positions changent. Continuité et échange de plaisirs. Je suis sur le dos; à mon tour de voir et de sentir mon corps exploré de mouvements, de délicatesse et de sensibilité féminines. Bientôt mes derniers sous vêtements glissent révélant mon sexe tendu, pointé, dont une main chaude va libérer le gland lisse, brillant et luisant avant que celui-ci se perde, (moment de jouissance particulier, comme la langue humide qui entrouvre lentement le vagin), se noie donc dans la douceur d'une bouche féminine... C'est quelques instants après que la partenaire, quand elle en sentira l'envie, m'enjambant, va venir appuyer son sexe contre le mien. Cette position lui laisse toute latitude dans la recherche parfois laborieuse voire même violente de cet instant suprême.
Mon sexe est plus petit que la moyenne, mais au dire de ces dames, mon pénis compense largement l'humilité de sa taille par la fougue et surtout l'intelligence, la patience et l'attention portées au bien-être de la partenaire. En effet, guidé par la main de la partenaire, mon gland enflammé va entrouvrir les lèvres; les seins de la partenaire seront blottis contre ma poitrine, sa bouche contre la mienne ou je caresserai la pointe de ses seins gonflés en les admirant du regard, ou j'aurai un mamelon entre mes lèvres pendant que je vais pénétrer lentement...très lentement se lubrifiant..., le vagin, jusqu'au fond...et va sentir le mouvement des hanches se régulariser, s'accélérer, ralentir, moi, les mains sur les fesses, suivant le contrepoint des hanches. Mon sexe sait d'instinct se réfugier dans une partie, une anse, du vagin moins tourmentée, attendant le moment propice pour projeter soudainement son gland gonflé, tête baissée, se joignant à l'instant ultime d'orgasme spasmodique de sa partenaire. C'est à ce moment d'extase que celle-ci peut sentir, au plus profond de ses entrailles, un doux liquide chaud l'envahir au moment où les contractions de part et d'autres sont à leur paroxysme...Et dans un calme progressif, celle-ci va poser doucement son corps le long du mien...je vais sentir le poids réconfortant, si chaleureux, si cher de cette partenaire et l'on va rester ainsi sans bouger, le pouls reprenant lentement son rythme..."
Françoys