Desdémone - Sans titre 2
Posté: 05 Juin 2005, 16:01
Je suis allongée sur le lit, nue sous mon peignoir en soie, je bouquine à plat ventre, après une douche délicieuse. Tu entres, je te jette juste un coup d'œil, replonge dans mon livre.
Tu t'approches de moi, sans dire mot. Tu me caresses le dos, doucement. Je souris. Tu viens déposer de petits baisers dans ma nuque, me faisant pousser un soupir de Contentement. Tu défais ma ceinture, passes ta main sous mon peignoir, et viens m'exciter. Je ferme mon livre, m'offre à toi. Tu es presque brutal, et tendre à la fois, puisque tu me caresses en même temps, et embrasses mon cou.
Puis, tout en faisant aller deux doigts en moi, en faisant s'écouler ma source, je t'entends défaire ton pantalon. Je devine ton sexe dressé sur ton ventre, je frémis d'impatience de le sentir en moi. Tu relèves brusquement le peignoir sur mes reins, introduis un doigt dans mon anus. Je gémis déjà.
Tu plonges en moi, viens me remplir, me faisant gémir d'un plaisir profond. Tu m'as bien préparée, ma jouissance est presque déjà là, tout va vite. Je te sens aussi proche de la jouissance, mais voilà que tu te retires de moi, m'arrachant un grognement de mécontentement. Mais ce n'est que pour mieux me reprendre, me sodomiser, t'inscrire en moi. Tu m'arraches un cri de surprise, puis des gémissements de plaisir. Tu te fais violent, tu sais que j'aime tes coups de reins vigoureux. Je sens ton souffle sur ma nuque, court, chaud. Tu me murmures des insultes à l'oreille, me traite de salope, de putain, ta putain à toi.
Tu me dis que tu voudrais me marquer, pour que je n'aille pas voir ailleurs. M'attacher, faire de moi ton esclave. Tu connais mes limites, ne les franchis pas, et chacun de tes mots m'excite davantage. Et oui, je le sens venir, tu vas me donner un de ces orgasmes si rares par la sodomie. J'explose, je te sens exploser aussi, et mon nectar coule entre mes lèvres, sur ma vulve, et dégouline entre mes cuises.
Tu t'effondres sur moi, cherche mes lèvres. Nous échangeons un court baiser, fatigués tous deux, mais le visage radieux.
Desdémone
Tu t'approches de moi, sans dire mot. Tu me caresses le dos, doucement. Je souris. Tu viens déposer de petits baisers dans ma nuque, me faisant pousser un soupir de Contentement. Tu défais ma ceinture, passes ta main sous mon peignoir, et viens m'exciter. Je ferme mon livre, m'offre à toi. Tu es presque brutal, et tendre à la fois, puisque tu me caresses en même temps, et embrasses mon cou.
Puis, tout en faisant aller deux doigts en moi, en faisant s'écouler ma source, je t'entends défaire ton pantalon. Je devine ton sexe dressé sur ton ventre, je frémis d'impatience de le sentir en moi. Tu relèves brusquement le peignoir sur mes reins, introduis un doigt dans mon anus. Je gémis déjà.
Tu plonges en moi, viens me remplir, me faisant gémir d'un plaisir profond. Tu m'as bien préparée, ma jouissance est presque déjà là, tout va vite. Je te sens aussi proche de la jouissance, mais voilà que tu te retires de moi, m'arrachant un grognement de mécontentement. Mais ce n'est que pour mieux me reprendre, me sodomiser, t'inscrire en moi. Tu m'arraches un cri de surprise, puis des gémissements de plaisir. Tu te fais violent, tu sais que j'aime tes coups de reins vigoureux. Je sens ton souffle sur ma nuque, court, chaud. Tu me murmures des insultes à l'oreille, me traite de salope, de putain, ta putain à toi.
Tu me dis que tu voudrais me marquer, pour que je n'aille pas voir ailleurs. M'attacher, faire de moi ton esclave. Tu connais mes limites, ne les franchis pas, et chacun de tes mots m'excite davantage. Et oui, je le sens venir, tu vas me donner un de ces orgasmes si rares par la sodomie. J'explose, je te sens exploser aussi, et mon nectar coule entre mes lèvres, sur ma vulve, et dégouline entre mes cuises.
Tu t'effondres sur moi, cherche mes lèvres. Nous échangeons un court baiser, fatigués tous deux, mais le visage radieux.
Desdémone