Grand frère était près de s'endormir. Comme à son habitude, dans cet état de demi-sommeil, il rêvait. Mi-honte, mi-désir, il fantasmait de frêles jeunes femmes enfermées dans d'humides cachots que des bourreaux masqués venaient porter jusqu'à un chevalet de torture. Il aimait particulièrement imaginer le regard des jeunes biches affolées quand les anneaux de métal se refermaient sur leurs fragiles chevilles.
Petite sœur vint se glisser auprès de son frère. Il soupira.
"Je ne peux pas dormir" dit-elle en se blottissant contre lui. Grand frère caressa les cheveux de la jeune fille.
- Papa ne veut pas que tu viennes me rejoindre, dit-il. Tu sais ce qu'il se passerait s'il nous surprenait ?
- M'en fiche. Dis-moi, reprit-elle, tu es puceau ?
- Hein ?
- T'as déjà couché avec une femme ?
- Euh… oui.
- Je la connais ?
- Tu la connais.
Elle le serra plus étroitement.
- Raconte…
- Mais non, c'est pas le genre d'histoires qu'un grand frère doit raconter à sa sœur.
- S'il te plait.
C'était une supplique. Il pensa à ses grands yeux bleus quand ils brillaient. L. se sentit si faible devant la force de sa sœur qu'il céda.
- L'autre jour, maman m'a envoyé acheter des œufs à madame André. Il faisait beau et pour une fois, j'étais plutôt content de faire des courses.
- Pourquoi ?
- Parce que madame André, elle me plait bien.
- Quoi ? mais c'est une vieille !
- Mais non, elle a à peine quarante ans !
- C'est bien ce que je dis, elle est vieille.
- Puis-je continuer ?
Petite sœur se tût, elle avait très peur que grand frère cesse de raconter son histoire.
- J'ai marché un bon moment, j'avais chaud et des idées me tournaient la tête. Quand je suis arrivé, madame André était au fond de la cour. Elle est venue vers moi en souriant, elle avait l'air très heureuse de me voir. Moi je ne voyais qu'une chose, elle portait un chemisier très léger et échancré. Sur sa poitrine, pour ce que j'en voyais, des gouttelettes de sueur s'étaient formées. Elles brillaient au milieu des taches de rousseur. Ses beaux cheveux étaient détachés. Ils faisaient comme une auréole dans la lumière. Elle m'a fait entrer dans le salon et m'a demandé ce qui m'amenait. J'ai bredouillé, tout bizarre et mal à l'aise, que maman voulait des oeufs. Elle est partie aussitôt en chercher. Frais de ce matin m'a-t-elle dit. Et là je ne sais pas ce qu'il m'a pris, quand elle est revenue, je lui ai parlé bêtement de la pluie et du beau temps. Elle a senti que je n'étais pas comme d'habitude, elle m'a demandé ce qui n'allait pas. Et là, je lui ai débité d'un coup que j'avais très envie de voir ses seins. Elle s'est mise à rire. J'ai eu très honte et envie de pleurer mais elle m'a rassuré en me disant que j'étais mignon. Sa petite fille était chez sa mère, son mari parti pour la journée acheter du matériel, elle me dit que nous n'avions rien à craindre d'une mauvaise surprise. Elle alla tout de même fermer la porte de la maison. Ma gorge était toute sèche. Elle délaça son chemisier. Ses seins étaient très beaux. Tous blancs, gros et ronds. Ils ne tombaient pas. J'avançais la main. Elle me dit que je pouvais les toucher. Sa peau était douce. Elle frémit sous la caresse. Je me serrai contre elle, tu sais, elle presque aussi grande que moi et très forte. Je m'enhardis pourtant : "Est-ce que je peux voir votre chatte aussi madame ?" Elle hocha la tête en signe d'assentiment avant d'ajouter : "Tu peux m'appeler Jeanne." Elle fit tomber sa culotte à ses pieds, s'assit sur la lourde table de la salle à manger et releva sa jupe. Sa chatte était couverte de poils roux, de la même couleur que ses cheveux, c'était très beau. Elle me dit qu'elle allait m'en montrer plus. Elle écarta ses grandes lèvres. J'étais très excité, ma queue cherchait à tout prix à sortir de mon pantalon. J'ai voulu lui mettre un doigt, elle m'a dit oui. Sa chatte était toute humide et elle gémit quand je remuais le doigt. Doucement me dit-elle. Elle me demanda si j'étais encore puceau. Je ne lui mentis pas. Elle m'ordonna de la sucer. Je me penchai entre ses cuisses, je ne savais pas trop comment m'y prendre. Elle me montra où poser ma langue et comment titiller son clitoris. Je crûs que j'allais jouir tout de suite. "Baise-moi maintenant !" dit-elle en déboutonnant mon pantalon. Elle prit ma queue et la fit entrer d'un coup. Je donnais des coups de rein et je me retenais comme un fou de jouir. C'était très chaud, doux et humide à l'intérieur. Madame André n'arrêtait pas de m'appeler. Comme un idiot, je lui répétais : "je suis là, je suis là". Ses joues étaient très rouges, elle gardait les yeux fermés. J'essayai de l'embrasser mais elle se déroba. "Tu vas me prendre par derrière, me dit-elle, mais ne jouit pas en moi." Elle se positionna à plat ventre sur la table. Son cul est superbe, presque aussi beau que ses seins. Je réussis à remettre ma queue du premier coup dans sa chatte. J'étais assez fier de moi. Elle glissa une main entre ses cuisses et se branla fébrilement. Ses longs cheveux étaient répandus sur la table et je voyais ses épaules blanches en la baisant. Son vagin se contracta autour de ma queue quand elle jouit. Je sortis aussitôt et giclais plusieurs fois sur ses reins. "Elles te plaisent mes fesses ?" me demanda-t-elle. Je lui répondis que oui. Elle me dit qu'il ne fallait pas être trop gourmand et que j'en disposerai plus tard. Elle me dit aussi qu'elle m'offrirait sa bouche. Je bandais encore et j'avais de nouveau envie de la baiser mais maman devait s'impatienter. Je pris congé à regret. Elle m'embrassa enfin, juste avant que je parte. Elle me dit que j'étais un bon baiseur. C'est tout. Pour l'instant. Parce que j'attends avec impatience la prochaine fois que maman m'enverra faire des courses chez Madame André.
- Merci pour ton histoire, grand frère, dit petite sœur, je vais pouvoir m'endormir maintenant.