Empreintes
Posté: 25 Fév 2004, 15:13
Elle roule sur le lit. Maintenant sur le dos, elle fait glisser le pantalon et le string. Le tout tombe en boule aux pieds de l'homme. Jambes largement ouvertes, elle s'expose à lui. Il a compris son désir, se penche sur elle, la parcourt du regard et des mains. Il lisse de la langue les grandes lèvres, écarte les plis, pousse plus loin pour fouiller sa chatte, la sentir s'humidifier pour lui. Quand elle est prête, il prend le clitoris dans sa bouche et le suce doucement, elle laisse échapper de brefs soupirs. Il ne pensait pas que ce serait si facile, quelques heures à peine après l'avoir rencontrée, ils sont dans une chambre d'hôtel et il la lèche à en perdre haleine. " Malgré la maladie et le retour de l'ordre moral, il y a encore des filles faciles " pense-t-il bêtement. Elle le surprend encore en saisissant ses cheveux à pleine mains. Il la pénètre de sa langue tendue comme une verge. Elle pousse de petits cris tout en s'écoulant dans sa bouche. La chaleur monte dans ses reins et dresse son pénis.
" Baise moi ! " crie-t-elle. A peine le temps d'enfiler une capote et il est happé par le piège vaginal, sa tête tourne un peu, pourtant, il n'a rien bu. Elle se colle à lui, bouge son bassin pour imposer le rythme, elle bouge bien, il risque de jouir trop tôt. Mais non, il n'y a pas à dire, elle sait y faire, elle les bascule tous les deux. Maintenant, elle domine, montée sur lui, les yeux clos, son corps vibre, entraîné sur la bonne pente des orgasmes violents. Jamais aucune femme n'a contracté les muscles de son vagin autour de sa queue de cette manière là. Quand il éjacule, que sa tête éclate en mille étincelles, elle crie aussi.
Ils reposent côtes à côtes, repus.
- On va se revoir ? demande-t-il
- Non, je ne pense pas, répond-elle
Elle s'assoit au bord du lit, dos tourné. Son haut est assez court pour qu'il puisse observer le bas de ses reins. Il voit les marques sur ses fesses. Doucement, il remonte le chemisier ; il y a d'autres traces rouges plus haut, concentrées par endroits, des lignes, des zébrures, de petites écorchures.
- Que t'est-il arrivé ?
- Quoi ?
- On dirait que l'on t'a frappé, des coups de fouet ou de cravache
- C'est mon Maître qui a laissé sa trace
L'homme voit rouge. Il refuse de penser que l'on puisse brutaliser ainsi une femme, qu'elle y prenne du plaisir, qu'elle l'accepte. C'est une ordure qui a fait ça, un salaud de la pire espèce.
- Mais, tu ne vas pas rester avec lui, ce type est malade, fais-moi confiance, je peux t'aider…
H. ne répond rien, se contente de s'habiller en contre-jour.
Avant de quitter la chambre, elle lui jette un dernier regard et dit : " tu n'as rien compris, c'est lui qui m'a demandé de coucher avec toi. "
La porte claque comme une gifle.
" Baise moi ! " crie-t-elle. A peine le temps d'enfiler une capote et il est happé par le piège vaginal, sa tête tourne un peu, pourtant, il n'a rien bu. Elle se colle à lui, bouge son bassin pour imposer le rythme, elle bouge bien, il risque de jouir trop tôt. Mais non, il n'y a pas à dire, elle sait y faire, elle les bascule tous les deux. Maintenant, elle domine, montée sur lui, les yeux clos, son corps vibre, entraîné sur la bonne pente des orgasmes violents. Jamais aucune femme n'a contracté les muscles de son vagin autour de sa queue de cette manière là. Quand il éjacule, que sa tête éclate en mille étincelles, elle crie aussi.
Ils reposent côtes à côtes, repus.
- On va se revoir ? demande-t-il
- Non, je ne pense pas, répond-elle
Elle s'assoit au bord du lit, dos tourné. Son haut est assez court pour qu'il puisse observer le bas de ses reins. Il voit les marques sur ses fesses. Doucement, il remonte le chemisier ; il y a d'autres traces rouges plus haut, concentrées par endroits, des lignes, des zébrures, de petites écorchures.
- Que t'est-il arrivé ?
- Quoi ?
- On dirait que l'on t'a frappé, des coups de fouet ou de cravache
- C'est mon Maître qui a laissé sa trace
L'homme voit rouge. Il refuse de penser que l'on puisse brutaliser ainsi une femme, qu'elle y prenne du plaisir, qu'elle l'accepte. C'est une ordure qui a fait ça, un salaud de la pire espèce.
- Mais, tu ne vas pas rester avec lui, ce type est malade, fais-moi confiance, je peux t'aider…
H. ne répond rien, se contente de s'habiller en contre-jour.
Avant de quitter la chambre, elle lui jette un dernier regard et dit : " tu n'as rien compris, c'est lui qui m'a demandé de coucher avec toi. "
La porte claque comme une gifle.