Projection privée
Posté: 25 Fév 2004, 15:29
H. roula sur le lit pour se retrouver contre L. Elle ressentit comme un choc électrique au contact de leurs peaux. L. était sur le point de s'endormir, il flottait doucement dans le no man's land entre la veille et le sommeil. Il glissa un bras sous la tête de H. et fit une coupe de la main pour cajoler un de ses seins.
H. lui demanda de lui raconter une histoire. Souvent, ainsi, et depuis fort longtemps, le frère alimentait leurs veillées nocturnes en phantasmes. Parfois, elle voulait qu'il lui parle d'hommes violents qui la brutalisaient et la violaient. Parfois, elle désirait simplement qu'il lui raconte ce qu'il lui ferait plus tard.
" Tu es vêtue comme je l'ai ordonné, commença-t-il, un string gris et un bustier de la même couleur, avec des lacets fermement serrés. Tu t'apprêtes à ouvrir une porte mais tu restes devant, hésitante… "
- Est-ce que je sais ce qui se cache derrière ?
- Non, tu ne le sais pas mais je t'ai dit que tu devrais obéir à tout ce que l'on te demandera de faire. Quand tu ouvres la porte, tu découvres trois hommes.
- Comment sont-ils ?
- Il y a un blond, un barbu et un type plutôt carré. Ils sont nus et t'attendent devant un grand lit circulaire.
Elle rit avant de lui demander s'il y a aussi des miroirs au plafond. Il lui répond très sérieusement :
- Non, mais plusieurs caméras sont disposées dans la pièce. Tu comprends que je t'observe par ce biais. Quand tu approches du lit, tu jettes un regard à une caméra et je peux te voir sourire. Un signe de confiance absolu. Et la marque de ton espièglerie.
A genoux devant l'homme musclé, tu caresses ses couilles. Il te présente sa verge. Je te vois sur le moniteur l'enjôler du regard. Tu embrasses son gland. A l'unisson bondissent mon cœur et ma queue. Tu lèches les plis du sexe. Il se gonfle de sang sous tes coups de langue. Quand il bande bien, tu veux le prendre à pleine bouche mais il saisit ta nuque pour te faire reculer puis te guide vers l'homme barbu. Tu ne te rebelles pas, tu saisis l'autre queue à moitié bandante pour la sucer à son tour. Le culturiste prend ton autre main et la referme autour de son sexe lourd. Le barbu caresse tes cheveux. Tu prends sa queue en entier, tu lui procures du plaisir de ta bouche habile. Le blond approche, ses mains explorent ton dos, il se glisse, se colle derrière toi, caresse tes seins, irrite les pointes. Le désir manque de te faire ployer, de lâcher la queue qui emplit ta bouche pour exiger que l'on te baise, vite. Tu résistes, pourtant, tu penses à moi. Un doigt glisse sur ta chatte humide, tu couines. Le body-builder se saisit de toi, il te renverse sur le lit. Le string glisse le long de tes cuisses, tu replies tes jambes pour lui faciliter la tache. Les deux autres sont de chaque côtés. Tu les branles. Le culturiste est à genoux devant toi. D'une seule main, il maintient ton bassin à hauteur de sa queue. Tu es une poupée au bout de son bras, les jambes ouvertes, muscles des cuisses bandés, ne laissent rien ignorer de ton intimité. L'homme mate les lèvres ourlées d'humidité de ta petite chatte. Tu te lubrifies, mon amour, jusqu'au creux des fesses. Du pouce de sa main libre, il te lisse, caresse ton clitoris bandant. Il place une capote sur son sexe. Le museau de sa verge encapuchonnée s'humecte au contact de ta vulve. Tu cherches à t'avancer pour la capturer mais l'homme te retient. Il empoigne sa queue et force l'accès de tes reins. Un cri de surprise jaillit de tes lèvres. Les mains sur tes hanches, il te ramène à lui. Tu voudrais te masturber pour rendre la sodomie supportable mais les deux autres hommes te maintiennent par les poignées, tu te cabres, serres les dents puis finis par t'offrir à la poussée comme un animal dompté. Les mains reviennent sur ton corps, te caressent, essuient les larmes sur tes joues. Un doigt plonge dans ta chatte électrisée d'où pulsent des ondes de chaleur. Le culturiste se retire. Il te fait rouler sur les draps jusqu'à ce que tes jambes basculent hors du lit. A genoux, la tête entre les jambes du blond, le barbu vient derrière toi. Enfin, tu obtiens que l'on exauce ton souhait, que l'un d'entre eux comble ta chatte ; la glissade est courte, il butte vite au fond, tu te resserres sur lui pour le garder. Il te baise doucement, il s'attarde. Ton corps entier est secoué de tremblements, tu n'y tiens plus, tu laisses échapper le sexe qui était dans ta bouche pour crier ta jouissance. Je sais que tu voudrais un répit mais ils ne te laisseront pas le temps de reprendre ton souffle. Le barbu se retire. Il prend la place du jeune homme blond, sur sa queue, tu décèles le goût de ta chatte. Le géant a retiré le préservatif. Il s'enfonce dans ta chatte et te baise durement. A grands coups de reins, il ballotte ton corps comme une barque dans la tempête. Ils te baiseront tous les trois ainsi, prenant chacun ton tour ta chatte ou ta bouche. Ils te donnent le tournis, tu ne sais bientôt plus qui t'enfile. De nouveau allongée sur le lit, le blond lèche ta vulve et ton cul. Tu suces les deux autres hommes, tu voudrais les faire jouir. Deux doigts pénètrent ton vagin, une langue agace ton clitoris, tu suces plus fort. Le blond te branle en ciseau. Vous changez de nouveau de position. A quatre pattes, tu te masturbes. Le blond enfile un préservatif, les jambes écartées pour ne pas cacher le spectacle, il se place au dessus de toi, crache dans sa main pour se lubrifier et plante sa queue dans ton cul. Tu continues de te branler pendant qu'il te sodomise jusqu'à jouir à nouveau.
Le barbu bandant s'est couché sur le dos, tu viens au dessus de lui. Il écarte tes fesses et tu te l'introduis, ton rectum dilaté n'offre plus de résistance. Le blond te présente sa queue et tu t'empresses de l'avaler. Reste ta chatte que le culturiste vient posséder. Enfin, tu es complètement emplie. Tu sais que je me branle en te regardant ainsi baisée par ces trois hommes. Tu aimerais que ces trois queues m'appartiennent. Le barbu jouit en premier. Il se répand dans tes reins. A son soupir, tu vibres plus fort et un nouvel orgasme te secoue. Quand tu ouvres de nouveau les yeux, le type musclé asperge ton ventre de longs traits blancs. Le blond se détache de ta bouche et, après une vigoureuse action du poigné, couvre ton visage de sperme. Tu passes ta langue sur tes lèvres et suce encore sa queue. Vous retombez sur le lit épuisés, je suis le dernier à jouir, je n'ai pas voulu manquer la fin de la scène.
L'histoire de L. était finie, il bandait. H. prit la queue dans sa main.
Il lui demanda si cela lui avait plu.
" Oui, répondit-elle, on le fera, hein ? oui, dis-le moi ! et maintenant, tu dois m'apaiser, éteindre le feu de mon ventre… baise moi mon amour, baise moi ! "
H. lui demanda de lui raconter une histoire. Souvent, ainsi, et depuis fort longtemps, le frère alimentait leurs veillées nocturnes en phantasmes. Parfois, elle voulait qu'il lui parle d'hommes violents qui la brutalisaient et la violaient. Parfois, elle désirait simplement qu'il lui raconte ce qu'il lui ferait plus tard.
" Tu es vêtue comme je l'ai ordonné, commença-t-il, un string gris et un bustier de la même couleur, avec des lacets fermement serrés. Tu t'apprêtes à ouvrir une porte mais tu restes devant, hésitante… "
- Est-ce que je sais ce qui se cache derrière ?
- Non, tu ne le sais pas mais je t'ai dit que tu devrais obéir à tout ce que l'on te demandera de faire. Quand tu ouvres la porte, tu découvres trois hommes.
- Comment sont-ils ?
- Il y a un blond, un barbu et un type plutôt carré. Ils sont nus et t'attendent devant un grand lit circulaire.
Elle rit avant de lui demander s'il y a aussi des miroirs au plafond. Il lui répond très sérieusement :
- Non, mais plusieurs caméras sont disposées dans la pièce. Tu comprends que je t'observe par ce biais. Quand tu approches du lit, tu jettes un regard à une caméra et je peux te voir sourire. Un signe de confiance absolu. Et la marque de ton espièglerie.
A genoux devant l'homme musclé, tu caresses ses couilles. Il te présente sa verge. Je te vois sur le moniteur l'enjôler du regard. Tu embrasses son gland. A l'unisson bondissent mon cœur et ma queue. Tu lèches les plis du sexe. Il se gonfle de sang sous tes coups de langue. Quand il bande bien, tu veux le prendre à pleine bouche mais il saisit ta nuque pour te faire reculer puis te guide vers l'homme barbu. Tu ne te rebelles pas, tu saisis l'autre queue à moitié bandante pour la sucer à son tour. Le culturiste prend ton autre main et la referme autour de son sexe lourd. Le barbu caresse tes cheveux. Tu prends sa queue en entier, tu lui procures du plaisir de ta bouche habile. Le blond approche, ses mains explorent ton dos, il se glisse, se colle derrière toi, caresse tes seins, irrite les pointes. Le désir manque de te faire ployer, de lâcher la queue qui emplit ta bouche pour exiger que l'on te baise, vite. Tu résistes, pourtant, tu penses à moi. Un doigt glisse sur ta chatte humide, tu couines. Le body-builder se saisit de toi, il te renverse sur le lit. Le string glisse le long de tes cuisses, tu replies tes jambes pour lui faciliter la tache. Les deux autres sont de chaque côtés. Tu les branles. Le culturiste est à genoux devant toi. D'une seule main, il maintient ton bassin à hauteur de sa queue. Tu es une poupée au bout de son bras, les jambes ouvertes, muscles des cuisses bandés, ne laissent rien ignorer de ton intimité. L'homme mate les lèvres ourlées d'humidité de ta petite chatte. Tu te lubrifies, mon amour, jusqu'au creux des fesses. Du pouce de sa main libre, il te lisse, caresse ton clitoris bandant. Il place une capote sur son sexe. Le museau de sa verge encapuchonnée s'humecte au contact de ta vulve. Tu cherches à t'avancer pour la capturer mais l'homme te retient. Il empoigne sa queue et force l'accès de tes reins. Un cri de surprise jaillit de tes lèvres. Les mains sur tes hanches, il te ramène à lui. Tu voudrais te masturber pour rendre la sodomie supportable mais les deux autres hommes te maintiennent par les poignées, tu te cabres, serres les dents puis finis par t'offrir à la poussée comme un animal dompté. Les mains reviennent sur ton corps, te caressent, essuient les larmes sur tes joues. Un doigt plonge dans ta chatte électrisée d'où pulsent des ondes de chaleur. Le culturiste se retire. Il te fait rouler sur les draps jusqu'à ce que tes jambes basculent hors du lit. A genoux, la tête entre les jambes du blond, le barbu vient derrière toi. Enfin, tu obtiens que l'on exauce ton souhait, que l'un d'entre eux comble ta chatte ; la glissade est courte, il butte vite au fond, tu te resserres sur lui pour le garder. Il te baise doucement, il s'attarde. Ton corps entier est secoué de tremblements, tu n'y tiens plus, tu laisses échapper le sexe qui était dans ta bouche pour crier ta jouissance. Je sais que tu voudrais un répit mais ils ne te laisseront pas le temps de reprendre ton souffle. Le barbu se retire. Il prend la place du jeune homme blond, sur sa queue, tu décèles le goût de ta chatte. Le géant a retiré le préservatif. Il s'enfonce dans ta chatte et te baise durement. A grands coups de reins, il ballotte ton corps comme une barque dans la tempête. Ils te baiseront tous les trois ainsi, prenant chacun ton tour ta chatte ou ta bouche. Ils te donnent le tournis, tu ne sais bientôt plus qui t'enfile. De nouveau allongée sur le lit, le blond lèche ta vulve et ton cul. Tu suces les deux autres hommes, tu voudrais les faire jouir. Deux doigts pénètrent ton vagin, une langue agace ton clitoris, tu suces plus fort. Le blond te branle en ciseau. Vous changez de nouveau de position. A quatre pattes, tu te masturbes. Le blond enfile un préservatif, les jambes écartées pour ne pas cacher le spectacle, il se place au dessus de toi, crache dans sa main pour se lubrifier et plante sa queue dans ton cul. Tu continues de te branler pendant qu'il te sodomise jusqu'à jouir à nouveau.
Le barbu bandant s'est couché sur le dos, tu viens au dessus de lui. Il écarte tes fesses et tu te l'introduis, ton rectum dilaté n'offre plus de résistance. Le blond te présente sa queue et tu t'empresses de l'avaler. Reste ta chatte que le culturiste vient posséder. Enfin, tu es complètement emplie. Tu sais que je me branle en te regardant ainsi baisée par ces trois hommes. Tu aimerais que ces trois queues m'appartiennent. Le barbu jouit en premier. Il se répand dans tes reins. A son soupir, tu vibres plus fort et un nouvel orgasme te secoue. Quand tu ouvres de nouveau les yeux, le type musclé asperge ton ventre de longs traits blancs. Le blond se détache de ta bouche et, après une vigoureuse action du poigné, couvre ton visage de sperme. Tu passes ta langue sur tes lèvres et suce encore sa queue. Vous retombez sur le lit épuisés, je suis le dernier à jouir, je n'ai pas voulu manquer la fin de la scène.
L'histoire de L. était finie, il bandait. H. prit la queue dans sa main.
Il lui demanda si cela lui avait plu.
" Oui, répondit-elle, on le fera, hein ? oui, dis-le moi ! et maintenant, tu dois m'apaiser, éteindre le feu de mon ventre… baise moi mon amour, baise moi ! "