Ils arrivèrent enfin, chacun le bras autour de la taille de l’autre, au bas de l’immeuble. Louis tapa le code d’accès, ouvrit la porte, et s’effaça devant Michèle. De la main posée sur sa hanche, il la guida vers le minuscule ascenseur.
Il eut juste le temps d’appuyer sur le bouton 2, avant que leurs corps ne s’agrippassent … Ils ne purent guère s’embrasser tant le trajet était court.
À nouveau Louis guida Michèle vers sa porte ; il l’ouvrit et ils pénétrèrent dans l’entrée ; sans même éclairer, il amena sa compagne vers la salle de séjour … où n’arrivait qu’une vague et timide lumière réverbérée par la rue. Il la débarrassa de son sac et de sa petite laine, qu’il posa sur un fauteuil. Sa veste à lui suivit. Quant à ses chaussures il les enleva à la va-vite et les jeta.
Ils se précipitèrent à nouveau l’un sur l’autre et unirent à nouveau leurs bouches. Les ongles de Michèle s’accrochèrent au cou de Louis, tandis que celui-ci caressait doucement les épaules et la nuque de sa compagne. Puis il laissa glisser sa bouche vers son cou. Elle adorait ça, cette exploration, ces bisous, ces contacts discrets, ces petits coups de langue, le souffle de l’homme, ces doigts qui l’effleuraient. Elle sentait qu’elle s’abandonnait … ses jambes allaient-elles continuer à la soutenir ? Puis Louis pivota quelque peu autour d’elle et sa langue prit possession de sa nuque ; l’investigation qu’il en fit la rendit toute chose : elle chavirait, entièrement livrée à la dextérité de celui qu’elle avait accepté comme le guide de son plaisir, comme son maître. Il défit le premier bouton de sa robe, et sa bouche put descendre vers le haut du dos de Michèle. Un léger râle se fit entendre. Bien collé à son dos, elle ne pouvait plus ignorer ce sexe gonflé, mais entravé, qui s’imprimait sur ses fesses. Les mains de Louis partirent à l’assaut de son buste ; l’une lui saisit un sein au travers de sa robe, et le maintint fermement quelques instants sans bouger, comme pour s’en rassasier : un sein merveilleux, bien ferme et au volume parfaitement adapté à la main qui en prenait possession ; il en évaluait l’harmonie … et sa pomme et ses doigts entreprirent de rouler tout autour. Le sein s’arrondit sans pudeur au contact de cette main qui lui faisait tellement honneur, et Michèle tressaillit quelque peu. Pendant ce temps, la bouche de Louis continuait son voyage sur sa nuque et le haut de son dos. Il se pressait de plus en plus contre son corps … devenu tellement complice. Il entreprit alors de laisser divaguer doucement son index sur l’auréole du sein ; Michèle se remit à glapir doucement et se pressa plus fort sur Louis. Enfin, il titilla la pointe, qui maintenant marquait nettement le tissu de sa robe. Il délaissa alors ce sein … elle se sentit délaissée … et il reprit ses caresses sur ses épaules, laissa sa main à nouveau descendre sur son dos, fit sauter le deuxième des trois boutons qui fermaient sa robe … et sans lui laisser le temps de comprendre quoi que ce soit, sa main était repartie vers son sein, à même la chair cette fois, sous le tissu. Évidemment elle se remit à tressaillir de plus belle lorsqu’un doigt obstiné reprit son œuvre de douce conquête, directement au contact de son auréole et de son téton. Elle se sentait défaillir … ses jambes allaient-elles continuer à la porter … ?
Mais Louis ne s’attarda pas, sa main revint sur le dos, le dernier bouton se rendit, et en une milliseconde avec une grande agilité, il fit glisser la robe aux pieds de Michèle. Elle était nue maintenant, seulement habillée de ses bas tellement fins, son corps complètement livré à la convoitise de son soupirant. Une main autour des épaules de sa compagne, de l’autre, il explora son corps offert : elle passa sur chacun des seins, sans insister, descendit sur le ventre, qu’elle caressa quelque peu, sans s’appesantir, et frôla délicatement le haut de sa discrète toison. Prestement il la fit pivoter, et serrés l’un contre l’autre, leurs bouches se rejoignirent. Il caressa son svelte corps, en prenant possession de chaque centimètre-carré. Il s’attarda longuement sur la taille qu’elle avait d’une finesse extraordinaire, et sur ses hanches admirablement arrondies. Comment une femme « dite mûre » pouvait-elle être aussi svelte et en plus avoir une telle taille de guêpe ?
Il ne pouvait pas bien entendu ne pas penser à Marie, qui à cette heure-là ne devait pas trouver le sommeil en songeant que l’homme avec qui elle partageait de-ci de-là des plaisirs, jamais assez prolongés, était en train de s’occuper de son amie … et qu’ils auraient tous deux, et exceptionnellement, le temps qu’il fallait ...
Avec Marie les choses avaient était plus compliquées, la relation plus longue à établir ; il l’avait trouvée belle … elle lui avait plu ; sans conteste, cela avait dû être réciproque. Les phéromones ? Peut-être, mais ce n’est pas parce que deux êtres se plaisent que … en fait de nombreux autres facteurs étaient entrés en jeu … Marie, en tant que professeur d’université très respecté, a un abord « pas facile » habituée qu’elle est à ordonner et à se faire obéir. Elle imposait le respect ! Mais heureusement le jeu théâtral s’était mis de la partie. Ils avaient tous deux joué dans une pièce : elle, une femme courtisée (un rôle de composition ! qui aurait osé courtiser le genre de bourgeoise BCBG qu’elle est ?), lui, l’homme mûr (là aussi un rôle de composition … à son âge !) qui partait à sa conquête. Un peu à la fois, ils ont confondu théâtre et réalité … ou plutôt ont fait semblant de les confondre. Et c’est à la suite d’un certain nombre de rencontres privées, organisées prétendument pour affiner leurs rôles, qu’elle a d’abord accepté de venir chez lui. Il a fallu ensuite d’autres visites avant qu’elle n’acceptât vraiment les caresses que leurs rôles respectifs n’exigeaient pas vraiment … d’autres encore pour qu’elle devînt sa maîtresse ... et d’avantage pour qu’elle admît effectivement de l’être.
Avec Michèle les choses avaient été toutes autres : elle lui avait été livrée par Marie « sur un plateau ». Une fois que celle-ci avait assumé d’être la maîtresse d’un homme nettement plus jeune qu’elle, elle avait dû vanter à son amie les plaisirs qu’ils partageaient tous deux ensemble. À force d’entendre ces récits, Michèle s’était sans doute mise à rêver … leurs vies sociales, morales et conjugales avaient tant de points communs … Et sûrement qu’un jour Michèle avait dû se demander si elle aussi ne pourrait pas … et en parler à Marie ? … À moins que ce ne fût Marie qui pensât que … et proposa à Michèle … ? Quoi qu’il en soit, Marie volontairement ou pas, avait amené Michèle à la nécessité de prendre un amant … le même amant qu’elle. Et les ultimes hésitations de Michèle … pour la forme … Marie l’avait aidé à dissiper … et Louis, l’amant potentiel, avait balayé ses derniers scrupules … Et il y avait eu ce concours de circonstances … le mari opportunément parti en Allemagne, les enfants éloignés de la maison eux aussi … Et maintenant Louis n’arrêtait pas de se régaler de sa conquête … ou plutôt du cadeau que lui avait fait Marie …
Bien sûr que Marie devait être un peu jalouse. Mais qui l’avait obligée, elle la femme fidèle, à prendre un amant, pire un jeune amant, puis à en parler à sa meilleure amie, et enfin à lui en vanter les prouesses … avant d’envisager de le partager ? Si Marie était jalouse, elle n’avait qu’à s’en prendre à elle-même ... Mais combien Louis appréciait son initiative … cette manière qu’elle avait eu de lui « offrir » Michèle … Soyez bénie Marie entre toutes les femmes : le corps de Michèle est une bénédiction ! … un cadeau royal ! … elle a un corps tellement superbe … que bien des filles de vingt ans pourraient envier ... et ce corps, il allait le savourer …
Et voilà, ils en étaient là à présent, serrés l’un contre l’autre, les mains de Louis qui exploraient maintenant le corps de Michèle, sa bouche qui prospectait l’espace entre sa bouche à elle et ses épaules … Elle qui s’enhardissait un peu … pas trop, sans que sa bouche à elle ne prît trop d’initiatives, sans que ses mains ne s’écartassent vraiment du cou de son partenaire …
Profitant de quelques mordillement qu’il lui faisait sur le lobe de l’oreille, il suggéra qu’elle lui enlevât sa chemise … c’est qu’il était toujours vêtu, lui … et qu’il se sentait très à l’étroit dans son pantalon. « Oh non, je ne me permettrais pas » lui répondit-elle. Toute timide la jeune pucelle ! Il patienta, redemanda … re-patienta … la troisième fois, il lui proposa de lui retirer sa cravate … elle y consentit. Patience encore … et elle finit par se décider … la chemise alla rejoindre les autres vêtements sur le fauteuil. Torse nu, Louis, plaqué contre Michèle sentait vivre ses seins. Il continua les longues caresses sur le dos de son amie, de la nuque au bas des fesses. Il se délectait de ce corps si parfait, le savourait. Elle continuait à faire semblant de ne pas se rendre compte qu’il était à l’étroit dans son pantalon … enfin il lui demanda de lui desserrer la ceinture et de faire tomber son pantalon … « ah non, Louis, je ne peux pas faire ça … je ne l’ai jamais fait de ma vie … excusez-moi ». Louis n’insista pas … la bataille était perdue d’avance ... et puis il n’aimait cette manière qu’elle avait de « vanter » son inexpérience de jeune fille bien élevée et vertueuse … Elle était en train de se donner à un amant … et elle s’enorgueillissait en même temps de son innocence ! Alors il s’écarta un peu de Michèle, décrocha sa ceinture, fit sauter le boutons ouvrit le zip et laissa le pantalon tomber à ses pieds, où il rejoignit la petite robe. Seulement vêtu de son slip dorénavant, il libéra son sexe, qui en profita pour prendre la position normale dans ces circonstances, la verticale … Pourtant celui-ci, tendu comme un arc, s’est retrouvé incapable de se cacher entièrement sous le slip. Tant pis, la tête resterait au dehors.
Il se serra de plus belle contre Michèle. Maintenant leurs peaux, hormis à l’emplacement du cache-sexe de Louis étaient au contact l’une de l’autre ... et la finesse des bas de Michèle ajoutait une petite note excitante au toucher de leurs jambes. Ils s’embrassèrent à nouveau, puis une des mains de Louis abandonna son dos pour venir lui flatter un sein ; celui-ci se remit à s’arrondir de plus belle. De nouveau elle gloussa et tressaillit quand il en frôla les parties les plus sensibles. Elle se serra plus fort encore contre lui … il fléchit les genoux pour laisser sa bouche descendre lentement ; elle explora le buste de sa compagne … et descendit enfin vers un sein. Ses lèvres le palpèrent sur toute sa rondeur, s’attardèrent sur l’auréole qu’il bécota, lécha, suça … avant de pincer doucement le téton de ses dents … tandis que la pointe de sa langue en taquinait le pic ... ce qui eut pour effet de faire pousser une plainte de volupté à Michèle … ses jambes allaient-elles continuer à la soutenir ?
Louis se redressa, reprit sa compagne par la taille et parcourut à nouveau son visage de sa bouche. Et une fois que les jambes de Michèle eurent repris de la vigueur, il en saisit une, qu’il releva pour en installer le pied sur la chaise toute proche. À se retrouver la vulve sans protection, à la merci de Louis, Michèle tenta mollement de redescendre sa jambe … mais il ne lui en laissa pas la possibilité, en posant lui aussi la jambe sur la chaise, lui coupant de ce fait toute possibilité de repli. Elle arrêta là sa rébellion, elle s’était défendue … elle n’était pas de force, elle se soumettait. L’honneur était sauf ! Elle se sentait heureuse dans les bras de Louis … elle ne devait pas le décourager … il ne fallait pas. Et puis il lui avait laissé sauver la face. Il lui bécotait maintenant les joues, la bouche, le cou, les oreilles … Oubliée la jambe repliée, le sexe ouvert … elle s’y accoutumait peu à peu. Elle préféra se concentrer sur le plaisir que lui donnait la bouche de son compagnon, elle essaya en tout cas … mais il allait revenir à sa jambe évidemment, il allait flatter son sexe offert … Elle appréhendait ça … tout en l’attendant. Il s’occupa de sa bouche, posa ses lèvres sur les siennes, les lui mordilla, les lécha … enfin sa langue les lui entrouvrit … ils échangèrent un long baiser, les bras de Louis autour de sa taille, les siens autour de son cou. Il semblait avoir oublié son sexe de Michèle … mais celui-ci attendait, s’impatientait … Enfin les lèvres de Louis reprirent leurs pérégrinations : le buste de Michèle d’abord, puis tout autour des seins … avant de se concentrer sur l’un d’eux qu’il se mit à en téter pendant un long moment ... À nouveau Michèle chavirait … le plaisir descendait, violent, entre ses jambes …
Il la laissa se calmer en recommençant à lui bécoter le visage ... Et il reprit le sein en bouche … et une main autour de sa taille, de l’autre il lui caressa le ventre. Quel ventre plat ! Une vraie jeune fille ! Sa main tourna autour du nombril avant de descendre doucement mais fermement vers la toison ... d’une finesse …une sorte de mini-couverture de soie ! Michèle … en vraie jeune fille, attendait, anticipait, espérait … et craignait. Il effleura le clitoris dressé comme un pieu, puis en fit le tour, le pinça légèrement … encore un râle de plaisir ! Bien entendu cela fit perdre à la bouche de Louis le contact avec le téton. Elle repartit donc à la rencontre de celle de Michèle. Ils s’embrassèrent à nouveau … comme elle s’adonnait à ce baiser ! Il s’occupait de son clitoris … quel plaisir ! … mais accaparée par le jeu de leurs lèvres et de leurs langues … tellement plus avouable parce que tellement plus banal, elle pouvait ignorer ce travail sur son intimité … La main de Louis abandonna le clitoris et descendit vers les lèvres : elles étaient entièrement ouvertes, quasiment en entonnoir … complètement inondées … Impossible maintenant de pouvoir ignorer cette main entreprenante … pour la forme elle tenta de resserrer les jambes, mais la jambe de Louis, disposée en verrou, l’en empêcha. Dieu merci !!! Quel plaisir lui donnait cette main qui avait pris possession de son sexe ouvert ! Il devenait son amant, plutôt il allait le devenir. Vite ! Vite ! Intenable ! … mais la jeune fille se devait de protester, honneur obligeait ! Que pouvait-elle trouver comme prétexte … non valable ?
- J’ai honte, Louis, laissez-moi aller dans la salle de bain
- Honte de quoi Michèle ? Honte d’être femme, une vraie femme ? Moi, je suis fier de toi.
- Laissez-moi aller faire un brin de toilette …
- Toiletter ton plaisir, mon plaisir, tu n’y penses pas ?
- C’est très désagréable … qu’est-ce que vous allez penser de moi ? ça ne m’est jamais arrivé … c’est la première fois …
- C’est très agréable Michèle ; tu es femme, ça met en évidence le plaisir que nous partageons tous les deux aujourd’hui … et j’espère que nous aurons souvent l’occasion de partager ce plaisir-là, et qu’il sera toujours aussi intense.
- J’ai honte Louis … vous ne raconterez cela à personne … ? Même pas à Marie … ?
Elle avait bien protesté … elle pouvait une nouvelle fois se soumettre … aussi la conscience tranquille, elle blottit à nouveau sa tête dans le cou de Louis.
- À qui voudrais-tu que je raconte ça Michèle ? C’est notre secret à tous les deux … je n’ai de compte-rendu à faire à personne …
- Vous ne le direz pas à Marie, même pas à Marie … ?
- Je ne raconterai rien à Marie … si ce n’est que nous nous sommes bien entendus. Toi, par contre … ? J’en suis moins sûr …
- Rassurez-vous Louis, je ne dirai rien à Marie … si ce n’est que nous nous sommes bien entendus. En fait je suis une cachottière.
Louis dégagea alors son sexe qui n’en pouvait plus, et en présenta le gland aux lèvres déployées et archi-lubrifiées de Michèle. D’un petit coup de rein il l’y fit pénétrer … c’était clair, Michèle l’appelait en elle … Mais il se garda bien de pousser plus avant sa pénétration ... d’effaroucher cette jeune vierge toujours hésitante, qui bien que très satisfaite de la tournure que prenaient les choses … se devait de protester.
- Eh là Louis, que faites vous … ?
- Nous nous plaisons beaucoup, Michèle …
- Mais qu’est-ce que vous allez penser de moi … ? Je ne suis pas prête … je ne peux pas vous permettre … pas encore … pas si vite … je suis une femme mariée …
- Oh que si tu es prête Michèle … je te laisse le temps de t’habituer à cette idée.
- Mais je ne peux pas … je ne veux pas … je ne suis pas prête … en plus je suis trop étroite, vous vous rendez compte … vous allez me déchirer … Marie m’avait bien dit que vous êtes imposant … mais à ce point … je suis trop étroite … impossible …
Elle était satisfaite d’avoir trouvé cette raison là … celle-là ou une autre … celle-là plutôt qu’une autre ... ce problème de gabarit … pour jouer les peureuses … et pour qu’il puisse être fier de lui, d’être aussi bien monté … Évidemment que ça avait été une fausse raison … bien sûr que son vagin allait s’adapter … c’est fait pour ça un vagin, pour s’adapter au mâle … surtout s’il a un sexe imposant … le rêve de toute femme … Et comme elle était excitée à l’idée qu’elle allait avoir à accueillir un tel membre ! Pourtant elle s’était due de protester … elle n’est pas une femme qui … et elle ne pouvait quand même pas lui dire « baise moi », « baise-moi vite », « baise-moi fort » … pas digne d’une femme bourgeoise BCBG comme elle. Seulement à présent elle l’attendait en elle … il y avait urgence … Mais qu’il se dépêche, qu’il soit homme, qu’il soit mâle …
- Tu es prête Michèle … tu n’es pas trop étroite ... tu le sais. Et surtout si tu joues à hésiter sans cesse, tu vas te gâcher cette nuit, tu vas nous la gâcher ... Aussi maintenant je vais te pénétrer … doucement … mais fermement … tout en douceur … sans te brusquer … avec détermination … sans te permettre de te dérober.
- Mais je suis trop étroite … vous allez me déchirer …
- Je t’ai dit Michèle … qu’au besoin je te forcerai un peu … pour te rendre raisonnable …
- Mais … vous vous rendez bien compte que …
- On se tait Michèle ! Tu es femme … et tu as envie de moi … autant envie de moi que j’ai envie de toi. Je vais te pénétrer, là debout … tu vas m’accueillir en toi … je vais t’habiter … Quelques mouvements pour que tu t’habitues à me contenir … et nous n’irons pas plus avant … pour le moment … Tu seras alors complètement calme, et je te conduirai au lit où nous pourrons tous deux partager notre plaisir ... Nous aurons toute la nuit. Allez, sois femme, tiens-moi bien par le cou, pose la tête sur mon épaule ... et oublie tout.