Céline 02 - première relation

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Céline 02 - première relation

Messagede tentation le 31 Aoû 2008, 22:16

Céline retrouva Roland installé, comme convenu, dans un des deux fauteuils qui entouraient une table basse dans un coin de son bureau, des fauteuils certes spacieux pour une seule personne, mais manifestement quelque peu exigus pour en recevoir deux … à moins que ... Ils se sourirent complices. Il l’invita à le rejoindre, et elle vint se lover contre lui, à sa gauche, entourant son cou de ses deux bras. Il posa un des siens autour de son épaule, tandis que sa main droite venait, elle, prendre place de l'autre côté du cou de Céline.
Aussitôt les lèvres de Roland entreprirent l'exploration du périmètre de son oreille: d'abord il les posa doucement de-ci de-là, effleurant à peine sa peau de porcelaine. Puis sa bouche devint un peu plus insistante, elle s'empressa plus fermement sur ce nouveau territoire conquis : elle y posa une multitude de bécots, avant que sa langue ne s'élançât enfin et prît définitivement possession du lobe de l'oreille. Céline toute chose, serra plus fort ses bras autour du cou de son amant, de son futur-amant, elle en approcha ses lèvres, ce qui permit à Roland de percevoir son souffle chaud, devenu saccadé ; en même temps il percevait que ses seins prenaient de la densité en s'arrondissant et en s'affermissant imperceptiblement. Elle sentit le bonheur monter en elle, et elle entreprit à son tour d'explorer de sa langue la joue de Roland, tout en caressant son cou de ses mains si délicates.
Pour sa part il continua de peaufiner son ouvrage sur l'oreille de Céline, sur cette oreille complètement abandonnée au plaisir : elle se laissait aller à quelques petits gloussements involontaires à peine audibles et son corps abdiquait peu à peu toute résistance au voisinage immédiat de celui de son compagnon.
La bouche de Roland, une fois l'oreille entièrement soumise descendit vers le cou, qu'il perçut sous l'emprise de quelques frémissements. Encouragé par cet abandon, il progressa doucement vers la joue, qui elle, était fermement décidée à ne pas se lancer dans un combat d'arrière-garde : aussi les lèvres de Céline vinrent rapidement, entrouvertes, à la rencontre de celles de son ami. Leurs langues se mêlèrent alors longuement. Et tandis qu'elle s'agrippait fermement au cou de Roland, elle s'abandonna complètement et son corps vint épouser le sien.
Les joutes qu’avaient engagées leurs langues et leurs caresses réciproques avaient provoqué des effets prévisibles : Roland sentait son membre se développer, emprisonné dans son pantalon ; un problème mécanique auquel il n'avait pas pensé lorsqu'il avait demandé à sa compagne de se débarrasser de son soutien-gorge. Chez elle l'effet n'était pas moins évident : il sentait son sein continuer à se gonfler contre sa poitrine. Un terrible besoin de s'emparer de cette sphère qui s'arrondissait et se durcissait prestement monta en lui. Mais voilà, un nouveau problème mécanique apparaissait encore : comment le prendre en main, alors qu'elle était tellement serrée contre lui ? Il devait impérativement partir à la conquête de cette poitrine qui l'appelait avec tant d'évidence ; pour son propre plaisir certes, mais surtout pour celui qu'il allait offrir à Céline. Il abandonna donc ses lèvres afin de briser cette étreinte tellement intime qui accrochait leurs corps l'un à l'autre ; il descendit alors doucement sa main sur l'épaule de sa compagne, qu'il frôla avec délicatesse, avant de la caresser plus fermement … tout en la repoussant quelque peu : une brèche s’ouvrit entre leurs corps, qui permit à sa main de descendre doucement vers ce globe offert ; elle en prit immédiatement, d'une palpation précautionneuse et à peine perceptible, les dimensions : Céline tressaillit involontairement. Il poursuivit sa conquête, fermement, mais avec beaucoup d'attention, ne faisant toujours qu'effleurer ce sein qu'elle lui abandonnait avec un ravissement si évident. Celui-ci continua à se gonfler et le téton s'écrasait sur le tissu du corsage. Par compassion il débloqua en un tournemain trois boutons pour lui donner la liberté qu'il réclamait. Délivré, il s'évada immédiatement avant d'être de nouveau saisi par la main ferme et douce de son nouveau souverain.
Il avait laissé les lèvres de Céline orphelines et un peu désemparées, alors que les siennes descendaient avec lenteur depuis le cou en direction de la poitrine, tout en continuant à maintenir avec fermeté ce sein qu'il avait soumis. Elle se remit à enlacer avec vigueur le cou de Roland et écrasa à nouveau son corps sur le sien. Il lui fallut une fois encore l'écarter quelque peu pour que sa main puisse continuer à jouir d'une liberté totale sur son sein. Elle s'enroulait maintenant parfaitement autour de lui. Il put alors achever sa conquête en flattant de ses doigts l'aréole. Céline, de plus en plus frémissante commençait à en perdre la respiration. Il en profita pour attoucher de sa bouche, ça et là, les alentours de ce sein gonflé prêt à exploser. Céline laissa échapper des gémissements de plus en plus prononcés. Il entreprit enfin, de sa langue, de titiller l'aréole et le téton de cette mamelle soumise, qu'il saisit enfin fermement dans sa bouche, et les mordilla délicatement.
Les râles de Céline se faisaient de plus en plus puissants. Roland dégrafa derechef les quelques boutons de son corsage qui étaient demeurés fermés. Son second sein jaillit alors, bien décidé à partager le plaisir de l'autre. Un peu moins arrondi et un peu moins dur, il eut vite, sous la main et la bouche de Roland copié la forme et la fermeté du premier. Céline complètement esclave de son plaisir en avait perdu toute initiative, et s'était abandonnée à ses gémissements.
Totalement vaincue, elle cessa de lui enserrer le cou, ce qui lui était devenu difficile depuis qu'il l'avait légèrement écartée de lui pour prendre possession de ses seins ; elle tenta quelques caresses sur la poitrine de Roland au travers de la chemise, mais sans force dans l'extase où il l’avait plongée, elle laissa involontairement tomber sa main sur la boursouflure du pantalon de son amant en devenir. Cela la fit sortir un peu de sa torpeur, et elle remonta rapidement cette main à la hauteur de la taille de Roland.
- Excusez-moi.
- T'excuser de quoi, Céline ?
- Excusez-moi, je ne l'ai pas fait exprès.
- Pourquoi me vouvoies-tu, Céline ?
- Oui, excuse-moi, Roland : mon geste était involontaire.
- Involontaire ? Alors que tu viens de te montrer très femme, Céline ...
- Femme, bien sûr que je suis femme mais quand même Roland je ne l'ai pas fait exprès …
- Mais non Céline, assume-toi en tant que femme, et remets ta main là où elle était tombée naturellement.
- Oui bien sûr Roland, puisque tu me le demandes mais je dois te l'avouer, cela me fait un peu peur ... tout va trop vite …
- Domine ta peur, sois femme, pose à nouveau fermement ta main ... là où le destin … ou ton instinct l’a laissée tomber.
Céline posa à nouveau la main sur le sexe de Roland qui marquait nettement son pantalon. Celui-ci s'empara à nouveau des lèvres de sa compagne, sans pour autant abandonner sa poitrine. Le corps de Céline se remit à frissonner, mais sa main demeura inerte. Une fois qu'elle se fut à nouveau abandonnée aux caresses de son seigneur et maître, Roland recommença à la stimuler.
- N'aie pas peur ma chérie, sois femme, libère ce sexe qui n'en peut plus d’être enserré.
- Je ne sais pas si je pourrai, Roland.
- Tu le peux Céline, tu es femme, et tu te dois de le prendre en main, de le flatter. Tu en as envie, n'est-ce pas ? Tu as envie de le prendre en main, c'est évident.
- Bien sûr que j'en ai envie mais également j'ai un peu peur ...
- Tu n'as pas peur Céline, tu es une femme sûre d'elle et tu veux … alors n'hésite pas.
- Oui sans doute …
Et timidement elle fit glisser la fermeture du pantalon ... et le sexe resta condamné dans le slip. Céline se contenta alors de poser sa main dessus et de le flatter légèrement du bout des doigts, mais sans oser le libérer. Roland se remit à l'embrasser, et à nouveau, sous les attaques de la langue et de la main de Roland, elle se remit à tressaillir.
- Allons Céline, libère-le ! Il n'en peut plus d’être contraint.
- Oui …
Elle tenta timidement de le faire sortir du slip. Mais il fallut que Roland l'aidât : il se releva un peu, couvrit sa main de la sienne et ensemble abaissèrent le slip qui libéra complètement son prisonnier, qui enfin jaillit. Roland embrassa à nouveau longuement Céline et elle reprit rapidement ses gémissements … mais sans oser toucher ce barreau qu'elle venait de désentraver.
- Prends-le en main Céline, flatte-le !
- Je n'ose pas ...
- Tu es femme, Céline, femme … tu es femme-femme, prends-le !
Elle l'agrippa enfin ; plutôt elle s'y agrippa comme un noyé à une bouée. Roland se remit à l'embrasser : cela avait si bien marché auparavant. Et en effet Céline, toujours agrippée à sa bouée s'abandonna à nouveau et de par son abandon, sa main devint involontairement un peu plus active.
- Très bien Céline mais assume ta main donne-moi les caresses que j'attends de toi et que tu veux me donner.
Céline laissa sa main prendre la mesure de cette forme qui venait de jaillir du pantalon de son ami, qui l'attirait tant, mais qui l'intimidait également aussi. Elle s'enhardit peu à peu, sa main se fit plus pressante mais elle se demanda ce qu'une femme pouvait craindre d'un tel engin : il était nettement plus imposant que celui de Jérôme … le seul qu’elle avait jamais connu. Bien entendu, elle n'en dit rien à Roland, qui continua à l'embrasser, à lui caresser les seins, à les embrasser aussi, mais encore à lui flatter le dos et les hanches.
Puis Céline s'habitua, toujours aussi craintive, à ce sexe qu'elle avait en main ; il lui faisait un peu peur : n’était-il pas un peu trop gros pour elle ? Ça doit être très difficile à une petite femme comme elle de contenir ça ? Est-ce que ça ne risque pas d'être un peu douloureux ? Plus douloureux qu'agréable ? Surtout par terre ou sur le bureau … Où allait-il la prendre au fait ? Le membre de Jérôme était nettement plus modeste … peut-être plus aux dimensions de sa capacité à elle ? … Mais peut-être après tout que c’était parce qu’il était trop modeste justement, qu’elle n’avait pas l’impression d’en tirer trop de plaisir ?… On nous parle partout du plaisir des femmes … mais elle, elle n’avait jamais eu l’impression de … Peut-être justement parce que le sexe de Jérôme était trop modeste ? Ou parce qu’il ne savait pas « s’en servir » ? … Ou parce qu’elle n’était pas vraiment amoureuse de lui … ? Sans quoi, si elle avait aimé Jérôme, elle ne serait pas ici à tenir le sexe de son professeur en main … Comme elle l’admirait cet homme ! Comme elle l’aimait, lui ! Comme elle savait qu’elle allait s’épanouir avec lui ! Comme elle sentait qu’il lui serait « naturel » de faire l’amour avec lui ! Et comme elle était fière maintenant de tenir son sexe en main ! … Même s’il l’intimidait … s’il lui faisait un peu peur … Elle gambergeait. Lentement sa main assuma ce sexe d’homme, certes pas avec une franche assurance, mais elle l'assuma quand même ... Jamais elle n’avait tenu le sexe de Jérôme … elle le touchait parfois, mais par hasard … jamais elle ne l’avait tenu en main … Elle n’en avait jamais eu envie … et il ne le lui avait jamais demandé. Et Roland, lui, il lui avait demandé … et elle avait trouvé tout naturel de répondre à sa demande … même si elle était intimidée. Elle avait maintenant intégré dans son esprit le fait d'embrasser Roland, de se faire caresser la poitrine par lui, d'en recevoir un plaisir immense, et en même temps de lui tenir le sexe en main. Et puis se disait-elle, le problème ce sera pour plus tard, nous sommes dans son bureau, je suis en pantalon, il n'y a pas de lit, il va devoir aller déjeuner avec le président … la pénétration ce sera pour une autre fois, j'aurai le temps de m'accoutumer à cette idée. Pourtant ça aurait pu être pour tout de suite … si elle avait été en jupe … et ça aurait été bien … mais ça serait pour plus tard … pour bientôt … Roland allait la prendre … bientôt. Et s’il lui avait dit tout à trac : « Céline, déshabille-toi entièrement que je te prenne sur mon bureau», elle aurait obéi, elle le savait… Peut-être que si elle n’avait pas eu la mauvaise idée de mettre aujourd’hui un pantalon … Leur jeu continua ainsi quelques minutes, puis Roland lui dit, toujours en lui flattant la poitrine :
- Mets-toi à genoux Céline, et prends-le maintenant en bouche !
- Ah non, Roland, je n’ai jamais fait cela et ça ne me tente pas.
- Tu es femme, Céline, et bien sûr ça te tente, sois sûre que ça te tente.
- Non Roland, ça ne me tente pas.
- Mais si, mais si, écoute-toi, écoute tes sens, écoute ton instinct de femme.
- Non, je ne peux pas. Et puis me mettre à genoux, c'est humiliant, tu ne trouves pas ?
- Te mettre à genoux n'a rien d'humiliant Céline, ce n'est seulement que la manière la plus appropriée ... Comment pourrais-tu être humiliée par une chose que nous partageons. Ce que je te demande c'est simplement un plaisir partagé entre toi et moi. Depuis quelque temps, nous nous donnons des plaisirs ; t'es-tu sentie humiliée ? Non bien sûr. Tu ne te sentiras pas plus humiliée maintenant : tu verras nous allons vivre à nouveau quelque chose de très doux : tu connaîtras un bonheur inconnu et dont tu auras l'initiative. Et je ne t'abandonnerai pas, je te caresserai les cheveux, le dos, je t'embrasserai le cou. Tu verras, ce sera sublime. Allez, mets-toi à genoux, et approche doucement tes lèvres ensuite, tu verras ça deviendra tout simple, évident.
- J'ai bien peur que je ne puisse pas …
Mais elle se mit à genoux ; le sexe de Roland fermement en main, elle approcha maladroitement ses lèvres tandis qu'il lui caressait doucement les cheveux et qu'il lui embrassait la nuque. Mais les lèvres de Céline demeuraient simplement à portée de ce membre vigoureux, sans se décider à entrer en contact avec lui.
- Approche tes lèvres Céline, qu'elles effleurent le gland.
Elle obéit, ses lèvres touchèrent le gland, mais sa bouche resta fermée
- Sors la langue Céline et lèche le gland.
Elle essaya, mais recula.
- Je ne peux pas.
- Tu le peux Céline, tu le veux, tu le peux, tu ne peux pas te priver de ce plaisir-là, me priver de ce plaisir là. Tu es femme Céline …
Elle posa la langue sur le bout du gland ; il lui flatta les cheveux et lui embrassa le cou avec douceur.
- Merveilleux Céline, laisse ta langue s'enhardir, laisse-la s'arrondir autour du gland, laisse-la agir d'instinct, laisse ton instinct de femme agir.
Il s'intéressa à nouveau à ses cheveux, lui flatta encore le cou de ses lèvres et se remit à cajoler ses seins. La langue de Céline avait cessé de paniquer, et elle avait enfin pris possession de ce gland qui l'avait tant effrayée.
- Tu vois Céline, tu es femme, ton instinct de femme … laisse-toi aller, ouvre la bouche maintenant, avale doucement ce gland en continuant à me caresser de ta langue et de tes mains. Tu te fais-là un grand plaisir Céline, tu me fais un grand plaisir ; ce plaisir va s'accroître encore laisse-toi aller Céline.
Peu à peu elle se décontracta et ouvrit timidement les lèvres ; elle fit pénétrer le gland dans sa bouche tout en continuant de le lécher. Elle se décida enfin à caresser timidement et doucement la hampe de ses doigts délicats comme il le lui avait demandé de le faire. Elle s’enhardit encore et enroula sa langue autour de ce membre immense mais toujours sans le faire vraiment pénétrer dans sa bouche : sa relation avec lui demeurait encore quelque peu distante. Longuement, patiemment, Roland continua ses caresses, les cheveux, le cou, les seins, le dos
- Fais-moi entrer plus profondément en toi, Céline !
Elle lâcha sa prise et répondit :
- Mais comment veux-tu que je fasse mieux avec quelque chose d'aussi volumineux ?
- Tu le peux, Céline.
Elle s'appliqua, comme il le lui demandait ; bientôt elle prit l'habitude, par des va-et-vient d'engouffrer son amant. Roland sentait un immense plaisir monter en lui et la montée de sa sève se manifester. Et Céline ressentait également tout cela dans sa bouche et elle s'en montra effrayée.
- Tu ne vas pas t'écouler dans ma bouche, hein ? Je n'ai vraiment pas envie de cette expérience-là.
- Céline, bien sûr que je vais m'écouler dans ta bouche, tout au fond de ta bouche. Et bien sûr que tu avaleras tout. Tu es femme Céline, sois femme. Tu verras ce sera très doux, très agréable
- Je ne veux pas ; cessons là.
Et elle s'écarta de Roland et lâcha sa verge. Elle fit mine de se relever. Il fallut qu'il la maintînt par les épaules pour l'empêcher de le faire. Elle abandonna toute résistance, mais il lui fallut se montrer très persuasif pour qu'elle acceptât de reprendre son membre en main d'abord, et dans la bouche ensuite. Il recommença à lui embrasser le cou, à lui caresser les cheveux, les seins … Peu à peu elle se laissa persuader qu'elle devait connaître cette expérience-là, que c'était indispensable dans la vie d'une femme, qu'elle devait être femme, femme-femme comme elle lui avait dit qu'elle serait. Elle reprit ce membre en main, recommença à le caresser de ses doigts délicats, à enrouler ses lèvres autour, à le prendre en bouche de plus en plus profondément. Elle avait accepté d'être femme, complètement femme. Quand il sentit le moment venir, même si Céline devait le sentir également, il le lui annonça : elle savait maintenant qu'elle accepterait sa semence dans la gorge, et qu'elle l'avalerait, qu'elle serait femme. Quand le moment arriva, Roland lui soutint délicatement la nuque en la caressant, afin qu'ils puissent conserver le contact optimum au moment de la délivrance … ce que Céline accepta naturellement. Il s'écoula alors longuement en elle ; elle perdit un peu son souffle, mais elle avala avec délectation chaque salve qui la frappait.
Puis Roland se retira de sa bouche, réajusta plus ou moins son slip, et se laissa glisser aux côtés de Céline ; elle était certes essoufflée, elle avait les yeux un peu larmoyants, mais elle avait un sourire heureux. Elle venait de réaliser quelque chose qu'elle croyait impossible … mais que son amour pour Roland lui avait permis de réaliser. Elle n'avait pas encore fait l'amour avec lui et pourtant grâce à lui, elle était devenue femme. Roland était la chance de sa vie, son professeur. Il l'aidait à devenir femme, comme il l'avait aidée dans ses études, et comme il l'aiderait à soutenir sa thèse. Il lui était indispensable.
Ils se sourirent et ils s’embrassèrent.
- Merci Roland. Merci de m'avoir persuadée. J'ai une entière confiance en toi.
- Bien, malheureusement je dois partir rejoindre le président ; je risque d'en avoir jusqu'à cinq ou six heures nous avons tant de décisions à prendre … comme de t'aider pour ta thèse
Tu es libre ce soir ? As-tu du temps pour dîner avec moi ? Pour qu'on continue plus confortablement à faire connaissance ? Pour passer la nuit ensemble ?
- Non Roland, il faudra que je rentre; seulement nous prendrons le temps de dîner mais il faudra que je rentre. À moins que nous décidions de sauter ce dîner et que tu ne te décides de devenir vraiment mon amant dès ce soir.
- Nous sauterons le dîner si tu le veux bien.
- Je le veux. Dommage qu’une nouvelle fois nous manquerons de temps.
Il lui tendit un papier :
- Voilà mon téléphone ; donne-moi le tien. Je t'appellerai dès que j'en aurai fini avec le président.
Elle lui écrivit également son téléphone sur un papier.
- Céline, si tu profitais de « ce contre temps » pour aller faire un test HIV … une formalité bien sûr, mais nous serions tellement plus tranquilles. J’en ferai de même. D’accord ?
- D’accord. À ce soir Roland.
- À ce soir Céline.
Ils échangèrent un dernier baiser, et elle sortit.
tentation
 
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