Céline 12 - Maître Bertrand

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Céline 12 - Maître Bertrand

Messagede tentation le 06 Oct 2008, 19:48

Lou-Di-Han appela donc « Maître Bertrand » … une voix quelconque, sans autorité, sans personnalité semblait-il. Elle lui demanda d’amener son dernier test-HIV … parce qu’il allait devoir opérer sans préservatif avec une fille saine. Elle lui dit également qu’elle allait le tester elle-même, afin de s’assurer de ses compétences et de son endurance … car il aurait - au minimum - droit à « un Grand Chelem », la fille étant très demandeuse. Donc qu’il s’apprête pour une répétition générale avec elle-même jeudi matin, dans des conditions les plus proches possibles de la situation réelle à la quelle il serait confronté le lendemain. Qu’il pense, si nécessaire, à des pilules spéciales car il lui faudra être très performant pendant deux ou trois heures.

Pas très convaincue par cet échange téléphonique, Lou-Di-Han pria Madame Mia-Soun de suivre derrière son écran sa répétition avec « Maître Bertrand », qu’elle puisse se faire son opinion. De toute façon, que Madame Mia-Soun regarde ou pas, elle, Lou-Di-Han enregistrerait cette prestation. Le métier du sexe, c’est de l’artisanat, un travail d’artistes, même s’il a également son côté alimentaire bien entendu. Dans le salon de Madame Mia-Soun, on considérait en tout cas ce travail comme un art. Et avec Laurent, sa relation avait été de l’art. Entre Martial et Armelle ça avait été aussi de l’art … même s’il n’avait pas vraiment su lui, lui démontrer qu’elle aimait « l’homme », pas un homme. Mais Martial n’est pas un pro, c’est un amateur averti. On pourrait, si nécessaire, lui enseigner quelques ficelles … mais il devrait en fait rester un client tout de même ... ce sont les clients qui font vivre le salon.

Le jeudi matin elle vit arriver un bonhomme « qui ressemblait à sa voix », banal ; pas très grand, de taille modeste même, la petite quarantaine, châtain clair, le regard pas vraiment expressif, légèrement dégarni ; assez svelte, les épaules tombantes, le tout vêtu sans réelle recherche. Le genre de type qu’on oublie aussitôt croisé, pas du tout le genre de mec à provoquer des fantasmes chez une femme. Bon, elle allait devoir « faire avec ». Et ce n’est pas son sex-appeal qui allait faire rêver Armelle.

Elle lui expliqua le scénario qu’elle avait imaginé pour Laurent … mais bien entendu sans lui parler de Laurent. Elle annonça que vendredi elle l’appellerait grâce à son bip lorsqu’elle aurait rendu la fille « folle du mâle », et qu’à ce moment-là, ce serait à lui de jouer et de la persuader du plaisir qu’elle pouvait prendre avec « l’homme », avec « n’importe quel homme » - Effectivement, il semblait être « n’importe quel homme » -.

- De toute façon, comme tu l’auras entendue hurler de plaisir, tu banderas comme un cerf en entrant dans la salle de massage. Maintenant comme convenu, nous allons faire une répétition. Tu joueras ton propre rôle évidemment, et moi celui de notre « patiente » … c’est donc moi que « tu travailleras » ce matin. Tu feras donc avec moi tout ce que tu auras à faire demain avec elle … aussi bien dans la salle de massage qu’au lit. Éventuellement, puisqu’il s’agit d’une répétition, on devra reprendre certaines séquences. OK pour toi ?

- OK.

- Mon rôle à moi demain, c’est une de nos filles qui le tiendra, Milène qu’elle s’appelle ; tu verras elle est très mignonne … et très appréciée de nos patients et patientes. Elle va donc me masser, me préparer, comme je le ferai moi-même demain avec la fille. Bien entendu, c’est moi qui vais manager aujourd’hui … comme demain. Bien sûr j’aurais pu mettre Milène sur la table aujourd’hui et jouer le rôle qui sera le mien demain, mais en tant que responsable, je veux pouvoir ressentir intimement ce que la fille qu’on va te confier ressentira intimement demain. Si tu avais « travaillé » Milène ce matin, il aurait fallu que je la questionne sans cesse, et cela vous aurait déstabilisés tous les deux. Donc ce sera avec moi que tu répéteras. OK ?

- OK, tu es la patronne.

- De ton côté, déshabille-toi, passe un peignoir et attends qu’on t’appelle. Tu trouveras un bip sur la table ; nous l’avons testé, il fonctionne. Quand ce sera à toi d’entrer, le bip émettra un son et clignotera. À ce moment tu feras résolument ton entrée dans la salle de massage. Compris ?

- Compris.

- Demain quand tu entreras, je l’aurai soigneusement « préparée », la jeune dame : elle sera vraiment « en manque du mâle ». Tu l’auras d’ailleurs entendue hurler … elle hurle très bien, tu verras ... et je sais magnifiquement la faire hurler de plaisir, la rendre « folle du mâle ». Et sans même l’avoir vue, rien qu’à la façon dont tu l’auras entendue lancer « ses appels à l’homme », tu banderas déjà. Tu la trouveras sur le ventre, je serai en train de « lui besogner le sexe ». Je jouerai l’étonnée et te demanderai de sortir, tu n’en feras rien … et occupée comme je le serai, je ne m’apercevrai pas que tu es resté. Tu n’auras plus qu’à te faire admettre d’elle. Sur le ventre comme elle sera, elle aura « une vue imprenable » au niveau de ta queue … Bien sûr elle te regardera en entier, mais son regard reviendra naturellement à l’horizontale. Tu t’arrangeras donc pour revêtir ton peignoir de telle sorte que ton érection soit bien mise en évidence. Elle va adorer cette bosse ! Alors tu t’approcheras de la table, de sa tête, et sans en avoir l’air tu laisseras ton sexe s’évader de sa cachette. Elle l’aura juste devant les yeux et à portée de main. Elle s’en saisira ; tu t’approcheras de son visage et d’une main, tu lui caresseras doucement les cheveux, des cheveux magnifiques tu verras. Elle te prendra en bouche. Tu as bien compris cette première scène ? Tu as des objections ?

- OK, compris. Et qu’est-ce que je ferai alors ?

- Une fois qu’elle t’aura en bouche, tu continueras à lui caresser tendrement les cheveux, mais des deux mains, qu’elle sente que tu as pris possession de sa tête et de sa bouche, que tu apprécies sa fellation, mais que tu entends néanmoins la contrôler, que « le mâle c’est toi ». Ou tu la laisseras faire … ou tu pourras même lui explorer le fond de la bouche, mais sans l’agresser, surtout sans l’agresser ! En fait tu feras au mieux, selon la manière dont tu la sentiras vivre ça. Tu seras intimement en contact avec elle, c’est toi qui choisiras donc. Le but c’est que tu lui donnes envie de ton sexe … mais surtout pas l’impression que tu vas la violer. Comme je t’ai dit, c’est toi qui apprécieras l’effet de ton sexe dans sa bouche, et qui « la guidera ». Mais je ne te laisserai pas continuer longtemps car tu ne devras absolument pas décharger dans sa bouche … même si elle se montrait insistante. Sa bouche, « tu te la feras », mais plus tard. C’est dans son sexe que tu devras impérativement te « lâcher » en premier. Madame Mia-Soun et moi sommes formelles là-dessus. Et sans préservatif ! Et pour que ça ne risque pas de « dégénérer », je la ferai rapidement se retourner. Compris ?

- OK, comme tu veux.

- Privée de ta queue, elle retombera immanquablement « en manque ». Nous ne lui laisserons aucun répit : tu lui caresseras un peu les seins et moi toujours le sexe. Et sans nous adresser la parole -normalement personne ne devrait avoir parlé … à part quand je t’aurai demandé inutilement de sortir -, je contournerai alors la table en faisant semblant de ne pas te voir, et je viendrai m’occuper de son visage et de ses seins. Toi, que j’aurai donc chassé, tu contourneras également la table. Je l’aurais laissée les jambes écartées, le sexe ouvert et complètement liquide. Alors tu le lui « agaceras », son sexe, Avec ta bouche ; elle adore ça. Donne de ta langue, de tes lèvres, de tes dents même... Tu verras son bassin s’agiter. Quand tu la sentiras fin prête, sans préavis, tu l’attraperas par les cuisses et en les maintenant ouvertes, tu la tireras franchement à toi vers le bord de la table, et tu la pénétreras énergiquement. Si jamais elle se rebiffait, tu n’insisterais pas ... À toi tout de même d’interpréter « cette rebuffade » : tu seras alors « planté en elle », tu devras pourvoir apprécier la différence entre un vrai refus et « une coquetterie de jeune fille ». Tu as assez l’expérience des femmes pour effectuer cet éventuel arbitrage. Tu comprends on ne veut pas de problème de viol ici … mais il ne faut pas que tu la déçoives non plus. Mais sois-en certain si tu la pénètres résolument, sûr de toi et sûr de ton droit à exercer « ton métier de mâle », elle ne se refusera pas. Sauf faute de ta part, il n’y a aucune chance qu’elle puisse se rebiffer … mais tu sais bien, qu’on doit tout envisager. Sois-en certain, elle ne contestera pas ton pouvoir. Si tu y vas franchement bien entendu … Parce que si tu hésites, si tu te montres timoré, pas très sûr de « ton pouvoir naturel d’un mâle qui s’accapare une femelle », ça pourrait peut-être tout compliquer. Aussi ne lui laisse aucune possibilité de se rebeller ! Sois un mâle triomphant qui fait son travail de mâle … et elle appréciera, et en redemandera. Compris ?

- Compris !

- Aussi quand tu me prendras, moi, au cours de la répétition que nous allons faire, j’attends de toi beaucoup de résolution, de fermeté et d’autorité. Demain tu n’auras droit qu’à un seul essai. Aussi tout à l’heure, si je ne te sens pas suffisamment convaincant, tu auras à recommencer ta pénétration, et ce jusqu’à ce que je la trouve absolument parfaite. Ce sera là le moment-clé de ton action, là où tu devras te l’accaparer sans aucun défaut possible. Avant, bah … un léger défaut … même s’il te faudra quand même être performant … Mais à ce moment de cette « scène 2 », tu dois être ir-ré-pro-cha-ble. Tout le travail que tu vas entreprendre ensuite avec elle dépendra de la manière dont tu auras pris possession de son sexe, de son intimité de femme. Bien sûr qu’elle l’attendra avec impatience ce moment-là, qu’elle l’espérera, qu’elle le voudra … mais avec « son caractère fleur bleue de jeune fille », elle t’en voudra si tu ne maîtrises pas de manière impeccable, de la manière dont tu vas prendre possession d’elle. Après, une fois que tu seras vraiment « installé » en elle, bah … mais mieux vaudra quand même « la traiter » au mieux ensuite. OK ?

- OK.

- Une fois que tu l’auras pénétrée, tu opéreras comme tu voudras. Tu agiras comme tu le sentiras … comme tu le sentiras, non pas pour ton plaisir personnel, mais pour son plaisir à elle, pour la rendre dépendante de ton sexe à toi, pour qu’elle éprouve le besoin que tu « la travailles » et « la travailles ». En profondeur et dans la durée ! N’hésite pas à la taper bien au fond, elle adore ça. Et prends ton temps, elle raffole d’« être besognée » longuement et vigoureusement par un vrai mâle qui sait ce qu’il veut. Prends ton temps avant de te vider. Une fois que tu seras bien installé en elle, elle ne contestera en aucun cas ton autorité, mais elle appréciera la manière dont « tu la travailleras ». Fignole-la donc. Et quand tu te lâcheras, fais-le longuement, méthodiquement, qu’elle puisse sentir ton sperme l’envahir, s’insinuer en elle. Et quand tu n’auras plus rien à lui offrir, continue à lui « travailler » encore un peu le vagin, et à « la cogner » toujours, qu’elle ait bien le temps de se sentir femme, de sentir en elle à la fois le mâle qui l’a possédée et la semence qu’il lui a offerte. Et quand tu sortiras enfin d’elle, ne la laisse pas tomber, tu l’embrasseras, la caresseras, et tu l’emmèneras immédiatement vers le lit, et tu l’allongeras. Tu dois lui montrer que tu es le maître, et qu’elle n’a qu’une seule possibilité, se plier à ton autorité de mâle. Elle attendra de toi que tu continues « ton métier d’homme ». Ne perds pas te temps, ne lui laisse aucune possibilité de gamberger, reprends aussitôt fermement possession d’elle. La bouche, le vagin, comme tu veux. Tu as le choix, mais il faut que tu la reprennes très vite et très fermement. Je peux compter sur toi ?

- Bien entendu.

- Il te faudra être performant … Tu ne dois prendre aucun risque. Au besoin, prends un « fortifiant » … puisque tu devras absolument rebander très vite une fois sorti d’elle. Tu banderas donc en en sortant, tu l’amèneras vers le lit en bandant … tu t’arrangeras pour que ton sexe dressé la frôle alors que tu la mèneras vers le lit … « Ton pouvoir de mâle » s’imposera à elle grâce au frôlement de ton sexe sur son corps … n’importe où … du moment qu’elle soit certaine que tu bandes. « Sa propre soumission au pouvoir du mâle » se trouve là. Il faut qu’elle soit persuadée de l’évidence que tu vas « la reprendre » une fois arrivée au lit. Et là, si elle te prend en bouche, tu la suis, Si elle t’appelle dans son sexe, tu suis. Sinon, à toi le choix … Mais moins de dix secondes après l’avoir allongée, ton sexe doit avoir repris possession d’elle. Elle n’attendra que ça, ne la déçois pas. Et que tu la prennes dans la bouche ou dans le sexe, tu la travailleras longuement … elle aime être possédée interminablement. Et une fois encore tu te videras sans précipitation : elle adore sentir le sperme s’insinuer doucement en elle. Ne te précipite donc pas. Et si c’est dans la bouche, n’hésite pas à la pénétrer bien au fond de la gorge. Elle aime sentir le sperme s’infiltrer dans son œsophage … mais ne l’étouffe pas quand même : tu dois la faire jouir, pas la tuer par asphyxie. Normalement jusqu’à ta deuxième salve, vous n’aurez échangé aucune parole … mais là vous allez devoir l’un et l’autre reprendre des forces, aussi tu la caresseras, elle en fera de même … et vous discuterez un peu. Mais n’oublie pas, tu ne dois pas lui laisser trop de répit et ne pas lui laisser le temps d’avoir des remords d’avoir trompé son amant de cœur. Au plus vite possible tu reprendras possession d’elle. Comme tu veux, le sexe, la bouche, ou encore tu la sodomises … N’oublie pas que tu dois la prendre partout. À toi de faire ton programme … il y aura du fluidifiant sous l’oreiller. Tu devras en tout cas « la contenter » pendant au moins deux heures encore. Sans doute, elle te donnera son avis personnel … elle voudra ceci ou cela … aussi sois attentif à ses besoins. Elle qui te donnera le signal du départ quand elle jugera qu’elle devra repartir. À ce moment elle attendra de toi que tu l’accompagnes sous la douche pour la caresser là sous l’eau. Encore, quand tu prendras une douche après l’avoir sodomisée, ne la laisse pas seule sur le lit. Là encore tu l’amèneras sous la douche avec toi … et tu la caresseras. En fait depuis la première fois que tu la toucheras sur la table de massage, jusqu’à son départ, tu devras rester sans cesse au contact de son corps. OK ?

- OK … mais dis donc, c’est une sorte de marathon que tu me demandes.

- Exact. Mais tu sais si Madame Mia-Soun veut avoir un pro pour « travailler la fille », c’est justement parce qu’elle veut « un service impeccable. Et après, quand elle t’aura donné congé, c’est moi qui me chargerai d’elle … tu seras libre. Je lui dirai que tu es un de nos patients, que tu es marié, … Allez, va te mettre en tenue, et viens t’occuper de moi.

- Je peux savoir ce qu’elle vient faire ici ?

- Je ne sais pas trop ; c’est Madame Mia-Soun qui me l’a confiée, mais je ne sais pas trop qui elle est ; on apprend à être discrets ici, pas dans ton salon ? Ce que je peux te dire, c’est qu’elle est insatiable. Ça pour un homme, c’est peut-être compliqué. À toi de voir. Encore elle est épilée, c’est moi qui l’ai épilée d’ailleurs. Tu aimes ça les femmes épilées ?

- J’adore.

- Eh bien tu vas être servi … parce que moi aussi je le suis. Comme Milène, qui va nous assister … mais pour elle, son épilation te restera cachée sous son peignoir.

Lou-Di-Han voulait se mettre dans les conditions où allait se retrouver Armelle le lendemain en présence de Bertrand. Pas facile en fait : elle, elle est une pro, elle connaît le scénario, et « les ficelles » du métier. Par contre, Armelle, elle, allait être « manipulée ».Elle allait d’abord vivre « innocemment » le plaisir que Lou-Di-Han allait lui dispenser sur la table de massage, sans rien soupçonner du « piège » dans lequel elle allait être précipitée. Ensuite elle serait complètement livrée à Bertrand sans rien connaître de la stratégie de « son hôtesse ».

Mais Lou-Di-Han est consciencieuse, elle veut que Bertrand se retrouve avec elle dans des conditions les plus proches possibles de celles qu’il connaîtra le lendemain avec Armelle. Donc Milène était en train de « la travailler » exactement comme elle le ferait, elle, avec Armelle. Milène était donc en train de la mettre « en condition » … Pourtant comme c’était elle, Lou-Di-Han, qui avait décidé du scénario, elle ne pourrait pas vraiment se retrouver dans l’état de surprise dans lequel Armelle allait être plongée. Et sans état de surprise, elle n’était pas vraiment « en manque de mâle », et pas aussi liquide qu’il le faudrait … mais quand même Milène lui avait bien travaillé le sexe, la bouche et les seins. Et en bonne comédienne elle hurlait comme il se devait. Elle « bipa » Bertrand.

Il arriva dans la salle ; il trouva Lou-Di-Han sur le ventre comme convenu. Milène m’a quand même excitée et j’ai hurlé. Pas mal hurlé en fait … je n’en fais pas tant avec « les patients » qui paient pour « me sauter ». Malgré tout le cinéma qu’on lui fait, malgré mes hurlements, malgré la manière dont Milène me « travaille » encore actuellement le sexe, je ne vois même pas de bosse sous son peignoir. Milène lui a dit de partir ; il ne lui obéit pas. Normal. Mais il ne s’approche pas à portée de ma main … et il n’a rien du « mec assuré » souhaité. Enfin il vient vers moi. Je passe la main sous son peignoir. Mais quel petit machin … pas très rigide … à quoi servent mes hurlements ? Il faudra que le visionne le film, que je voie par « où ça pêche ». Elle se retourna :

- Milène, tu files à Bertrand une pilule.

- Voilà Bertrand.

- Tu la prends tout de suite Bertrand, et on recommence dans un quart d’heure. Sûr je ne suis pas une petite jeune fille « en manque de mâle », mais crois-moi, Milène m’a mise consciencieusement en condition, elle m’a bien fait hurler … même si j’ai sans doute forcé un peu. Et je t’assure, du côté sexe, je suis fin prête … Fais le tour et vas voir, je suis toute ouverte et toute liquide. Allez, n’hésite pas, mets-y la main pour voir. Mes hurlements ne t’ont pas fait bander, mais mon sexe, lui, il te fait bander ?

- Bien sûr …

- Sûr, sûr, fais voir. Bon, tu le travailles toi-même maintenant mon sexe, avec tes lèvres, ta langue, tes dents … fais-moi vibrer le bassin, fais-moi hurler. Et quand tu auras enfin « le pieu bien tendu », tu retourneras dans la pièce à côté, et nous reprendrons tout à zéro. Tu devras arriver ici du pas assuré « du gars qui sait qu’il va s’imposer à une fille », le sexe bien dressé, en évidence sous le peignoir. Elle sera en manque et tu devras lui montrer que « tu comprends son message » comme une évidence, que « tu vas te la faire ». Elle n’attendra que ça, certes, que « tu la sautes », mais il faudra que tu lui donnes l’illusion que tu l’as séduite, toi. Milène, il bande maintenant ? Sinon tu lui prends le sexe en bouche et tu lui masses les couilles.

- OK, Lou-Di-Han, je l’aide.

Lou-Di-Han se remit à hurler et à faire vibrer son bassin.

- OK, Lou-Di-Han, il est bon maintenant.

- Bertrand, tu retournes dans la pièce à côté, je reprends à zéro avec Milène et je te rappelle. OK ?

- OK.

Lou-Di-Han se replaça sur le ventre.

- Dis Milène, qu’est-ce que tu en penses, il bandait ferme ? Et pour « le dimensionnel » ?

- Je crois que ça ne va pas être facile ; « ferme » ? On peut pas vraiment dire … mais maintenant sa pilule devrait commencer à faire de l’effet. La taille ? Pour un pro c’est vraiment limite.

- Je ne vais pas le laisser « refroidir » trop longtemps … Je suis pessimiste … Je le vois mal assumer la tâche qu’on lui a assignée. Bon, nous allons voir s’il bande encore, si je peux vraiment lui faire une fellation, et s’il pourra effectivement me pénétrer. Et si ça fonctionne, je continue avec lui dans le lit … Et je t’assure que dans ce cas-là, je vais « le pousser au-delà de ses limites », car crois-moi, Armelle, s’il l’accroche, elle en veut. Et Martial, elle l’a fait bosser … et il a tenu. Lui, le pro, j’en doute. À propos, quand tu l’as eu en bouche, ça ne t’a pas plu ?

- Pas vraiment en effet … j’en ai connus de mieux … et « des amateurs » en plus. C’était une mini-fellation … et j’avais pas envie de la pousser plus avant. De toute façon, j’en n’aurais rien tiré. Et pourtant, tu sais, quand le suis sûre que le mec est sain, je ne rechigne pas à la tâche … mais avec lui, ça avait rien de romantique.

- Je vois … J’irai au lit avec lui … mais est-ce qu’il m’y emmènera vraiment au lit ? Rien à voir avec Jean-Marc, notre pro ! Qu’est-ce que tu en penses de Jean-Marc … tu me réponds franchement … comme s’il ne faisait pas partie de la maison.

- Ah lui, c’est vraiment un pro. Bien sûr que je « me le suis fait » … mais quand il était libre et moi également … « Je me le suis fait » … ou peut-être que c’est qui qui « s’est fait Milène ». Vraiment un cador … Tu le sais d’ailleurs … Et pour moi, avec lui, c’est quand il veut … mais il a du boulot ici … et moi aussi. Alors …

- Et Martial, « tu te l’es fait » ?

- Oui, pas mal … j’en reprendrais bien … un vrai mâle aussi … et d’une délicatesse … Tu l’as pratiqué aussi ?

- Oui, épatant. C’est pourquoi j’ai demandé à Madame Mia-Soun d’initier Armelle, puisque Jean-Marc était en vacances. Allez, je l’appelle, le « Maître Bertrand ».

Lou-Di-Han se remit à hurler … « Maître Bertrand » entra, nettement plus assuré cette fois-ci … mais pas avec une bosse plus prononcée, pas vraiment conquérant en fait. Il s’approcha comme convenu, et laissa son peignoir s’entrouvrir … mais ce n’était pas assez spontané, vraiment « téléphoné ». Bon, je vais quand même pouvoir le prendre en bouche… Elle le laissa lui exposer son truc quelque temps, et elle le saisit … Oui, il était ferme … une fermeté due à sa pilule … bon pour une femme! … Mais quand même pas assez imposante sa bite. Rien à voir avec le sexe de Robert, ni avec celui de Martial … ceux qui visitent habituellement Armelle … Pourtant avant de le prendre en bouche :

- Ton peignoir, arrange toi pour qu’il laisse échapper naturellement ton sexe … là c’était trop artificiel.

Elle le prit en bouche, lui fit faire quelques va-et-vient, en lui caressant tantôt la verge, tantôt les couilles. Il lui caressait bien les cheveux comme elle le lui avait dit, mais … elle le conserva en main :

- N’oublie pas, tu dois prendre possession de ma bouche, tu dois t’imposer, chercher mes limites … me la pénétrer donc … comme si tu allais te vider là … même si tu sais que ce ne sera pas le cas. Je le sais, mais demain la fille ne le saura pas, elle. Et puis tes caresses … Bien sûr que tu dois me caresser les cheveux … mais avec fermeté. Tu dois prendre possession de ma bouche, et donc pour ça, avoir ma tête résolument en mains. Allez on continue. Milène annonça :

- Allez Lou-Di-Han, tu te mets sur le dos ! Et vite !

Elle s’exécuta. Milène lui releva les genoux et lui écarta les jambes au maximum. Elle lui embrassa goulûment le sexe. Lou-Di-Han poussa à nouveau des hurlements. Bertrand lui caressa les seins … pas vraiment ça … mais elle le laissa persister … il fit rouler ses mains autour d’eux … mais elle aurait préféré le contraire : que ce soient ses seins qui roulent sous ses mains … et puis il ne s’intéressa même pas aux aréoles, aux tétons … même pas avec les mains.

- Bertrand, mes seins, soigne-les mieux … la fille demain, il faudra que tu les lui fasses rouler sous tes mains … pas seulement les caresser. N’oublie pas, tu dois prendre possession d’elle … de tout son corps, ses seins, les aréoles aussi, et les tétons, la taille encore, le ventre … et surtout la bouche. D’entrée tu la lui frôles de tes lèvres … puis tu lui bécotes autre chose … derrière l’oreille, le téton … tu lui mordilles le téton, l’embrasses, le suces … puis tu reviens à la bouche … que tu lèches entre les lèvres. Si elle bouge pas, tu repars ailleurs. Sûrement que la fois suivante elle les ouvrira ses lèvres. Quand tu te penches sur elle, pour lui caresser le ventre par exemple, assure-toi que ton sexe dressé s’appuie bien sur sa tête, pour qu’elle comprenne que tu bandes, que tu la veux, que tu vas la prendre. Allez, tu prends possession d’elle en mâle conquérant. Ici, je te donne mes impressions, mais demain, tu devras te débrouiller seul.

Effectivement, son travail s’améliora … mais pourquoi faut-il tout lui dire ? À sa troisième tentative sur sa bouche, elle le laissa l’embrasser … mais encore, pour un pro … Quant au plaisir de ses seins … ? Et il ne lui a pas démontré qu’il bandait et qu’il la voulait. Bien sûr Armelle, elle, excitée comme elle sera … Sans rien dire, Milène vint caresser les épaules de Lou-Di-Han. Bertrand alla rejoindre son poste. Il attrapa ses jambes ouvertes … elle les referma aussitôt. Il tenta de les écarter … mais ne put rien en tirer.

- Bertrand, tu m’as attrapé les jambes par l’extérieur … Par réflexe je les ai refermées. Et la fille demain en fera autant. Je suis toute ouverte, tu dois me montrer que mon sexe te plaît … tu approches ta bouche … ta tête entre les jambes, je ne peux plus les refermer … tu embrasses mon sexe, tu le flattes avec tes lèvres, ta langue, tes dents, tu me fais gémir, hurler … tu dois faire vibrer mon bassin … ce que me faisait Milène. Je dois sentir que tu me désires. Et puis tout à coup, tu me tires, mais en plaçant tes mains à l’intérieur, pour maintenir mes jambes ouvertes. En fille, soumise alors, je te laisserai faire. Allez, je me réinstalle.

Il avait à peine compris. Pas très convaincants ses attouchements … mais bonne fille elle ne l’interrompit plus. Il ne la fit ni gémir, ni hurler, son bassin resta bien en place sur la table … mais sa tête entre les jambes, elle ne pouvait les refermer. Puis il la tira brutalement, sans ménagement et la pénétra … elle se laissa pénétrer plutôt … mais sans enthousiasme. Le charme ne passait pas. Elle espérait que Madame Mia-Sun était derrière son écran. On lui avait demandé de pénétrer une nénette, il le faisait puisque c’est son job … Il fait son job … sans en rajouter, « en rond-de-cuir ». Bien, il était en elle, comment allait-il jouer maintenant ? Comme son sexe est triste ! … pas assez long, pas assez gros … pas assez décidé … pas convaincant du tout … Quant à « sa dureté »… ? Il ne s’impose absolument pas à moi … J’ai bien envie de lui balancer un coup de genou et de le chasser. Comment pourra-t-il « convaincre » Armelle s’il la prend comme ça ? Si je ne le savais pas qu’il est en moi, m’en rendrais-je compte ? Il n’a vraiment pas pris possession de mon vagin, il ne l’occupe pas, « il y vadrouille » seulement … sans l’habiter. Il ne me possède pas du tout alors qu’en tant que femme « préparée » (pas par lui), j’éprouve le besoin de me faire posséder par un homme

- Bertrand, bon, tu es en moi … mais ça ne suffit pas, tu dois me pos-sé-der. Tu dois me saisir par les hanches, et aller me taper bien profondément. Et puis tu varies la cadence … tu es le maître … je dois être curieuse de la manière dont tu vas me prendre … et mets-moi les jambes plus confortables … tu les laisses pendre … et elles sont coincées entre la table et toi … lève-les, que je puisse en faire ce qu’il me plaît … sur tes épaules ou autour de tes hanches. Tu verras comme ça, tu pourras me pénétrer plus profondément … et je pourrai t’aider. Allez on reprend, je me replace comme m’a laissée Milène, les jambes écartées … et n’oublie pas, avant de me pénétrer, tu dois « me travailler » le sexe, me montrer que tu l’adores, que tu le veux. Tu dois me séduire … avec ta bouche, me faire hurler, me faire vibrer, m’amener à être impatiente que tu me pénètres. OK, on y va.

Là encore, quand on lui dit … Bien sûr qu’il me lèche, mais pas de quoi me faire gémir. Et mon clito ; il est pourtant bien dressé … Milène a bien fait son boulot … mais il n’a pas l’air de se rendre compte de son existence … pas de quoi me faire gémir, encore moins hurler. Comment Armelle pourrait avoir envie qu’il la prenne ? Elle va le rejeter aussi sec, s’asseoir et quitter la table. Bon il ne s’est pas trop attardé sur mon sexe, il m’a tirée et pénétrée … je ne l’ai pas repoussé parce que je veux voir la suite … mais Armelle, elle, est-ce qu’elle tolérera ça ? Toujours pas trop dur … malgré la pilule. Il essaie bien de me cogner au fond … mais avec un sexe aussi court … même si j’ai passé mes jambes autour de sa taille pour l’aider … Armelle est habituée à des mâles bien montés … et doués. Il ne la fera pas frémir … et encore ici, c’est moi qui l’aurai préparée … mais quand il sera seul au lit avec elle ? Non, je ne peux pas faire sauter Armelle par ce type-là … il va tout foutre en l’air. J’espère que Madame Mia-Soun va comprendre ça.

Et puis voilà qu’« il se dégonfle » … même avec une pilule ! Mais je vais le foutre dehors de moi … je ne peux supporter ça. Allez, je vais le supporter encore … ça va aller vite. Ah oui, il se sent « partir », alors il accélère, ne s’occupe plus de moi, seulement préoccupé de vider en moi ce qu’il peut. Et s’il avait mis un préservatif, il y a longtemps qu’il l’aurait perdu ! Ah, il se vide les couilles … c’est bien parce que je l’observe que je m’en rends compte … parce qu’en fait, il a complètement « disparu » dans mon vagin. Bien, il s’est vidangé en moins de trois secondes. Complètement vidé ! Inimaginable ! Un pro ? Mais c’est le roi du sprint ! D’un côté me voilà tranquille … pas jouissif le gus ! Pas la qualité ! Trop rapide ! Pas la quantité ! Je n’ai absolument pas été comblée. Il ne m’a jamais occupé le sexe. Et pire, il a immédiatement fondu comme neige au soleil. Pourtant il est toujours en moi. Oui, il n’est pas sorti apparemment … mais où est-il ? Je lui ai dit de ne pas sortir tout de suite, alors il est toujours collé à moi … mais sa bite, où elle est ? Volatilisée ! Volatilisée, mais en moi quand même. Une baise des plus quelconques ! Des plus minables même ! Lui qui devrait provoquer des orgasmes chez Armelle demain ! Enfin, il s’écarte de moi. J’ai beau chercher dans les miroirs … sa queue, où est-elle ?

Un gars qui n’aime pas la femme. Impossible d’espérer pouvoir entreprendre une fellation maintenant sur un organe aussi flasque … je n’arriverais même pas à le tenir en main … il me filerait entre les doigts. Alors dans La bouche ! Ses capacités à sodomiser … ? On l’a « embauché » pour faire - pour le moins – « un grand Chelem » … Non, il est vraiment nul ! Inutile que je le teste plus avant. Maintenant qu’il s’est vidé … avec les difficultés que j’ai eues à le faire bander … Et avec une pilule encore, il lui faudra la journée pour récupérer.

J’aurais voulu lui faire une fellation, une vraie, voir comment il prend possession de la bouche d’une femme, comment « il l’occupe » comment il s’impose à elle … mais avec un homme qui ne bande pas … Tant pis pour moi. Je voulais le voir me sodomiser également … mais avec sa queue minuscule qui manque de rigidité … ?

Comment aurait-il pu me pénétrer, me posséder ? Il n’a même pas pu posséder ma bouche, se rendre maître de mes seins, s’imposer à mon sexe … Et mon clito ? Je ne lui ai pas parlé de lui, je lui ai juste dit de m’embrasser le sexe … il y a fait « le service minimum » … et il est venu se vider les couilles en moi. Juste vider les couilles ! Et encore, elles ne contiennent pas grand-chose ses couilles, vraiment pas de quoi laisser un bon souvenir à un sexe féminin. Une bite pas assez « calibrée », des couilles sans contenance … Et pourtant j’ai fait le max pour l’aider … je suis une professionnelle quand même …

J’en ai vu passer des centaines de mecs, j’en ai eu des queues, dans mon sexe, dans ma bouche, dans mon cul … des sexes d’« amateurs » la plupart du temps … mais qui savent donner du plaisir … pas toujours. Comme j’aime « me faire » des amateurs comme Martial ou Laurent ! Quel plaisir je prends avec de tels hommes !

Bon, je ne vais rien lui dire, je vais « le renvoyer » … je ne peux pas lui dire qu’il est nul, qu’il est incapable de satisfaire une femme qui « en veut » comme Armelle ou moi … D’ailleurs il va comprendre tout seul. Il était venu pour « au moins un Grand Chelem » avec moi … il connaissait la règle du jeu. Et même si je l’ai aidé à bander … avec une pilule, il m’a pénétrée si discrètement que j’aurais pu ne pas m’en rendre compte. C’est Madame Mia-Soun qui aura à en discuter avec Madame Ri-Hin-Bâ ... Mais comment dans son salon, même si on le bourre de petites pilules, peut-il contenter une rombière qui veut bénéficier d’« une bonne petite baise tout à fait quelconque » ? Peut-être qu’elles sont satisfaites ? Mais Armelle, c’est autre chose ! Elle est jeune, et le mâle elle aime ça … et elle veut qu’il ait du répondant.

Sûr, Laurent, lui, avec moi, il banderait d’entrée comme un taureau … Il faut que Madame Mia-Soun change d’avis. Sinon ce sera la Bérézina … et mon Armelle, il va me la saboter … et nous ne la reverrons plus. Elle sera ravie si on lui offre « un mâle, un vrai mâle » … mais si on lui offre « Maître Bertrand » …
tentation
 
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