L’ascenseur s’ouvre, nous sommes sur le palier, il ouvre la porte, me fait entrer et la referme. Aussitôt, il se colle derrière moi, presse son ventre sur mon dos et mes reins enlaçant ma taille et en m’embrassant dans le cou en haletant, je frissonne de plaisir et laisse ses mains remonter sur mes seins qu’il masse à travers mon pull.
D’instinct je me cambre contre lui, histoire de « contourner » son ventre : mes fesses effleurent son pantalon. Cela le fait grogner, et ses mains m’agrippent les hanches et me maintiennent fermement contre lui et lui permettent de rouler son bas ventre contre mon intimité. A travers nos vêtements, je sens son sexe se presser en bas de mes fesses, presqu’entre mes cuisses. Il me grogne à l’oreille :
- Tu m’excites !
Il glisse une main sous ma jupe et la remonte par devant sur mes cuisses nues au dessus de mes bas ; cette main est douce et chaude et tremble de désir. Elle s’infiltre entre mes cuisses et les écarte puis se plaque contre ma culotte et en caresse le tissu ; comme c’est agréable ! Il gémit et me souffle dans l’oreille :
- Oh tu es toute excitée toi aussi !
Ses doigts pressent mon sexe et je réalise dans une bouffée de chaleur qu’il est trempé. Il geint en me malaxant les lèvres à travers le tissu délicat de mon slip ; son index s’insinue par moments pour enfoncer ce tissu dans ma vulve.
Enfin il desserre son étreinte en soupirant, me retourne et m’embrasse sur la bouche. Il me prend par la taille et m’emmène au salon. Il fait chaud, il ôte mon manteau et ma veste qu’il jette sur une chaise.
- Assieds-toi, je reviens tout de suite.
Je marche dans la pièce vers le canapé, le parquet craque, je trouve affreux le papier peint marronnasse ; une étagère de DVD, des photos de famille accrochées, des bibelots sur l’énorme télévision. Tout est quelconque chez lui. Je m’assois sur le canapé sans pouvoir me retenir de toucher discrètement mon slip, qui effectivement est trempé.
Il revient avec un plateau dans les mains, champagne et coupes. Il ouvre la bouteille en m’examinant minutieusement des chaussures aux cheveux, en s’attardant sur mes cuisses et ma poitrine. Je n’ose soutenir son regard : je regarde ses mains décapuchonner la bouteille, m’attarde sur son ventre jusqu’à sa braguette et fixe le tissu tendu par son désir ; le trouble monte à nouveau en moi. S’il me plaque au sol, je ne me défends pas.
Le bouchon saute et la mousse blanche se déverse dans la coupe face à moi. Nous trinquons ; en le regardant très curieusement, je le trouve laid avec ses joues gonflées, son crâne à moitié nu, ses rides et ses petits yeux porcins et perçants. Mais j’ai envie de lui ! Je veux qu’il me prenne, le sentir en moi. Je veux oublier son physique sans attrait, son intérieur détestable et son accueil quelconque … mais qu’il me prenne enfin ! Je suis venue pour ça, pour qu’il me saute !
Il se rapproche de moi sur le canapé, je sens son ventre énorme s’écraser contre ma hanche. Il m’embrasse, fouille ma bouche avec sa langue épaisse. Ça me dégoûte, mais je gémis ; j’ai le souffle court. Il me fait passer le pull par dessus la tête.
- Enlève ta jupe !
Je me lève devant lui, qui m’examine, assis dans le canapé. Je ne peux pas soutenir son regard … rien d’affectueux entre nous, aucune complicité dans nos yeux, aucun sourire sur nos visage … juste une sorte d’« affaire commerciale » : il veut planter sa queue, et moi j’ai envie qu’il me la plante. Je baisse machinalement la fermeture de ma jupe comme je pourrais le faire seule chez moi pour me mettre à l’aise, et fais glisser ma jupe sur mes bas. Je suis debout devant lui, toujours assis. Il me tire à lui, m’embrasse les cuisses et les lèche ; son visage remonte contre ma culotte. Ses mains saisissent mes fesses et il colle son visage entre elles en grognant. Je sens qu’il lèche mon slip contre ma vulve, et dans un râle :
- Tu sens bon.
Je suis gênée d’être reniflée comme ça, mais les bras ballants, je le laisse faire. Vraiment désagréable le bonhomme … mais je le veux. Je le veux parce que son envie de moi m’a séduite, et qu’en retour elle a provoqué la mienne. Mais je le veux pour un simple coït animal, en dehors de tout lien de séduction qui pourrait attirer une femme vers un homme ou le contraire. Rien entre nous du genre « parce que c’est Lui, parce que c’est Elle ». Non si je le veux c’est parce qu’il a une queue, et que moi j’ai de quoi accueillir cette queue, c’est parce qu’il émet de la semence, et que moi j’ai de quoi la recevoir cette semence … même si entre sa semence et moi il y aura un préservatif … mais au moins je le sentirai m’ensemencer comme un mâle se doit de le faire avec une femelle. Rien de plus … aucune séduction entre nous, à peine quelques illusions. Il va disposer de moi, et moi je vais être heureuse qu’il le fasse. Son gros truc va me pénétrer, m’habiter, me cogner … et se vider en moi.
Sous la pression fougueuse de son visage, mes jambes s’écartent. Je sens ses mains saisir et baisser mon slip, qu’il laisse là, juste au dessus de mes genoux. Il m’examine attentivement le sexe …
- Tu es belle !
Et il plonge son nez dans ma toison pour me renifler à nouveau, je sens son souffle court sur mes lèvres et sa langue qui tente de les atteindre. Je voudrais ouvrir les jambes, mais elles sont entravées par ma culotte toujours abandonnée là où il l’a descendue. Désagréable ! Il se moque de moi !
Enfin il retire son visage ; il est rouge et essoufflé ; il regarde mon sexe à nouveau : un gamin qui admire le jouet qu’il vient de recevoir. Enfin il se décide à se lever et vient m’embrasser en cherchant à ouvrir l’attache de mon si délicat soutien-gorge. Une œuvre d’art ce soutien-gorge, fait pour mettre mes seins en valeur et attirer les hommes … Mais il n’en a que foutre : ça ou une vulgaire bande autour des seins … Et il s’escrime sur sa fermeture comme un adolescent inexpérimenté ; confuse et pour éviter qu’il ne l’arrache, je suis obligée de l’aider. Décevant ! Il l’ôte alors et le jette à travers la pièce : il s’est débarrassé d’un simple objet encombrant ! Il m’empaume alors les deux seins et les masse doucement. Ses grosses mains sont douces, elles caressent et pressent mes seins, les soupèsent et présentent mes tétons durs à sa bouche et à sa langue. Il m’excite terriblement. Mais il ne se décide toujours pas à enlever mon slip et à me prendre.
Je me tortille sous sa langue, il aspire mon téton, c’est trop intense je gémis en le repoussant. J’en ai assez de tous ces préliminaires-là, qu’il me baise à la fin ! C’est pour ça que nous sommes réunis ici … pas pour cette espèce de jeu de séduction auquel ni lui ni moi ne croyons. Il lâche mes seins et se rassoit. Je lui fais face, à moitié nue, la culotte baissée qui m’entrave toujours les genoux, mes bas et mes chaussures. Il persiste toujours à m’examiner minutieusement de haut en bas. Le chat qui joue avec la souris. C’est grotesque !
Il m’abandonne, se défait méthodiquement de sa cravate, puis déboutonne calmement sa chemise, toujours sans me lâcher du regard. J’aimerais remonter mon slip et me dis que ce serait ridicule, ou carrément l’enlever mais je n’ose pas. Je reste paralysée de gène dans cette position obscène.
Je me sens entièrement à la merci de cet homme qui progressivement m’exhibe son torse velu et son ventre rebondi. A ce moment j’ai vraiment réalisé qu’il me dégoûtait mais qu’il allait me faire l’amour, me posséder sans retenue, en propriétaire, et cela sans aucune considération pour l’objet de plaisir que je suis pour lui. Je devrais me sauver. Mais il est maintenant trop tard pour faire marche arrière. Alors j’attends ; littéralement pétrifiée, moi le « sex-toy » qui lui est promis, offert et disponible, le slip baissé sur les genoux, les hauts-talons aux pieds. Je suis debout face à lui à le regarder, assis, se déshabiller méticuleusement tout en « soupesant » la nana qu’il allait se faire. Je devrais partir, mais je n’ose pas … je suis trop timide. Et puis malgré tout ça, je le veux, je veux le sentir en moi, je veux qu’il « me travaille », qu’il éjacule en moi.
Dans le silence, je n’entends que mon cœur battre très fort dans ma poitrine et sa respiration rauque. Tétanisée, fébrile, je le regarde continuer à se déshabiller. Il se penche en avant pour délacer ses chaussures : pas facile avec son ventre ! Son visage est maintenant à quelques centimètres de mon buisson.
Soudain, mon portable sonne dans mon sac et me fait sursauter. Je trouve insupportable la sonnerie qui se répète. Pourquoi ai-je oublié de l’arrêter ? Est-ce Patrick ? La sonnerie cesse.
Il a retiré maintenant ses chaussettes ; il se lève et dégrafe son pantalon qu’il laisse tomber à ses pieds. Il a gardé son slip. Après ce long interlude, il va pouvoir revenir à moi.
Ses mains caressent mes hanches, mes fesses, mes seins, je sens son ventre se coller au mien et mes pointes de seins se perdre dans la toison de son torse. Il se presse contre moi, je trouve ça très bon. Il va enfin pouvoir me posséder ! il m’embrasse le cou.
Nouvelle sonnerie de mon téléphone. Sûrement un message de la personne qui a cherché à me joindre. Je ne pense plus qu’à Patrick. J’ai envie d’écouter le message, j’ai envie qu’il vienne me délivrer de l’étreinte de cet homme-là, qui va « user » de sa femme. Mais ses bras forts m’enlacent, et soumise je me laisse aller contre ce torse puissant, ma tête chancelante contre son épaule.
Je vais lui montrer que je le veux, que je veux qu’il me prenne. Mes mains se posent sur ses reins et son dos, je le caresse et il me serre plus fort en soupirant, sa main descend sur mes fesses et les pétrit avec fougue jusqu’à s’immiscer plus intimement jusqu’à ma vulve. Il grogne à nouveau en me sentant mouillée. Il me susurre à l’oreille :
- Tu es chaude là, j’ai envie de te goûter.
Enfin, il se baisse et me libère de mon slip. Il va pouvoir me jeter au sol et me pénétrer.
Mais non. Il demeure accroupi … mais pourra-t-il se relever avec ce ventre énorme ? Il soulève une de mes jambes qu’il pose sur le canapé pour ouvrir mon sexe ; son souffle se rapproche et je sens sa bouche et sa langue s’insinuer entre mes lèvres et remonter lentement jusqu’à mon clitoris. Je m’entends gémir et mes jambes ne me tiennent plus. Il me dégoûte. Il me dégoûte mais pourtant j’ai hâte qu’il me prenne. Ensuite je repartirai. D’ailleurs une fois « vidé », il n’aura plus besoin de moi.
Il s’est hissé vers le fauteuil et s’est rassis … Il n’est pas encore décidé à me sauter … Vais-je devoir l’en prier ? Jamais je n’oserais … Il me prend par la main pour m’asseoir à coté de lui. Je me laisse aller, il me tend ma coupe de champagne, je bois, agacée. Je ne suis pas venue pour du champagne … Lui, déguste le liquide à petites gorgées en poussant des hummmmm de satisfaction. Je m’ennuie … et lui déguste. Mais sent-il le goût de mon sexe mêlé en dégustant ? C’est l’impression que j’ai, mais il ne dit rien.
Moi je peux voir sous son ventre son slip gris souris. Une bosse arrondie tend le tissu qui est humide au bout et agité de soubresauts. J’ai fini ma coupe, il me ressert à nouveau. Je regarde toujours son slip. C’est que je suis impatiente qu’il me prenne. Je veux qu’il me saute au plus vite … et lui, il continue à déguster du champagne et « à donner du temps au temps ». Il se moque de moi ! Il sent mon regard fixé sur son sexe et sans se lever il fait glisser son slip et l’enlève.
Son sexe est dressé campé sur deux bourses dont je n’avais pas noté en le caressant dans la voiture, quelles étaient si renflées. Il est brun, épais à la base, incurvé contre son ventre s’amincissant ensuite pour s’élargir au niveau de son gland enveloppé dans sa peau.
Je reste comme une idiote en me disant à moi-même : « fais quelle chose gourdasse ! Empale-toi dessus ! ». Mais je ne bouge pas et il faut qu’il prenne ma main et la pose sur sa queue. Le contact de la chair douce et chaude m’électrise, je la presse, elle est dure, gonflée. Je ferme les yeux de plaisir et la caresse doucement. Je la veux en moi.
À son tour de se laisser caresser,
- Ta main est douce.
Je décalotte doucement son gland en tirant sur le prépuce, il apparaît rouge, gonflé et mouillé de désir tandis qu’il gémit de plaisir.
- Oh oui, suce-moi Florence, viens j’ai envie.
Cette phrase résonne encore dans ma tête alors que j’écris ces lignes. J’attends qu’il me prenne, et lui veut que je le suce ! Mais qu’attend-il pour me jeter par terre et me pénétrer ?
Allez, je me lance. Je m’agenouille sur le tapis entre ses jambes. Il écarte les cuisses, relève le bassin m’offrant ses attributs : son sexe dressé tend la peau brune de ses deux grosses bourses poilues.
J’approche mon visage et embrasse la peau entre ses deux boules. Son parfum intime est suave, je ne saurais le décrire mais il m’a fait penser à l’odeur de viande quand on entre dans une boucherie. Écœurant !
Je lèche la peau de ses bourses, je les sens lourdes, gonflées ; Il grogne et soupire ; alors je m’y attarde pendant que mon nez frotte son sexe palpitant. Mes lèvres remontent sur la tige de chair de bas en haut jusqu’à son gland frémissant, je le lèche comme une glace, le goût est doux-amer.
Enfin je pose ma bouche entrouverte sur son gland et l’avale tout en le décalottant. Je l’entends grogner alors que je le suçote à nu. Je m’entends gémir en enserrant mes lèvres autour de sa chair tendue de désir.
Je me rends compte maintenant que j’adore le sucer. Je commence à aller et venir en le masturbant avec une main. Je suis très excitée et j’aime entendre ses râles. Et doucement son sexe tressaute dans ma bouche, c’est divin.
Je resterais des heures mais ses mains sur mon visage me retiennent :
- Doucement Florence, tu vas me faire jouir.
Il me relève et nous buvons à nouveau une gorgée.
Il me propose d’aller dans sa chambre. J’accepte, je le suis. Il m’allonge sur le lit et se couche sur moi. Il m’embrasse goulûment, m’écrase un peu … beaucoup en fait, et frotte son sexe contre le haut de ma cuisse.
Je m’ouvre naturellement, m’offrant à son sexe dont je sens les mouvements lents entre mes cuisses, contre ma vulve. Il lèche mes seins descend sur mon ventre et approche son visage de mon sexe, qu’il ouvre de ses mains.
Sa langue plonge entre mes lèvres, je gémis, il me lèche longtemps passant de ma vulve à mon clitoris sur lequel il insiste divinement. Je me caresse le téton. Je sens que je pars, j’ai envie de jouir, ça monte, je jouis sous sa langue ; lui grogne plus fort en me sentant partir.
Je redresse un peu mon buste, mes mains se posent sur son crâne. Il est moite et lisse : ça me dégoûte mais je jouis encore plus fort, agitée de soubresauts. N’y tenant plus, je repousse son visage et sa langue qui continue de faire vibrer mon clitoris gonflé. Enfin je retombe en arrière, vaincue cuisses ouvertes. J’ai envie qu’il me prenne comme jamais je n’avais eu envie d’un homme ... de Patrick.
Il vient sur moi, à genoux entre mes cuisses et fouille ma vulve de son gland. Je le désire, mais je me sens serrée ; il force l’entrée de mon vagin mais rien n’y fait. Étrange, j’ai l’impression que ça fait des heures que j’attends impatiente qu’il me pénètre, et pourtant je suis fermée. Je prends conscience de mon dilemme : je veux qu’il me prenne, mais il me dégoûte. Je suis hésitante, et cette hésitation se répercute à mon sexe. Il a été obligé de me forcer, en appuyant vigoureusement. Alors mon vagin vaincu s’est rendu et sa queue a pu plonger en moi. Il grogne pendant que je gémis, comblée. Enfin ! Comme je l’ai attendu ce moment !
Il commence à aller et venir en moi, offerte.
- Tu me serres bien, tu es chaude et douce, tu es bonne !
Et je réalise alors qu’il n’a pas mis de préservatif. À cette idée j’ai un coup de sang, je me glace, le salaud je vais le rejeter ! Mais ses va-et-vient m’enivrent et je ne dis rien ... d’ailleurs je n’aurais jamais osé. Je me donne à nouveau, vaincue. Et il continue à me pénétrer à grands coups de reins, de plus en plus énergiques. Comme j’aime ça ! Cet homme en moi, qui m’a prise, qui m’occupe … et qui va s’épancher en moi. Il n’a pas mis de préservatif … tant mieux après tout, je vais pouvoir sentir son sperme m’envahir.
Même écrasée par son ventre … mais j’oublie ce détail, je me sens délicieusement bien pénétrée. C’est un bon mâle, il fait bien son travail. Quelle bénédiction que de l’avoir en moi, son sexe est imposant, il m’habite bien, il me burine à la perfection. Dommage que son ventre … sans lui le contact serait plus intime encore. Mais pourquoi m’a-t-il fait tant attendre ? Je me sens vraiment femelle, une femelle livrée au mâle. C’est le nirvana. Aussi malgré ma timidité, j’arrive à soutenir son regard lubrique qui me fixe, qui semble me dire : « Ah comme tu aimes ça ma salope … T’en avais envie de ma grosse bite, hein Florence … Tu vas voir, je vais t’en donner ! ». Chacun de ses coups de reins me fait gémir maintenant. Comme « il m’ouvrage prodigieusement » !
Ses cuisses claquent contre les miennes, il est toute transpiration, son visage est rouge, il souffle comme un bœuf en grognant. Il me fait penser à une bête sauvage. Il s’agite en moi de plus en plus vite et mon ventre se contracte par intermittence. Jamais je n’avais encore ressenti cela. J’attends qu’il m’inonde. Sûr qu’il va m’en balancer de la semence, je vais en être remplie puisqu’il n’a pas mis de préservatif. Et je la ramènerai chez moi … pas de toilette intime avant de partir, je veux pouvoir en profiter le plus longtemps possible.
Je suis toute attente de son sperme … je l’attends ! Je l’attends ! … Mais pourquoi tarde-t-il tant ? Je le veux maintenant ! Certes il « me travaille divinement » … mais il m’écrase. Il est temps qu’il se lâche ! Mais c’est une manie chez lui de me faire attendre ! Il m’a fait attendre pour me pénétrer, maintenant c’est pour m’ensemencer. Énervant !
Mais d’un coup il se retire :
- Retourne-toi !
Quelque peu déçue, j’obtempère au plus vite car maintenant je suis vraiment impatiente de le recevoir, son sperme. Il me saisit alors par les hanches, me cale bien sur mes genoux grands ouverts et descend fermement ma poitrine au contact du drap. Il se positionne derrière moi, et je sens son gland titiller mon sexe dilaté. Puis il s’enfonce à nouveau en moi. Le charme a été un peu rompu. Pourquoi ? Soumise, j’admets : « Ça repart ! ».
J’ai à nouveau le souffle coupé. Agrippé à mes hanches il se déchaîne en moi allant et venant brutalement dans mon vagin et faisant claquer ses cuisses. Je sens immédiatement le plaisir monter et mon ventre se contracter à nouveau. Et puis l’idée n’était pas si mauvaise : son abdomen s’est « effacé », il ne m’écrase plus … et peut en plus me pénétrer plus profondément. Son pieu me martèle très fort tout au fond maintenant … et « comme il s’en donne … ». Il aurait dû me prendre en levrette tout de suite. La prochaine fois, j’exigerai … la prochaine fois, avec l’expérience, j’imposerai a volonté, je ne serai plus toute timide. Il faudra qu’il aille plus vite, qu’il me respecte …
Mon esprit s’embrume, je ne l’entends plus grogner, je ne sens plus que ses mains et ses coups de reins brutaux. Le plaisir monte brutalement en des vagues qui submergent mon ventre et emportent ma conscience vers une prairie ensoleillée. Je suis là, à quatre pattes dans l’herbe douce. Est-ce un chien, un ours, un étalon qui me possède ? Fermement agrippée au lit, je me fais saillir comme une femelle en chaleur livrée au mâle en rut. Mon plaisir est immense … mais ne vais-je pas défaillir ?
J’aime ça, je tends mes fesses et je me cambre pour sentir les coups de cette grosse queue animale au plus profond de moi. Mon vagin se serre et je le sens énorme en moi, j’imagine qu’un sexe de cheval me travaille ; je me sens jument. Il a bien fait de me faire retourner.
Ah comme je jouis … mais il est temps maintenant qu’il m’ensemence pour de bon.
Soudainement je sens mon ventre se contracter et se relâcher violement pendant qu’il continue à aller et venir, mes mains s’agrippent, des larmes me montent aux yeux, je mords l’oreiller. Il était en moi, il était le maître, il n’y est plus, il ma quittée, laissée avec mon besoin d’être ensemencée. Il a perdu sa rigidité … j’étais femelle, J’étais toute attente qu’il se vidât en moi … J’attendais son sperme … il ne m’a rien donné … il m’a frustrée. Seulement de l’illusion … Il m’a trahie. Mon corps tendu reprend lentement le contact avec la réalité. J’ai trompé Patrick, je devrais être avec lui et les enfants chez son frère … et je suis ici, chez ce mec-là. Humiliée.
Je reprends progressivement ma respiration en sentant mon vagin s’apaiser progressivement. Lui continue à claquer ses cuisses contre moi avec le même acharnement mais maintenant sa queue est toute douce en moi, quasiment inexistante. Il soupire fort et j’entends le bruit humide de son sexe dans mon vagin. Je suis dégoulinante, dilatée, béante, mais pas assouvie.
Je le sens sortir de moi, ses mains toujours sur mes hanches puis je sens sa langue sur mon anus. Mais c’est sale, ça ! J’essaie de me dégager mais il me maintient fermement par les hanches et insiste. Je suis obligée de subir. Mais je vais me rebeller, je vais lui faire lâcher prise, je vais hurler. Mais cette caresse devient vite délicieuse, très douce même. Sa langue me lèche et me fouille ; très vite et je trouve cela divin. Par moments je sens une pression douce et immobile sur mon anus très agréable puis sa bouche se plaque à nouveau.
Il me lèche longtemps comme ça. Une consolation. Ça ne me fait pas oublier la lâcheté avec laquelle il m’a « laissée sur le bord de la route », mais quand même … Puis à nouveau il me saisit fermement par les hanches. Une forte pression, très appuyée … je sens mon anus s’ouvrir et je comprends qu’il essaie d’insinuer son gland en moi … C’est qu’il bande à nouveau … et il tente de me sodomiser. Horreur, le salaud ! Je m’agite pour refuser ce viol, mais fermement agrippé à mes hanches il persiste … Je le sens me forcer et entrer en moi. Je suis toute refus. Ma douleur est intense. Je me dégage brusquement en hurlant et me laisse retomber sur le coté, je pose ma main sur mon anus meurtri, il est trempé de sa salive, je le masse et la douleur, sans doute plus psychologique que physique, s’estompe. Jusqu’à maintenant j’avais été docile … maintenant je suis révoltée. Insupportable ! Il m’a refusé sa semence, et maintenant voilà qu’il veut me sodomiser ! Mais je vais me sauver ! Tout de suite !
Il s’excuse en haletant, me dit qu’il n’a pas voulu me faire mal. Il est à genoux sur lit et se masturbe en me regardant les yeux exorbités.
- J’ai envie de jouir, je veux ta bouche.
Et il approche son sexe de mon visage toujours en se masturbant.
Il est spécial ce gars … il a un sexe énorme, qui durcit bien, et qu’il sait « utiliser » pour pénétrer, pour taper … mais il est quand même incapable de satisfaire le sexe de la femme. Il peut « le travailler » longtemps … mais il est incapable de conclure. Pour jouir, seulement la masturbation … avec les mains … peut-être dans la bouche ? Peut-être également par la sodomie, qui sait ? Pas moi en tout cas … je ne veux pas, j’ai jamais fait, et je veux pas même essayer.
Et maintenant, il veut que je lui fasse « une pipe » ! Pas question ! Je pars.
Puis je me laisse aller à la pitié … je suis faible, timide et docile… j’accepte de le prendre dans ma bouche le suçote … Mais pas question qu’il se vide dedans, ah non, dégoûtant !
- Plus fort Florence !
Et comme il ne me trouve pas assez « compétente », il continue à aller et venir décalottant et recouvrant son gland dans ma bouche Puis il en sort :
- Lèche-moi les couilles !
Et il vient s’installer au dessus de moi ses jambes sur le lit de chaque coté de mes épaules. Mais quel homme écœurant ! Mais pour quoi me prend-il ? Pour une poupée gonflable ? Il a été incapable de m’ensemencer … il a voulu me sodomiser … et maintenant il force ma bouche ! Et sa façon de se placer à genoux au dessus de ma tête pour me forcer la bouche ! Quel goujat !
Et une fois encore, j’accepte. Je lèche ses bourses humides pendant qu’il se masturbe très vite en gémissant. Dégoût !
- Je vais jouir, tu me veux dans ta bouche ?
Écœurée, par son attitude physique (à genoux au dessus de ma tête), morale (son insistance, et la présence de ses couilles au ras de mes lèvres), je suis incapable même d’articuler « Non ! ». Ce « Non ! » me reste bloqué au fond de la gorge, incapable d’en sortir … je prends conscience qu’on peut rester physiquement pétrifié, muet, alors qu’on a la volonté de s’exprimer.
Je n’ai pas répondu, aussi il plante son sexe entre mes lèvres, et continue à se masturber en gémissant.
- Je vais jouir, c’est bon ! Tu es toute bonne Florence !
Estomaquée et trop timide, je n’ai même pas songé à le mordre. Je reste donc passive à attendre qu’il jouisse dans ma bouche. Et dans un frémissement de son sexe, je sens un jet brutal et chaud asperger ma bouche. Le goût est très fort et j’ai un haut le cœur. Je retire ma bouche et recrache son sperme abject sur le drap. Comment a-t-il osé ça ? Comment j’ai laissé faire ça ? Jamais Patrick ne s’est « oublié » dans ma bouche. Bien sûr que je le prends en bouche de temps en temps, lui … quand j’ai mes règles par exemple, ou quand elles sont abandantes ou douloureuses, mais jamais il ne s’y est laissé aller, jamais il n’y a même songé.
Et lui continue à éjaculer en grognant et en agitant son sexe. D’autres jets chauds et odorants éclaboussant mes joues et mon front, mes cheveux mêmes et mes seins. J’ai le sentiment humiliant d’être souillée en sentant son sperme s’écouler sur mon visage.
Je reste les yeux fermés la tête posée sur l’oreiller et m’essuie tant bien que mal le visage avec les mains.
- J’ai bien joui … Tu es belle, pleine de sperme !
Ah le salaud ! Mais comment a-t-il pu me dire ça « Tu es belle Florence, pleine de sperme ! Ça te va bien ». Il et ignoble !
Mais toujours docile, je ne lui en veux pas, je me couche sur le coté en posant ma joue contre son épaule, il tire les draps sur moi, je m’endormirais presque même dans l’odeur forte de sa semence.
Après quelques minutes, il se lève, rapporte du champagne, me tend une coupe. Je bois le liquide pétillant mélangé à l’odeur amère dans ma bouche.
- Tu as aimé, Florence ?
Je n’ose même pas lui répondre non, que je suis écœurée, vexée, outrée, humiliée, …
- Je m’excuse encore pour avoir forcé ton anus … je pensais que tu avais envie d’être sodomisée ...
Je ne répons même pas. Je regarde ma montre il est dix-huit heures passées. Il est tard. J’ai tellement attendu sa semence !
- Je vais rentrer.
- Reste un peu encore … je voudrais faire quelques photos de toi.
- Non !
- Allez, accepte … juste des photos de ton sexe …
Il n’a pas attendu ma réponse, il a pris un appareil photo dans une armoire et est revenu près de moi. Je l’ai laissé faire … Il m’a écarté les cuisses et il a pris plusieurs clichés. Où est la limite de son ignominie ? J’ai caché mon visage.
Je lui ai alors demandé où était la salle de bains. Je me suis rincé la bouche comme j’ai pu … va falloir que je m’achète des chewing-gums pour faire passer ce goût. J’ai essuyé le sperme sur mon visage, sur mes seins, sur mes cheveux. J’ai passé de l’eau où j’ai pu. Sur mon sexe également … même s’il ne l’a pas honoré … moi qui avais rêvé de conserver son sperme en moi le plus longtemps possible … Je me suis recoiffée.
Je suis retournée au salon pour me rhabiller. Toujours nu à tripoter son sexe devenu mou et dégoulinant, il m’a regardée. Je n’aime pas ce moment, j’ai envie d’être chez moi. J’ai pensé : « pauvre idiote, tu te souviens du soin avec lequel tu t’es préparée, comme tu as choisi tes sous-vêtements et vêtements, ta culotte ultrafine, ton amour de soutien-gorge, ton pull excitant … tes bas que tu avais chaussés si amoureusement … Ton pull il te l’a arraché, ton soutien-gorge il a failli le détruire, les bas … tu espérais le voir te les retirer délicatement … et tu les as toujours … Pauvre cloche ! ».
Je suis rhabillée rapidement. Avant de partir, il m’a étreinte et embrassée. Et timide, je l’ai laissé faire. À contrecœur. Sa bouche me dégoûte maintenant. Tout me dégoûte en lui ! Je fuis.
J’étais venue chez lui, séduite, pour qu’il me prenne. Il m’avait toujours écœurée … mais j’avais quand même toujours « apprécié ses mains baladeuses ». Jamais je n’aurais pensé pouvoir aller plus avant avec lui ; jamais je n’aurais pensé pouvoir tromper Patrick. Puis il y a eu hier, ma fatigue, la proposition qu’il m’a faite de me ramener, mon acceptation, le confort de sa voiture, son flirt, flirt que j’ai accepté de « pousser », ses caresses qui m’ont tellement apaisée, moi qui étais exténuée, ma culotte que j’ai accepté d’ôter, sa manière d’avoir rendu mon sexe liquide, sa queue superbe qu’il m’a montrée, qu’il m’a fait prendre en main, cette envie que j’ai eue qu’elle me pénètre, la déception de n’avoir pas été prise alors. Et puis tout ce sperme qu’il a envoyé quand je l’ai masturbé. Et puisqu’ il m’a proposé « une séance de rattrapage » … Et tout ça ça m’a fait fantasmer … Mais tout au long de notre rencontre il s’est montré ignoble … Il m’a fait trop attendre … Certes il m’a bien « travaillée », et ça a été un grand moment. Mais voilà, son sperme il est incapable de le donner à une femme « par les voies naturelles », il ne peut le donner que par masturbation. Peut-être par fellation ? Peut-être par sodomie ? Mais pas normalement. Quelle déception ! Quelle humiliation !
Et jamais il ne m’a dit : « Florence, entre nous tu me tutoies et tu m’appelles Bernard ». Non, je n’ai jamais été pour lui qu’un « outil sexuel » ; il m’a « soignée » comme on soigne un outil, juste l’entretien nécessaire pour qu’il ne vous claque pas entre les doigts. Jamais il ne s’est soucié de savoir qui je suis, ce que j’aime, ce que je veux. Non, tout ce qu’il a attendu de moi, c’était que je lui vide les couilles. Bien sûr, planter sa queue dans un vagin ça devait aussi lui faire du bien … mais avec la nécessité de « se finir à la main ».
Et je vais encore, après quelques jours de vacances le retrouver au travail. Comment je vais gérer ça ? Je le hais certes, mais timide, soumise comme je suis, ne vais-je pas encore accepter qu’il m’utilise ? Est-ce que je vais persister à tromper Patrick avec un mec qui n’en vaut pas la peine, qui ne lui arrive pas à la cheville ? Bien sûr que non … mais il me manipule si bien !
Je suis dans la rue, je prends le métro et je rentre chez moi. Je me sens souillée, je fais couler un bain, me déshabille et plonge dans l’eau pour tenter d’oublier. Je sens l’eau brûlante contre ma vulve puis cela s’apaise. Je frissonne dans l’eau. J’en sors enfin et me glisse sous la couette et m’endors.
Patrick m’a réveillée :
- Tu vas bien Florence ? Tu n’es pas trop fatiguée ?
- Oui ça va … je suis fatiguée certes … mais maintenant tout est terminé … je suis en vacances jusqu’à janvier.
- Voilà une bonne nouvelle !
- La super bonne nouvelle, c’est que tu es de retour, et que tu vas me faire l’amour … tu me l’as promis tout à l’heure. Alors, exécution ! Et ne mégote pas … j’attends de toi l’excellence. J’ai besoin que tu me fasses l’amour … et très bien et très longtemps. Ensuite tu rechargeras les batteries, et que tu remettras ça. Tu m’as promis ce matin … et tout le jour j’ai attendu ce moment-là … je n’ai pensé qu’à ça. Je te veux.