Petite sœur,
Tu sais que ton courrier m’a beaucoup étonnée. Quel cadeau de Noël tu t’es offert là !
Combien de fois tu m’as reproché de parfois « m’amuser » avec un homme qui n’était pas mon mari, mais qui me plaisait, et à qui je plaisais. Combien de « leçons de morale » tu m’as faites ! Et tes « Jamais moi je ne tromperai Patrick » et autres, combien ne les ai-je pas entendus ?
Bah, nous sommes sœurs et même quand des sœurs ont des divergences, elles n’en deviennent pas ennemies pour autant. Oubliées toutes « ces querelles stupides » ; tu es dans la peine et tu te tournes tout naturellement vers ta grande sœur, ton aînée de quatre ans, pour te réconforter. Et sois-en certaine, je ferai le maximum pour toi.
Voilà que tu viens de rejoindre la société des femmes qui ont un (des) amant(s). Bienvenue dans cette société donc ! Quelques remarques :
Pour ma part, j’ai des amants, j’en ai toujours eus, et j’espère en avoir encore longtemps. Et je te souhaite de connaître toi aussi les mêmes plaisirs que ceux que j’éprouve avec eux.
Je n’ai pas mauvaise confiance pour autant vis-à-vis de Jacques … et toi d’ailleurs, « la débutante », tu m’as dit n’avoir pas eu non plus mauvaise conscience quand tu es allée rejoindre « ton Don Juan ». Tu vois une femme peut très bien trouver des arrangements avec la morale, et elle peut avoir un amant simplement pour le plaisir qu’il lui donne, indépendamment des plaisirs qu’elle vit avec son mari. Un amant, c’est comme un repas au restaurant, on est tentée et on se laisse aller à la tentation, juste un petit plus dans la vie.
Pourquoi ça n’a pas été avec « ton Don Juan » ? Il est vieux, un vieux-beau même tu dis, laid, sans-gêne, désagréable même. Comment avec de tels défauts aurait-il pu « contenter » une jeune femme sensible, délicate et inexpérimentée comme toi ? Un amant ça doit se choisir avec soin, comme une robe ou un sous-vêtement. Mais il t’en a imposé parce qu’il a « les mains baladeuses ». Et toi qui ne te serais peut-être jamais autorisé la moindre « complicité » avec un homme, tu as accepté les caresses qu’il t’a imposées. Les autres, les plus beaux, les plus jeunes, tu dois les maintenir à distance … aussi tu ne risques pas de succomber à leur charme. Mais lui, il y est allé carrément, il a osé poser ses pattes sur toi … et toi qui n’avais peut-être jamais permis cette privauté à un homme, tu t’es aperçue alors que leurs mains pouvaient être très-très agréables. Et puis comme c’est ton chef, et que tu es timide …
Si tu t’étais accordé parfois certains petits flirts, tu serais plus aguerrie, et tu pourrais mieux maîtriser ton plaisir. Oh bien entendu ça peut se terminer parfois au lit … mais quelle importance si ça n’altère pas ta vie de couple ?
Là il y a eu un concours de circonstances. Il n’y avait pas entre vous de véritable flirt, mais tu étais lasse, tu avais besoin de compréhension, de tendresse, … Et il en a profité. Il t’a donné de petits plaisirs et tu y as succombé : quand on est fatiguée certaines petites attentions et caresses sont réconfortantes. Alors il a poussé son avantage, et il est parti en exploration sous ta jupe. Tu as aimé ; c’est que ça détend les caresses … surtout sur les cuisses et sur le sexe … Très agréable ! Alors tu t’es abandonnée ; tu as même retiré ta culotte sans hésiter. À partir de ce moment-là, enfermés dans sa voiture, tu avais choisi : tu allais devenir sa maîtresse. Tu étais nue, ouverte, liquide. Tu l’attendais. Naturellement « il a sorti son matériel ». Et tu voulais qu’il te prît au plus vite. Normal … tu es femme. Mais il t’a déçue, aussi « tu y es retournée ». Et là rien ne s’est déroulé comme prévu, mais tu t’es enferrée, tu as cru que ça s’arrangerait … et ça aurait pu très bien l’être, car à te lire malgré tous ses défauts, « il a une bonne queue ». Et celle-ci t’a donné bien du plaisir. Mais là où le bât a blessé, c’est qu’il ne s’est vraiment pas occupé de toi … et que tu as accepté toutes ses humiliations. En avait-il conscience lui, qu’il t’humiliait. Honnêtement je ne crois pas. C’est Narcisse, aussi les autres … Dès le début, tu aurais dû partir. Mais tu n’étais pas en état de le faire : sa queue tu voulais qu’elle te fouille le ventre : elle est si belle et elle avait tellement « dégorgé » la veille. Si tu t’étais rebellée, il lui aurait bien fallu réagir, t’écouter, … Mais tu avais des handicaps : cet homme est ton chef, tu es timide et tu le voulais à n’importe quel prix. Incapable d’imposer ta volonté tout de suite, tu as pratiqué « la fuite en avant » … C’est qu’elle te hantait cette queue ! La queue de ton premier amant.
Ton prochain amant, choisis-le mieux. Car tu en auras un autre, au moins un autre. Tu ne peux pas rester sur cet échec. Apprends à « le connaître avant », à savoir s’il est attentionné, ou si c’est un ours comme le premier … Mais justement celui-là, depuis six mois que tu le connais, tu savais que c’est un ours. Que pouvais-tu attendre d’un ours ? Même s’il t’avait vraiment « bien baisée », il t’aurait quand même humiliée d’une manière ou d’une autre. Comme tu le dis, ce qui l’intéresse, c’est pas la femme, c’est un sex-toy. Il ne doit pouvoir jouir qu’en humiliant … et sauter une femme « normalement », pour lui ce n’est pas l’humilier. Aussi dans ce cas-là il ne peut pas jouir. Jamais il n’a eu un geste de tendresse pour toi.
J’espère qu’il ne va pas continuer à te poursuivre encore quand tu retourneras au boulot. Sûr il va essayer de « te ramener » à nouveau chez lui. Pourras-tu résister ? N’auras-tu pas la nostalgie de sa bite et de la manière dont elle t’a travaillée … même s‘il t’a « laissée en plan » ? Ne t’appellera-t-il pas dans son bureau, qu’il fermera à clé avant de te dire : « Florence mets-toi à genoux et suce-moi » ? Alors qu’est-ce que tu feras dans ce cas ? Ne lui feras-tu pas sans broncher la bonne petite fellation qu’il attendra de toi ? Et quand il t’ordonnera d’avaler, le lui refuseras-tu ? Si oui il te balancera tout sur les cheveux, sur ta robe … Quelle humiliation quand il te jettera dehors de son bureau dans cet état, et que tu devras traverser les couloirs couverte de son sperme !
Mais à propos Florence crois-moi, la fellation, quand on sait bien la faire, et avec un homme attentionné, c’est un vrai plaisir … il va falloir que tu apprennes … Si tu veux je peux te trouver un excellent professeur ; tu ne seras pas déçue tu verras. Et quand tu sauras la pratiquer, tu découvriras qu’avaler c’est délicieux. Comme la langue sur ton anus … tu t’es rendue compte du plaisir que ça t’a donné. Et tu comprendras, je te le souhaite, que la sodomie conduite par un homme délicat et attentionné qui « sait la faire », c’est un délice. Le sperme chaud qui t’inonde là à longs jets, c’est un tel enchantement ! Bien sûr avec « ton Don Juan », ça ne pourrait être qu’un échec. Si tu es tentée, je te trouverai là aussi l’homme qu’il te faut pour ça ; j’en connais trois ou quatre qui sont de vrais experts.
Un autre risque avec un goujat comme « ton séducteur », s’il te disait : « Florence, tu veux que je fasse savoir à ton mari ce que nous avons fait ensemble … avec des détails non-équivoques » ? Tu me tiens au courant, et n’hésite pas à me demander de l’aide si besoin. Éventuellement, s’il t’emmerde, je veux bien « aller le trouver » chez lui et lui faire comprendre qu’il doit te « foutre la paix ». Ou « lui envoyer des mecs » qui pourront le persuader « un peu plus énergiquement ». Défends-toi, protège-toi.
Avant de te quitter, encore un conseil : tes amants, prends-les jeunes.
Et aussi un secret … il y a longtemps que je le sais, mais maintenant qu’elle a appris ce qui vient de t’arriver, elle m’a autorisée à te le confier : « Maman en a toujours eu des amants ». Et ça ne l’a pas empêchée de très bien s’entendre avec Papa, ni même de donner une excellente éducation à ses deux filles … la preuve avec le sens moral que tu as … que tu avais disons. Et encore ces temps-ci, elle et moi nous nous défoulons volontiers avec un même « jeune homme » de trente-deux ans, quinze de moins que moi, trente-sept de moins que Maman. Sylvain qu’il s’appelle. Elle comme moi, chacune notre tour, nous nous réjouissons de ses coups de boutoirs qui nous enflamment le ventre, ou encore du plaisir qu’il nous donne en nous sodomisant avec attention et délicatesse ou quand nous avalons son sperme.
Et si tu veux en profiter afin de te créer une solide expérience, nous partagerons volontiers Sylvain avec toi. Ce te sera un excellent professeur : il ne nous a jamais déçues Maman et moi. D’ailleurs je lui ai transmis ton courrier, sans lui dire évidemment qui est cette Florence ni son adresse, mais en lui demandant de te donner son avis. Il me transmettra sa réponse, et je te la ferai suivre.
Mieux même si tu veux, pour te redonner le moral, je peux nous organiser une petite bouffe chez lui (il est célibataire, pas moi, pas toi) à trois, toi, lui et moi. Ou encore à quatre avec Maman. Je pense que tu devrais accepter ; en tout cas je te le conseille fortement. Et pour cette bouffe, choisis un jour où tu n’es pas indisposée, sait-on jamais … si tu désirais que je vous laisse seuls tous les deux : l’autre fois avec « ton Don Juan », tu as été amenée à retirer ta culotte dans sa voiture. Peut-être que chez lui … ? En tout cas tu ne le regretteras pas. Encore, fais un test HIV … sait-on jamais ; il est exigeant là-dessus, comme Maman et moi. On ne rigole pas avec ce truc-là.
Même si je trouve qu’il est « le meilleur », si te faire « travailler » par un homme « aussi jeune » te posait problème (ça n’en pose pas à Maman), je peux aussi te trouver « un éducateur » plus âgé, dans la quarantaine, ou même dans la cinquantaine, ou encore dans la soixantaine. Oui peut-être un homme de cet âge-là, toi qui en as choisi un qui pourrait être ton père comme premier amant. Sois-en certaine, cet homme quel qu’il soit que tu choisiras, sera excellent. Et quand tu auras à la fois un mari et un amant qui célébreront ton corps, tu trouveras la force de refuser toute familiarité à « ton Don Juan ». Tu seras apaisée et sûre de toi.
Mais peut-être que tu préféreras le trouver seule ton prochain amant … en laissant le hasard t’en trouver un avec de meilleures qualités que le premier ? Mais attention, le hasard ne t’a pas bien servi en t’offrant « ton Don Juan ».
Mais si tu décides, maintenant que tu as « goûté au fruit défendu », de revenir « à la fidélité », et que tu te refuses « un amant-bouclier » pour te protéger des dangers, forcément tu retomberas sous la coupe de « ton monstre » … qui t’humiliera et t’humiliera. Mais c’est peut-être ça « ton besoin », te faire humilier par un homme … « en paiement de tes péchés ». Tu n’as pas le choix Florence, ou c’est « Don Juan » ou un autre, tu ne pourras plus échapper à ton destin adultère.
Va faire ton test HIV et dis-moi quand je dois organiser cette bouffe chez Sylvain. Ou chez un autre « cador ». Peut-être voudras-tu attendre la réponse de Sylvain avant de te décider ? Je te la ferai suivre dès qu’elle me parviendra. Je suis sûre qu’avec lui tu vivras de grands moments et qu’il te donnera le courage d’échapper « au montre ». Ne laisse pas échapper ta chance ma petite sœur chérie!
N’hésite pas à me contacter si tu n’as pas le moral … et même si tu l’as. J’attends de tes nouvelles.
Je t’embrasse.
Ta grande sœur qui t’aime, Claire.