Florence 07 - aguerrie

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Florence 07 - aguerrie

Messagede tentation le 26 Nov 2008, 00:46

J’étais repartie heureuse, toute emplie de la semence de Charles. Je suis rentrée bien avant Patrick et les fils. « Bien dans ma peau », j’ai envoyé un mèl à Charles pour « le remercier ». Ensuite j’ai préparé un agréable repas pour « mes hommes » : c’est que « comblée » j’avais envie de leur être agréable. Nous devions tous partir le lendemain pour le Lot aussi nous allâmes nous coucher tôt … et j’annonçai à Patrick que j’avais envie, avant ce voyage, que nous fassions et refassions tous deux l’amour. Patrick en fut ravi.

Dans le Lot, avec Patrick et les fils, Charles ne quittait pas mes pensées … Même quand je faisais l’amour avec Patrick, surtout dans ces cas-là d’ailleurs … Que me ferait-il, Lui, si nous étions au lit ensemble ? Aurai-je au moins une fois l’occasion de passer une nuit avec Lui ? Le L’ai « avalé », et Il m’a sodomisée. Et j’ai aimé ça. Je ne suis plus la même femme depuis Notre rencontre. J’aimerais faire une fellation à Patrick … il aimerait … J’aimerais aussi qu’il me sodomise … et il aimerait. Mais comment vais-je pouvoir lui proposer ça après avoir toujours refusé ? C’était si bon avec Charles, ça le sera avec Patrick. Et j’aime Patrick … c’est mon mari.

Je suis Sa femme, mais je suis également en quelque sorte maintenant celle de Charles. Et comme Claire et Maman m’ont prévu « le même programme » avec François et Sylvain, je vais bientôt être la femme de deux autres hommes. Et j’irai à ces rendez-vous sans aucun remord. Dans moins d’une semaine j’aurai fait l’amour avec trois amants différents, tous les trois je les aurai « avalés », et tous les trois m’auront sodomisée… Pourtant avec Patrick … ? Il va bien falloir qu’avec lui aussi …

Le 31 décembre vers vingt-trois heures, j’ai prétexté un besoin de prendre l’air ; je suis sortie dans le village et j’ai appelé Charles. Quatre jours que je me retenais de le faire. Je lui ai souhaité une heureuse année ; il a apprécié et m’a également présenté ses vœux … puis : « Je veux te revoir ma Florence, reviens vite ! ». Il a dit « ma Florence » … comme j’étais émue ! Et j’en avais des choses à lui dire … j’aurais volontiers passé une heure à lui parler … mais je ne pouvais quand même pas trop m’attarder … J’irai le revoir au plus tôt c’est certain. J’avais hâte qu’il me fasse à nouveau l’amour. Après être allée chez François et Sylvain bien sûr, puisque les rendez-vous avec eux ont déjà été arrêtés par Maman. Quant à mon « monstre », je l’avais complètement « effacé » de mon corps et de mon esprit. Et il faudra que je l’efface « définitivement » quand je reprendrai mon travail à « la boîte » … c’est que je ne peux plus le supporter celui-là !

Patrick et moi avons enfin regagné le lit en cette nuit du premier janvier ; après avoir fait l’amour, je lui ai dit : « Patrick, je viens de prendre une bonne résolution pour cette année nouvelle, je te ferai maintenant des fellations complètes et tu pourras aussi me sodomiser ». Il en fut très étonné. Et plus encore quand un peu plus tard, quand je fus parvenue à lui rendre une vigueur suffisante, je le pris en bouche … et « avalai ». Le lendemain je lui dis, alors que nous nous préparions à reprendre la route de Paris : « tu n’oublieras pas d’acheter du lubrifiant ».

Une fois revenus à Paris, je fis quelques courses urgentes. J’en ai profité pour appeler de nouveau Charles ; il m’a rédemandé de revenir vite le voir. J’ai aussi acheté du lubrifiant. Le soir au moment de nous mettre au lit, j’ai donné le tube à Patrick : « j’ai profité des courses pour prendre ça ». Et moins de vingt-quatre heures après lui avoir fait une fellation, il me sodomisait. Il était ravi de « mes bonnes résolutions pour l’année nouvelle ». J’étais ravie moi aussi. De plus comme j’étais sur le point de me donner à deux autres hommes, je trouvais très important d’être devenue auparavant vraiment « la maîtresse » de Patrick. Je pouvais maintenant poursuivre «sereinement » le programme établi par Maman et Claire : je n’allais pas « donnerai à d’autres » ce que je refusais jusque là à mon mari.

Le lendemain, le jeudi trois janvier au matin, j’ai appelé ma directrice, Madame Aubrimet pour lui dire que, comme j’avais quelques jours à récupérer j’avais décidé de ne rentrer que lundi … si ça ne la dérangeait pas évidemment. Elle m’a souhaité « de bonnes vacances ». Je lui ai demandé également si elle pouvait m’accorder un entretien « personnel » lundi matin à mon retour. Elle m’a donné son OK pour neuf heures.

Ensuite comme prévu je me suis rendue chez Maman. Nous avons discuté de « mon programme éducatif ». J’étais néanmoins un peu « inquiète » : bien sûr ces deux hommes, j’irai faire l’amour avec eux ; ma décision était prise, et j’étais maintenant curieuse de ces expériences-là … mais à l’idée que Charles pourrait l’apprendre …

- Dis Maman, ces trois hommes, Charles, François et Sylvain, ils savent … pour moi et les deux autres ?

- Bien sûr que non ma chérie, il nous faut être discrètes. Pourquoi n’en discuterions-nous pas également avec ton mari pendant que tu y es ! Une chose encore Florence, si Charles connaît la relation qui nous lie, ta sœur, toi et moi, il n’en est rien pour les autres. Aussi ne m’appelle pas Maman en face d’eux, mais Viviane, compris ! Et ne leur parle pas de Claire non plus. À propos, il t’a plu Charles ?

- Oui, il m’a plu. Bien plu même. Merci de me l’avoir fait connaître.

- Je ne voudrais pas me montrer trop indiscrète, mais j’aimerais savoir, tu as « avalé » ?

- Oui Maman, j’ai respecté le programme et j’ai « avalé » … et même je l’ai dépassé : je lui ai aussi demandé de me sodomiser.

- Eh bien dis ! Et tu as aimé ça ? … Et tu vas le revoir Charles ?

- Oui Maman, j’ai adoré ça, et je compte bien revoir quand l’occasion se présentera. Et je vais même te faire une confidence … je me suis dit que j’avais vraiment été très bête jusque là … aussi j’ai annoncé à Patrick que j’avais pris de bonnes résolutions pour cette année nouvelle. Avant-hier, je l’ai « avalé » lui aussi, et hier soir il m’a sodomisée. Tu vois, je progresse, tout est en ordre à présent. Tu sais tout de ta fille maintenant ... et de ses relations conjugales.

- Je suis ravie de voir que tu vas mieux Florence.

- Oui je vais mieux. Dire qu’il y a moins de quinze jours aucun autre que mon mari n’avait posé la main sur moi … et à cause de « ce monstre » … j’ai accepté … « ton projet éducatif ».

- « Ce monstre » t’a révélée à toi-même Florence… et s’il avait été « plus adroit » avec toi, tu serais dans son lit à présent.

- Peut-être en effet Maman, mais maintenant tu vas m’envoyer dans le lit de François, et demain dans celui de Sylvain … Et même s’il y a quinze jours encore j’étais « innocente », je ne m’en offusque pas … et je suis même curieuse de voir ce qu’ils vont faire de moi. Et crois-moi, je vais les faire travailler pour m’assurer que ce sera avec eux aussi bien qu’avec Charles et Patrick.

- Avec Patrick, je n’en sais rien - excuse-moi -, mais avec François et Sylvain, pour les avoir pratiqués Claire et moi, nous pouvons t’assurer que tu vas être également comblée.

Elle me conduisit chez François. Cette fois, « je n’avais pas fait de frais » comme je l’avais fait pour aller m’offrir à « mon monstre » ou encore pour aller me donner à Charles. Un bain certes, mais plus de poils peignés, pas de culotte « recherchée », ni de soutien-gorge « affriolant ». Je savais que tout allait aller très vite, que mes sous-vêtements allaient « voler » au plus vite … et que ma toison il n’y prendrait pas garde. Chez Maman, j’avais simplement mis « une belle robe » avant de prendre le chemin de chez François.

Viviane fit les présentations, et nous laissa rapidement tous les deux. D’entrée sûre de moi, et devant elle, j’ai annoncé à François d’un ton décidé que je voulais d’abord être sodomisée … et qu’après je verrais pour la suite du programme. C’est que ma relation avec Charles, et surtout ma nouvelle façon de faire l’amour avec mon mari, m’avaient donné de l’assurance ! Je ne voulais plus donner à un homme la possibilité de « me dominer » comme ça avait été le cas avec « mon monstre ». Je voulais donc établir moi-même le programme des plaisirs que j’allais partager avec un partenaire. Aussi cette fois-ci, avec François, j’ai pris l’initiative c’est lui qui a été « intimidé » : Viviane partie, je l’ai d’abord embrassé, puis je lui ai arraché sa chemise, puis descendu son pantalon et son slip pour pouvoir m’emparer de son sexe, qui effectivement ressemblait à une sorte à un long cigare.

- François, tu me conduis dans la chambre ?

Il s’exécuta.

- Et qu’attends-tu pour me déshabiller ?

Il opéra merveilleusement bien, avec calme et dextérité. Il m’a d’abord discrètement caressée par-dessus ma robe, le dos, les seins … tout en me bécotant le décolleté, le cou, les joues, en me mordillant les oreilles, en m’embrassant également. Je trouvais cela très romantique, et j’appréciais énormément … moi qui avais imaginé que j’allais me retrouver nue et allongée sur le lit en moins d’une minute. Puis il descendit lentement et à moitié la fermeture de ma robe tout en continuant à me caresser la poitrine et à jouer de sa bouche : qu’il me les caressât à travers robe et soutien-gorge, m‘a semblé très délicat de sa part Précautionneusement il m’a ensuite dégagé une épaule, en embrassant les parties qu’il dénudait et en continuant à me flatter le sein qui s’arrondissait. Enfin il s’occupa de mon autre épaule qu’il libéra à son tour. Le haut de ma robe découvrait mon buste à présent. Mon soutien-gorge allait « voler » ! Que non, il continua s’occuper de mes seins sans l’ôter, l’un qu’il caressait, l’autre qu’il embrassait. Quelle agréable sensation que le contact de ses lèvres à travers le tissu. Ah comme je regrettai s de ne pas avoir choisi un modèle plus fin.

Il a continué à donner du temps au temps ; il revint à mes lèvres et m’embrassa à nouveau tandis qu’il détachait la fermeture de mon soutien-gorge, qu’il ôta avec précaution comme s’il s’agissait d’un objet précieux, découvrant peu à peu mes seins et en embrassant chaque centimètre de peau qui se révélait. Il déposa soigneusement l’objet sur le dossier d’une chaise, en me félicitant de « son côté délicat et féminin », puis se remit à caresser, embrasser, sucer mes seins. Je lui rendis ses caresses et lui saisis le sexe. Mes seins se gonflaient, roulaient, j’étais toute humide. J’avais une terrible envie qu’il me prenne … mais il m’avait toujours laissé robe et culotte. Alors j’eus terriblement envie de m’agenouiller et de le prendre en bouche … mais je lui avais imposé : « la sodomie d’abord » … et je ne voulais pas perdre la face. Pourquoi avais-je été assez bête pour lui dire ça ? Mes genoux ne demandaient qu’à ployer, tant lui faire une fellation me tentait. J’hésitais, mais je ne pouvais me dédire … même si mes jambes « ne me supportaient plus ». Allais-je résister longtemps encore à mon envie ? Enfin il acheva d’abaisser la fermeture de ma robe qu’il fit tomber au sol, avant de la ramasser avec soin et le la poser sur la chaise. Il m’avait laissé ma culotte. Vraiment un effeuillage. Étrange homme !

Il m’étendit sur le lit et s’occupa encore de mon corps, de mes seins, de mes jambes ; de mon sexe qu’il flatta à travers ma culotte … J’avais un peu honte car elle était trempée ! Et plus il la tripotait, plus elle se mouillait. L’enfer ! Mais c’est si délicieux l’enfer. Il m’a embrassée longuement, a passé la main dans ma culotte et m’a entrepris le sexe, les lèvres, le clitoris … un de ses doigts s’est insinué en moi. Je gémissais, je lui enserrais le cou. Je ne tenais plus. Je le voulais être pénétrée. Et tout de suite. Pas le temps de me mette le sexe à nu, qu’il l’écarte ma culotte et me pénètre ! Mais non, il s’occupa alors de mes bas, qu’il descendit doucement un à un, en embrassant chaque centimètre découvert. Très agréable « cette descente des bas » … mais allait-il se décider à me pénétrer ? Mon bassin faisait des bonds sur le lit, je criais presque. Allais-je devoir l’implorer d’en finir ? Enfin il abaissa ma culotte. Enfin ! J’avais hâte de « me donner à lui ». Mais pourquoi avais-je décidé de vouloir « le dominer » et de lui imposer « la sodomie d’abord » ? Je m’étais piégée moi-même. Comme il m’était agréable ce François, comme je le voulais ! Comme il me donnait du plaisir !

Et il me faisait attendre ! Mais comment pouvait-il résister à l’envie de me pénétrer ? Ah comme j’avais envie de lui ! Mais pourquoi ne s’imposait-il pas « en mâle », en oubliant ma volonté de « la sodomie d’abord » ? Finalement il se décida. Enfin ! Il me pénétra d’un coup « en maître ». Pas très « volumineuse » sa queue. Mais quelle longueur ! Il me tapait et me tapait le fond tout en semblant ne pas trouver suffisamment de place en moi. Et cette longueur et ses coups compensaient bien son manque d’« épaisseur ». Ah comme j’adorais ses coups … puis j’ai pensé : « est-ce que je pourrai encore m‘asseoir après un tel traitement » !

Puis il se retira.

- Tu m’as dit « la sodomie d’abord », alors retourne-toi Florence ?

C’était la première fois qu’il m’appelait par mon prénom.

- Mais non, continue, je t’en prie … c’était une plaisanterie. Continue … tu m’as tant fait attendre …

- Non Florence, « la sodomie d’abord ». Tu me l’as imposé, et devant témoin. Bien sûr je t’ai d’abord pénétrée, c‘est que nos sexes voulaient auparavant entrer en contact, se familiariser l’un à l’autre. C’est fait ; j’aime beaucoup ton sexe et sa manière de collaborer avec le mien. Mais nous ferons l’amour « normalement » tout à l’heure … et ce sera très bien, tu verras. Pour le moment je vais satisfaire ton envie … impérieuse. Allez, je t‘en prie Florence, retourne-toi que je te sodomise.

Un peu désappointée, je me suis mise à genou. Il m’a pénétré en levrette. Ah ses coups ! J’ai pensé que parce que je lui avais imposé la sodomie … et devant Maman encore, il m’imposait alors la levrette … pas mal non plus … Et il s’appliquait. J’attendais sa semence … elle allait venir. Eh bien non, encore il est sorti.

- La sodomie, allons-y Florence.

J’ai pensé une demi-seconde qu’il allait « me préparer ». Eh bien non. Sans artifice aucun, il a pointé son sexe sur mon anus qu’il a écarté de ses mains, l’a fait légèrement pénétrer, m’a saisie par les hanches et d’un coup sec m’a pénétrée. Sans lubrifiant, sans l’avoir entraîné à cette intrusion. Je n’avais « rien vu venir » et j’ai été surprise. Ça aurait pu ressembler à un viol, mais pourtant si j’appréhendais un peu la suite, je lui étais reconnaissante d’avoir pris possession de moi comme un mâle doit s’emparer d’une femelle. Moi qui avais prétendu « le driver » avec mon « la sodomie d’abord », il m’avait soumise. Et une fois bien callé dans mon intimité, immobile il a savouré sa conquête ; peut-être aussi a-t-il voulu que je prenne la mesure de mon assujettissement.

Puis il a commencé un mouvement de rotation. Après son contact assez prolongé avec mon sexe liquide, nous pouvions en fait nous passer de lubrifiant ; il se mit à déplacer presqu’imperceptiblement en moi sa queue qui n’était pas trop épaisse. Et j’ai rapidement apprécié ses courts et délicats mouvements. Une fois qu’il s’est senti définitivement « invité », il a débuté de lents va-et-vient à peine marqués. Puis il en a graduellement augmenté la cadence et l’amplitude. Manifestement, il avait l’« outil » idéal pour sodomiser une femme : long, il me pénétrait très profondément, et sa minceur facilitait ses allers-retours de grande amplitude et leur rythme : il me travaillait en fait « avec beaucoup de fluidité ». Très agréable « sa manière d’opérer ». Je n’avais pas une très grande expérience de la sodomie, seulement deux hommes l’avaient pratiquée sur moi avant lui … mais sûr c’était « le meilleur », parce que le mieux « outillé » pour cet exercice. Enfin il m’arrosa d’une salve longue et généreuse qui m’a « réchauffé les entrailles ». Il avait été parfait. Il m’avait enchantée. Quand il se fut retiré :

- Je te remercie François, crois-moi, c’était merveilleux. Merci encore. Je reviendrai te voir, sois-en certain.

- Crois que je suis enchanté Florence du plaisir que je t’ai donné. Et sois-en certaine, le mien a été très intense également. Et je serais heureux de recommencer cela avec toi, et aussi d’étendre notre champ d’action. Tu es tellement délicieuse que j’appréhende déjà le moment où tu vas me quitter.

Sous la douche, j’ai eu envie de le faire « repartir », et il a redémarré rapidement. J’ai pu alors lui faire une fellation, lui debout dans la salle de bains, moi agenouillée. Son long sexe m’a été très agréable en bouche, et une nouvelle fois il a été très généreux quand il s’est laissé aller. Nous avons aimé tous deux.

Nous avons « joué » ensuite de nos corps sur le lit, puis il m’a prise à nouveau. Sur le dos … et là il ne m’a plus « abandonnée » en cours de route. J’ai enfin plus le sentir s’écouler « dans ma voie naturelle ». Nous nous sommes à nouveau caressés et embrassés. Et « il est reparti » assez vite, je lui ai manifesté mon envie qu’il me sodomisât à nouveau … mais après « préparation » cette fois : le lubrifiant et les doigts. Il a accepté. Et comme j’ai aimé qu’il « me fît ces manipulations-là » ! Comme c’était agréable de sentir ses doigts me fouiller et me lubrifier ! Il m’a d’abord prise en levrette, « un petit galop d’entraînement » avant de se recouvrir le sexe d’une bonne quantité de lubrifiant et de me sodomiser de nouveau. Il m’a d’abord à peine pénétrée, alors « qu’il glissait très bien », s’est arrêté, a effectué quelques rotations, et seulement se sentant « bien installé et maître du jeu » il a avancé plus avant pour s’arrêter encore. Ce n’est qu’à la troisième fois qu’il est entré complètement. Sûr alors, libéré de mon impératif « la sodomie d’abord », il était beaucoup plus décontracté … et moi aussi. J’avais beaucoup apprécié « sa première visite », la seconde a été encore plus paradisiaque.

Mon après-midi a été splendide. J’étais ravie. Il m’avait sodomisée deux fois … autant que ne l’avaient fait à eux deux Charles et Patrick. Et lui, il était vraiment « outillé » pour ça. Je reviendrai, sûr, c’est évident, ça m’est nécessaire.

Je l’ai néanmoins quitté pas trop tard : Je ne voulais pas éveiller de soupçons chez Patrick par des sorties « régulières » ; il y avait eu Charles, François à présent, et demain il y aura Sylvain. Néanmoins avant de repartir, je lui ai répété que j’espérais le revoir, mais que comme nous travaillions tous deux, et aussi parce que j’ai des « contraintes conjugales », il ne nous sera pas facile de fixer un rendez-vous : en fait ça ne pourrait se faire qu’en journée, et pas en week-end. Nous avons échangé nos adresses mèl. Avec un peu de bonne volonté nous devrions arriver à trouver un moment favorable. Oui j’avais hâte de le revoir. Mais j’avais également hâte de revoir Charles et de faire à nouveau l’amour avec lui, avec cet homme qui de plus se préoccupait tant de « la santé de mon couple ».

Dieu merci, Patrick a « eu le bon goût » d’attendre ma sortie de chez François pour m’appeler. La prochaine fois, s’il le fait « au mauvais moment », je sais que François comprendra.

De retour à la maison je fis une toilette intime et préparai le repas. Le soir je fis l’amour comme chaque soir avec Patrick, et celui-ci pour la seconde fois me sodomisa. À nos grandes satisfactions réciproques. C’était la troisième fois que je me faisais sodomiser ce jour-là, et la quatrième en vingt-quatre heures ! Et j’adorais ça.

Le lendemain je poursuivis mon plan d’éducation et me rendis seule chez Sylvain : je me sentais assez forte dorénavant pour aller directement rejoindre un homme que je ne connaissais pas … mais qu’on me « garantissait », et avec qui j’allais faire l’amour. Il était nettement plus jeune que moi, de onze ans, mais il avait du savoir-faire et le moment que j’ai passé avec lui m’a été agréable. Jamais je n’aurais pensé pouvoir prendre du plaisir avec un homme aussi jeune. Maman et Claire avaient raison : j’ai du goût pour l’homme et il est préférable que ce soit moi-même qui gère cette envie-là, plutôt que de m’abandonner au hasard des rencontres. Mais comme la veille avec François, comme toujours depuis une semaine avec Patrick, quand je faisais l’amour avec Sylvain, Charles occupait mon esprit. Il l’occupe également quand je suis seule. Je n’eus pas très envie de m’« attarder » chez lui : la ronde de « la complète » fut rapidement conclue, et malgré le plaisir que nous avions partagé, je décidai de le quitter au plus vite … non pas pour retourner à la maison, mais pour appeler Charles … et savoir si je pouvais le rejoindre.

Je fis donc chez Sylvain une toilette intime afin d’être fraîche au cas où … Sitôt dehors je composai, le cœur battant, Son numéro que je connaissais par cœur. « Pourvu qu’il soit là … et seul ». Il était chez lui. Je lui dis que j’étais allée faire des courses, que j’avais pensé à lui, et que je l’appelais. Bien sûr j’ai « oublié » de lui dire que je quittais mon dernier amant … Je ne lui dis pas non plus que j’avais terriblement envie de faire l’amour avec lui, mais puisque je lui téléphonais je pensais qu’il le devinerait … ne m’avait-il pas dit : « reviens vite me voir ! ». Il me pria de venir le rejoindre.

Avant d’aller chez lui, j’ai appelé Patrick, me disant qu’ayant eu de mes nouvelles, il ne serait pas tenté de m’appeler alors que je serai dans les bras de Charles. Je lui ai dit que j’étais allée au Louvre (maman y était allée l’avant-veille et m’en avait parlé ; au besoin, je pourrais le lui « raconter »)

Quand Charles m’ouvrit, il était en peignoir ; il me prit par la main, m’emmena directement dans la chambre, m’ôta précipitamment mon manteau qu’il jeta sur une chaise, et pendant que nous nous embrassions il se débarrassa de ma robe, de mon soutien-gorge et de ma culotte. J’ouvris son peignoir avec empressement. Il m’étendit sur le lit et me pénétra immédiatement. Nous prîmes tout notre temps pour faire l’amour. À la perfection. Et quand je le sentis s’écouler en moi, j’eus l’impression que jamais auparavant je n’avais connu de plaisir tel que celui que je venais de vivre avec lui.

- Florence, je te rappelle à « tes devoirs » de femme mariée … pars au plus vite afin d’arriver avant ton mari à la maison. Je veux « te conserver », aussi je veux que tu aies une vie conjugale « limpide » afin que nous puissions nous voir souvent. J’espère aussi que nous pourrons avoir des nuits à nous … sans y croire trop hélas. Comment pourrais-tu t’« libérer » pour cela ? Encore, j’ai un regret, ne pas t’avoir connue avant ton mari : j’aurais aimé te faire quelques enfants … ils auraient été merveilleux. Allez, file !

Sitôt que j’eus quitté Charles, Patrick m’appela ; je lui dis que j’étais sur le chemin du retour. Le soir, lui et moi fîmes à nouveau magnifiquement l’amour. À un moment il me dit :

- Tu devrais arrêter la pilule que nous fassions une petite sœur à nos deux fils.

Émue je pensai : « oui ce serait une magnifique idée … mais aurait-elle les yeux de Patrick, ceux de Charles ou encore … ? Et je lui répondis :

- Chiche Patrick !

Une partie de la nuit, je restais rêveuse, le sommeil n’arrivait pas à s’imposer à moi. Oui un enfant ça me tentait … même à mon âge. La conséquence des plaisirs de l’amour que Patrick et moi partageons. Réellement j’ai envie qu’il me le fasse cet enfant, j’ai envie de le lui faire, d’avoir « une petite tête blonde » à la maison, alors que mes fils sont si grands maintenant.

Mais je ne veux pas non plus renoncer à Charles. Il m’a tellement appris Charles … même si je ne le connais que depuis huit jours, il m’est tellement indispensable maintenant. Comme amant. Et aussi comme ami. Et je ne peux pas lui dire : « mets un préservatif avec moi … je veux tant donner un enfant à Patrick, et qu’il soit de lui ». Comment faire l’amour avec un homme qu’on respecte et lui imposer ça ? Impensable … ça frôlerait la goujaterie. Il ne comprendrait pas Charles : quand nous faisons l’amour, il veut « me sentir », chair contre chair, pas au travers d’une sorte d’imperméable. Et moi aussi, j’y tiens à ce contact avec l’homme, je tiens à le sentir m’ensemencer.

Et puis j’ai aussi « goûté » de François, et même si je ne le placerai jamais au même niveau que Charles, j’ai envie de le rencontrer à nouveau ; et à lui non plus je ne peux pas imposer un préservatif ; je lui ai déjà tant « imposé » par bêtise. Et lui aussi a envie d’un contact « direct » avec moi, comme j’ai aussi envie de recevoir sa semence.

J’ai eu encore un autre amant … sans compter « mon monstre », Sylvain. Sans doute qu’un jour je serai tentée de le rencontrer à nouveau ? Il a eu « la mauvaise place » dans la série, le troisième de mes « entraîneurs inconnus », et le second en deux jours. Bien sûr comme m‘ont dit Maman et Claire, il y avait « urgence » pour moi, il me fallait acquérir une certaine expérience avant d’être à nouveau confrontée à « mon monstre », mais je pense que pour vraiment me faire une idée vraiment fondée sur Sylvain, il aurait fallu que j’aie eu le temps de « le désirer ». Il faudra que Maman m’arrange un nouveau rendez-vous avec lui, que je puisse vraiment « penser à lui » avant de le rejoindre. Oui, avec lui aussi « je peux mieux faire ». Et puis « un jeune », c’est très bien.

Je suis également persuadée que Maman et Claire auront d’autres « propositions » à me faire … et je sais maintenant que cela me tentera. C’est évident - comme elles deux - « j’aime l’homme » … une histoire de famille.

Je n’arrêterai pas la pilule … avec un certain « vague à l’âme ».
tentation
 
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