Claire me conta un jour son expérience avec « un jeune homme ». Elle avait fait la connaissance de Jonathan dans un club de vacances où elle était allée en famille. Il avait seize ans à l’époque ; elle participa à diverses activités avec lui, puis ils flirtèrent quelque peu. Elle le revit à Paris. Un jour elle l’invita chez Maman, qui lui avait laissé son appartement disposition, comme elle le faisait chaque fois qu’une de ses filles avait besoin d’un pied-à-terre pour y recevoir un homme. Et elle le dépucela. Elle y prit goût et l’« entraîna avec beaucoup de soins ». Elle lui proposa également d’autres femmes, « sûres » elles aussi, pour l’habituer à la diversité, deux ou trois assez jeunes, mais aussi des femmes « mûres » comme elle. Il en avait été ravi.
À force d’entendre parler de lui, Maman voulut l’« essayer » également. Claire parla donc à Jonathan d’une dame « assez âgée », sans lui dire qu’il s’agissait de sa mère ; mais si les femmes mûres ça lui plaisait bien, « une vieille » ça ne lui disait rien. Pourtant un jour quand il arriva à l’appartement, Viviane la propriétaire était là … et alors que Claire avait emmené Jonathan au lit, prétextant avoir à prendre d’urgence quelque chose dans la chambre, elle y entra en peignoir. Elle ne tarda pas, malgré la fausse indignation de sa fille, à se mêler au duo. En fait si au début Jonathan fut un peu troublé, il apprécia rapidement d’être « pris en main » par deux femmes à la fois. Quand il fut bien excité, Viviane entama une fellation tandis que Claire en profitait pour s’échapper. Il la trouva épatante … et ils firent l’amour tout l’après-midi. Une expérience dont il fut fier, et qu’il renouvela.
Maman et Claire me le proposèrent ensuite. Curieuse et toute excitée à l’idée que j’allais pouvoir faire l’amour avec un garçon plus jeune que mes fils, j’étais tentée de relever le défi. Une expérience rare !
- Mais dis Claire, il est majeur au moins ?
- Rassure-toi, il l’est.
Alors j’ai sauté sur l’occasion qui m’était offerte. Claire a « averti » Jonathan que ce serait une femme inconnue qui lui ouvrirait la porte et qu’il en serait satisfait … sans lui dire qu’il s’agissait de sa sœur.
Un mercredi il sonna, je lui ouvris, nue sous une robe rouge collante.
- Entre Jonathan ; je suis ravie de te voir. Tu verras, nous allons bien nous entendre tous les deux.
- ouuui
Je le saisis par le cou et l’embrassai ; il resta les lèvres figées. J’ai posé mes mains sur ses épaules et lui ai massé très fort le haut du dos.
- Si tu n’y mets pas du tiens, ça ne va pas être facile. Décontracte-toi et laisse aller tes lèvres.
Il les entrouvrit et se laissa embrasser, mais il resta les bras plus ou moins ballants. Néanmoins je me suis pressée énergiquement contre lui et j’ai senti immédiatement son sexe s’émouvoir. « Ah les jeunes, ça démarre vite » ai-je pensé. Je l’ai pris par la main, l’ai amené près du lit, lui ai retiré manteau, veste et chemise, les ai jetés sur un fauteuil et j’ai bécoté la toison juvénile qui ornait sa poitrine. Puis je l’ai embrassé de nouveau en lui enfonçant fortement les doigts dans le cou, mais en prenant garde à mes ongles afin de ne pas le marquer. Enfin j’ai ouvert sa ceinture et fait tomber son pantalon et son slip à ses pieds. Il se débarrassa de ses baskets et de ce qui l’entravait. Je l’ai embrassé de nouveau, lui caressant le cou d’une main, et en lui flattant de l’autre son sexe merveilleusement dressé et les bourses. Plus ou moins intimidé, il restait silencieux et immobile … mais qu’elle superbe érection ! J’ai planté mes yeux droit dans les siens :
- Abaisse la fermeture de ma robe !
Puis je lui ai tourné le dos. En tremblotant quelque peu, il s’exécuta.
- Mais ne la laisse pas comme ça, Jonathan, fais-la tomber !
Il obéit. Je lui refis face, pris une de ses mains que je posai sur un de mes seins et l’ai encore embrassé. Il le caressa quelque peu, maladroitement. Je me suis alors laissée tomber à genoux, lui dis « caresse-moi les épaules» et pris en bouche ce sexe superbe que je me suis mise à travailler avec lenteur afin qu’il « ne vienne pas trop vite ».Enfin j’ai avalé sa semence, plutôt je n’en finissais pas de l’avaler tant il était « productif ».
Je l’ai une nouvelle fois embrassé. Là ses lèvres se sont montrées plus avenante.
- Merci Jonathan. Allons maintenant sur le lit …
Je me suis allongée et l’ai attiré à mes côtés. Je l’ai serré dans mes bras, lui ai caressé les cheveux, le cou, le dos ; le l’ai poussé sur le dos et lui ai caressé son sexe à nouveau tendu, son sexe et ses bourses. Oh comme il s’agitait ! Comme il avait manifestement envie de « me rentrer dedans ». Aussi je l’ai laissé se calmer, je lui ai donné des conseils pour bien m’embrasser, pour faire vibrer mes seins sous ses mains et sa langue, pour également rendre mon sexe fou. Claire et Maman l’avaient « initié », d’autres femmes encore, mais il était si jeune et impétueux qu’il avait encore à se perfectionner. Il semblait découvrir qu’il pouvait faire rouler les seins d’une femme sous ses doigts, me faire gémir en les embrassant, me faire vraiment jouir en me faisant un cunnilingus. Et j’ai trouvé cette tâche de professeur particulièrement excitante. Enfin après l’avoir tant fait patienter et rendu ivre d’impatience, j’ai cessé de « le tenir à distance » et je l’ai laissé me pénétrer. Immédiatement il s’adonna à des va-et-vient « rageurs » ; je dus « le freiner » :
- Pas si vite Jonathan, arrête-toi … sors un peu … calme-toi une minute, tu reviendras ensuite.
Terriblement excité « il ne comprit pas très bien » ; je dus insister en haussant le ton :
- Tu me fais très bien l’amour Jonathan, j’aime beaucoup … mais tu vas trop vite, tu vas partir tout de suite « en dérapage incontrôlé » … ce serait dommage … et ça je ne veux pas. Avant que tu ne te lâches, je veux avoir le temps de te goûter en moi ... et que toi aussi tu « sentes » combien j’adore t’accueillir. Allez, sors et calme-toi donc un peu. Tu reviendras … je te veux tu sais.
Et il sortit déçu ; manifestement il faisait un peu la gueule. Pas de quoi m’ « envoyer promener » … mon âge devait lui en imposer quelque peu … j’étais peut-être plus âgé que sa mère … mais il avait aussi terriblement envie de « se vider » … et pas avec la main. Je lui ai caressé doucement les cheveux et le cou.
- Allez, embrasse-moi donc !
Assez tendu, il le fit, mais sans entrain, et brièvement. Le besoin de « me posséder » se faisait trop fort en lui.
- Jonathan j’adore te sentir en moi, tu me fais très bien l’amour crois-moi … Et je veux sentir ta semence m’inonder … mais pas dans la précipitation … je suis une femme, et je veux auparavant pouvoir apprécier « ta manière de me travailler ». J’aime quand tu me tapes bien au fond comme tu le fais … ça me fait tellement de bien. Je t’en prie, ne gâche pas ce plaisir que vivent nos sexes en te laisser aller trop vite. Allez reviens maintenant, c’est que j’ai terriblement envie que tu me pénètres à nouveau. Entre vite, j’ai besoin de te sentir en moi … et quand je te demanderai de te calmer, tu t’arrêteras quelque secondes, quelques secondes seulement … tu ne le regretteras pas et tu repartiras. Tu veux bien ? Allez, ne « pars » trop vite … pour notre plaisir à tous les deux. Tu verras, toi aussi tu apprécieras ce contact que nous allons partager tous les deux. Allez, allez, ne me fais pas attendre, reviens vite, je te veux.
Et il me pénétra à nouveau. Je lui ai imposé deux ou trois poses … en fait je le trouvais doué et j’appréciai beaucoup son long membre. Je ne le retins pas trop pour cette première fois, et j’ai encore apprécié la quantité de sperme qu’à son âge il pouvait fournir … et après si peu de repos ! Sûr il me plaisait énormément.
Après quelques jeux au lit, alors qu’il commençait à se décontracter, je lui ai demandé de me sodomiser ; là aussi je l’ai « guidé » ; « sa préparation fut parfaite » et, sa pénétration délicate. Je dus néanmoins lui faire faire deux ou trois poses avant de « le libérer ». Je fus ravie, il progressait très vite.
Je lui ai expliqué qu’il nous fallait prendre une douche. Nous y allâmes de concert. Mais les dialogues entre nous étaient difficiles, il me répondait par mono syllabes et ne se décidait pas à franchement me tutoyer et à m’appeler par mon prénom. Mais notre promiscuité sous l’eau chaude améliora notre intimité et il s’habitua à me savonner partout, et à recevoir les mêmes caresses en retour. Nous nous amusâmes beaucoup … et rapidement nous nous embrassâmes « à la perfection », et même parfois, il prenait des initiatives : il commençait à être « domestiqué ». Bien entendu il bandait comme un cerf, et je me réjouissais à l’idée du plaisir que nous allions encore partager. Nous nous essuyâmes. Et sans attendre il me poussa en travers du lit « me sauta dessus » et me pénétra immédiatement. J’appréciais ses progrès rapides : il venait de prendre avec moi sa première initiative, il s’était conduit en homme. Séduite par sa fougue, je l’ai cette fois laissé opérer sans le retenir. Il me tapa à nouveau très fort … et bien entendu sa nouvelle salve ne se fit pas attendre.
Il me caressa alors avec « une certaine attention », et commença à dialoguer avec moi, et à m’appeler Florence. Je l’ai à nouveau « guidé » pour qu’il devienne vraiment « prévenant » avec mes seins et mon sexe surtout. Il reprit évidemment force rapidement, et me pénétra alors avec « plus d’attention » cette fois. J’ai pu cette fois « le brider » quelque peu. Et il a été parfait. Il avait compris qu’une relation sexuelle ça se partage, que ce n’est pas une démonstration que fait un homme à une femme.
Arriva le moment de se quitter. Il se rhabilla.
- Tu as été très bien Jonathan, et je suis très satisfaite de cet après-midi que nous avons passé ensemble. Et si tu es d’accord, je veux te revoir. Tu es très doué, un peu fougueux sans doute à cause de ta jeunesse, mais si tu le veux bien, si tu me fais confiance, je ferai de toi un amant parfait. Tu veux ?
- Bien sûr Florence que je veux te revoir. Tu es très bien, tu fais bien l’amour … et tu m’as appris beaucoup. Je vais être un bon élève, crois-moi.
- Alors demande à Claire si mercredi dans deux semaines nous pouvons nous revoir ici ?
- On ne peut pas se voir un soir ou le week-end ?
- Malheureusement non … je suis mariée tu sais. Tu me vois dire à mon mari : excuse-moi chéri, je dois aller faire l’amour avec Jonathan ! ». Non, il nous faut être raisonnable. Eh puis tu verras, ç’est très doux d’attendre.
- Et mercredi prochain ?
- Non Jonathan, mercredi prochain je risque d’être indisposée … tu sais les femmes ont ce genre de bizarreries … et puis je travaille, et il ne m’est pas toujours possible de me libérer quand je le voudrais. Allez dans quinze jours … mais seulement si Claire peut mettre cet appartement à notre disposition. Parce que je ne peux pas t’inviter chez moi, tu comprends ça.
- Mais tu pourrais venir chez moi, je vis avec ma mère, elle est divorcée et elle travaille.
- Non Jonathan, une femme de mon âge, et mariée, ne peut venir rejoindre un jeune homme chez sa mère et se promener entre sa chambre à lui et la salle de bains. Désolée.
Juste au moment de lui faire passer la porte, nous nous embrassâmes, un long baiser très agréable. Bien entendu il « se regonfla » immédiatement. Ça m’« amusait » en fait de constater à la vitesse où « on reprend des forces à cet âge ». Nous continuèrent à nous embrasser, puis il m’écarta un peu, ouvrit sa ceinture, libéra son sexe, écarta un peu mes jambes d’un genou et me pénétra, là debout contre la porte. Je ne l’ai pas repoussé. Au contraire, j’ai passé mes jambes autour de sa taille. Il est doué. Et une fois encore j’eus droit à sa semence. Mais où va-t-il la chercher. Enfin, je l’ai remercié et poussé dehors.
J’ai appelé Patrick … rien de spécial à nous dire, juste un petit appel de routine entre une femme et son mari qui s’aiment.
J’ai changé les draps, me suis rhabillée … Bien sûr il avait besoin d’acquérir encore de l’expérience, mais il apprenait vite et j’étais satisfaite, Il m’avait vraiment comblée. J’allais « me le refaire » … j’allais de nouveau me retrouver au lit avec lui et me passionner pour ce rôle d’éducatrice que je venais de me découvrir. J’allais en faire « un mâle » parfait … et ce sera mon œuvre à moi. Sur la route j’ai appelé Claire pour lui dire que je le revoulais, qu’elle essaie ne nous préparer un autre rendez-vous deux semaines plus tard. Elle fut ravie … mais me demanda de le lui laisser un peu quand même, déjà que Maman … qu’après tout c’était elle qui l’avait trouvé ... « OK pour dans quinze jours … mais après tu devras patienter car nous ne voulons pas que tu nous en prive trop ».
En arrivant à la maison, je le ressentais toujours « présent en moi », continuant à me fouiller, et je savourais cette semence dont il m’avait inondée et qui continuait à vivre dans mon intimité. J’ai décidé de ne pas faire de toilette intime, afin de ne pas détruire « ce sortilège ».
Je suis restée un moment seule, jusqu’à l’arrivée de Patrice mon fils aîné … nettement plus âgé que Jonathan. Et alors je me suis retrouvée « un peu gênée ». Je pensais à Jonathan, et je n’osais pas « regarder » Patrice en face. Étrange, des amants j’en avais eu un certain nombre, et jamais je ne m’étais « sentie mal à l’aise » face aux miens pour être allée faire l’amour au dehors, même en face à mon mari. Ma vie «était « cloisonnée », il y avait ma vie de famille avec mon amour pour mon mari, et aussi ma vie « extérieure » avec ses plaisirs interdits. Aucune corrélation entre mes deux vies. Et pourtant ce soir-là … Pire, lorsque mon second fils Jean, lui aussi plus âgé que Jonathan rentra, j’eus vraiment honte de ce que j’avais fait dans l’après-midi. Par contre, je me suis sentie parfaitement à l’aise en revoyant Patrick.
Aussi malgré ma grande envie de revoir Jonathan, pour jouir de lui et pour « le former », j’ai décidé sur le champ que je ne donnerais pas suite à « notre relation ». C’est que je me sentais incestueuse vis-à-vis de mes fils ! J’imaginais que les choses devaient être plus faciles pour Claire, qui elle n’avait pas de fils, mais deux filles. J’allais lui dire à Claire que tout compte fait, je lui laisserais bien volontiers Jonathan, que je ne voulais pas l’en priver, etc. Enfin lui dire que je ne donnerais pas suite … mais sans lui en donner la véritable raison. Et tant pis si j’étais persuadée que j’aurais été avec Jonathan une meilleure éducatrice qu’elle et Maman.
Quelque peu nerveuse, après le repas, sentant toujours en moi la semence de Jonathan, je fis comprendre à Patrick que j’avais envie qu’il me fasse l’amour au plus vite. Mais je ne voulais pas « effacer » les marques dont mon jeune amant avait marqué mon corps ; je voulais lui rendre ce dernier hommage éphémère avant de le chasser à tout jamais de ma vie. Aussi j’ai persisté à ne pas faire de toilette intime avant de « me donner à mon mari » : son sperme allait donc se mélanger en moi avec celui de Jonathan. Ultime prévenance à son égard !
Je revenais toujours à Charles, nettement plus âgé que moi. C’est que non seulement il s’avère être « un mâle terriblement efficace », mais encore un véritable ami à qui je peux confier à demi-mots certaines de mes peines. Aussi le lendemain à l’heure du repas, je me rendis chez lui pour lui parler de Jonathan, de ce gamin qui m’attirait tant, avec qui je crevais d’envie de faire à nouveau l’amour, pour le plaisir que nous avions échangé, et parce que j’aurais tant voulu domestiquer ce cheval fougueux. Mais voilà, j’avais deux fils plus âgés que lui … Alors j’allais renoncer à le revoir, et je laisserai à une autre « le soin de le former ». Heureusement que j’ai Charles. Qui d’autre que lui pourrait me réconforter dans ces cas-là ? Et je suis restée une heure et demie sur le fauteuil, blottie dans ses bras, sans nous parler presque, sans nous caresser : sa présence me suffisait. Ensuite quand je lui ai annoncé que j’allais retourner au travail, avant de me laisser le quitter il m’a fait délicatement l’amour, là dans le salon sur la moquette : il ne m’a pas déshabillée, il m’a allongée, m’a ôté la culotte, ouvert son pantalon et m’a pénétrée. Il a été très doux, très attentionné et a pris son temps. Un magnifique cadeau qu’il m’a fait là. Jamais il ne m‘avait prise de la sorte, là par terre. J’ai beaucoup aimé. Je l’ai quittée sereine.
Fin.