Caroline

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Caroline

Messagede ichiro [Crawler] le 11 Avr 2004, 08:22

Caroline était encore en peignoir de bain lorsque la sonnette retentit et alla ouvrir. Elle ne s'en souciait guère car elle savait qui était de l'autre coté de la porte, puisque la mère de Julien lui avait téléphoné un moment auparavant pour la prévenir du passage de son fils. A tout autre coup de sonnette elle n'aurait certes pas ouvert dans cette tenue, les cheveux mouillés, hirsute, bref non présentable.
A bientôt 40 ans, Caroline, grande brune que les annnées n'avaient pas trop affectée traversait la vie tranquillement toute dévouée ses deux enfants et à son mari qui était l'homme de sa vie et même le seul homme qu'elle eût jamais connu.
Elle fit donc entrer Julien, un petit jeune homme de 18 ans qu'elle dépassait de presque un tête et le fit asseoir dans le salon.
- Donc, ta maman m'a dit que tu avais besion de récupérer le livres que tu avais prétés à mon fils.
- Oui, j'aimerai bien les reprendre car j'ai une dissertation à faire et ils me seront très utiles.
Dans le courant de la conversation Caroline s'apperçut soudain que pas un instant Julien ne l'avait régardée dans les yeux, mais nettement plus bas. Au début elle avait mis cela sur le compte d'un certain embarras du fait de sa tenue, mais en baissant les yeux, elle réalisa qu'en réalité le regard de Julien ne traduisait aucun embarras, mais plutôt un grand intérêt sur ce qu'elle lui laissait bien involontairement appercevoir du fait qu'un pan de son peignoir avait glissé. Julien avait donc une vue imprenable sur le haut de ses cuisses et sa toison.
Le premier réflexe de Caroline fut évidemment de remonter le pan de son peignoir, mais ce réflexe resta bloqué quand elle vit, alors qu'elle avait à nouveau porté son regard su Julien, que celui ci paraissait véritablement hypnotisé par ce qu'il voyait. Caroline sans savoir pourquoi, par réflexe sans doute, eut le regard attiré vers la braguette de Julien qu'elle trouva très distendue. Elle en concut une certaine fierté. En effet, elle, Caroline, bientôt 40 ans, mére et épouse parfaite, n'ayant jamais commis un écart ( n'y ayant même jamais pensé) elle provoquait tune réaction d'envie manifeste chez un jeune homme de 18 ans !!!
Alors s'engagea un processus qu'elle ne maîtrisa plus et sans trop d'ostentation, elle ouvrit légèrement les jambes afin que le regard de Julien puisse découvrir un peu plus du trésor que toute femme détient entre ses jambes. Le résultat ne se fit pas attendre et Julien s'enhardissant et sans aucune retenue se baissa un peu pour mieux profiter de la vue que Caroline lui offrait.
Cette réaction emplit Caroline de satisfaction et du coup, ouvrit largement les jambes afin de faire découvrir à Juline l'intégralité de son intimité. Julien n'y tenant plus se leva et s'approchant de Caroline, se positionna carrément entre ses jambes pour regarder de très près ce qu'elle offrait à sa vue.
Caroline sentit une chaleur envahir progressivement son ventre chaleur qui monta d'un cran lorsqu'elle sentit une main de Julien se poser sur le haut de sa cuisse et partir doucement à l'aventure, tandis que l'autre tentait de remonter le long de son ventre vers sa poitrine. Caroline réalisant que son peignoir était un osbstacle, défit la ceinture en écarta les pans et s'offrit ainsi entièrement à la vue de Julien.
Celui ci, n'y tenant plus, elle le vit subitement enlever sa chemise, puis, dégrafer son pantalon et l'enlever. Il eut alors quelques difficultés à enlever son calecon tant celui ci était tendu par son sexe affamé de désir.
Lorsqu'enfin il se retrouva totalement nu, Caroline resta quasiment paralysée à la vue du sexe de Julien !
Il faut rappeler que Caroline n'avait jamais connu qu'un seul homme : son mari ! Or son mari n'avait guère été gaté par la nature et son sexe devait faire partie de ce que l'on peut appeler des micro sexe puisque en érection il ne devait pas dépasser les 10 ou 11 centimètres.
Julien lui,faisait plutôt partie de la catégorie opposée et arborait un sexe absolument énorme tant en longueur qu'en largeur et Caroline en était béate d'admiration !
Mais elle savait qu'elle allait en profiter et elle se disait ( c'était inconscient bien sûr) que son ventre n'arriverait jamais à accueillir tout cela.
Elle n'eut d'ailleurs guère le temps de se poser la question plus longtemps car Julien s'agenouillant entre ses jambes, lui écarta largement celles ci et tenant son sexe d'une main l'approcha lentement du ventre de Caroline. Lorsqu'il fut au contact il commenca d'une légère poussée des reins à la pénétrer. Elle ressentit alors un sentiment d'écartèlement qu'elle n'avait bien entendu jamais ressenti auparavant avec son mari, mais cette sensation qu'elle éprouvait pour la première fois lui occasionnait un plaisir indiscible. Assise sur le canapé, les jambes largement ouvertes, elle avait vu cet énorme sexe approcher de son ventre et maitenant, elle le voyait progressivement disparaître à sa vue tandis que simultanément elle le sentait envahir son ventre jusqu'à ce que leur pubis entrant en contact, elle realisa qu'elle avait totalement accueilli Julien.
Julien commença alors des mouvement de va et vient, d'abord avec lenteur, ce qui enflamma le ventre de Caroline, puis de plus en plus vite, ce qui la faisait dégouliner de plaisir et enfin, l'explosion arriva, elle se tendit comme un arc tandis que dans son ventre elle sentit subitement le sexe de Julien se durcir un peu plus encore, se dilater spasmodiquement tandis qu'elle le sentit se vider en elle, agité de spasme qui durèrent, se surprit elle à penser, bien plus longtemps que son mari de sorte qu'elle était littéralement inondée ce qui ajouta encore plus de plaisir.
Epuisé, Julien s'éffondra sur la moquette. Caroline le rejoignit posant sa tête sur son torse. Ils restèrent ainsi un long moment, reprennant leur souffle les yeux clos.
Un long moment passa, puis Caroline caressa doucement le torse de Julien, puis le ventre ou elle rencontra un obstacle qu'elle saisit. Elle le sentit aussitôt vibrer dans sa main, puis enfler démesurément de sorte qu'elle n'en pouvait faire le tour avec sa main, mais peu lui importait, elle lui imprima des mouvements de va et vient qui lui faisaient alternativement découvrir cet énorme gland dont l'orifice semblait la contempler avec envie. Caroline fut subitement prise d'une irrésistible envie, attirée, subjuguée qu'elle était par ce pieu qui venait de lui procurer tant de plaisir. Glissant lentement le long du torse de Julien, elle approcha son visage de ce sexe, souce de plaisir et le saisit dans sa bouche. Elle découvrit alors une sensation nouvelle, n'ayant jamais immaginé qu'elle put un jour faire cela, mais elle y éprouva un plaisir intense de sentir cette énorme chose envahir sa bouche, vibrer, vivre. Tout en le gardant dans sa bouche et imprimant des mouvement de va et vient avec sa tête, elle faisait de même avec sa main sur le reste du corps de l'objet de son plaisir et parfois, partant à l'avanture sa main s'égarait vers les bourses dans lesquelles elle sentait les testicules glisser sous ses doigts. Subitement, plus encore qu'elle ne l'avait ressenti dans son ventre, elle sentit sous sa main et dans sa bouche le sexe de Julien se durcir encore un peu plus et tout à coup, se dilater spasmodiquement alors que simultanément elle eut la bouche littéralement envahie d'un liquide chaud qui arrivait pas jets puissants. Ne pouvant tout reccueillir elle sentit qu'une grande partie du liquide lui échappait pour dégouliner sur le ventre de Julien, mais lorsqu'elle le sortit de sa bouche le reste du liquide s'échappa et s'épancha en totalité sur le ventre de julien.
Tout à coup, elle sursauta, en entendant le carillon sonner. Elle se releva prestement et dit à Julien de se rhabiller rapidement car son mari risquait de rentrer d'u moment à l'autre. Paniqué, Julien se vêtit en quelques secondes, ce qui fit sourire à Caroline qui n'aurait jamais imaginé qu'un homme pouvait s'habiller aussi vite.
Avant de partir, timidement, il demanda à Caroline s'il pourrait revenir la voir. Caroline tout aussi émue, lui répondit de lui réléphoner pour être sûr que son mari ou ses enfants ne seraient pas là. Juline l'oeil brillant la quitta tout guilleret.
Une fois Julien parti, Caroline se dirigea vers la salle de bains pour reprendre une douche. Elle n'était pas plutôt déshabillée qu'elle vit son mari apparaître sur le pas de la porte. Celui ci la contempla d'un oeil qu'elle connaissait bien et le vit s'approcher avec une certaine terreur à l'idée qu'il put se rendre compte de ce qu'elle venait de faire, mais elle eut beau lui dire que ce n'était pas le moment, que ceci, que cela, bref rien n'y fit, émoustillé qu'il était de l'avoir vue dans le plus simple appreil, aussi, pour éviter tout risque qu'il put se rendre compte de quoique ce soit, elle prit l'initiative, le déshabilla, le bouscula sur le lit, l'allongea sur le dos, contempla ce sexe ridiculement petit qui pointait vers le plafond. Elle enjamba son mari lui prit le sexe d'une main, le guida vers son orifice et se laissa carrément tomber dessus. Après ce qu'elle avait vécu peu de temps auparavant et la taille plus qu'imposante du sexe de julien qui l'avait habitée et fait vibrer, elle ne ressentit quasiment rien, d'autant que la pénétration se fit sans coup férir, son ventre étant encore plein de la semence de Julien et cela constituait un lubrifiant naturel extraordinaire.
Après quelques mouvements du bassin qu'elle avait effectué elle sentit rapidement son mariêtre agité de quelques soubresauts sa semence se mélangeant alors à celle de Julien. Caroline se releva alors, et de son orifice béant, dégoulina du liquide sur le ventre de son mari qui naïvement lui dit alors : " Finalement, tu vois que tu avais très envie, tu étais tout à fait prète à m'accueillir, toute humide comme rarement tu l'as été, d'ailleurs, ton désir et ma semence sont en train de s'échapper de toit sur mon ventre".
Caroline lui répondit : "Mon chéri tu as parfaitement raison, mais évitons d'en mettre partout je viens de chnger les draps, alors, je vais prendre ma douche"
Ce qu'elle fit et lui permit de faire le point sur ce qui venait de se passer. Elle découvrit qu'elle n'en éprouvait aucune honte ni culpabilité, cela avait été purement impulsif, sexuel, elle y avait éprouvé du plaisir, tant physique que du fait de braver en quelques sorte un interdit.
Elle reverait donc Julien.
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