Arrivés dans le studio, François proposa des rafraîchissements qu tout le monde accepta d’enthousiasme, cela détendit un peu l’atmosphère car Edouard et Alix, qui étaient à l’évidence assez timides, se demandaient ce qu’ils faisaient là, un peu honteux de s’être enthousiasmé aussi vite devant un projet qui avait déclenché chez eux une certaine excitation. A mieux les considérer, Sophie estima rapidement que apparemment, Edouard était le plus introverti, au contraire de Alix qui, sous son apparente timidité donnait l’impression à Sophie qu’elle prenait plaisir à cette situation dont elle allait être le centre d’intérêt. Ce fut d’ailleurs elle qui remit la question sur le tapis en demandant à Sophie :
- On ne risque pas d’être coupée pendant le rasage ?
- Mais non voyons, il suffira que Edouard n’y aille pas comme une brute, voyons, répondit Sophie en riant. D’ailleurs, regarde moi bien, est ce que tu vois la moindre égratignure, dit Sophie.
- Non, c’est vrai, admit Alix, je n’en ai pas vu tout à l’heure sur la plage alors que l’on pouvait tout voir.
- Bon, alors tu veux toujours te faire raser ?
- Oh oui, dit elle l’œil illuminé.
- Bon, alors voilà comment nous avons procédé tout à l’heure.
Et Sophie lui expliqua qu’elle s’était allongée sur la table pour faciliter la tâche de François, qui avait dans un premier temps « débroussaillé » le plus gros de la pilosité avec des ciseaux, puis, qu’elle s’était appliqué sur le pubis et entre les jambes une serviette mouillée avec de l’eau chaude afin de ramollir les poils et qu’enfin François lui avait passé de la crème à raser avant de la raser.
Sans un mot, Alix monta sur la table, s’allongea et dit à Edouard :
- Allez, vas y.
- Attendez, intervint François, est ce que tu ne veux pas conserver un souvenir avant ?
- Quel souvenir, dit Alix.
- Eh bien, de ta pilosité qui avouons le est tout de même assez drue. Comme je suis sûr qu’une fois que tu seras rasée tu ne laisseras jamais repousser ta toison, si tu veux, je peux prendre des photos, j’ai un appareil numérique.
- Euh, je ne sais pas, bredouilla Alix dont le regard traduisait l’excitation que lui procurait cette nouvelle proposition.
- C’est comme tu veux, et puis toi tu pourras également conserver ce souvenir, dit il en se tournant vers Edouard.
- Je suis d’accord, dit Alix.
François alla chercher son appareil, fit relever Alix et se mettant à genoux pour être à peu près au niveau du pubis, prit de nombreuses photos, de face jambes serrées, de face jambes légèrement ouvertes,de trois quart et de profil. François sortit ensuite son ordinateur portable, connecta l’appareil à celui-ci, appuya sur diverses touches et quelques minutes après, ils purent tous examiner le résultat sur le grand écran.
Alix s’allongea de nouveau sur la table. Edouard ne bougeant pas, Sophie prit les ciseaux, et les lui tendit. Après une hésitation, il commença timidement à débroussailler la toison pubienne de Alix, ce qui, nota Sophie lui fit de plus en plus d’effet, son sexe se soulevant de plus en plus. L’érection parvint à son comble lorsque Alix, ouvrant largement les jambes afin qu’il puisse s’attaquer à la pilosité de l’entre jambe, lui présenta donc son intimité qui restait toutefois encore protégée par cette broussaille tellement drue que même dans cette position, on apercevait qu’à peine le sillon sacré. On entendit alors Alix dire d’une voix timide :
- Fais attention de ne pas me couper les lèvres. Tu devrais saisir les touffes de poils d’une main et couper prudemment en regardant que tu ne couperas que les poils, dit Alix dans un éclat de rire.
Dans le même temps, elle avait tourné la tête et avait vu que son ami était en érection, apparemment, Edouard, soit n’en avait cure, soit ne s’en rendait pas compte. Elle tourna son regard vers Sophie qui d’un cillement des yeux lui fit comprendre qu’elle avait vu.
L’opération rasage prit un certain temps mais fut menée à son terme sans problème. Lorsque ce fut fini, Alix voulut immédiatement voir le résultat et se précipita devant le miroir de l’armoire et s’admira longuement.
François qui était entre temps sorti pour récupérer son porte document qu’il avait oublié dans sa voiture, revint à cet instant précis. Il fut saisi pas le spectacle de cette jeune fille d’une telle beauté que cette énorme touffe de poils ne « défigurait » plus, cela entraîna chez lui une érection quasi instantanée qui n’échappa à Alix dans le miroir.
Elle demanda alors à François de prendre de nouveaux clichés, ce qu’il fit sans se faire prier, non sans que celui-ci ne mit un certain temps à trouver son appareil photo qu’il avait rangé dans sa chambre, ce qui lui permit de retrouver une apparence plus convenable devant ces jeunes gens. Il recommença alors exactement les même prises de vues que précédemment, disant que cela donnerait à Alix et Edouard de quoi comparer selon le bien connu principe du avant / après.
Les clichés ayant été chargés sur l’ordinateur, ils purent ainsi comparer. Cela permit à Sophie, entre autres, de noter que François avait raison lorsque quelques jours auparavant il lui disait que contrairement à ce que les gens imaginaient, les sexes féminins étaient eux aussi très diversifiés dans leur apparence. Alix, maintenant qu’elle était glabre, présentait un sexe lorsqu’elle était debout et de face qui présentait une boursouflure importante de part et d’autre de la fente, boursouflure qui semblait prendre plus d’importance au fur et à mesure vers l’entre jambe où l’on commençait à voir les petites lèvres qui semblaient jaillir, de sorte que les grandes lèvres étaient ainsi en quelque sorte repoussées vers l’extérieur. Sur les clichés de Alix debout jambes légèrement ouvertes, on apercevait nettement les petites lèvres former une saillie importante entre les jambes.
Alix toute heureuse se caressait le pubis et l’entre jambe en disant que c’était extraordinaire de ne plus sentir cette forêt, qu’elle découvrait une zone pleine de douceur. Elle n’eut pas à répéter à Edouard de constater la véracité de ses dires avec sa main. Celui-ci passa sa main sur le mont de vénus, puis la laissa glisser vers l’entre jambe dont Alix lui facilita l’accès en ouvrant un peu ses jambes. Sophie nota qu’à un instant, Alix sursauta tandis que la main d’Edouard s’était immobilisée au niveau de l’entre jambe. Sophie supposa qu’un des doigts de Edouard avait du s’égarer entre les lèvres d’Alix qui réalisant la situation, retira gentiment la main de Edouard.
François proposa de retourner sur la plage afin de permettre à Alix de découvrir les sensations que lui procuraient sa nouvelle apparence. Ils se précipitèrent ou dehors vers la plage. Ils se baignèrent prirent un bain de soleil, jouèrent et à chaque instant Alix radieuse, disait à ses compagnons combien elle se sentait heureuse de sa nouvelle apparence qui lui procurait, disait elle un sensation de liberté qu’elle n’avait jamais éprouvée. Sophie dont l’expérience en la matière était tout aussi récente confirma.
Un peu plus tard, Sophie se dirigea vers le studio de François en disant qu’elle allait tout de même remettre un peu d’ordre. Alix la suivi en disant qu’elle allait l’aider, tandis que les deux garçons restèrent à se faire bronzer. Tout en papotant, les deux femmes nettoyèrent rapidement les traces de l’opération rasage, rangèrent le studio Puis, après s’être un rafraîchissement, elles s’assirent et continuèrent leur conversation à bâtons rompus. A un moment, Alix portant son regard sur le ventre de Sophie, dit :
- C’est vraiment très beau comme ça. Je ne sais pas comment vous étiez avant, si vous aviez une touffe aussi importante que la mienne, mais vraiment je trouve ça très beau.
- Je suis tout à fait d’accord avec toi, répondit Sophie en regardant elle aussi le ventre de Alix, surtout pour toi car tu avais vraiment un toison très importante. De plus, comme tu es très jeune, cela te donne un air encore plus juvénile tout à fait excitant. Si j’étais un homme, je pense que j’aurai certainement des difficultés à cacher mon émoi en te voyant dit Sophie.
- Je sais ce que vous voulez dire.
- Comment cela ?
- Eh bien tout à l’heure, lorsque votre mari est rentré et que je me regardais dans le miroir, il est resté immobile en me voyant et puis j’ai vu qu’il s’est mis à … bander très vite.
- Ah bon ? dit Sophie en éclatant de rire, j’étais tellement à t’admirer que je n’ai pas remarqué. Mais au fait François n’est pas mon mari.
- Ah ! Mais vous portez une alliance !!!
- Oui, mais nous ne sommes pas mariés ensemble, nous sommes amants, dit Sophie en riant.
Et Sophie expliqua à Alix comment François et elle étaient devenus amants et les circonstances qui l’avait amenée François, ce qui intéressa beaucoup Alix.
- Et toi, cela fait longtemps que tu connais Edouard, demanda Sophie.
- Oui, ça fait quelques mois qu’on sort ensemble.
- Et tu l’aimes ?
- Je crois, oui, lui aussi d’ailleurs c’est pour ça que c’est seulement depuis la semaine dernière que nous avons fait l’amour pour la première fois.
- Ah oui, c’est très récent en effet.
- Oui, et ça a été une belle découverte pour tous les deux. Je n’imaginais pas que cela pouvait être aussi agréable, dit Alix avec un grand sourire.
- Tu veux dire que c’était la première fois que tu faisais l’amour ?
- Oui et je crois que je suis faite pour ça.
- Donc cela t’a énormément plu, dit Sophie. Compte tenu de ce que tu viens de me dire, je ne te demanderai donc pas comment Edouard se comporte au lit puisque tu n’as pas de référence.
- Oui, je verrai cela plus tard, mais sûrement dans pas longtemps.
- Mais enfin, tu viens de me dire que tu pensais aimer Edouard ! Et tu penses déjà à coucher avec d’autres hommes ?
- Et vous ? Vous m’avez bien dit que vous aimiez votre mari, non ? dit Alix avec un grand sourire.
- Touchée ! Dit Sophie en éclatant de rire, donc tu as bien l’intention de t’en donner à cœur joie ! Remarque, je pense que tu as raison, moi je regrette vraiment de n’avoir découvert le sexe à gogo que bien trop tard.
- Dites, je peux vous poser une question indiscrète ?
- Pose ta question, je verrai si je peux y répondre.
- Voilà, j’ai donc vu votre amant bander tout à l’heure, il est énorme. Ca n’est pas trop difficile quand vous faites l’amour ?
- Pas du tout, d’abord notre sexe à nous les femmes est extrêmement élastique et ensuite si l’on est bien excitée les fluides que nous produisons font un excellent lubrifiant. Maintenant il n’en reste pas moins vrai qu’un gros sexe comme celui de François ne rentre pas sans forcer un peu le passage, mais une fois dedans, c’est un vrai plaisir.
- Oui, mais vous vous êtes grande, moi je suis toute petite, ça ne rentrerait sûrement pas.
- Ca, ça m’étonnerai beaucoup.
- Vous croyez vraiment ?
- Dis moi ça a l’air de te tracasser. Dois je comprendre que tu aimerais tenter l’expérience ?
- ….
- D’accord, j’ai compris, dit Sophie en éclatant de rire. Eh bien écoute, voilà ce que je te propose : Aujourd’hui, il est trop tard, mais demain, je me débrouillerai pour attirer Edouard ailleurs et toi tu te débrouilleras pour faire venir François ici.
- Mais qui vous dit que François voudra de moi ?
- Tu plaisantes ? S’il s’est mis à bander comme tu dis, rien qu’en te regardant, crois moi, il se fera certainement un plaisir de t’honorer.
Les garçons entrant, elles mirent fin à cette conversation que de toute façon Sophie aurait interrompue car il était temps pour elle de rentrer.