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Sophi (11)

MessagePosté: 10 Déc 2006, 07:40
de ichiro [Crawler]
Lorsque Sophie arriva sur la plage le lendemain, Alix et Edouard étaient déjà allongés au soleil. Elle leur fit la bise, se dévêtit et s’allongea à côté d’eux.

Au bout d’un moment, Edouard proposa d’aller se baigner, les deux femmes ayant dit qu’elle n’en avait pas envie pour le moment, Edouard alla s’immerger seul.

- Alors, comment vas-tu depuis hier, demanda Sophie ?
- Super bien, je suis vraiment heureuse. En plus on a inauguré la nouvelle présentation de mon ventre hier.
- Ah bon ?
- Oui, Edouard était tellement excité, et moi aussi, d’ailleurs, qu’on est allé chez lui, puisque ses parents étaient à l’autre bout de la plage et on a fait l’amour. Et quand je suis arrivée tout à l’heure, on a recommencé, mais on a failli se faire surprendre par ses parents qui sont arrivés alors que j’allais aller me laver.
- Eh bien c’est très bien, je suis contente pour toi. De plus ce sera très bien pour toi car avec le ventre plein de sperme…
- Oui, ça fuit, interrompit Alix en éclatant de rire.
- C’est vrai, ce n’est pas désagréable, non ? Mais ce que je voulais dire, c’est que le sperme est un excellent lubrifiant qui, ajouté à tes propres fluides ne pourra que te faciliter l’accueil du pieu de François.

Elles interrompirent la conversation lorsqu’elles entendirent un sonore : Bonjour les déesses !
Lancé par François qui s’approchait.

Avant même que François ne soit assis, Alix, dit :

- Excusez moi François, mais cela fait un moment que nous sommes là avec Edouard, nous n’avons rien apporté à boire et je meurs de soif, pourrais je avoir quelque chose à boire chez vous ?
- Bien sûr, pas de problème, venez donc.

Alix se leva et ayant fait un clin d’œil à Sophie, emboîta le pas à François qui avait fait demi tour. Sophie, admirative devant l’opportunisme dont faisait preuve Alix, se leva et alla rejoindre Edouard afin de lui tenir compagnie.

François s’effaçant après avoir ouvert la porte, laissa passer Alix dont il admira les courbes parfaites. Il lui proposa un jus de fruit que Alix but goulûment, consciente que François la dévorait des yeux. Elle reposa le verre et vit en levant les yeux sur François qu’il avait les yeux rivés sur son ventre.

- Vous le trouvez vraiment beau comme ça ? demanda t elle ingénument.
- Mieux que cela ! splendide.
- C’est vrai ? Pourtant Sophie est très jolie comme ça elle aussi !
- Oui mais Sophie c’est différent, je la connais.
- Moi aussi vous me connaissez !
- Oui, mais pas comme elle
- Ca ne vous fait pas d’effet quand vous la voyez comme ça elle ? Demanda Alix qui, du coin de l’œil avait remarqué que le sexe de François commençait à vaincre les lois de la gravité terrestre.
- Ce n’est pas pareil.
- Parce que vous ne bandez pas rien qu’en la voyant comme ça ? dit Alix en regardant franchement le sexe de François qui maintenant pointait vers le plafond.

François comprit alors qu’au-delà du fait que Alix avait très soif, ceci n’avait été qu’une excuse pour qu’ils se retrouvent seuls. S’approchant d’elle, le premier contact qui s’établit entre eux, fut son sexe triomphant. Cela eut d’ailleurs un côté cocasse car, compte tenu de leur différence de taille, celui-ci prit appui sur le buste de Alix entre le nombril et les seins. Alix n’eut pas à beaucoup baisser les yeux pour considérer cet objet énorme qui semblait la fixer de son méat béant. Elle osa alors poser une main sur ce membre palpitant et chaud.

Son inexpérience était évidente, aussi, François lui fit effectuer des va et vient avec sa main. Elle découvrit alors qu’au grès de ces mouvements alternatifs, le gland, luisant, se découvrait puis se cachait sous le prépuce.

Alix qui malgré l’émoi était restée très lucide n’avait qu’une envie : que François la prenne !

Elle attira alors François vers le lit sur lequel elle s’allongea.

François, comprenant qu’en fait ce qui l’intéressait, c’était l’expérience qu’elle allait vivre de recevoir dans son ventre un «énorme » (pour elle) sexe, fit fi de tout préliminaire sentant qu’elle était prête à l’accueillir. Il lui écarta donc les jambes. Elle ne résista pas, au contraire, ouvrant les jambes autant qu’elle put, ce qui eut pour effet de commencer à ouvrir ses lèvres, comme un appel à la pénétration. S’allongeant doucement sur elle afin de ne pas l’écraser de sa masse, de sa main il guida son sexe vers l’entrée de son puits de plaisir et commença à s’enfoncer lentement en elle. Il la sentit se raidir, haleter. Il interrompit la pénétration de façon à lui laisser le temps de s’adapter, puis poursuivit la pénétration qui, nota t il se passait finalement très aisément, la lubrification étant parfaite, bien qu’il nota tout de même une compression sur son membre du fait de l’étroitesse du passage. Lorsqu’elle eut une légère grimace de douleur, il comprit qu’il était arrivé au fond du puits. En s’appuyant sur ses bras regardant vers leurs bas ventre, il vit qu’il manquait environ 5 cm pour qu’il puisse insérer la totalité de son membre. Cela lui procura une sorte de frustration car il éprouvait toujours un plaisir particulier à sentir sur la base de sa tige la chaleur suintante de ses partenaires. Mais en l’espèce il devait surtout penser à préserver l’intégrité de sa jeune partenaire et faire en sorte que cette expérience soit un moment de plaisir intense et non point une expérience cruelle.

Il laboura donc avec autant de délicatesse que possible cette beauté minuscule qui haletait et grognait de plaisir sous ses coups de pistons. Les halètements se transformèrent bientôt en petits cris de plaisir au moment ou il sentit sa tige comprimée à intervalles très rapprochés dénotant que Alix arrivait à un orgasme. Accélérant un peu le mouvement, il atteint lui aussi l’orgasme et éjacula au fond du ventre de Alix ce qui déclencha chez elle un nouvel orgasme.

Epuisée, Alix s’abandonna comme une poupée se son, les bras le long du corps, les jambes qu’elle avait maintenues largement écartées jusqu’alors retombèrent elles aussi de part et d’autre de François qui, toujours plantée en elle avait repris ses mouvements du bassin. Alix, toujours inerte nageait dans un océan de béatitude. François, au comble de l’excitation, ravi que son ardeur se maintint de telle manière poursuivit ces doux coups de piston jusqu’à une deuxième éjaculation que Alix accueillit les yeux presque révulsés de plaisir.

François perdant sa vigueur, se retira. Alix resta les jambes largement écartées, trop épuisée pour bouger. François alla chercher des boissons et lorsqu’il revint vers le lit, Alix n’avait toujours pas bougé, offrant à la vue de François son intimité, ses petites lèvres nouvellement initiées aux contraintes de l’amour restaient encore béantes après le passage d’un tel mat. De ces lèvres, François aperçut ainsi sa semence mêlée aux fluides de Alix s’écouler et glisser vers l’anus, la raie des fesses et enfin le drap sur lequel Alix gisait.

Ils se désaltérèrent, puis François s’allongeant, la prit dans ses bras, caressa sa poitrine dont il apprécia particulièrement le galbe et surtout la fermeté inimaginable, puis son ventre nouvellement glabre. Elle pendant ce temps caressait le sexe maintenant flaccide de François tout en l’admirant. Ils restèrent ainsi un long moment jusqu’à ce que retentisse quelques coups assénés à la porte. François se leva pour aller ouvrir tandis que Alix avait quitté le lit pour se poser dans un fauteuil. Sophie, dès qu’elle entra comprit que Alix avait eu ce qu’elle voulait, et même plus se dit elle en souriant à voir la mine radieuse qu’elle arborait.

- Alors, dit elle en s’approchant de Alix, comment as-tu trouvé ?
- Merveilleux ! Pourtant je n’aurai jamais cru que cela arriverait à rentrer.
- Bon si je comprends bien, c’était un coup monté, dit François en riant. J’ai servi d’étalon !
- Ne te fâche pas, voyons dit Sophie. La malheureuse avait pu noter, ce que je n’avais pas vu, que tu avais eu une belle érection hier lorsque tu l’as découverte rasée. Au cours d’une conversation elle m’avait exprimé son admiration tout en regrettant à priori de ne pouvoir jamais « essayer » de tel modèle trop gros à son avis pour sa taille. Je l’ai persuadée que toute femme pouvait recevoir même des monstres, notre sexe étant très élastique. Donc nous avons combiné cela, pendant que j’occupais Edouard.
- Tiens au fait, oui, où est il demanda Alix
- Il a dit qu’il devait passer chez lui, mais qu’il nous rejoindrait tout à l’heure.
- Ah ! Et vous n’avez pas eu de difficultés à le retenir, il n’a pas posé de questions ?
- Oh, pas du tout, dit Sophie en éclatant d’un rire sonore.
- Que voulez vous dire ?
- Tout simplement que j’ai l’air d’être à son goût et qu’il a essayer de me baiser, il n’y a pas d’autre mot !
- Oh le cochon ! S’exclama Alix. Je n’aurai pas cru qu’il serait capable de ça ! Ah, ma mère m’avait bien prévenue que les hommes, jeunes ou vieux, dès qu’ils sont avec une jolie femme, il faut qu’ils essaient de lui faire l’amour.
- Tu ne crois pas que tu exagères un peu, dit Sophie qui était restée un instant muette de stupéfaction. Que faisais tu pendant ce temps là ? Et de propos délibéré en plus, juste pour savoir quel effet cela faisait de faire l’amour avec un homme qui a un gros sexe !!
- C’est vrai, vous avez raison, dit Alix en éclatant de rire, je crois que je suis de mauvaise foi là ! Mais bon, qu’a t il fait alors ?
- Eh bien je l’ai rejoint dans l’eau, nous nous sommes beaucoup amusés et à un moment, il m’avait prise à bras le corps par derrière pour essayer de me retourner dans l’eau quand il a réalisé que involontairement il avait une main sur ma poitrine et l’autre en haut de mes cuisses. Du coup, gêné, il m’a lâchée en s’excusant. Je lui ai dit que ce n’était pas grave et que ce n’avait pas été désagréable, même si cela avait été bref. Du coup il m’a dit : et si je recommençais ? Je lui ai dit : pourquoi pas ? Il est repassé derrière moi et cette fois ci il m’a bien caressé la poitrine d’une main tandis que de l’autre il m’a carrément caressé le mont de vénus, la fente, il a même rentré les doigts.
- C’est vrai ? dit Alix. Et vous qu’est ce vous avez fait ?
- Moi, j’ai passé la main derrière et je n’ai pas eu de mal à trouver son sexe tout dur dans mon dos et je l’ai masturbé. Il a eu l’air d’aimer ça ! Et puis ensuite, comme il était très excité, il m’a retournée, m’a fait passer les jambes autour de sa taille et essayé de me pénétrer. Il n’a pas réussi car il y avait beaucoup de vagues. Je lui ai dit qu’on ferait ça plus tard, plus à l’aise.
- Eh bien, comme ça on sera à égalité, dit Alix en riant. Mais au fait, vous n’avez pas dit qu’il nous rejoindrait ici ?
- Si !
- Et si vous lui faisiez l’amour quand il rentrera ?

Sophie n’eut pas le temps de répondre que l’on frappait à la porte. Sophie alla ouvrir à Edouard. Il n’eut pas plutôt franchi la porte que, regardant avec insistance son entre jambe elle dit :

- Tu paraissais plus en forme tout à l’heure !

Edouard eut un sourire jaune, regarda Alix assise dans un fauteuil les jambes ouvertes, montrant son intimité et ne put émettre un mot.

Sophie enchaîna :
- Peut être que tu as besoin de me caresser pour cela ou bien tu préfères que ce soit moi qui te caresse comme tout à l’heure ?

Edouard étant dans l’incapacité de répondre, se demandant ce qui lui arrivait, tout pâle, à l’évidence très gêné que Sophie exprime aussi nettement devant Alix que son comportement avait été on ne peut plus critiquable en son absence.

Il changea encore plus de figure lorsque Sophie ayant pitié de lui, le prit par la main et l’entraînant vers le lit, elle l’allongea et sans lui laisser le temps de quelque réaction que ce soit, prit son petit sexe encore flaccide en bouche, lui caressant les testicules dans le même temps. La réaction ne se fit pas attendre, l’érection fut quasi instantanée et elle sentit le petit mat se dresser dans sa bouche. Interdit, mais l’air aux anges, Edouard ne bougeait pas. Sophie interrompit, enjamba Edouard et se laissa tomber sur son sexe, s’empalant jusqu’à la garde.

- C’est bien ce que tu voulais tout à l’heure, non ? Alors, voilà, on y est, ça ne te plaît pas ?
- Si, arriva t il à murmurer en regardant d’un air gêné vers Alix qui ne perdait pas une miette du spectacle.
- J’en suis ravie, dit Sophie qui, se tournant vers Alix en François leur lança : bon vous venez, oui ?

Les deux concernés ne se firent pas prier, François était déjà prêt, sexe au vent tel un étendard. Il empoigna Alix, la posa sur le lit aux cotés de Sophie et Edouard et, sans attendre, lui écarta les cuisses et la pénétra sans toutefois trop de précipitation, malgré le sperme résiduel qui lubrifiait parfaitement le puits, afin de ne pas faire souffrir Alix encore peu rodée.

Edouard contemplait ce spectacle d’un air ébahi tandis que Sophie s’agitait sur lui. L’association des deux fit qu’il éjacula subitement. Le trouble qu’il ressentait fit qu’il perdit rapidement son érection et s’échappa du puits de Sophie qui se relevant alla s’asseoir sur un fauteuil admirant le spectacle que lui fournissaient François et Alix.

Elle repensa alors à ce que lui avait dit Alix quant au fait qu’étant toute petite elle craignait d’être trop étroite. Cela déclencha chez elle la curiosité d’aller voir. Elle demanda donc à François de prendre Alix sur lui. Alix s’installa du mieux qu’elle put poitrine contre poitrine, à genou, les jambes écartelées de part et d’autre des hanches de François, présentant ainsi sa croupe et la fente que François envahit rapidement. Sophie qui s’était agenouillée entre les jambes de François fit signe à Edouard de s’approcher et ils purent ainsi contempler de près le travail d’un énorme mat envahissant progressivement ce minuscule orifice en le distendant et d’où sourdait à chaque coup de piston un peu du sperme des récentes éjaculations qui l’avaient inondé.

Ce spectacle impressionnant redonnant du tonus à Edouard, celui-ci se leva subitement et passant derrière Sophie, la saisit pas les hanches et la pénétra brutalement sans aucune difficulté, lubrifiée qu’elle était de leur rapport juste précédent. Il s’agita en elle rapidement et lorsque Sophie passa une main entre ses jambes pour caresser ses testicules, Edouard craqua aussitôt et l’inonda encore. Repu, il se désengagea et reprit son observation aux côtés de Sophie jusqu’à ce François arrive à l’orgasme et inonde le puits de Alix qui au rythme des coups de pistons plus rapides laissait échapper le trop plein de semence qui s’écoulait sur le ventre de François.

Lorsque les uns et les autres eurent un peu récupéré, ils se dirigèrent vers la plage, les unes un peu dégoulinantes les autres les jambes un peu molles et allèrent retrouver un peu de fraîcheur dans l’eau.