Michèle 04 (au restaurant)
Posté: 17 Mai 2008, 20:26
- À ta santé Michèle ; ravi de dîner avec toi.
- À votre santé Louis.
- Nous allons passer une excellente soirée, tu verras.
- J’en suis persuadée Louis. Je suis un peu gênée de me retrouver ici en votre compagnie ; jamais j’aurais cru être capable de cela.
- Allons Michèle, notre présence en tête à tête dans ce restaurant est tellement évidente Comment pourrais-tu être ailleurs ?
- Jamais, sans Marie, j’aurais pu être capable de dîner avec un jeune homme.
- Laissons Marie, veux-tu ; c’est de nous deux qu’il s’agit, de notre bonheur d’être ensemble ici.
- Oui bien sûr ; mais j’étais persuadée que je ne vous accompagnerais pas ce soir ; j’avais décidé le contraire. Et puis vous m’avez séduite, convaincue que je devais accepter ; pourtant cette soirée risque de provoquer une révolution dans ma vie. Néanmoins j’ai accepté de vous écouter. J’ai même consenti à votre souhait de me voir porter des bas, moi qui ne l’avais jamais fait. Et en plus, ces bas vous êtes venus les choisir avec moi … jamais on ne m’avait accompagnée lorsque je choisissais des collants … Trop intime ! Et des bas, c’est tellement plus intime encore … et vous, le tout jeune homme, vous avez guidé le choix de la dame mûre qu’ils allaient habiller … et cela en présence de la vendeuse. Je ne savais plus où me mettre … qu’allait-elle penser de moi, cette jeune dame ? C’est que dans ces bas … que vous m’avez … disons imposés …, il y a comme un parfum de volupté … si fins, et avec couture ... Des objets tellement délicats … qu’un homme si jeune, une fois ceux-ci passés, a admirés sur mes jambes.
- Gênée ? Peut-être un peu ? Mais tu t’es laissée aller à ta féminité, et tu as ressenti qu’il fallait apporter du soin à ce choix, en discuter … afin que ces bas mettent merveilleusement tes jambes en valeur, et qu’en conséquence elles subjuguent ton chevalier servant. Les jambes d’une femme ont un excellent pouvoir de séduction sur les hommes … et tu sais exploiter cela au maximum, en perfectionniste.
- Vous avez des jugements rapides … j’étais gênée dans le magasin … peut-être parce que comme vous le dites … je voulais exploiter …
- Je suis fier de toi Michèle, fier que tu aies mis des bas, que tu les aies choisis avec attention … et avec mon aide, pas uniquement seule.
- Sans doute que pour les bas … Merci aussi de me dire que vous êtes fier de moi … Mais je suis tout de même un peu affolée : je vous ai suivi au restaurant
… avec en plus des bas … tellement parfaits. Je vous suivrai ensuite dans une promenade, et peut-être encore chez vous. J’ai peur. Peur de ce qui va m’arriver. Peur de ne pas me reconnaître moi-même. Je suis une vieille pour vous … et pourtant je me sens auprès de vous comme une toute jeune fille qui se rend à son premier rendez-vous. Angoissant. Vous avez fait de moi une sorte de post-adolescente. J’ai peur Louis. Soyez patient avec moi. Il vous faudra être patient … tout cela me dépasse.
- Allons Michèle, prenons les choses comme elles viennent ; confie-moi ta jolie petite main, regarde-moi dans les yeux, souris.
- Quel enchanteur vous faites ! Je suis en train de faire une chose que j’aurais cru ne jamais pouvoir faire, une chose à laquelle je n’aurais jamais osé rêver, je me retrouve dans une situation que jamais je n’aurais dû vivre. Et pourtant je suis heureuse, même si je n’en suis pas très fière. Pourtant tout de même je suis quelque peu inquiète et apeurée. Je vous en prie, soyez délicat avec moi, respectez-moi. Marie m a parlé de votre délicatesse …
- Et si nous vivions tous deux notre présence ici, l’un en face de l’autre en oubliant Marie ?
- Difficile, Marie est mon amie ; c’est elle qui m’a fait votre apologie c’est à cause d’elle que j’ai eu envie de vous rencontrer, d’accepter de le faire, de le faire enfin.
- Bien sûr mais nous sommes deux ici ; restons seulement tous deux, veux-tu ?
- Je vais essayer mais cette situation est tellement incongrue pour moi. Je suis timide savez-vous ? Particulièrement ce soir. Nous sommes deux comment tout cela va-t-il évoluer ? Cela m’inquiète, comprenez-vous ?
- Je comprends bien sûr ton inquiétude. Puis-je, Michèle, me permettre d’enserrer tes genoux dans les miens ?
Michèle sourit mais ne répond pas.
- Je vais enserrer délicatement tes genoux ; tu verras tu ne trouveras pas cela désagréable ... de si belles jambes dans des bas aussi fins …
- Vous êtes terriblement redoutable Louis ; vous faites de moi votre jouet. Et qu’adviendra-t-il de moi si j’accepte de vous suivre chez vous ?
- Mais tu as accepté Michèle ; tu sais bien que tu as accepté. Habitue-toi à cette décision que tu as prise.
- Vous êtes sûr de vous ! Moi j’hésite toujours. D’ailleurs vous m’avez promis de me laisser repartir si tel était mon désir …
- Mais je le ferai Michèle, mais tu ne voudras pas repartir, sois-en certaine.
- Oh quelle certitude ! Ne trouvez-vous pas que vous êtes présomptueux ?
- Je ne suis pas présomptueux Michèle ; si tu as accepté mon invitation c’est parce que tu souhaitais passer la soirée avec moi, et parce que tu savais que tu n’aurais pas envie de mettre rapidement fin à notre rencontre.
- Me respectez-vous vraiment Louis ? J’ai l’impression que vous m’ôtez tout libre-arbitre, qu’avec vous je n’ai plus aucun espace de liberté.
- Je te respecte Michèle ; tu jouis de toute ta liberté. Être libre, cela ne signifie pas refuser ; être libre, c’est avoir le choix. Tu as choisi librement Michèle, et tu vis cela. Si tout à coup, pour te donner une impression fallacieuse de ta liberté, tu rejetais ce choix qui est le tien, je crains bien que tu ne sois rapidement amenée à le regretter.
- Oui peut-être. J’ai effectivement dû faire mon choix … sans oser me l’avouer vraiment … il faut que je m’habitue à cette idée de l’avoir fait.
- Tu vas t’habituer Michèle ; c est pour cela que nous sommes ici à dîner, pour prendre notre temps, pour t’habituer à me voir, à sentir parfois ma main sur la tienne, mes genoux contre les tiens, pour que ce bonheur que tu ressens ... tellement, inonde peu à peu ton corps et ton âme.
- Je vais essayer de m’habituer doucement.
- Tu es très belle Michèle, terriblement belle, très féminine, toute svelte … et en plus très intelligente. Tu me plais énormément. Que tu me plaises, c’est une nécessité si nous voulons passer une soirée agréable … et j’espère que je te plais également. Sans quoi, c’est évident, tu repartiras chez toi.
- Oui, vous me plaisez Louis. Et c’est ce qui me fait peur. Et puis vous êtes tellement jeune. Comment une femme de mon âge, de mon rang social disons, peut-elle se laisser séduire par un homme aussi jeune ? J’ai peur Louis. Peur de l’homme ; peur de votre jeunesse. Peur de moi.
- Allons Michèle, cesse d’avoir peur ; profitons de ce dîner pour nous apprivoiser.
- Il y a longtemps que je suis apprivoisée, vous le savez ...
- Apprivoisée sans doute, mais toujours un peu rétive. Je te prendrai la main furtivement de temps à autre. Je t’enserrerai également légèrement les genoux : l’apprivoisement passe par ces contacts physiques-là … même si mon pantalon … dont la finesse n’est pas comparable à celle de tes bas empêchera le contact direct de nos genoux. Et quand nous nous promènerons, je pourrai t’entourer les épaules de mon bras ou t’enserrer la taille. Je suis persuadé que, sur le chemin de la maison, cela achèvera de nous apprivoiser.
- Vous êtes tellement sûr de vous … vous me donnez l’impression que je ne peux pas ne pas vous suivre.
- Tu le peux bien sûr Michèle, mais le veux-tu ? Et il serait complètement absurde que tu prennes une décision contraire à notre volonté commune, simplement pour faire acte d’autorité.
- Oui Louis, je vous suivrai chez vous. J’espère que je ne le regretterai pas.
- Tu ne le regretteras pas, Michèle, sois-en certaine nous ne le regretterons pas.
- Je vais vous suivre chez vous, et vous allez user de mon corps … je vais vous laisser user de mon corps. Jamais un autre que mon mari n’en a usé. Il faudra me respecter, être délicat avec moi ...
- Michèle, sois certaine que je ne vais pas user de ton corps … en fait nous allons réciproquement user de nos corps, avec plaisir, délicatesse et respect.
- Comme je viens de vous le dire, je n’ai jamais connu d’autre homme que mon mari … pouvez-vous imaginer ça ? comprendre ça ?
- Oublions ton mari, Michèle, comme nous oublions Marie. Ce soir nous ne sommes que deux, et seulement deux à partager notre bonheur.
- Désolé Louis, mais je crains ne pas pouvoir oublier que je suis mariée, mère de famille.
- Nous tâcherons de laisser cette réalité-là en arrière plan.
- J’ai encore d’autres choses à vous demander Louis … vous allez me respecter ?
- C’est évident que je te respecterai, que tu me respecteras et que tu te respecteras toi-même. Nous allons nous connaître dans le respect, la douceur, la délicatesse, sois-en certaine.
- Bon alors c’est difficile à dire. Difficile pour une femme … Pour cette fois-ci, vous ne ferez que me sodomiser et avec un préservatif …
- Michèle, donne-moi la main. Te sodomiser, comme ça, à la volée, sans qu’on ne se soit jamais connus autrement auparavant … Crois-tu que nous pourrions partager ce plaisir-là, ce plaisir-là seulement, si nous n’avions pas fait plus intiment connaissance auparavant ?
- Je ne sais pas Louis, mais comprenez-moi, respectez-moi … jamais personne d’autre que mon mari n’a usé de mon corps à ce jour. Aussi imaginez-vous que je puisse vous offrir mon sexe tout à trac ? Respectez-moi Louis, je vous en prie. Je ne peux pas. Pas maintenant. Je ne suis pas prête. Pas encore.
- Je te respecte Michèle, et justement parce que je te respecte, je ne peux pas te laisser gâcher notre plaisir : commencer notre relation par la sodomie ne pourrait être qu’un échec. Je te respecte Michèle, c’est pourquoi je te dis : prenons les choses dans l’ordre, dans l’ordre … naturel. Je t’en prie, Michèle.
- Je ne peux pas accepter cela Louis … je ne suis pas prête … je n’ai jamais connu que mon mari … il faut me comprendre …
- Je te comprends Michèle : ce soir nous sommes deux, nous resterons deux, nous allons partager notre plaisir à deux. Tu comprends cela Michèle ?
- Je ne suis pas prête … ce que vous me demandez là …
- Ce que je te demande là, c’est que tu acceptes que nous partagions notre plaisir. Toi, moi, nous deux. Uniquement nous deux. Tu sais parfaitement qu’on ne peut pas tricher avec le plaisir, Michèle. Tout se passera bien, tu verras : nos corps apprendront à se connaître, à s’apprécier.
- Vous êtes directif …
- Crois-tu vraiment que les choses puissent se passer autrement ?
- Vous avez sans doute raison, comme d’habitude. Mais il faudra être très patient avec moi, Louis.
- Je serai patient, n’aie crainte Michèle. Patient mais ferme : nous ne pouvons pas gâcher cette nuit qui s’offre à nous.
- Il faut que je m’habitue à cela, à cette idée du plaisir, du plaisir partagé … mais ce sera sans doute difficile.
- Ce sera facile, tu verras, je ne te brusquerai pas, sois-en certaine, tout se déroulera bien, de manière naturelle.
- Il faudra être patient, je vais sans doute être rétive
- Nous verrons Michèle … nous verrons si tu te montres un peu trop rétive, tu risques de ne pas pouvoir te décontracter, d’être tendue … Alors là, si je te sens tout de même prête, bien que stressée, et seulement si je le ressens, j’aurai peut-être à te brusquer quelque peu … Mais sans violence, sans vulgarité, sois-en certaine … tout en douceur … et avec le plus profond respect de ta personne.
- Je suis un cas difficile j’espère que je ne serai pas trop tendue.
- Contente-toi d’être femme, Michèle, de te laisser aller à ta sensibilité de femme, à tes instincts de femme et tu verras nous allons connaître un vrai bonheur ... une femme, un homme.
- Je l’espère Louis.
- Tu es déjà moins tendue, je vois.
- Oui, en effet j’ai encore une chose à vous dire : nous emploierons des préservatifs.
- Je suis sain, Michèle, j’ai passé le test. Tu es saine également je suppose …
- Je suis saine également moi aussi … mais je n’ai jamais connu d’autre homme que mon mari … comment voudriez-vous dans ce cas que j’accepte votre semence en moi ... pas tout de suite … pas maintenant en tout cas … Il me faut du temps pour accepter cela ...
- Tu l’accepteras Michèle, tu l’as déjà accepté … car c’est dans l’ordre des choses.
- Oh non, pas cela … pas déjà … d’autant plus que je suis en pleine période de fécondité … vous voyez cela … vous pourriez m’engrosser, engrosser une femme de mon âge …
- Tu accepteras Michèle, c’est dans l’ordre des choses te dis-je … pour dissiper tes craintes, tu prendras une pilule du lendemain. Allons Michèle, souris-moi.
- Ah la loi de l’homme ! L’implacable loi de l’homme ! La loi qu’il impose à la faible femme !
- Tu es saine ? Tu as fait un test ?
- Oui j ai fait un test ; Marie m’a demandé de le faire ; il est négatif.
- Tu vois, tout est bien. Nous allons passer une grande, belle et longue nuit, Michèle.
- Si vous le dites ...
- Je vais te demander une chose encore Michèle.
- Oh la la, vous me faites peur.
- N’aie pas peur, c’est tout simple. Nous en arrivons au dessert ; peut-être prendrons-nous un café ensuite ? Ce que je te propose est simple et tu verras tu seras fière de l’accomplir. Comme tu es fière maintenant de porter des bas ...
- Mais encore ?
- Avant de quitter le restaurant, je te suggère d’aller aux toilettes et de ne conserver sur toi que ta robe et tes bas d’accord ? Nous nous promènerons ensuite quelque peu sur le quai, puis nous rejoindrons la maison. Tu verras, tu vas aimer cela.
- Non, je ne peux accepter ce que vous me demandez là. Impossible ! Je n’ai jamais fait cela … mon mari ne me l’a jamais demandé … et s’il l’avait fait, j’aurais refusé.
- Mais si, tu le feras, tu verras ; la maison n’est pas loin et tu seras heureuse sur la route d’être vêtue de la sorte en compagnie d’un homme qui te plaît, et à qui tu plais, un homme avec qui tu vas partager une nuit de plaisir. Tu seras nue sous ta robe, tu me feras ce cadeau-là, tu te feras ce cadeau-là ; ce sera notre secret. Tu vas aimer ce secret, notre secret ! Nous allons être complices ! Deux complices qui se préparent à s’aimer, à s’aimer toute une nuit.
- Non !
- Tu vas aimer, c’est évident. Choisissons un dessert. Laissons le temps au temps, le temps de déguster ce dessert, de boire un café, le temps que tu t’habitues à l’idée …
- Nous verrons …
- Merci Michèle ; prenons le dessert … et en attendant le café tu … Une fois arrivés à la maison, je n’aurai qu’à décrocher ta robe ; elle choira toute seule et j’aurai immédiatement ton magnifique corps contre le mien. Tu verras alors combien tu aimeras avoir eu cette audace ! Quel beau souvenir tu conserveras de cela.
- À votre santé Louis.
- Nous allons passer une excellente soirée, tu verras.
- J’en suis persuadée Louis. Je suis un peu gênée de me retrouver ici en votre compagnie ; jamais j’aurais cru être capable de cela.
- Allons Michèle, notre présence en tête à tête dans ce restaurant est tellement évidente Comment pourrais-tu être ailleurs ?
- Jamais, sans Marie, j’aurais pu être capable de dîner avec un jeune homme.
- Laissons Marie, veux-tu ; c’est de nous deux qu’il s’agit, de notre bonheur d’être ensemble ici.
- Oui bien sûr ; mais j’étais persuadée que je ne vous accompagnerais pas ce soir ; j’avais décidé le contraire. Et puis vous m’avez séduite, convaincue que je devais accepter ; pourtant cette soirée risque de provoquer une révolution dans ma vie. Néanmoins j’ai accepté de vous écouter. J’ai même consenti à votre souhait de me voir porter des bas, moi qui ne l’avais jamais fait. Et en plus, ces bas vous êtes venus les choisir avec moi … jamais on ne m’avait accompagnée lorsque je choisissais des collants … Trop intime ! Et des bas, c’est tellement plus intime encore … et vous, le tout jeune homme, vous avez guidé le choix de la dame mûre qu’ils allaient habiller … et cela en présence de la vendeuse. Je ne savais plus où me mettre … qu’allait-elle penser de moi, cette jeune dame ? C’est que dans ces bas … que vous m’avez … disons imposés …, il y a comme un parfum de volupté … si fins, et avec couture ... Des objets tellement délicats … qu’un homme si jeune, une fois ceux-ci passés, a admirés sur mes jambes.
- Gênée ? Peut-être un peu ? Mais tu t’es laissée aller à ta féminité, et tu as ressenti qu’il fallait apporter du soin à ce choix, en discuter … afin que ces bas mettent merveilleusement tes jambes en valeur, et qu’en conséquence elles subjuguent ton chevalier servant. Les jambes d’une femme ont un excellent pouvoir de séduction sur les hommes … et tu sais exploiter cela au maximum, en perfectionniste.
- Vous avez des jugements rapides … j’étais gênée dans le magasin … peut-être parce que comme vous le dites … je voulais exploiter …
- Je suis fier de toi Michèle, fier que tu aies mis des bas, que tu les aies choisis avec attention … et avec mon aide, pas uniquement seule.
- Sans doute que pour les bas … Merci aussi de me dire que vous êtes fier de moi … Mais je suis tout de même un peu affolée : je vous ai suivi au restaurant
… avec en plus des bas … tellement parfaits. Je vous suivrai ensuite dans une promenade, et peut-être encore chez vous. J’ai peur. Peur de ce qui va m’arriver. Peur de ne pas me reconnaître moi-même. Je suis une vieille pour vous … et pourtant je me sens auprès de vous comme une toute jeune fille qui se rend à son premier rendez-vous. Angoissant. Vous avez fait de moi une sorte de post-adolescente. J’ai peur Louis. Soyez patient avec moi. Il vous faudra être patient … tout cela me dépasse.
- Allons Michèle, prenons les choses comme elles viennent ; confie-moi ta jolie petite main, regarde-moi dans les yeux, souris.
- Quel enchanteur vous faites ! Je suis en train de faire une chose que j’aurais cru ne jamais pouvoir faire, une chose à laquelle je n’aurais jamais osé rêver, je me retrouve dans une situation que jamais je n’aurais dû vivre. Et pourtant je suis heureuse, même si je n’en suis pas très fière. Pourtant tout de même je suis quelque peu inquiète et apeurée. Je vous en prie, soyez délicat avec moi, respectez-moi. Marie m a parlé de votre délicatesse …
- Et si nous vivions tous deux notre présence ici, l’un en face de l’autre en oubliant Marie ?
- Difficile, Marie est mon amie ; c’est elle qui m’a fait votre apologie c’est à cause d’elle que j’ai eu envie de vous rencontrer, d’accepter de le faire, de le faire enfin.
- Bien sûr mais nous sommes deux ici ; restons seulement tous deux, veux-tu ?
- Je vais essayer mais cette situation est tellement incongrue pour moi. Je suis timide savez-vous ? Particulièrement ce soir. Nous sommes deux comment tout cela va-t-il évoluer ? Cela m’inquiète, comprenez-vous ?
- Je comprends bien sûr ton inquiétude. Puis-je, Michèle, me permettre d’enserrer tes genoux dans les miens ?
Michèle sourit mais ne répond pas.
- Je vais enserrer délicatement tes genoux ; tu verras tu ne trouveras pas cela désagréable ... de si belles jambes dans des bas aussi fins …
- Vous êtes terriblement redoutable Louis ; vous faites de moi votre jouet. Et qu’adviendra-t-il de moi si j’accepte de vous suivre chez vous ?
- Mais tu as accepté Michèle ; tu sais bien que tu as accepté. Habitue-toi à cette décision que tu as prise.
- Vous êtes sûr de vous ! Moi j’hésite toujours. D’ailleurs vous m’avez promis de me laisser repartir si tel était mon désir …
- Mais je le ferai Michèle, mais tu ne voudras pas repartir, sois-en certaine.
- Oh quelle certitude ! Ne trouvez-vous pas que vous êtes présomptueux ?
- Je ne suis pas présomptueux Michèle ; si tu as accepté mon invitation c’est parce que tu souhaitais passer la soirée avec moi, et parce que tu savais que tu n’aurais pas envie de mettre rapidement fin à notre rencontre.
- Me respectez-vous vraiment Louis ? J’ai l’impression que vous m’ôtez tout libre-arbitre, qu’avec vous je n’ai plus aucun espace de liberté.
- Je te respecte Michèle ; tu jouis de toute ta liberté. Être libre, cela ne signifie pas refuser ; être libre, c’est avoir le choix. Tu as choisi librement Michèle, et tu vis cela. Si tout à coup, pour te donner une impression fallacieuse de ta liberté, tu rejetais ce choix qui est le tien, je crains bien que tu ne sois rapidement amenée à le regretter.
- Oui peut-être. J’ai effectivement dû faire mon choix … sans oser me l’avouer vraiment … il faut que je m’habitue à cette idée de l’avoir fait.
- Tu vas t’habituer Michèle ; c est pour cela que nous sommes ici à dîner, pour prendre notre temps, pour t’habituer à me voir, à sentir parfois ma main sur la tienne, mes genoux contre les tiens, pour que ce bonheur que tu ressens ... tellement, inonde peu à peu ton corps et ton âme.
- Je vais essayer de m’habituer doucement.
- Tu es très belle Michèle, terriblement belle, très féminine, toute svelte … et en plus très intelligente. Tu me plais énormément. Que tu me plaises, c’est une nécessité si nous voulons passer une soirée agréable … et j’espère que je te plais également. Sans quoi, c’est évident, tu repartiras chez toi.
- Oui, vous me plaisez Louis. Et c’est ce qui me fait peur. Et puis vous êtes tellement jeune. Comment une femme de mon âge, de mon rang social disons, peut-elle se laisser séduire par un homme aussi jeune ? J’ai peur Louis. Peur de l’homme ; peur de votre jeunesse. Peur de moi.
- Allons Michèle, cesse d’avoir peur ; profitons de ce dîner pour nous apprivoiser.
- Il y a longtemps que je suis apprivoisée, vous le savez ...
- Apprivoisée sans doute, mais toujours un peu rétive. Je te prendrai la main furtivement de temps à autre. Je t’enserrerai également légèrement les genoux : l’apprivoisement passe par ces contacts physiques-là … même si mon pantalon … dont la finesse n’est pas comparable à celle de tes bas empêchera le contact direct de nos genoux. Et quand nous nous promènerons, je pourrai t’entourer les épaules de mon bras ou t’enserrer la taille. Je suis persuadé que, sur le chemin de la maison, cela achèvera de nous apprivoiser.
- Vous êtes tellement sûr de vous … vous me donnez l’impression que je ne peux pas ne pas vous suivre.
- Tu le peux bien sûr Michèle, mais le veux-tu ? Et il serait complètement absurde que tu prennes une décision contraire à notre volonté commune, simplement pour faire acte d’autorité.
- Oui Louis, je vous suivrai chez vous. J’espère que je ne le regretterai pas.
- Tu ne le regretteras pas, Michèle, sois-en certaine nous ne le regretterons pas.
- Je vais vous suivre chez vous, et vous allez user de mon corps … je vais vous laisser user de mon corps. Jamais un autre que mon mari n’en a usé. Il faudra me respecter, être délicat avec moi ...
- Michèle, sois certaine que je ne vais pas user de ton corps … en fait nous allons réciproquement user de nos corps, avec plaisir, délicatesse et respect.
- Comme je viens de vous le dire, je n’ai jamais connu d’autre homme que mon mari … pouvez-vous imaginer ça ? comprendre ça ?
- Oublions ton mari, Michèle, comme nous oublions Marie. Ce soir nous ne sommes que deux, et seulement deux à partager notre bonheur.
- Désolé Louis, mais je crains ne pas pouvoir oublier que je suis mariée, mère de famille.
- Nous tâcherons de laisser cette réalité-là en arrière plan.
- J’ai encore d’autres choses à vous demander Louis … vous allez me respecter ?
- C’est évident que je te respecterai, que tu me respecteras et que tu te respecteras toi-même. Nous allons nous connaître dans le respect, la douceur, la délicatesse, sois-en certaine.
- Bon alors c’est difficile à dire. Difficile pour une femme … Pour cette fois-ci, vous ne ferez que me sodomiser et avec un préservatif …
- Michèle, donne-moi la main. Te sodomiser, comme ça, à la volée, sans qu’on ne se soit jamais connus autrement auparavant … Crois-tu que nous pourrions partager ce plaisir-là, ce plaisir-là seulement, si nous n’avions pas fait plus intiment connaissance auparavant ?
- Je ne sais pas Louis, mais comprenez-moi, respectez-moi … jamais personne d’autre que mon mari n’a usé de mon corps à ce jour. Aussi imaginez-vous que je puisse vous offrir mon sexe tout à trac ? Respectez-moi Louis, je vous en prie. Je ne peux pas. Pas maintenant. Je ne suis pas prête. Pas encore.
- Je te respecte Michèle, et justement parce que je te respecte, je ne peux pas te laisser gâcher notre plaisir : commencer notre relation par la sodomie ne pourrait être qu’un échec. Je te respecte Michèle, c’est pourquoi je te dis : prenons les choses dans l’ordre, dans l’ordre … naturel. Je t’en prie, Michèle.
- Je ne peux pas accepter cela Louis … je ne suis pas prête … je n’ai jamais connu que mon mari … il faut me comprendre …
- Je te comprends Michèle : ce soir nous sommes deux, nous resterons deux, nous allons partager notre plaisir à deux. Tu comprends cela Michèle ?
- Je ne suis pas prête … ce que vous me demandez là …
- Ce que je te demande là, c’est que tu acceptes que nous partagions notre plaisir. Toi, moi, nous deux. Uniquement nous deux. Tu sais parfaitement qu’on ne peut pas tricher avec le plaisir, Michèle. Tout se passera bien, tu verras : nos corps apprendront à se connaître, à s’apprécier.
- Vous êtes directif …
- Crois-tu vraiment que les choses puissent se passer autrement ?
- Vous avez sans doute raison, comme d’habitude. Mais il faudra être très patient avec moi, Louis.
- Je serai patient, n’aie crainte Michèle. Patient mais ferme : nous ne pouvons pas gâcher cette nuit qui s’offre à nous.
- Il faut que je m’habitue à cela, à cette idée du plaisir, du plaisir partagé … mais ce sera sans doute difficile.
- Ce sera facile, tu verras, je ne te brusquerai pas, sois-en certaine, tout se déroulera bien, de manière naturelle.
- Il faudra être patient, je vais sans doute être rétive
- Nous verrons Michèle … nous verrons si tu te montres un peu trop rétive, tu risques de ne pas pouvoir te décontracter, d’être tendue … Alors là, si je te sens tout de même prête, bien que stressée, et seulement si je le ressens, j’aurai peut-être à te brusquer quelque peu … Mais sans violence, sans vulgarité, sois-en certaine … tout en douceur … et avec le plus profond respect de ta personne.
- Je suis un cas difficile j’espère que je ne serai pas trop tendue.
- Contente-toi d’être femme, Michèle, de te laisser aller à ta sensibilité de femme, à tes instincts de femme et tu verras nous allons connaître un vrai bonheur ... une femme, un homme.
- Je l’espère Louis.
- Tu es déjà moins tendue, je vois.
- Oui, en effet j’ai encore une chose à vous dire : nous emploierons des préservatifs.
- Je suis sain, Michèle, j’ai passé le test. Tu es saine également je suppose …
- Je suis saine également moi aussi … mais je n’ai jamais connu d’autre homme que mon mari … comment voudriez-vous dans ce cas que j’accepte votre semence en moi ... pas tout de suite … pas maintenant en tout cas … Il me faut du temps pour accepter cela ...
- Tu l’accepteras Michèle, tu l’as déjà accepté … car c’est dans l’ordre des choses.
- Oh non, pas cela … pas déjà … d’autant plus que je suis en pleine période de fécondité … vous voyez cela … vous pourriez m’engrosser, engrosser une femme de mon âge …
- Tu accepteras Michèle, c’est dans l’ordre des choses te dis-je … pour dissiper tes craintes, tu prendras une pilule du lendemain. Allons Michèle, souris-moi.
- Ah la loi de l’homme ! L’implacable loi de l’homme ! La loi qu’il impose à la faible femme !
- Tu es saine ? Tu as fait un test ?
- Oui j ai fait un test ; Marie m’a demandé de le faire ; il est négatif.
- Tu vois, tout est bien. Nous allons passer une grande, belle et longue nuit, Michèle.
- Si vous le dites ...
- Je vais te demander une chose encore Michèle.
- Oh la la, vous me faites peur.
- N’aie pas peur, c’est tout simple. Nous en arrivons au dessert ; peut-être prendrons-nous un café ensuite ? Ce que je te propose est simple et tu verras tu seras fière de l’accomplir. Comme tu es fière maintenant de porter des bas ...
- Mais encore ?
- Avant de quitter le restaurant, je te suggère d’aller aux toilettes et de ne conserver sur toi que ta robe et tes bas d’accord ? Nous nous promènerons ensuite quelque peu sur le quai, puis nous rejoindrons la maison. Tu verras, tu vas aimer cela.
- Non, je ne peux accepter ce que vous me demandez là. Impossible ! Je n’ai jamais fait cela … mon mari ne me l’a jamais demandé … et s’il l’avait fait, j’aurais refusé.
- Mais si, tu le feras, tu verras ; la maison n’est pas loin et tu seras heureuse sur la route d’être vêtue de la sorte en compagnie d’un homme qui te plaît, et à qui tu plais, un homme avec qui tu vas partager une nuit de plaisir. Tu seras nue sous ta robe, tu me feras ce cadeau-là, tu te feras ce cadeau-là ; ce sera notre secret. Tu vas aimer ce secret, notre secret ! Nous allons être complices ! Deux complices qui se préparent à s’aimer, à s’aimer toute une nuit.
- Non !
- Tu vas aimer, c’est évident. Choisissons un dessert. Laissons le temps au temps, le temps de déguster ce dessert, de boire un café, le temps que tu t’habitues à l’idée …
- Nous verrons …
- Merci Michèle ; prenons le dessert … et en attendant le café tu … Une fois arrivés à la maison, je n’aurai qu’à décrocher ta robe ; elle choira toute seule et j’aurai immédiatement ton magnifique corps contre le mien. Tu verras alors combien tu aimeras avoir eu cette audace ! Quel beau souvenir tu conserveras de cela.