Michèle 07 (la pénétration)
Posté: 18 Mai 2008, 18:02
À quoi bon continuer à polémiquer … ? Michèle n’attendait qu’une chose … qu’il ignorât ses dernières défenses de vierge : elle était maintenant prête à se rendre … Et Louis était conscient qu’il était temps de s’imposer à elle ; il reprit alors possession de sa bouche … qui s’entrouvrit naturellement … satisfaite de se retrouver dans l’impossibilité d’émettre à présent la moindre protestation … Un long baiser s’ensuivit. Une main fermement accrochée à sa taille, et la serrant très fort contre lui, il lui caressa, qui le haut du dos, qui les fesses … Et de son côté elle s’adonna calmement à lui prodiguer de douces caresses sur les épaules et la nuque. Plus de tension, plus d’appréhension, plus de fausse pudeur ... elle était toute dans ce long baiser qui s’éternisait et dans ces cajoleries qu’ils échangeaient. Elle n’était plus qu’attente … même si elle se voulait d’ignorer ce qui se passait un peu plus bas dans son corps, là où leurs sexes étaient entrés en contact … elle se voulait l’ignorer … le gland de Louis inséré en elle … Mais qu’attendait-il pour s’engouffrer plus avant … ? Pour la forcer … ? Et qu’est-ce qu’il allait penser d’elle si elle se soumettait si facilement … ? N’allait-elle pas être tenue de protester … ? Mais Dieu merci, leurs bouches collées, elle ne pouvait plus s’insurger … et « dissipée » comme elle entendait le demeurer, concentrée sur ce baiser, elle n’allait rien voir venir … il pouvait agir.
Marie lui avait bien dit qu’elle avait été surprise par le volume du sexe de Louis … nettement plus développé que celui de son mari … Même avertie, elle, Michèle, avait aussi été étonnée, quand elle avait senti le gland de Louis prendre position à l’entrée de son vagin inondé … et elle pensait que cette lubrification abondante était une bénédiction … que sans elle, elle aurait eu à souffrir … et maintenant qu’il avait enfin entrepris de la posséder, comme elle était fière de savoir qu’un tel membre allait la pénétrer … et pouvoir malgré son volume, se faire aisément place en elle … devenue une sorte de fontaine. Bien entendu cela l’avait gênée que Louis se fût rendu compte qu’elle était toute liquide … de cet appel qu’elle lui lançait … Jamais avec Pierre elle n’avait réagi de la sorte … peut-être parce qu’il ne lui en laissait jamais le temps … ? Ou parce qu’il ne se souciait pas de son plaisir à elle … ? Il y avait bien eu la libération des mœurs, la libération de la femme … mais dans son couple tout cela était ignoré … Faire l’amour, c’était le plaisir de monsieur, l’affaire de monsieur. On ne leur avait jamais appris qu’une femme, elle aussi, pouvait connaître le plaisir. Son plaisir … qui y aurait songé …? Même pas elle … d’ailleurs. Et à ce qu’elle avait cru comprendre, c’était la règle un peu partout. Être une femme « libérée », ça signifiait plus avoir des amants … que de prendre plaisir à faire l’amour avec son mari … Être une femme « libérée » ça sonnait un peu comme être une femme « de mauvaise vie ». Mais quel bonheur l’inondait maintenant … Elle allait « être prise » par un membre à faire rêver n’importe quelle femme … ça allait être un vrai bonheur. Inavouable ! Et elle ne pourrait rien en laisser apparaître à Louis … elle se devrait se concentrer sur le baiser qu’ils échangeaient et les caresses qu’ils se donnaient l’un l’autre … une femme « honnête » ne pouvait pas se laisser aller à la manifestation de son bonheur. Elle allait le vivre dans la discrétion … comme il convient à une « honnête femme ».
Louis savait qu’il était temps, qu’elle s’était complètement abandonnée, qu’elle n’était plus qu’attente … Il lui saisit les fesses de ses deux mains … Par réflexe, elle se colla plus encore à lui. D’une poussée légère, qui se voulait imperceptible, mais qui n’en était pas moins ferme, il se glissa quelque peu plus profondément en elle. Trois ou quatre centimètres, qu’occupée à l’échange de leur doux baiser, et des caresses qu’elle lui donnait, elle pouvait feindre d’ignorer … Feindre ! … mais combien le plaisir tant attendu s’imposait à elle … comment son vagin tressaillait involontairement … Comme elle n’attendait plus qu’une chose, qu’il prît complètement possession d’elle ! Louis, alors qu’il ne l’avait en fait que très peu investie encore, comprit que « la jeune vierge » approuvait manifestement cette progression qu’il venait d’entreprendre en elle … Sûr, elle n’allait plus protester, même pour la forme ! … Mais il persévéra néanmoins à l’embrasser … Pour lui donner le change ... Et elle adorait ça … il lui permettait d’être toute à ce baiser qui se faisait si long … d’être simplement occupée par lui et par les caresses qu’elle lui prodiguait. Aussi il gagna encore quatre ou cinq centimètres. Il était maintenant bien installé en elle … complètement accepté … les vibrations inconscientes mais bien marquées du vagin de Michèle en étaient la preuve … une sorte d’accusé de réception. Il pouvait maintenant abandonner sa bouche, elle n’allait plus se sentir obligée de protester, et il entreprit de lui explorer le cou. Vaincue, elle laissa tomber sa tête sur son épaule à lui, complètement soumise, laissant échapper des râles de plaisir. Elle avait capitulé … ou plutôt elle jouissait de cette volupté qui s’insinuait en elle, qui y progressait de bas en haut, qui l’habitait de plus en plus profondément. Les mains toujours solidement installée sur ses fesses, d’un coup, il acheva sa pénétration. Michèle, pourtant toujours livrée aux plaisirs que Louis lui distillait dans le cou, ne put s’empêcher cette fois de pousser un petit cri de satisfaction … et elle accompagna son intrusion en elle en appuyant fermement son bas-ventre sur celui de son amant … de celui qui était maintenant son amant. Son vagin entra en transes … elle était toute plénitude … en fait bien au-delà du bonheur espéré … Elle ne pensait plus, elle était tout abandon, toute à ses vibrations … sans en avoir conscience elle lui enfonça ses griffes dans le cou, tout en lui prodiguant sur son sexe à lui, des frémissements de satisfaction.
Il lui fallut quelque temps pour se reprendre … ses mains lâchèrent prise sur le cou de Louis, et elle lui adressa alors un énorme sourire de femme heureuse. Elle l’assumait en elle … sa pudeur n’était plus outragée … elle avait le sexe comblé. Elle était femme, entièrement femme, femelle même. Sereine. Elle se demandait si Marie avait vécu une telle béatitude ? Allait-elle pouvoir lui raconter tout cela … ? Marie s’était confiée à elle … mais elle pensait que ce qu’elle vivait pour le moment, elle ne pourrait le partager avec personne, même pas avec Marie … Peut-être un jour avec Louis … seulement avec son amant ? Mais plus tard bien sûr. Trop intime ! Et comme Madame Bovary, elle se criait en elle-même : « j’ai un amant … j’ai un amant … ». Même si en fait Louis ne s’était contenté pour le moment, que de l’avoir seulement … pénétrée … Elle avait un sexe d’homme en elle … un vrai sexe d’homme. Mais elle n’avait pas vraiment encore un amant … Toute à sa jouissance, elle rêvait … puis elle se rendit enfin compte que si son sexe à elle était empli, satisfait … celui de Louis restait partiellement au dehors … et elle s’en réjouit … même si cela lui faisait un peu peur … il allait encore pouvoir la forcer un peu plus profondément … la mener au bout d’elle-même. Cela provoqua en elle une nouvelle vague de joie. Cet homme, elle en eut l’intuition, ne serait pas qu’un amant banal … Il y avait plus qu’un simple désir physique qui les unissait … elle commençait à l’aimer. Malgré la différence d’âge. Elle en devenait amoureuse … et cela elle ne pourrait jamais l’avouer à Marie …
Louis entreprit de lui remonter une de ses mains sur la tête, qu’il maintint bien plaquée sur son épaule, tandis que sa bouche continuait à lui explorer le cou … elle recommença à émettre des petits sons de satisfaction … tandis que son sexe échappait à sa volonté et se comprimait instinctivement sur celui de Louis. Son autre main toujours fermement posée sur la fesse, il procéda doucement d’abord, à quelques va-et-vient en elle … pour lesquels Michèle (involontairement ?) manifestait son enthousiasme : son sexe vibrait en accord avec celui de son amant … accompagnant tous ses mouvement. Cela lui permit, complice qu’elle était, de l’introduire plus profondément encore en elle : elle sentait maintenant son gland lui taper la matrice … jamais elle n’avait connu ce plaisir-là … le sexe de Pierre n’avait jamais pu s’immiscer aussi profondément en elle. Et là, elle se sentait forcée, vraiment possédée. Elle se remit à vibrer : elle avait un orgasme, là debout ! Louis lui laissa le temps de savourer … puis de se calmer.
Marie lui avait bien dit qu’elle avait été surprise par le volume du sexe de Louis … nettement plus développé que celui de son mari … Même avertie, elle, Michèle, avait aussi été étonnée, quand elle avait senti le gland de Louis prendre position à l’entrée de son vagin inondé … et elle pensait que cette lubrification abondante était une bénédiction … que sans elle, elle aurait eu à souffrir … et maintenant qu’il avait enfin entrepris de la posséder, comme elle était fière de savoir qu’un tel membre allait la pénétrer … et pouvoir malgré son volume, se faire aisément place en elle … devenue une sorte de fontaine. Bien entendu cela l’avait gênée que Louis se fût rendu compte qu’elle était toute liquide … de cet appel qu’elle lui lançait … Jamais avec Pierre elle n’avait réagi de la sorte … peut-être parce qu’il ne lui en laissait jamais le temps … ? Ou parce qu’il ne se souciait pas de son plaisir à elle … ? Il y avait bien eu la libération des mœurs, la libération de la femme … mais dans son couple tout cela était ignoré … Faire l’amour, c’était le plaisir de monsieur, l’affaire de monsieur. On ne leur avait jamais appris qu’une femme, elle aussi, pouvait connaître le plaisir. Son plaisir … qui y aurait songé …? Même pas elle … d’ailleurs. Et à ce qu’elle avait cru comprendre, c’était la règle un peu partout. Être une femme « libérée », ça signifiait plus avoir des amants … que de prendre plaisir à faire l’amour avec son mari … Être une femme « libérée » ça sonnait un peu comme être une femme « de mauvaise vie ». Mais quel bonheur l’inondait maintenant … Elle allait « être prise » par un membre à faire rêver n’importe quelle femme … ça allait être un vrai bonheur. Inavouable ! Et elle ne pourrait rien en laisser apparaître à Louis … elle se devrait se concentrer sur le baiser qu’ils échangeaient et les caresses qu’ils se donnaient l’un l’autre … une femme « honnête » ne pouvait pas se laisser aller à la manifestation de son bonheur. Elle allait le vivre dans la discrétion … comme il convient à une « honnête femme ».
Louis savait qu’il était temps, qu’elle s’était complètement abandonnée, qu’elle n’était plus qu’attente … Il lui saisit les fesses de ses deux mains … Par réflexe, elle se colla plus encore à lui. D’une poussée légère, qui se voulait imperceptible, mais qui n’en était pas moins ferme, il se glissa quelque peu plus profondément en elle. Trois ou quatre centimètres, qu’occupée à l’échange de leur doux baiser, et des caresses qu’elle lui donnait, elle pouvait feindre d’ignorer … Feindre ! … mais combien le plaisir tant attendu s’imposait à elle … comment son vagin tressaillait involontairement … Comme elle n’attendait plus qu’une chose, qu’il prît complètement possession d’elle ! Louis, alors qu’il ne l’avait en fait que très peu investie encore, comprit que « la jeune vierge » approuvait manifestement cette progression qu’il venait d’entreprendre en elle … Sûr, elle n’allait plus protester, même pour la forme ! … Mais il persévéra néanmoins à l’embrasser … Pour lui donner le change ... Et elle adorait ça … il lui permettait d’être toute à ce baiser qui se faisait si long … d’être simplement occupée par lui et par les caresses qu’elle lui prodiguait. Aussi il gagna encore quatre ou cinq centimètres. Il était maintenant bien installé en elle … complètement accepté … les vibrations inconscientes mais bien marquées du vagin de Michèle en étaient la preuve … une sorte d’accusé de réception. Il pouvait maintenant abandonner sa bouche, elle n’allait plus se sentir obligée de protester, et il entreprit de lui explorer le cou. Vaincue, elle laissa tomber sa tête sur son épaule à lui, complètement soumise, laissant échapper des râles de plaisir. Elle avait capitulé … ou plutôt elle jouissait de cette volupté qui s’insinuait en elle, qui y progressait de bas en haut, qui l’habitait de plus en plus profondément. Les mains toujours solidement installée sur ses fesses, d’un coup, il acheva sa pénétration. Michèle, pourtant toujours livrée aux plaisirs que Louis lui distillait dans le cou, ne put s’empêcher cette fois de pousser un petit cri de satisfaction … et elle accompagna son intrusion en elle en appuyant fermement son bas-ventre sur celui de son amant … de celui qui était maintenant son amant. Son vagin entra en transes … elle était toute plénitude … en fait bien au-delà du bonheur espéré … Elle ne pensait plus, elle était tout abandon, toute à ses vibrations … sans en avoir conscience elle lui enfonça ses griffes dans le cou, tout en lui prodiguant sur son sexe à lui, des frémissements de satisfaction.
Il lui fallut quelque temps pour se reprendre … ses mains lâchèrent prise sur le cou de Louis, et elle lui adressa alors un énorme sourire de femme heureuse. Elle l’assumait en elle … sa pudeur n’était plus outragée … elle avait le sexe comblé. Elle était femme, entièrement femme, femelle même. Sereine. Elle se demandait si Marie avait vécu une telle béatitude ? Allait-elle pouvoir lui raconter tout cela … ? Marie s’était confiée à elle … mais elle pensait que ce qu’elle vivait pour le moment, elle ne pourrait le partager avec personne, même pas avec Marie … Peut-être un jour avec Louis … seulement avec son amant ? Mais plus tard bien sûr. Trop intime ! Et comme Madame Bovary, elle se criait en elle-même : « j’ai un amant … j’ai un amant … ». Même si en fait Louis ne s’était contenté pour le moment, que de l’avoir seulement … pénétrée … Elle avait un sexe d’homme en elle … un vrai sexe d’homme. Mais elle n’avait pas vraiment encore un amant … Toute à sa jouissance, elle rêvait … puis elle se rendit enfin compte que si son sexe à elle était empli, satisfait … celui de Louis restait partiellement au dehors … et elle s’en réjouit … même si cela lui faisait un peu peur … il allait encore pouvoir la forcer un peu plus profondément … la mener au bout d’elle-même. Cela provoqua en elle une nouvelle vague de joie. Cet homme, elle en eut l’intuition, ne serait pas qu’un amant banal … Il y avait plus qu’un simple désir physique qui les unissait … elle commençait à l’aimer. Malgré la différence d’âge. Elle en devenait amoureuse … et cela elle ne pourrait jamais l’avouer à Marie …
Louis entreprit de lui remonter une de ses mains sur la tête, qu’il maintint bien plaquée sur son épaule, tandis que sa bouche continuait à lui explorer le cou … elle recommença à émettre des petits sons de satisfaction … tandis que son sexe échappait à sa volonté et se comprimait instinctivement sur celui de Louis. Son autre main toujours fermement posée sur la fesse, il procéda doucement d’abord, à quelques va-et-vient en elle … pour lesquels Michèle (involontairement ?) manifestait son enthousiasme : son sexe vibrait en accord avec celui de son amant … accompagnant tous ses mouvement. Cela lui permit, complice qu’elle était, de l’introduire plus profondément encore en elle : elle sentait maintenant son gland lui taper la matrice … jamais elle n’avait connu ce plaisir-là … le sexe de Pierre n’avait jamais pu s’immiscer aussi profondément en elle. Et là, elle se sentait forcée, vraiment possédée. Elle se remit à vibrer : elle avait un orgasme, là debout ! Louis lui laissa le temps de savourer … puis de se calmer.