Michèle 08 (au lit)
Posté: 19 Mai 2008, 07:12
Louis prit le corps de Michèle, un bras au niveau des jambes, l’autre au niveau du dos, il la fit basculer à l’horizontale ; naturellement elle s’agrippa à son cou, et se laissa déposer sur le lit. Il s’agenouilla à hauteur de sa tête qu’il se mit à bécoter … tout en plongeant les doigts dans sa chevelure mi-longue … oh comme elle aimait ça ! Elle était blonde … d’instinct il préférait les brunes … mais là il adorait le corps de Michèle … il adorait une blonde ! Il posa sa bouche contre le sienne, l’excitant de ses lèvres. Toujours les doigts d’une main dans sa chevelure, l’autre partit à la recherche des seins. C’était la première fois qu’il les rencontrait alors que Michèle était en position couchée … deux seins menus, mais tellement fermes, des seins comme il en raffolait, faits pour rouler dans sa main … des seins de jeune fille. Il connaissait son âge bien sûr … elle ne le lui avait pas caché … mais quel corps de jeune fille elle avait conservé ! … ce corps, qu’il explorait maintenant depuis quelque temps : une sveltesse extraordinaire, un ventre plat, un dos plat, une taille de déesse, pas un gramme de graisse … même pas sur les fesses. Son corps n’avait pas trente ans ! Extraordinaire ! Et il lui était offert ! … Michèle le lui avait offert … oh comme il allait en tirer parti de ce corps … de ce corps exceptionnel ! En avait-il jamais vu de pareil en dehors des magazines … ? Et ce corps était là, à lui … Quelle chance que la sienne !
Tandis qu’il continuait à faire rouler ses seins sous sa main, à lui masser délicatement les auréoles et lui titiller les tétons, il la sentit se re-exciter doucement : elle s’était remise à pousser des petits râles de contentement, et elle se mettait à vibrer de partout. Il abandonna sa bouche, et se mit à lui butiner le cou … puis le haut de la poitrine … enfin tout autour d’un sein … tandis que sa main continuait à s’occuper de l’autre … enfin il entreprit de le suçoter ce sein, sa rondeur, son auréole, son téton … Michèle était maintenant parcourue de frissons … il abandonna ses cheveux pour lui entourer le buste. Elle se laissa mouler dans ce bras … l’autre main descendit vers le ventre qu’il massa doucement … Puis elle continua son chemin vers la discrète toison aux poils si fins, blonds et soyeux … Michèle apprécia … Un doigt roula autour du clitoris … avant de lui effleurer la pointe … le bassin se mit à vibrer …
Sa bouche se saisit de ce mini-membre qui s’affirmait tant … Michèle ne se contrôlait plus … il la laissa se calmer doucement, profitant de « son état second » pour se débarrassa rapidement de son propre slip : il était complètement nu maintenant, le sexe dressé …. Sans aucune entrave. Toujours à genoux, il se plaça à hauteur des jambes et caressa des deux mains le haut d’un des bas … puis il passa quelques doigts sous ce rebord pour poursuivre sa caresse à même la peau … qu’il bécota enfin au travers de ce tissu … la jambe de Michèle eut de petits tremblements … Seulement après, il rabattit la bande de maintien et de ses deux mains, fit glisser doucement le bas sur la jambe ... quelques centimètres par quelques centimètres … et chaque fois il portait ses lèvres sur la partie de peau libérée … et chaque fois la jambe vibrait. Le genou enfin mis à nu, il l’obligea à un fléchissement … ce qui lui permit de bécoter le mollet … enfin le bas ôté, il le posa délicatement sur le lit, avant de prendre les orteils dans la bouche … qu’il suçota un par un. Il reposa le pied … écarté de l’autre, prit place entre les jambes et entreprit, d’une main, de lui caresser l’autre pied. Il remonta lentement vers la cuisse. Arrivé tout en haut, sa bouche se saisit à nouveau du clitoris … toujours aussi volontaire. Il le pinça de ses dents tandis que sa langue l’excitait … les hanches de Michèle tremblotaient. Sa langue descendit ensuite vers les lèvres : « leur premier contact langue-lèvres ! » … toujours aussi ouvertes … toujours aussi liquides ! Elle l’appelait en elle. Il fallait faire vite … Il ne pouvait la « laisser sur sa faim » et ignorer trop longtemps cet appel de son sexe … il y avait urgence ! Fallait-il retirer l’autre bas ? Il hésita quelques secondes tandis que le sexe de Michèle, toujours au contact de sa langue, était parcouru de tressaillements … Pour « la beauté du geste », pour faire de ces bas des icônes … il se devait de l’ôter … mais rapidement … sans fioritures … ce bas-là n’avait plus du tout la même importance tactique que l’autre …
Sa langue toujours au contact des lèvres béantes, avec plus ou moins d’adresse … plutôt moins, de deux doigts sous le rebord, il détacha le bas de la jambe et le fit glisser. Les deux bas enlevés furent rapidement roulés et placés sous l’oreiller. Il lui re-titilla le clitoris, puis sa bouche remonta sur le ventre, s’attarda sur un sein et atteignit le cou. Le membre gonflé de Louis était maintenant au contact du sexe de Michèle. Toute excitée qu’elle était, elle saisit à pleines mains les fesses de son compagnon, sur lesquelles elle appuya fortement tout en cambrant son bassin. Ses lèvres tellement ouvertes, à la limite de la douleur, aspirèrent immédiatement Louis avec gourmandise : c’est que l’attente avait fini par paraître insupportable à ce sexe assoiffé d’être pénétré ! Michèle ne trouvait plus le membre de Louis trop imposant … et elle le contenait en entier : elle y était parvenue en un tournemain ... sans laisser la moindre initiative à son amant. Bien callé au fond d’elle, il se garda du moindre geste, se contentant seulement d’apprécier la douce chaleur et les vibrations de son vagin. Il lui embrassa le cou, lui caressa un sein, puis entreprit lentement de bouger en elle. Les reins de Michèle vibraient, son sexe se contractait … et sans que Louis n’ait eu à se forcer, elle eut un énorme orgasme. Comme tout à l’heure il la laissa se calmer, et ne se remit à bouger en elle que quand elle fût redevenue capable de sentir à nouveau vivre ce pénis qui l’habitait au plus profond de son intimité. Des deux mains il lui caressa les cheveux ... Aux mouvements de son amant dans les tréfonds de son être, elle repartit vers un nouvel orgasme. Cette fois-ci Louis n’interrompit plus ses va-et-vient … assez calmes certes pour ne pas trop précipiter l’explosion … mais qui entretenaient son orgasme à elle … le poussant à son paroxysme : elle ne pouvait plus se calmer … Et il décida enfin de se laisser aller lui aussi, et éclata longuement en elle. Oh comme il avait retardé son éclatement … malgré l’état d’excitation extrême auquel cette femme exceptionnelle l’avait amené !
Enfin elle s’apaisa. Louis était toujours rigide en elle … Satisfaite, elle lui embrassa le visage, le remercia, lui caressa le dos … elle était à la fête. Elle lui détailla combien elle était heureuse de le sentir toujours en elle, à lui emplir un volume qu’elle n’avait jamais soupçonné pouvoir avoir … combien elle appréciait la pression qu’il continuait encore à exercer sur sa matrice … Ravie, elle lui expliqua encore qu’elle n’avait jamais connu un tel orgasme ... qu’elle doutait même d’en avoir connus, des orgasmes ... Il exerça encore quelques va-et-vient, puis ayant quelque peu perdu de sa rigidité, il se retira d’elle et se laissa glisser sur le dos, l’attirant vers lui et la maintenant au contact par son bras passé autour de ses épaules. Elle posa la tête sur la poitrine de Louis, s’enhardit à lui caresser son sexe … pour la première fois au repos. Mais qu’osait-elle ? Elle ne se reconnaissait plus. Jamais elle ne se permettait une telle privauté avec Pierre … ou ne l’avait plus fait depuis si longtemps. Et là elle osait … c’est que ce sexe lui avait apporté tellement de plaisir … Louis lui caressait paresseusement l’épaule. Ses doigts à elle avaient cessé leur impertinence, et nonchalamment lui caressaient la poitrine … Ils se sont assoupis.
Tandis qu’il continuait à faire rouler ses seins sous sa main, à lui masser délicatement les auréoles et lui titiller les tétons, il la sentit se re-exciter doucement : elle s’était remise à pousser des petits râles de contentement, et elle se mettait à vibrer de partout. Il abandonna sa bouche, et se mit à lui butiner le cou … puis le haut de la poitrine … enfin tout autour d’un sein … tandis que sa main continuait à s’occuper de l’autre … enfin il entreprit de le suçoter ce sein, sa rondeur, son auréole, son téton … Michèle était maintenant parcourue de frissons … il abandonna ses cheveux pour lui entourer le buste. Elle se laissa mouler dans ce bras … l’autre main descendit vers le ventre qu’il massa doucement … Puis elle continua son chemin vers la discrète toison aux poils si fins, blonds et soyeux … Michèle apprécia … Un doigt roula autour du clitoris … avant de lui effleurer la pointe … le bassin se mit à vibrer …
Sa bouche se saisit de ce mini-membre qui s’affirmait tant … Michèle ne se contrôlait plus … il la laissa se calmer doucement, profitant de « son état second » pour se débarrassa rapidement de son propre slip : il était complètement nu maintenant, le sexe dressé …. Sans aucune entrave. Toujours à genoux, il se plaça à hauteur des jambes et caressa des deux mains le haut d’un des bas … puis il passa quelques doigts sous ce rebord pour poursuivre sa caresse à même la peau … qu’il bécota enfin au travers de ce tissu … la jambe de Michèle eut de petits tremblements … Seulement après, il rabattit la bande de maintien et de ses deux mains, fit glisser doucement le bas sur la jambe ... quelques centimètres par quelques centimètres … et chaque fois il portait ses lèvres sur la partie de peau libérée … et chaque fois la jambe vibrait. Le genou enfin mis à nu, il l’obligea à un fléchissement … ce qui lui permit de bécoter le mollet … enfin le bas ôté, il le posa délicatement sur le lit, avant de prendre les orteils dans la bouche … qu’il suçota un par un. Il reposa le pied … écarté de l’autre, prit place entre les jambes et entreprit, d’une main, de lui caresser l’autre pied. Il remonta lentement vers la cuisse. Arrivé tout en haut, sa bouche se saisit à nouveau du clitoris … toujours aussi volontaire. Il le pinça de ses dents tandis que sa langue l’excitait … les hanches de Michèle tremblotaient. Sa langue descendit ensuite vers les lèvres : « leur premier contact langue-lèvres ! » … toujours aussi ouvertes … toujours aussi liquides ! Elle l’appelait en elle. Il fallait faire vite … Il ne pouvait la « laisser sur sa faim » et ignorer trop longtemps cet appel de son sexe … il y avait urgence ! Fallait-il retirer l’autre bas ? Il hésita quelques secondes tandis que le sexe de Michèle, toujours au contact de sa langue, était parcouru de tressaillements … Pour « la beauté du geste », pour faire de ces bas des icônes … il se devait de l’ôter … mais rapidement … sans fioritures … ce bas-là n’avait plus du tout la même importance tactique que l’autre …
Sa langue toujours au contact des lèvres béantes, avec plus ou moins d’adresse … plutôt moins, de deux doigts sous le rebord, il détacha le bas de la jambe et le fit glisser. Les deux bas enlevés furent rapidement roulés et placés sous l’oreiller. Il lui re-titilla le clitoris, puis sa bouche remonta sur le ventre, s’attarda sur un sein et atteignit le cou. Le membre gonflé de Louis était maintenant au contact du sexe de Michèle. Toute excitée qu’elle était, elle saisit à pleines mains les fesses de son compagnon, sur lesquelles elle appuya fortement tout en cambrant son bassin. Ses lèvres tellement ouvertes, à la limite de la douleur, aspirèrent immédiatement Louis avec gourmandise : c’est que l’attente avait fini par paraître insupportable à ce sexe assoiffé d’être pénétré ! Michèle ne trouvait plus le membre de Louis trop imposant … et elle le contenait en entier : elle y était parvenue en un tournemain ... sans laisser la moindre initiative à son amant. Bien callé au fond d’elle, il se garda du moindre geste, se contentant seulement d’apprécier la douce chaleur et les vibrations de son vagin. Il lui embrassa le cou, lui caressa un sein, puis entreprit lentement de bouger en elle. Les reins de Michèle vibraient, son sexe se contractait … et sans que Louis n’ait eu à se forcer, elle eut un énorme orgasme. Comme tout à l’heure il la laissa se calmer, et ne se remit à bouger en elle que quand elle fût redevenue capable de sentir à nouveau vivre ce pénis qui l’habitait au plus profond de son intimité. Des deux mains il lui caressa les cheveux ... Aux mouvements de son amant dans les tréfonds de son être, elle repartit vers un nouvel orgasme. Cette fois-ci Louis n’interrompit plus ses va-et-vient … assez calmes certes pour ne pas trop précipiter l’explosion … mais qui entretenaient son orgasme à elle … le poussant à son paroxysme : elle ne pouvait plus se calmer … Et il décida enfin de se laisser aller lui aussi, et éclata longuement en elle. Oh comme il avait retardé son éclatement … malgré l’état d’excitation extrême auquel cette femme exceptionnelle l’avait amené !
Enfin elle s’apaisa. Louis était toujours rigide en elle … Satisfaite, elle lui embrassa le visage, le remercia, lui caressa le dos … elle était à la fête. Elle lui détailla combien elle était heureuse de le sentir toujours en elle, à lui emplir un volume qu’elle n’avait jamais soupçonné pouvoir avoir … combien elle appréciait la pression qu’il continuait encore à exercer sur sa matrice … Ravie, elle lui expliqua encore qu’elle n’avait jamais connu un tel orgasme ... qu’elle doutait même d’en avoir connus, des orgasmes ... Il exerça encore quelques va-et-vient, puis ayant quelque peu perdu de sa rigidité, il se retira d’elle et se laissa glisser sur le dos, l’attirant vers lui et la maintenant au contact par son bras passé autour de ses épaules. Elle posa la tête sur la poitrine de Louis, s’enhardit à lui caresser son sexe … pour la première fois au repos. Mais qu’osait-elle ? Elle ne se reconnaissait plus. Jamais elle ne se permettait une telle privauté avec Pierre … ou ne l’avait plus fait depuis si longtemps. Et là elle osait … c’est que ce sexe lui avait apporté tellement de plaisir … Louis lui caressait paresseusement l’épaule. Ses doigts à elle avaient cessé leur impertinence, et nonchalamment lui caressaient la poitrine … Ils se sont assoupis.