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Michèle 09 (l'amant)

MessagePosté: 25 Mai 2008, 14:48
de tentation
Michèle reprit conscience la première ; le drap était détrempé sous elle ; elle passa une main entre ses jambes : du sperme sortait d’elle … elle avait débordé. Il en avait déversé une telle quantité en elle qu’elle n’avait pas pu tout retenir. Jamais cela ne lui était arrivé … et elle était fière de cette abondance. Fière d’avoir autant reçu, mais aussi désolée, car elle aurait voulu conserver en elle chaque goutte de cette semence bénie, pour la savourer calmement, pour la digérer lentement … Elle venait de découvrir ce que signifiait « combler une femme » … Oui elle avait été comblée ! Parce que Louis l’avait d’abord emplie de ce membre, qui s’était forcé le passage en elle en la dilatant, et en lui faisant remonter l’utérus elle ne savait où, en se taillant dans son intimité sa place à grands coups de bélier … et encore parce qu’il avait répandu en elle, sous pression, cette substance visqueuse, tellement délicate et chaude ... qui en fait, avait trouvé sa place où ? Mystère ! Pas étonnant qu’elle ait débordé.

Après cette tornade aux tréfonds d’elle-même, qu’elle venait de vivre avec un plaisir extrême, n’allait-elle pas se mettre à mépriser Pierre ? Évidemment jamais celui-ci ne l’avait fait déborder … Oh que non ! Pourtant elle ne devait pas le déprécier, elle ne le pouvait pas ; il ne le fallait pas. Impossible ! … Il était son mari, et même s’il n’était pas doué au lit … c’était seulement un problème structurel … parce qu’il n’avait ni le matériel, ni la technique nécessaires (elle venait d’en avoir la révélation). Aussi elle se devait de le respecter : elle était sa femme … ils formaient un couple … ils avaient des enfants … Bien sûr qu’elle allait continuer à l’aimer en épouse attentionnée … Même si comme elle l’espérait Louis allait de temps à autre continuer à lui donner du plaisir. Mais allait-elle savoir le conserver ce Louis ? Mais sûr, rien n’allait changer avec son mari … rien ne changerait ; leur vie était socialement correcte … ils étaient profondément attachés l’un à l’autre … elle continuerait à le chérir … D’ailleurs que pourrait-elle avoir à lui reprocher ? Pour lui, pour leurs enfants, pour leurs familles, pour leur amis et leurs proches, rien n’allait changer … ils formaient un couple stable, bien équilibré. Elle allait en quelque sorte continuer à être une épouse fidèle. Simplement elle aurait un amant caché pour vivre le bonheur d’être une femme. Depuis des années, elle avait son plaisir personnel (outre ses caresses intimes qu’elle s’accordait en cachette), le steak tartare … Eh bien elle allait en avoir un second, Louis. Un côté pile, un côté face ; une simple question d’organisation, seulement une question d’organisation. Elle allait s’organiser.

Et comme elle était ravie de cette relation qui s’établissait là ! D’abord Louis était beau et charmant ; très attentionné également. Comment il avait su balayer tous ses scrupules … bien sûr que ceux-ci n’étaient pas très « sérieux », mais s’il n’avait pas été si diplomate, sûr que certains auraient été rédhibitoires, et qu’elle ne serait pas venue chez lui. Avec quel brio il avait su l’amener à sortir « nue » du restaurant. Quelle maestria ! Sa nudité qu’il avait parfaitement exploitée chez lui pour annihiler toute tentative de rébellion de sa part. Et ce sexe de « professionnel » qu’il avait ! Comme il l’avait « travaillée » avec cet « outil-là » … et comme il l’avait « inondée ». Quel organe ! … elle en gardait toujours l’empreinte en elle … Bien sûr en petite jeune fille de dix-sept ans qu’elle s’imaginait être redevenue, elle avait apprécié la manière dont il l’avait fait femme. Mais en fait la jeune fille pourrait maintenant se retrouver enceinte … les risques féminins … la femme ne sera jamais l’égale de l’homme … il lui faudra rapidement prendre la pilule du lendemain … Mais tout de même, quelle belle soirée elle avait passée !

Du sperme partout. En bonne bourgeoise soignée, elle aurait dû se précipiter dans la salle de bains et se doucher … elle aurait dû … mais elle avait eu tellement envie de conserver toute cette semence en elle et sur elle, qu’elle n’en avait rien fait. Elle ne se sentait pas sale … mais heureuse. Elle se remémorait cette folle journée … elle avait voulu connaître Louis, l’amant de Marie … mais en lui imposant tant d’exigences absurdes … elle avait prétendu lui refuser son sexe, pour cette fois-là en tout cas … et ne pas vouloir recevoir sa semence. Elle voulait que Louis lui donnât du plaisir … mais sans franchement tromper Pierre, son mari. Tout cela c’était il y a quelques heures … il y a des siècles … dans une autre vie … Dieu merci ce jeune homme lui avait imposé sa loi. Pour son bonheur à elle ! Il avait su démonter la seule possibilité qu’elle lui laissait … la sodomie … et avec un préservatif encore ! Bien sûr qu’elle avait été stupide cette prétention … et il avait su la contrecarrer. Elle ne se reconnaissait vraiment plus. Et elle chérissait la mémoire de ce sexe énorme qu’elle avait contenu.

Louis l’enserrait toujours dans son bras, aussi il lui était impossible de bouger sans le réveiller. Elle patienta … puis elle se remit à lui caresser la poitrine … à lui faire des bisous sur les joues … Il se réveilla et la serra plus fort encore. Elle apprécia.

- Louis … quel plaisir vous m’avez donné … et je croyais que vous n’alliez plus vous arrêter de vous vider en moi … bien sûr j’ai débordé …

- Tu te souviens de quelque chose … ? Tu as vécu un tel orgasme … que je croyais que tu serais complètement incapable de te souvenir que tu étais avec un partenaire … Tu bondissais dans le lit, tu avais les yeux vides …
- Vous vous moquez de moi … Avec la quantité de sperme que vous avez déversé en moi … que je n’ai pas pu retenir, et qui déborde sur mes jambes, sur le drap … je ne risque pas d’avoir oublié mon partenaire. Bien sûr que j’ai connu un bel orgasme … de beaux orgasmes plutôt … mais j’ai toujours su à qui je les devais … vous avez été très patient avec moi … comme jamais je n’aurais pu l’espérer … vous avez su calmer les craintes de la jeune pucelle qui s’en était remise à vous … vous avez su la maîtriser afin de lui faire abandonner toute volonté de révolte légitime chez une jeune fille bien élevée … Merci Louis …
- Mais c’est moi qui te remercie Michèle d’être si belle, tellement attirante, d’avoir un corps si jeune …
- Grâce à vous, j’ai connu des choses que je croyais inaccessibles … qu’on ne trouve que dans des romans, Madame Bovary ou l’amant de Lady Chatterley … vous me les avez fait connaître… j’espère qu’on pourra encore revivre de tels moments … si toutefois vous n’en avez pas assez de ma vieille peau …
- Michèle, ta vieille peau est très jeune en fait … et tu le sais. Alors ne me raconte plus de genre de conneries … compris !
- Compris … Quand votre sexe, la première fois, est discrètement entré en contact avec le mien, j’ai eu très peur … jamais je ne pourrai contenir un tel diamètre ! … j’ai dit diamètre car je ne percevais que l’épaisseur, pas la longueur … J’ai eu peur … peur de la douleur … peur du désastre … mais en fait, par votre savoir-faire vous m’aviez rendue tellement liquide … que tout s’est bien passé. Merci Louis … Et vous vous êtes enfoncé si profondément en moi … jamais je n’aurais cru que mon vagin allait pouvoir autant se distendre, ni que ma matrice allait pouvoir remonter à ce point … et comme j’ai aimé ça ! Comme j’ai aimé votre façon de frapper mon utérus … lui dont j’avais oublié l’existence … ! Grâce aux coups que vous lui avez donnés, j’ai pris conscience de sa réalité. Comme j’ai également apprécié votre façon de me taper le périnée de vos bourses, alors que vous contenais entièrement … ! Quelle manie que vous avez eue de me battre… et quel plaisir j’ai reçu en me faisant en quelque sorte tabasser les organes sexuels par les vôtres ! Vous m’avez forcée à quitter mon petit confort habituel … Merci Louis. Et vous voyez … en plus je vous raconte tout ça … jamais je ne m’étais laissée aller de la sorte … même avec une femme. Et je le fais avec vous … avec mon amant.
- Merci de ta confiance Michèle … j’espère que tu ne le regretteras pas … mais sois certaine, ce que tu me dis là demeurera toujours notre secret.
- Comme vous avez su m’amener au plaisir ! Comme vous avez été patient avec moi ! Comme vous avez su contrer chacun des scrupules stupides que je vous opposais ! Je déplorais ces manœuvres auxquelles je vous confrontais … mais j’étais incapable de m’en dispenser. Je craignais pourtant une mauvaise réaction de votre part, mais j’étais incapable d’agir autrement. Alliez-vous me renvoyer chez moi ? Me violer ? Me donner des claques ? J’en avais peur … mais j’étais incapable de modifier ma conduite.
- Effectivement tu m’as obligé à être patient …
- Et je croyais que le fiasco était inéluctable … Vous aviez « dragué » une bourgeoise … facilement … le cadeau d’une de vos maîtresses … une vieille qui avait envie de « se faire » un jeune … pour faire comme son amie … Vous avez été parfait avec elle, galant, intentionné … elle était aux anges … un jeune qui pouvait lui porter de l’intérêt … peut-être simplement parce qu’il voulait « se taper » une vieille ... pour savoir comment on pouvait « se faire une vieille » ! Et j’ai été tellement agaçante avec mes scrupules … un pas en avant, un autre en arrière, un troisième sur le côté … il vous a toujours fallu négocier, persuader … pour l’amener chez vous. Et une fois cela obtenu, voilà qu’elle se remet à « jouer les coquettes ». Incapable de se tenir ! Enfin, toute excitée … et bien que debout, elle baisse sa garde … et vous en profitez pour la pénétrer … Vous êtes en elle, elle est sans défense … elle ne peut plus se défendre tant elle est aux anges … Aussi que va-t-il arriver ? Il ne va pas prendre de risques le jeune homme … il ne va pas perdre son temps … il va faire tout de suite ce qu’il a à faire … son métier d’homme, il va se vider les couilles … et ensuite « au revoir Michèle … à une autre fois peut-être ! Et j’aurais pourtant été heureuse ... Mais non, vous avez joué les perfectionnistes … vous avez refusé de « vous faire vite-fait la vieille offerte » à la première occasion. Au contraire vous l’avez menée à l’extase, vous avez su vous faire attendre … même lui ôter ses bas … Vous avez été parfait … Au lieu de « faire votre métier d’homme », « vous vous êtes conduit en gentleman ». Merci Louis.
Il se tourna vers elle, l’enserra de ses deux bras et se remit à lui bécoter le visage.
- Beau monologue Michèle ! Et tu parles au passé … alors que notre nuit vient à peine de commencer … Arrête de te raconter comme un ancien combattant … continuons plutôt à nous aimer. La petite jeune fille s’est métamorphosée en femme … laisse-toi aller à tes instincts nouveaux de femme … fais ton métier de femme, séduis-moi, embrasse-moi, caresse-moi … amène-moi au plaisir … amène-toi au plaisir.
- Mais que voulez-vous que je vous fasse ? … j’ai tout à apprendre.
- Je vais t’apprendre à peaufiner ton habilité de femme … et pour commencer, ma chère complice, tu me tutoies. Il est temps, tu ne trouves pas. Tu n’es plus la petite bourgeoise BCBG très bien élevée dont j’ai fait connaissance il y a quelques heures, mais une femme déterminée, au lit avec son amant …
- Oui … comme tu veux, Louis chéri.
- Tu vois, tu deviens une grande fille. Nous allons continuer à nous aimer. Caresse-moi … les cheveux, le visage, le dos, le sexe … comme tu veux.
- Oui Louis, et toi fais-en de même …
- Je vais à nouveau prendre soin de ton corps … par quoi je commence ? Je t’embrasse ? Je te bécote le visage ? Je m’occupe de tes seins ? Veux-tu que je mordille ton clitoris, que j’embrasse ton sexe ?
- Je dois choisir … ?
- Laisse, je vais prendre mes responsabilités ... je vais les faire ces choix. Prends tes responsabilités aussi … sois active avec moi … À propos, tu n’étais pas venue pour te faire sodomiser … rien que pour te faire sodomiser ? Et avec un préservatif ? Tu veux que je sorte des préservatifs ?
- Oh non … vous aviez raison … tu avais raison … pas de ces affreux préservatifs … qui doivent être aussi affreux que les collants … comme tu m’as dit tout à l’heure …
- Tu n’aimes pas les préservatifs ? Grâce à eux pourtant, tu pourrais rester toute propre … ne pas te laisser polluer par l’homme … qui a tendance, lui, à se déverser …
- Mais je n’ai pas envie que tu me laisses propre Louis, je veux que tu te déverses … et que tu me pollues … J’ai tant apprécié tout à l’heure. Et puis je vais te faire un aveu, les préservatifs, je ne connais pas … je n’avais jamais fait l’amour qu’avec mon mari … et nous n’en avons jamais utilisés … et comme je n’ai jamais pris la pilule, quand il faut, il se retire.
- Oublions ton mari, veux-tu … mais tu m’avais dit que ce n’était pas le moment … j’aurais peut-être dû sauter en marche … ? Tu veux que je le fasse tout à l’heure … quand nous referons l’amour ?
- Tu ne crois pas qu’il est un peu tard … en plus avec la quantité de semence dont tu m’as fait cadeau … Comment aurais-tu pu la gâcher … et non me l’offrir ? J’achèterai une pilule du lendemain … Mais qu’est-ce que tu m’as dit ? … « refaire l’amour » ? … Tu crois que tu pourrais … ?
- Quand on a une complice aussi belle et aussi douée que toi …
- J’en serai ravie, crois-moi …
- Tu veux toujours que je te sodomise ? Dois-je le faire maintenant ?
- Tu vas me sodomiser ?
- Peut-être … te sodomiser ou nous adonner à autre chose … nous verrons … ça dépend de toi. Mais comme tu semblais ne vouloir venir chez moi que pour ça … et avec un préservatif …
- Oui bien sûr … mais …
- Tu n’es plus si pressée ?
- Nous verrons Louis … en fait, je sais que quoi que tu fasses avec moi, j’en serai ravie.
- Ok, c’est tout vu, je sors de la vaseline …
- ???
Il desserra ses bras, la coucha sur le dos, lui bécota la bouche, les joues, le cou, et il entreprit un de ses seins … mais sans s’attarder … juste pour marquer son passage sur le chemin de son sexe où sa main s’arrêta. Dociles ses jambes s’écartèrent pour ne pas gêner le travail des doigts de son amant. Il caressa les lèvres doucement … et elles se remirent à vibrer. Puis il se concentra sur son clitoris … qui reprit vigueur assez rapidement … tout comme son sexe à lui.
- Mais tu es insatiable Louis !
- Tu n’aimes pas … ça te déplaît ?
- Oh que non … mais tu dois être fatigué ? C’est lus difficile pour un homme …
Il pivota sur lui-même, se mit tête-bêche avec Michelle, et toujours sur le côté, la bouche à la hauteur de son sexe, il entreprit de le lui gober. Elle appréciait, et se tortillait quelque peu. Oh que le contact de la langue de Louis sur ses lèvres lui était agréable … ! Et quand celle-ci pénétrait dans son vagin … ! Sans négliger quand elle titillait l’extrémité de son clitoris … ! Oh comme il l’excitait en le mordillant … ! Toutes ces choses qu’elle n’avait jamais connues avant cette nuit ... jamais la bouche de Pierre ne s’était approchée de son sexe … seulement de loin en loin, il l’effleurait de sa main. Son clitoris ? Il ne le connaissait pas … juste un truc de femmes … pour leurs plaisirs solitaires. Et lui, Louis, ce truc de femmes, il en avait fait un truc d’homme … et comme c’était nettement mieux quand ce truc de femmes devenait un truc d’homme, le truc de son homme ! Et ses lèvres intimes ! … caressées par une main d’homme … Impensable ! Un homme qui se salissait les mains là-dessus … et pire qui y metait la bouche. Et ça, une bouche sur son sexe, elle n’avait jamais connu auparavant … pas de plaisir solitaire possible de la sorte … Et pourtant quelle explosion de plaisir lui procuraient ces caresses-là !
Le sexe de Louis, bien dressé, lui frôlait le visage ... sans que cela ne semblât émouvoir Michèle, trop occupée à vivre un nouvel orgasme. Il devra l’éduquer … ce ne sera pas évident pour elle … la toute jeune fille a tant à apprendre ! Il la laissa se calmer en se contentant de ne lui caresser que le haut des cuisses.
- Merci Louis.
- Sois femme Michèle … occupe-toi de mon sexe !
- Mais je ne sais pas faire … je n’ai jamais fait …
- Tu ne savais pas faire … Mais maintenant tu es devenue femme … caresse-le … avec tes doigts … avec ta langue …
- J’a bien peur d’être très maladroite …
- Laisse faire tes instincts … tu es une femme maintenant …
- Elle le caressa timidement du bout des doigts … sans presqu’y toucher …
La bouche de Louis poursuivit son œuvre sur le sexe de Michèle … qui repartit d’un orgasme ! Aussi toute à son plaisir, elle abandonna ses timides caresses. Profitant de « son absence », Louis se remit « à l’endroit », sa tête près de sa tête, son sexe près du sien. Il la laissa se calmer, lui prit la main et la resserra fermement sur la hampe de son sexe bandé.
- Caresse, Michèle !
Elle tenta maladroitement de passer ses doigts … mais sans trop s’appliquer.
- Fais-le avec tes deux mains !
Le résultat ne fut guère plus concluant. Aussi Louis lui caressa les seins, en suçota un, descendit sa main vers le ventre et il la caressa à hauteur de la taille … avant de repartir à l’assaut du clitoris devenu arrogant et volontaire, et de ses lèvres épanouies, lubrifiées et offertes. Le bassin de Michèle se remit à vibrer. Elle était à nouveau assoiffée de lui … plus que nécessité d’être pénétrée. Terriblement excité comme il l’était également, il se plaça promptement sur elle … et sans plus de ménagement pénétra d’un seul coup ce sexe qui n’était plus qu’attente de son amant. Louis en elle, elle repartit dans un nouvel orgasme violent, puis sans avoir eu vraiment le temps de retrouver la paix, d’un second … Il lui tenait fermement la tête de ses main, que toute occupée à son plaisir génital, elle avait quasiment inconsciente, les yeux complètement absents. Elle n’était plus qu’orgasmes. Alors il se laissa une nouvelle fois épancher longuement en elle. Elle retrouva peu à peu son calme … et ravie, se mit à l’embrasser et à lui caresser le dos … tandis que lui, encore rigide, demeurait toujours en elle, y allant de temps à autre d’un va-et-vient … qui chaque fois provoquait une forte contraction involontaire de son vagin.