Michèle 10 (la fellation)
Posté: 25 Mai 2008, 14:57
- Merci Louis … tu es formidable … comment as-tu pu faire … une deuxième fois … et en me comblant toujours autant … ?
- Je suis formidable … et je vais me reposer quelque peu … As-tu besoin de repos également ?
- Effectivement, tu m’as épuisée. Il paraît que c’est plus fatiguant pour les hommes que pour les femmes … que l’érection çà demande beaucoup d’énergie … alors qu’ouvrir le jambes c’est facile … c’est ce qu’on dit. Mais toi ! Deux fois ! Comment est-ce possible ? La plupart, d’après les journaux féminins, se contentent d’une fois par semaine, d’autres une seule fois par mois. Enfin, c’est ce qui se dit … Mais toi … Oui, tu m’as épuisée … avec toi, ça ne se limite pas à une simple nécessité hygiénique … comme on dit encore … c’est une véritable œuvre de professionnel, de la belle ouvrage. Comment fais-tu ? Tu te dopes ? Tu n’as pas peur qu’on te fasse subir un contrôle anti-dopage ? Je plaisante bien sûr. Et comme tu m’as fait me dépenser ! Tous ces orgasmes ! Je ne connaissais pas ça … Je ne l’imaginais même pas. Oui tu m’as épuisée … il faut que je reprenne des forces. Tu fais la même chose avec Marie ? Et il y en a d’autres ?
- Marie, tu oublies. Il y a ici Michèle et Louis. Compris ! Quant aux autres, comme tu dis … non il n’y en a pas. Il y en a eues bien sûr, mais il n’y en a plus. Et crois-moi, une fille comme toi, belle comme tu es, douée comme toi, ça ne donne pas tellement envie d’aller se disperser …
- Il y a quand même Marie …
- Je t’ai dit « tu oublies Marie » !
- Bien sûr … mais je ne peux pas l’ignorer … c’est mon amie … et c’est grâce à elle que nous somme ici … que nous prenons du plaisir ensemble …
- Et tu deviens jalouse d’elle … le gentil toutou ne veut pas partager son os !
- Peut-être bien … oublions-la ! Tu as raison ! Reposons-nous un peu, reprenons des forces, repasse ton bras autour de mes épaules, je vais poser ma tête sur toi …
- Approche-toi, que je puisse te serrer … et n’oublie pas que qu’il te reste une main libre … dont tu peux te servir avant de t’assoupir. Allez au travail !
Et Michèle, qui décidément perd de sa timidité, se décide à caresser la poitrine et le ventre de Louis … et même s’aventure sur son pénis. Il en est ravi. Quels progrès.
- Merci Michèle ; continue de la sorte … laisse ta main faire connaissance avec mon sexe, laisse-la s’apprivoiser, qu’elle n’hésite pas à l’explorer, que tes doigts fouillent ma bourse …
- Je vais faire de mon mieux Louis. Tu m’as tellement donné de plaisir … Tu as raison, il faut que je … que j’oublie mon éducation … que je laisse ma main oser, se libérer … que j’accepte de me libérer … à être femme comme tu le dis si bien … tu verras, tu vas être fier de moi !
- Je n’en doute pas … laisse-toi aller à être femme … mais en t’abandonnant au repos quand il s’imposera à toi … tu as tout ton temps, nous avons tout notre temps.
Elle continua ses douces caresses … Louis ravi et satisfait de ses progrès, s’assoupit rapidement… Elle persévéra encore un peu, grisée par sa propre audace, satisfaite par ces sensations nouvelles qu’elle découvrait … du pouvoir qu’elle discernait exercer dorénavant sur le corps de son amant, sur son sexe même. Elle osait prendre soin du pénis d’un homme. Quelle révolution ! Puis enfin, sereine, elle se laissa à son tour gagner par le sommeil.
Encore cette fois, elle se réveilla la première. Comme elle se sentait bien ! Bien sûr à nouveau elle pensa que si elle avait fait l’amour avec Pierre - comme ça avait toujours été le cas jusqu’à cette nuit -, il se serait retiré d’elle avant d’éjaculer. Des relations sexuelles assez rares en fait, deux ou trois fois par mois au plus, pas très intenses, assez rapides … et desquelles il sautait en marche si nécessaire. Le sexe seulement par hygiène. Et Louis qui lui avait fait deux fois l’amour de suite, qui l’avait fait monter au septième ciel ! Bien sûr qu’il ne s’était pas retiré … il n’aurait pu en être question, ni pour elle, ni pour lui. Ils avaient fait l’amour, vraiment l’amour … et quand on fait l’amour, il est impensable de ne pas le faire bien. Oui avec un tel mâle, il lui faudrait penser à la pilule … enfin si ça durait entre eux deux … Mais à quarante-sept ans, commencer à prendre la pilule ? Elle ne se voyait pas aller expliquer à sa gynécologue … qu’aux portes de la ménopause elle avait changé d’avis … Bien entendu, elle pourrait cette prendre la pilule … pour Louis … et sans rien en rien dire à Pierre évidemment. Comment pourrait-elle lui dire qu’elle avait décidé … ? Elle allait pour cette fois prendre la pilule du lendemain. Par sécurité, seulement par sécurité, car à son âge on ne tombe plus enceinte. Et si elle ne la prenait pas cette pilule-là ? Si elle prenait le risque … ? Louis lui avait tellement donné de plaisir que … Après tout, se retrouver éventuellement enceinte après cette nuit-ci … ? Se laisser aller à ce jeu de roulette russe ? Bien sûr que si elle se retrouvait enceinte, elle pourrait facilement persuader Pierre qu’ils avaient commis une faute, elle et lui … malgré leurs précautions … qu’à quarante-sept ans la fécondité de la femme est instable … mais qu’elle demeure. Pierre n’aurait aucun doute … et avoir un enfant après une telle nuit de folie avec Louis, un enfant du plaisir, un enfant de l’amour … Mais, c’est que maintenant on fait des analyses génétiques pour un oui pour un non … alors peut-être qu’un jour la vérité éclaterait : Pierre découvrirait qu’il n’est pas le père … ? Allez, c’est décidé, elle n’en dira rien à Louis … mais elle ne prendra pas la pilule du lendemain … elle prendra le risque. Et elle se retrouvera peut-être de nouveau enceinte dix-sept ans après la naissance de sa fille… Et être de nouveau enceinte … quel bonheur ce serait pour elle. Un enfant de son amant ! Elle ne prendra pas cette pilule … Le sort en est jeté ! … Il est temps de réveiller Louis … et de lui montrer comment elle pouvait devenir experte ès excitation d’un homme … comme elle allait vite apprendre !
Elle entreprit donc de recommencer là où elle s’était arrêtée, et elle reprit ses caresses, sur le pubis, sur la verge, qu’elle se mit à explorer de ses doigts légers … et comme il le lui avait demandé, elle alla prospecter sa bourse, en tentant d’y isoler chaque testicule. Louis ne tarda pas, soumis à une telle inspection, de se réveiller. Comme il était surpris !
- Tu aimes ça Louis ? Comme tu m’as fait faire des progrès !
- J’aime ça Michèle … tu me rends fou …
- Je l’espère bien ! Tu sais, je n’aimerais pas travailler pour rien ! Je plaisante bien entendu. Tu vas voir, je vais devenir parfaite !
Il se remit sur le côté, face à elle, et il lui serra les épaules de ses bras … mais en prenant soin de ne pas entraver l’activité de sa main. Il lui caressa les cheveux, le visage, reprit ses bécotements un peu partout. Ils s’embrassèrent à nouveau ; elle continua ses caresses sur le sexe de son amant. Enfin sa main remonta sur son dos, sur son cou, dans ses cheveux. Et ils partirent dans une exploration réciproque de leurs corps.
Et Michèle se décida à prendre l’initiative qu’il attendait, qu’il lui avait fait comprendre qu’il attendait d’elle. Elle laissa lentement glisser sa main sur son corps et la fit descendre jusqu’à son sexe, qu’elle cajola. Elle s’abaissa quelque peu dans le lit, effleura malicieusement sa poitrine de ses cheveux et entreprit de masser la bourse de son autre main … avant de jouer les femmes expertes et d’insinuer ses fins doigts entre ses testicules. L’effet ne se fit pas attendre le pénis commença à reprendre vie. Elle s’amusa du résultat obtenu … elle était une magicienne, ses doigts étaient devenus capables de faire sortir des colombes de foulards ! Comme elle avait appris vite ! Pas en avance pour son âge, mais douée ! Elle descendit encore la tête … sa bouche s’approcha de ce pénis qui reprenait vie … une belle vigueur ! Elle le fit rouler dans ses deux mains, l’approcha de ses lèvres et souffla légèrement sur le gland. Oh comme Louis adorait ça ! Comme elle se grisait de ce pouvoir nouveau qu’elle était en train d’acquérir … Oh comme ce sexe se dressait sous ses doigts de fée et sous son souffle chaud. Alors de sa langue elle titilla le gland. Comme il avait soif maintenant de la pénétrer là ! Il fallait qu’elle se décide … mais allait-elle le faire ? … Elle était si maladroite, si inexpérimentée … même non, elle faisait des progrès étonnants ! Elle s’y résolut enfin, et sa langue se lova sur le gland, qu’elle enfourna entre ses lèvres. Comme le lui avait déclaré Marie, il était très agréable de prendre en bouche un sexe d’homme … mais pourquoi n’avait-elle pas compris cela plus tôt ? Elle avait perdu de nombreuses années … Une main sur la bourse qui s’insinuait entre les testicules, l’autre qui s’était mise à des va-et-vient sur la hampe, elle prenait plaisir à le sentir devenir de plus en plus rigide sous sa langue qui s’enroulait si naturellement autour.
- Oh que tu es géniale Marie ! Ne parle pas … bien entendu tu ne peux pas parler … mais continue, tu es merveilleuse …
Il lui avait glissé maintenant ses doigts dans les cheveux et lui massait le cuir chevelu … Michèle appréciait beaucoup … et elle s’appliqua mieux encore à faire grossir le sexe de son amant … Il se demandait si elle … car c’était sa première fellation … Et ils n’en avaient pas discuté auparavant … il n’avait pas pu lui expliquer … Bien sûr Marie lui avait dit que … mais que lui avait-elle dit au fait … ? Il choisit pour le moment de la laisser faire … en se contentant de l’encourager de ses doigts dans les cheveux … Il allait la laisser vivre ses instincts de femme … Et d’ailleurs Marie avait dû un peu « l’éduquer » …
Le plaisir de Michèle s’accroissait tandis que le sexe de Louis prenait vie sous sa langue, entre ses lèvres, sous ses doigts … Un petit souci quand même … elle savait par Marie que le moment venu il s’enfoncerait jusqu’au fond de sa gorge, qu’elle allait en perdre la respiration tandis qu’il allait s’épancher en elle. Pour le moment elle était maître de la situation … mais elle savait que les choses allaient lui échapper … Bon, elle verrait bien … elle apprendrait …
- Merci Michèle … comme tu prends plaisir à cela !!! Et moi aussi, crois-moi. Bien entendu, si tu ne veux pas aller jusqu’au bout, tu pourras « sauter en marche », c’est permis pour cette première fois. Tu n’auras qu’à, dans ce cas-là, me taper un peu sur les fesses … et je te laisserai te retirer. Ce serait dommage, mais … Et dans ce cas, je te pénétrerai une nouvelle fois le sexe … sans préparation … car je n’aurai plus le temps de « fignoler » … Mais si tu ne te manifestes pas, je continuerai à te maintenir la tête comme je le fais maintenant … un peu plus énergiquement, un peu plus profondément, pour que tu puisses recevoir ma semence dans la bouche. Tu l’avaleras … je te laisserai dégager ta tête … et nous nous caresserons à nouveau. Tu as le choix … ou tu me tapes un peu les fesses … ou nous vivrons complètement notre première fellation. Tu es très bien Michèle, tu me plais extraordinairement … nous allons vivre un grand moment …
« Elle ne voulut pas retenir » la possibilité d’échappatoire qu’il lui avait offerte « au cas où ». C’est que depuis qu’elle avait décidé de faire une fellation à Louis, elle avait choisi de bien la pratiquer … Ils avaient tant échangé de plaisirs cette nuit … en fait il lui en avait tellement donné de plaisirs… Aussi, même si elle pratiquait « une prestation un peu spéciale » … « cette chose qui ne se fait pas » comme elle avait toujours pensé … et même avec de l’appréhension, elle se voulait être parfaite. Et puis Marie lui avait dit qu’elle avait apprécié, elle … Et effectivement, ce contact du pénis avec sa bouche, avec sa langue, avec ses lèvres, lui était très agréable, et comme elle en était venue à aimer ces va-et-vient auxquels elle se livrait sur ce sexe bandé, qu’elle avait le pouvoir de lécher, et de faire plus ou moins pénétrer dans sa bouche. Et comme elle adorait également jouer avec ses testicules qu’elle sentait eux aussi tellement vivants sous ses doigts !
Depuis quelque temps, il lui caressait un sein ; elle le sentait vibrer sous ses doigts … comme ce contact sur son auréole, sur le téton l’excitait !
Aux réactions plus nerveuses de son sexe, elle sentait que Louis « n’allait plus tenir » longtemps, qu’il allait bientôt s’épancher en elle … et elle était fière d’avoir pris cette initiative de la fellation. Il attendait « naturellement » ça d’elle, d’une femme, de la femme qu’elle était, de sa maîtresse qu’elle était devenue … Marie lui avait expliqué … ; aussi elle avait décidé de répondre à cette attente-là … en femme. … Et elle allait le boire ! Enfin la main sur son sein se figea … Son autre main, dans les cheveux s’est plus ouverte, mieux incrustée dans ses cheveux et s’est mise à lui maintenir fermement la tête. Elle eut conscience que « l’instant de vérité » arrivait … qu’il allait bientôt …
- Tu es prête Michèle ? … Tu ne veux pas « sauter en marche » ? …
Bien entendu qu’elle n’allait pas tricher … un peu d’angoisse certes … mais elle était prête ! La main qui lui maintenant la tête se fit plus pressante … elle la contraignit à avaler au plus profond de sa bouche le sexe de son amant. Louis venait de reprendre la maîtrise de l’opération … il entreprit d’effectuer lui-même les va-et-vient dans la bouche de Michèle, en la forçant jusqu’au plus profond de sa gorge … Elle avait le souffle coupé … impossible maintenant de respirer … allait-elle suffoquer ? Enfin il se lâcha en longs jets ... sa bouche s’emplissait … il relâcha la pression exercée par sa main sur la tête : elle put alors avaler, et la gorge partiellement dégagée, reprendre un peu souffle … Et il continuait à se déverser en elle … et de son autre main, il lui caressait le larynx, afin de lui faciliter la déglutition. Elle avalait … et il continuait à lui arroser la gorge.
Enfin il s’arrêta … Mais combien de sa semence elle avait encore avalé ! Effectivement, comme le lui avait dit Marie, le goût était agréable … et quel plaisir d’avaler la semence de cet homme qui la gâtait tant ! Bien sûr elle avait eu la respiration coupée … sans doute à cause de la taille de ce sexe … Un peu traumatisant certes … mais pas tellement désagréable … il avait en fait été attentif à ne pas l’étouffer, il avait bien contrôlé la situation … Et le fait d’avoir été dépendante de lui pour sa respiration lui avait paru assez excitant.
Il lui releva la tête ; elle était toute essoufflée, elle avait les larmes aux yeux … Mais comme elle était heureuse ! … Elle l’avait fait ! … Elle était une femme comblée. Il l’embrassa en signe de remerciement … pas trop … il devait lui laisser reprendre son rythme respiratoire normal. Alors il la coucha sur le dos, lui caressa un sein, lui prit le téton de l’autre dans la bouche. La béatitude ! Il laissa sa main glisser vers sa toison … son clitoris la reçut avec plaisir. Enfin elle reprit ses forces.
- Merci Louis…
- Tu as aimé … sois sincère …
- J’ai aimé … je suis fière de moi … j’étais un peu tendue … l’inconnu … du stress … mais j’ai aimé … j’ai aimé faire cela avec toi. Et ce sera plus facile la prochaine fois, j’en suis certaine. Il y aura bien une prochaine fois ? Tu voudras encore de moi ? ... Tu te rends compte tout ce que j’ai appris cette nuit … en quelques heures ! Mais comment fais-tu pour me combler à ce point ? Et toute cette semence que tu m’as donnée ! J’ai dû en recevoir plus aujourd’hui que dans tout le reste de ma vie … Tu m’as fait trois fois l’amour … « le quota » de ma vie conjugale les bons mois … dans les bons mois seulement … Quant à la quantité … Merci Louis. Tu voudras bien de moi encore ?
- Pauvre petite jeune fille assoiffée d’amour … et qu’on laisse sur sa soif … trois fois dans les bons mois … Mais quelle faute a-t-elle commise pour mériter une telle condamnation ? Mais tout cela est derrière toi … tu viens de t’évader de ta prison … tu ne seras plus punie … Non seulement je voudrai encore de toi … mais je te retourne ta question … voudras-tu encore faire l’amour avec moi ? Si oui, quand tu t’en sentiras l’envie, tu m’appelles … et nous faisons le nécessaire.
- Comme tu y vas … j’ai envie, je t’appelle et je viens, n’importe quand … quand j’en aurai envie. Mais sais-tu que je suis mariée Louis … est-ce que je pourrai pas toujours me libérer … quand j’aurai envie de faire l’avenir avec toi ? Tu m’imagines à minuit dire à mon mari : « Pierre je pars m’envoyer en l’air avec Louis » ? Et tu penses à mes enfants qui ne retrouveront pas leur mère à table pour le petit-déjeuner ? Et puis j’ai mon travail … un emploi du temps serré, tu sais. Et puis de ton côté, tu as tes études … et aussi Marie. Ce ne sera pas facile … nous trouverons …
- Je te fais confiance …
- Nous essayerons …
- Tu reviendras chez moi. Souvent je l’espère. Et … et si je me permettais … j’aurais une proposition à te faire … j’aimerais quand tu viendras me voir … que tu arrives à la maison comme cette fois-ci, avec comme unique sous-vêtements, une paire de bas … si on peut considérer les bas comme des sous-vêtements. Tu pourrais … quand tu partiras ton travail ou de chez toi, être nue sous ta robe, ou alors tu t’arrêterais prendre un café avant de venir … et en profiter pour te « mettre en tenue ». Tu ne trouves pas que ce rite secret entre nous aurait du piquant ?
- Tu en as des idées !
- As-tu regretté tout à l’heure d’être arrivée nue ? Je crois bien que tu as aimé ça … et je suis persuadé que tu aimerais cela encore … ce serait notre secret à tous les deux … Nous en reparlerons ... Allez, repose-toi un peu dans mes bras …
Il la saisit de ses bras, collés face à face l’un contre l’autre … elle en fit de même … Ils se remirent à échanger des petits bisous un peu partout. Puis ils s’assoupirent toujours leurs bras mélangés.
- Je suis formidable … et je vais me reposer quelque peu … As-tu besoin de repos également ?
- Effectivement, tu m’as épuisée. Il paraît que c’est plus fatiguant pour les hommes que pour les femmes … que l’érection çà demande beaucoup d’énergie … alors qu’ouvrir le jambes c’est facile … c’est ce qu’on dit. Mais toi ! Deux fois ! Comment est-ce possible ? La plupart, d’après les journaux féminins, se contentent d’une fois par semaine, d’autres une seule fois par mois. Enfin, c’est ce qui se dit … Mais toi … Oui, tu m’as épuisée … avec toi, ça ne se limite pas à une simple nécessité hygiénique … comme on dit encore … c’est une véritable œuvre de professionnel, de la belle ouvrage. Comment fais-tu ? Tu te dopes ? Tu n’as pas peur qu’on te fasse subir un contrôle anti-dopage ? Je plaisante bien sûr. Et comme tu m’as fait me dépenser ! Tous ces orgasmes ! Je ne connaissais pas ça … Je ne l’imaginais même pas. Oui tu m’as épuisée … il faut que je reprenne des forces. Tu fais la même chose avec Marie ? Et il y en a d’autres ?
- Marie, tu oublies. Il y a ici Michèle et Louis. Compris ! Quant aux autres, comme tu dis … non il n’y en a pas. Il y en a eues bien sûr, mais il n’y en a plus. Et crois-moi, une fille comme toi, belle comme tu es, douée comme toi, ça ne donne pas tellement envie d’aller se disperser …
- Il y a quand même Marie …
- Je t’ai dit « tu oublies Marie » !
- Bien sûr … mais je ne peux pas l’ignorer … c’est mon amie … et c’est grâce à elle que nous somme ici … que nous prenons du plaisir ensemble …
- Et tu deviens jalouse d’elle … le gentil toutou ne veut pas partager son os !
- Peut-être bien … oublions-la ! Tu as raison ! Reposons-nous un peu, reprenons des forces, repasse ton bras autour de mes épaules, je vais poser ma tête sur toi …
- Approche-toi, que je puisse te serrer … et n’oublie pas que qu’il te reste une main libre … dont tu peux te servir avant de t’assoupir. Allez au travail !
Et Michèle, qui décidément perd de sa timidité, se décide à caresser la poitrine et le ventre de Louis … et même s’aventure sur son pénis. Il en est ravi. Quels progrès.
- Merci Michèle ; continue de la sorte … laisse ta main faire connaissance avec mon sexe, laisse-la s’apprivoiser, qu’elle n’hésite pas à l’explorer, que tes doigts fouillent ma bourse …
- Je vais faire de mon mieux Louis. Tu m’as tellement donné de plaisir … Tu as raison, il faut que je … que j’oublie mon éducation … que je laisse ma main oser, se libérer … que j’accepte de me libérer … à être femme comme tu le dis si bien … tu verras, tu vas être fier de moi !
- Je n’en doute pas … laisse-toi aller à être femme … mais en t’abandonnant au repos quand il s’imposera à toi … tu as tout ton temps, nous avons tout notre temps.
Elle continua ses douces caresses … Louis ravi et satisfait de ses progrès, s’assoupit rapidement… Elle persévéra encore un peu, grisée par sa propre audace, satisfaite par ces sensations nouvelles qu’elle découvrait … du pouvoir qu’elle discernait exercer dorénavant sur le corps de son amant, sur son sexe même. Elle osait prendre soin du pénis d’un homme. Quelle révolution ! Puis enfin, sereine, elle se laissa à son tour gagner par le sommeil.
Encore cette fois, elle se réveilla la première. Comme elle se sentait bien ! Bien sûr à nouveau elle pensa que si elle avait fait l’amour avec Pierre - comme ça avait toujours été le cas jusqu’à cette nuit -, il se serait retiré d’elle avant d’éjaculer. Des relations sexuelles assez rares en fait, deux ou trois fois par mois au plus, pas très intenses, assez rapides … et desquelles il sautait en marche si nécessaire. Le sexe seulement par hygiène. Et Louis qui lui avait fait deux fois l’amour de suite, qui l’avait fait monter au septième ciel ! Bien sûr qu’il ne s’était pas retiré … il n’aurait pu en être question, ni pour elle, ni pour lui. Ils avaient fait l’amour, vraiment l’amour … et quand on fait l’amour, il est impensable de ne pas le faire bien. Oui avec un tel mâle, il lui faudrait penser à la pilule … enfin si ça durait entre eux deux … Mais à quarante-sept ans, commencer à prendre la pilule ? Elle ne se voyait pas aller expliquer à sa gynécologue … qu’aux portes de la ménopause elle avait changé d’avis … Bien entendu, elle pourrait cette prendre la pilule … pour Louis … et sans rien en rien dire à Pierre évidemment. Comment pourrait-elle lui dire qu’elle avait décidé … ? Elle allait pour cette fois prendre la pilule du lendemain. Par sécurité, seulement par sécurité, car à son âge on ne tombe plus enceinte. Et si elle ne la prenait pas cette pilule-là ? Si elle prenait le risque … ? Louis lui avait tellement donné de plaisir que … Après tout, se retrouver éventuellement enceinte après cette nuit-ci … ? Se laisser aller à ce jeu de roulette russe ? Bien sûr que si elle se retrouvait enceinte, elle pourrait facilement persuader Pierre qu’ils avaient commis une faute, elle et lui … malgré leurs précautions … qu’à quarante-sept ans la fécondité de la femme est instable … mais qu’elle demeure. Pierre n’aurait aucun doute … et avoir un enfant après une telle nuit de folie avec Louis, un enfant du plaisir, un enfant de l’amour … Mais, c’est que maintenant on fait des analyses génétiques pour un oui pour un non … alors peut-être qu’un jour la vérité éclaterait : Pierre découvrirait qu’il n’est pas le père … ? Allez, c’est décidé, elle n’en dira rien à Louis … mais elle ne prendra pas la pilule du lendemain … elle prendra le risque. Et elle se retrouvera peut-être de nouveau enceinte dix-sept ans après la naissance de sa fille… Et être de nouveau enceinte … quel bonheur ce serait pour elle. Un enfant de son amant ! Elle ne prendra pas cette pilule … Le sort en est jeté ! … Il est temps de réveiller Louis … et de lui montrer comment elle pouvait devenir experte ès excitation d’un homme … comme elle allait vite apprendre !
Elle entreprit donc de recommencer là où elle s’était arrêtée, et elle reprit ses caresses, sur le pubis, sur la verge, qu’elle se mit à explorer de ses doigts légers … et comme il le lui avait demandé, elle alla prospecter sa bourse, en tentant d’y isoler chaque testicule. Louis ne tarda pas, soumis à une telle inspection, de se réveiller. Comme il était surpris !
- Tu aimes ça Louis ? Comme tu m’as fait faire des progrès !
- J’aime ça Michèle … tu me rends fou …
- Je l’espère bien ! Tu sais, je n’aimerais pas travailler pour rien ! Je plaisante bien entendu. Tu vas voir, je vais devenir parfaite !
Il se remit sur le côté, face à elle, et il lui serra les épaules de ses bras … mais en prenant soin de ne pas entraver l’activité de sa main. Il lui caressa les cheveux, le visage, reprit ses bécotements un peu partout. Ils s’embrassèrent à nouveau ; elle continua ses caresses sur le sexe de son amant. Enfin sa main remonta sur son dos, sur son cou, dans ses cheveux. Et ils partirent dans une exploration réciproque de leurs corps.
Et Michèle se décida à prendre l’initiative qu’il attendait, qu’il lui avait fait comprendre qu’il attendait d’elle. Elle laissa lentement glisser sa main sur son corps et la fit descendre jusqu’à son sexe, qu’elle cajola. Elle s’abaissa quelque peu dans le lit, effleura malicieusement sa poitrine de ses cheveux et entreprit de masser la bourse de son autre main … avant de jouer les femmes expertes et d’insinuer ses fins doigts entre ses testicules. L’effet ne se fit pas attendre le pénis commença à reprendre vie. Elle s’amusa du résultat obtenu … elle était une magicienne, ses doigts étaient devenus capables de faire sortir des colombes de foulards ! Comme elle avait appris vite ! Pas en avance pour son âge, mais douée ! Elle descendit encore la tête … sa bouche s’approcha de ce pénis qui reprenait vie … une belle vigueur ! Elle le fit rouler dans ses deux mains, l’approcha de ses lèvres et souffla légèrement sur le gland. Oh comme Louis adorait ça ! Comme elle se grisait de ce pouvoir nouveau qu’elle était en train d’acquérir … Oh comme ce sexe se dressait sous ses doigts de fée et sous son souffle chaud. Alors de sa langue elle titilla le gland. Comme il avait soif maintenant de la pénétrer là ! Il fallait qu’elle se décide … mais allait-elle le faire ? … Elle était si maladroite, si inexpérimentée … même non, elle faisait des progrès étonnants ! Elle s’y résolut enfin, et sa langue se lova sur le gland, qu’elle enfourna entre ses lèvres. Comme le lui avait déclaré Marie, il était très agréable de prendre en bouche un sexe d’homme … mais pourquoi n’avait-elle pas compris cela plus tôt ? Elle avait perdu de nombreuses années … Une main sur la bourse qui s’insinuait entre les testicules, l’autre qui s’était mise à des va-et-vient sur la hampe, elle prenait plaisir à le sentir devenir de plus en plus rigide sous sa langue qui s’enroulait si naturellement autour.
- Oh que tu es géniale Marie ! Ne parle pas … bien entendu tu ne peux pas parler … mais continue, tu es merveilleuse …
Il lui avait glissé maintenant ses doigts dans les cheveux et lui massait le cuir chevelu … Michèle appréciait beaucoup … et elle s’appliqua mieux encore à faire grossir le sexe de son amant … Il se demandait si elle … car c’était sa première fellation … Et ils n’en avaient pas discuté auparavant … il n’avait pas pu lui expliquer … Bien sûr Marie lui avait dit que … mais que lui avait-elle dit au fait … ? Il choisit pour le moment de la laisser faire … en se contentant de l’encourager de ses doigts dans les cheveux … Il allait la laisser vivre ses instincts de femme … Et d’ailleurs Marie avait dû un peu « l’éduquer » …
Le plaisir de Michèle s’accroissait tandis que le sexe de Louis prenait vie sous sa langue, entre ses lèvres, sous ses doigts … Un petit souci quand même … elle savait par Marie que le moment venu il s’enfoncerait jusqu’au fond de sa gorge, qu’elle allait en perdre la respiration tandis qu’il allait s’épancher en elle. Pour le moment elle était maître de la situation … mais elle savait que les choses allaient lui échapper … Bon, elle verrait bien … elle apprendrait …
- Merci Michèle … comme tu prends plaisir à cela !!! Et moi aussi, crois-moi. Bien entendu, si tu ne veux pas aller jusqu’au bout, tu pourras « sauter en marche », c’est permis pour cette première fois. Tu n’auras qu’à, dans ce cas-là, me taper un peu sur les fesses … et je te laisserai te retirer. Ce serait dommage, mais … Et dans ce cas, je te pénétrerai une nouvelle fois le sexe … sans préparation … car je n’aurai plus le temps de « fignoler » … Mais si tu ne te manifestes pas, je continuerai à te maintenir la tête comme je le fais maintenant … un peu plus énergiquement, un peu plus profondément, pour que tu puisses recevoir ma semence dans la bouche. Tu l’avaleras … je te laisserai dégager ta tête … et nous nous caresserons à nouveau. Tu as le choix … ou tu me tapes un peu les fesses … ou nous vivrons complètement notre première fellation. Tu es très bien Michèle, tu me plais extraordinairement … nous allons vivre un grand moment …
« Elle ne voulut pas retenir » la possibilité d’échappatoire qu’il lui avait offerte « au cas où ». C’est que depuis qu’elle avait décidé de faire une fellation à Louis, elle avait choisi de bien la pratiquer … Ils avaient tant échangé de plaisirs cette nuit … en fait il lui en avait tellement donné de plaisirs… Aussi, même si elle pratiquait « une prestation un peu spéciale » … « cette chose qui ne se fait pas » comme elle avait toujours pensé … et même avec de l’appréhension, elle se voulait être parfaite. Et puis Marie lui avait dit qu’elle avait apprécié, elle … Et effectivement, ce contact du pénis avec sa bouche, avec sa langue, avec ses lèvres, lui était très agréable, et comme elle en était venue à aimer ces va-et-vient auxquels elle se livrait sur ce sexe bandé, qu’elle avait le pouvoir de lécher, et de faire plus ou moins pénétrer dans sa bouche. Et comme elle adorait également jouer avec ses testicules qu’elle sentait eux aussi tellement vivants sous ses doigts !
Depuis quelque temps, il lui caressait un sein ; elle le sentait vibrer sous ses doigts … comme ce contact sur son auréole, sur le téton l’excitait !
Aux réactions plus nerveuses de son sexe, elle sentait que Louis « n’allait plus tenir » longtemps, qu’il allait bientôt s’épancher en elle … et elle était fière d’avoir pris cette initiative de la fellation. Il attendait « naturellement » ça d’elle, d’une femme, de la femme qu’elle était, de sa maîtresse qu’elle était devenue … Marie lui avait expliqué … ; aussi elle avait décidé de répondre à cette attente-là … en femme. … Et elle allait le boire ! Enfin la main sur son sein se figea … Son autre main, dans les cheveux s’est plus ouverte, mieux incrustée dans ses cheveux et s’est mise à lui maintenir fermement la tête. Elle eut conscience que « l’instant de vérité » arrivait … qu’il allait bientôt …
- Tu es prête Michèle ? … Tu ne veux pas « sauter en marche » ? …
Bien entendu qu’elle n’allait pas tricher … un peu d’angoisse certes … mais elle était prête ! La main qui lui maintenant la tête se fit plus pressante … elle la contraignit à avaler au plus profond de sa bouche le sexe de son amant. Louis venait de reprendre la maîtrise de l’opération … il entreprit d’effectuer lui-même les va-et-vient dans la bouche de Michèle, en la forçant jusqu’au plus profond de sa gorge … Elle avait le souffle coupé … impossible maintenant de respirer … allait-elle suffoquer ? Enfin il se lâcha en longs jets ... sa bouche s’emplissait … il relâcha la pression exercée par sa main sur la tête : elle put alors avaler, et la gorge partiellement dégagée, reprendre un peu souffle … Et il continuait à se déverser en elle … et de son autre main, il lui caressait le larynx, afin de lui faciliter la déglutition. Elle avalait … et il continuait à lui arroser la gorge.
Enfin il s’arrêta … Mais combien de sa semence elle avait encore avalé ! Effectivement, comme le lui avait dit Marie, le goût était agréable … et quel plaisir d’avaler la semence de cet homme qui la gâtait tant ! Bien sûr elle avait eu la respiration coupée … sans doute à cause de la taille de ce sexe … Un peu traumatisant certes … mais pas tellement désagréable … il avait en fait été attentif à ne pas l’étouffer, il avait bien contrôlé la situation … Et le fait d’avoir été dépendante de lui pour sa respiration lui avait paru assez excitant.
Il lui releva la tête ; elle était toute essoufflée, elle avait les larmes aux yeux … Mais comme elle était heureuse ! … Elle l’avait fait ! … Elle était une femme comblée. Il l’embrassa en signe de remerciement … pas trop … il devait lui laisser reprendre son rythme respiratoire normal. Alors il la coucha sur le dos, lui caressa un sein, lui prit le téton de l’autre dans la bouche. La béatitude ! Il laissa sa main glisser vers sa toison … son clitoris la reçut avec plaisir. Enfin elle reprit ses forces.
- Merci Louis…
- Tu as aimé … sois sincère …
- J’ai aimé … je suis fière de moi … j’étais un peu tendue … l’inconnu … du stress … mais j’ai aimé … j’ai aimé faire cela avec toi. Et ce sera plus facile la prochaine fois, j’en suis certaine. Il y aura bien une prochaine fois ? Tu voudras encore de moi ? ... Tu te rends compte tout ce que j’ai appris cette nuit … en quelques heures ! Mais comment fais-tu pour me combler à ce point ? Et toute cette semence que tu m’as donnée ! J’ai dû en recevoir plus aujourd’hui que dans tout le reste de ma vie … Tu m’as fait trois fois l’amour … « le quota » de ma vie conjugale les bons mois … dans les bons mois seulement … Quant à la quantité … Merci Louis. Tu voudras bien de moi encore ?
- Pauvre petite jeune fille assoiffée d’amour … et qu’on laisse sur sa soif … trois fois dans les bons mois … Mais quelle faute a-t-elle commise pour mériter une telle condamnation ? Mais tout cela est derrière toi … tu viens de t’évader de ta prison … tu ne seras plus punie … Non seulement je voudrai encore de toi … mais je te retourne ta question … voudras-tu encore faire l’amour avec moi ? Si oui, quand tu t’en sentiras l’envie, tu m’appelles … et nous faisons le nécessaire.
- Comme tu y vas … j’ai envie, je t’appelle et je viens, n’importe quand … quand j’en aurai envie. Mais sais-tu que je suis mariée Louis … est-ce que je pourrai pas toujours me libérer … quand j’aurai envie de faire l’avenir avec toi ? Tu m’imagines à minuit dire à mon mari : « Pierre je pars m’envoyer en l’air avec Louis » ? Et tu penses à mes enfants qui ne retrouveront pas leur mère à table pour le petit-déjeuner ? Et puis j’ai mon travail … un emploi du temps serré, tu sais. Et puis de ton côté, tu as tes études … et aussi Marie. Ce ne sera pas facile … nous trouverons …
- Je te fais confiance …
- Nous essayerons …
- Tu reviendras chez moi. Souvent je l’espère. Et … et si je me permettais … j’aurais une proposition à te faire … j’aimerais quand tu viendras me voir … que tu arrives à la maison comme cette fois-ci, avec comme unique sous-vêtements, une paire de bas … si on peut considérer les bas comme des sous-vêtements. Tu pourrais … quand tu partiras ton travail ou de chez toi, être nue sous ta robe, ou alors tu t’arrêterais prendre un café avant de venir … et en profiter pour te « mettre en tenue ». Tu ne trouves pas que ce rite secret entre nous aurait du piquant ?
- Tu en as des idées !
- As-tu regretté tout à l’heure d’être arrivée nue ? Je crois bien que tu as aimé ça … et je suis persuadé que tu aimerais cela encore … ce serait notre secret à tous les deux … Nous en reparlerons ... Allez, repose-toi un peu dans mes bras …
Il la saisit de ses bras, collés face à face l’un contre l’autre … elle en fit de même … Ils se remirent à échanger des petits bisous un peu partout. Puis ils s’assoupirent toujours leurs bras mélangés.