Michèle 12 (le grand schelem)
Posté: 02 Juin 2008, 13:26
Elle ouvrit l’œil. Elle était ravie de voir Louis déjà éveillé. Elle l’embrassa et le caressa un peu partout ; il la caressa en retour.
- Je suis heureuse, Louis.
- Je le suis également, Michèle ... tu es adorable, et je t’adore.
- Eh bien … tout ce que tu m’as fait … tout ce que tu m’as fait faire …
- Puisque tu es heureuse, et que je suis heureux, que demander de plus ?
- Je ne demande rien de plus, je suis ravie … pourtant j’ai l’impression que je rêve, que « la grosse horloge » va se mettre à égrainer les douze coups de minuit, et que tout va disparaître. Dis-moi que tout cela est vrai, que mon bonheur est vrai …
- Tout est vrai Michèle … et je voudrais que tout cela perdure à tout jamais … mais tu vas me quitter …
- Mais je ne vais pas te quitter Louis … nous sommes si bien ensemble.
- Tu vas rester … tu ne vas pas retourner chez toi …
- Il le faut bien, mais je reviendrai, sois-en certain … je voudrais que tout cela continue …
- Mais ça continuera jusqu’au matin … même plus tard si tu le peux …
- Plus tard … tu sais que je vais devoir partir … mais quelle nuit nous avons passée …
- Oh elle n’est pas encore terminée, le jour n’est pas encore levé.
- Parce tu aurais encore quelque chose à me proposer … tu m’as déjà tellement donné, tu m’as tellement étonnée … je ne pensais pas qu’un homme et une femme puissent tant en faire en si peu de temps … c’est que tu dois être épuisé maintenant … l’homme est plus actif que la femme au lit … Et moi déjà comment je vais pouvoir travailler ce lundi ? Après avoir vécu une telle nuit ! Avec tant de souvenirs !
- Tu reviens ici après ton travail … ?
- Tu sais bien que je suis mariée … mon mari rentrera ce soir … il faudra que je l’attende à la maison … que je lui demande si son voyage s’est bien passé, s’il n’est pas trop fatigué … ?
- Et que tu lui dises que tu t’es ennuyée …
- Ne plaisante pas … je t’en prie … tua me fais mal …
- Tu reviendras me voir ?
- Tu voudras me revoir ?
- Je veux te revoir. Et souvent ! Le plus souvent possible ! Allez ne nous laissons pas aller à la tristesse … embrassons nous.
Longs embrassements. Longues caresses. Elle sentit son membre reprendre vie …
- Mais dis donc, Louis, tu ne vas pas à nouveau me désirer ?
- Aurais-tu perdu de ta séduction ? Serais-tu devenue sans intérêt ?
- C’est que tu m’étonnes … jamais je n’aurais cru …
- En femme expérimentée tu n’aurais pas cru que … ?
- Tu sais bien que mon expérience est nulle … que seulement j’ai entendu dire … ou lu que …
- Je sais.
- Je vais être très fatiguée aujourd’hui … et j’ai tellement de travail à faire … même si je n’ai pas de cours à donner …
- Tu regrettes notre nuit sans sommeil ? Tu veux que je te renvoie dormir chez toi ? … Je crains que nous ne puissions pas dormir … si nous restons mélangés ici dans le lit …
- À voir ta vigueur renaissante, je le crains également …
- Je peux te reconduire tout de suite chez toi … ou alors nous pouvons profiter pleinement de cette nuit que le hasard nous a réservée … et dont il ne nous fera peut-être plus cadeau avant longtemps ? Il faut choisir. La raison ? Ou le plaisir d’être ensemble ? Je te ramène … et sûr, même seule, tu ne pourras dormir ? Ou nous continuons à nous épuiser l’un l’autre ?
- Tu le sais bien, je reste … tu as raison, je ne pourrai pas dormir, même seule chez moi … je ne peux pas, je ne veux pas repartir maintenant … même si je cours le risque, outre la fatigue, de ressentir en plus dans mon corps toutes les conséquences de tes assauts ... moi qui n’ai jamais connu qu’une vie sexuelle toute calme …
- Allez Michèle, cessons là les discours, embrasons-nous, caressons-nous …
- Oui mais pas sans savoir d’abord ce dont tu vas encore faire de mon corps ?
- Que veux-tu que j’en fasse ? Honnêtement je n’ai rien envisagé … si nous laissions faire les choses … ?
- Tu n’as vraiment rien envisagé ? Pourrais-tu ne plus en venir à l’envie de me pénétrer de-ci ou de-là ?
- Évidemment que je vais encore te pénétrer … quand le moment sera venu ... lorsque cela redeviendra une nécessité pour nous deux.
- Tu pourras encore ? Deux fois le vagin déjà, une fois la bouche … alors encore une fois la bouche … pour égaliser … ou une fois de plus le vagin, pour maltraiter encore ma matrice … que je ne puisse plus oublier son existence en moi au cours les jours qui viennent ?
- C’est vraiment douloureux ? Intolérable ? Tu as souffert ? Tu souffres ?
- Oh que non ! Je ne souffre pas, j’adore. Je n’avais jamais connu ça, et j’adore que tu frappes mon intimité … une partie de moi que j’ignorais et que tu as fait vivre … Et j’espère que tu me feras connaître ça encore … même si demain je dois encore ressentir tes passages en moi … pas une douleur, oh non … le souvenir d’un bonheur, d’un bonheur qui continuera à m’habiter … à moins que tu ne choisisses de …
- Bien sûr, tu étais venue pour te faire sodomiser, seulement sodomiser … et avec un préservatif encore ! Tu as raison, c’est évident, il faut que nous le fassions … je vais sortir des préservatifs …
- Oui, ça me plairait bien que tu me sodomises … Mais pourras-tu encore … ?
- Évidemment.
- Soit … mais tu as vraiment envie d’utiliser un préservatif ? C’est que je me suis habituée maintenant à te ressentir directement en moi, à sentir ta semence m’investir … et que je n’ai pas envie d’en être privée …
- Bien sûr sans préservatif. C’est toi qui paraissais y tenir … mais tu n’auras pas à subir cette punition-là, je ne vais pas t’en imposer un. Je vais donc te sodomiser Michèle … Mais cela ne veut pas dire qu’auparavant tu ne me connaîtras pas à nouveau dans ta bouche ou ton vagin … Non, cela signifie qu’en fin de compte je te sodomiserai … et que c’est là que j’explorerai en toi. Mais pour le moment, prenons notre temps, embrassons-nous, explorons nos corps …
Toujours allongés l’un face à l’autre, ils s’embrassèrent longuement, leurs doigts reprirent l’exploration de leurs visages et de leurs dos. Puis Louis plaça Michèle sur le dos et laissa sa bouche descendre sur son cou, s’attarder quelque peu sur le haut de sa poitrine pendant que de ses doigts il lui flattait un sein. Celui-ci reprit vie aussitôt … tout comme son sexe à lui. Sa bouche descendit encore, se mit à circuler autour du sein ; elle l’effleura d’abord des lèvres, puis le suçota, lui donna des coups de langue ; quand elle en atteignit l’auréole, il se mit alors à s’arrondir … Michèle se remit à gémir. D’autant plus que la main de Louis, qui lui avait exploré le ventre, s’était maintenant emparée de son sexe. Enfin il avala le téton et pinça le clitoris. Michèle écarta d’instinct les jambes et son bassin entra en transes. Il la laissa se calmer doucement, ne se contentant plus que de lui caresser paresseusement le sein.
- Merci Louis, de tous le plaisir que tu me donnes … tu devrais te retourner, que je puise plus facilement m’occuper de ton sexe.
Il s’exécuta. Allongé à côté d’elle sa bouche rejoignit immédiatement sa vulve ouverte ; elle saisit aussitôt dans ses mains le membre dressé. Oh qu’il adorait ça, Louis ! Puis sa langue vint lui effleurer le gland, avant que sa bouche ne l’avalât. Il était aux anges. N’y tenant plus, il se coucha sur elle, lui enserra la tête de ses genoux, et la pénétra plus profondément avant de se remettre à lui butiner la fleur. Elle eut quelques soubresauts … mais la bouche envahie, elle ne pouvait plus guère gémir. Il s’enfonça profondément dans sa gorge et s’adonna à quelques va-et-vient en elle, Il avait conscience qu’elle étouffait, aussi Il n’insista pas, se retourna et se replaça à côté d’elle. Les yeux en larmes, mais tout sourire, elle suffoquait quelque peu. Il lui fallait reprendre son souffle … elle le fit tout en caressant de ses doigts si fins le visage de son amant. Quelle féminité !
- Je croyais que tu allais m’étouffer Louis … mais j’avais confiance en toi … et comme j’ai aimé ça ! J’ai imaginé que tu allais te vider tout au fond de ma gorge … je l’attendais … avec un peu d’angoisse … à cause de l’étouffement … mais comme j’aurais aimé ça … de recevoir là ta semence …
- Mais non Michèle … je n’allais pas le faire … pas cette fois-ci en tout cas. Une autre fois sans doute, si tu aimes cela … si tu veux que j’éjacule au fond de ta gorge, si surtout tu me fais confiance parce que persuadée que ne vais pas t’étouffer … pas complètement.
- Je le veux … une autre fois … tu le feras une autre fois … promis ?
Elle mit un long moment à reprendre complètement son souffle … sans cesser de lui caresser le visage. Quelle finesse ses doigts ! En avait-il déjà connu d’aussi fins, d’aussi délicats ? Comme elle savait en jouer sur lui ! De quelle douceur ils l’inondaient ! Quelle sérénité ils lui apportaient ! Certainement il avait fait connaître des tas de sensations à Michèle … mais qu’est-ce qu’elle lui en faisait, elle aussi, découvrir ! … Par elle, « la femme » s’était révélée à lui cette nuit … Quelle réjouissance il ressentait à lui caresser le corps, les seins … Ah ces petits seins tellement vivants ! Il adorait les seins menus … mais ceux-ci étaient vraiment exceptionnels. Quelle sensualité, quelle vie en eux ! Mais il n’y avait pas que les doigts, les seins chez elles … il y avait tout en fait … un corps parfait … rien à jeter. Et quelle savoir-faire elle avait, inné en elle … Ah, sa vie sexuelle « pépère », ça avait été un beau gâchis. Ils allaient rattraper ça …
Le calme revenu, il se plaça une nouvelle fois sur elle et s’enfonça d’un seul coup, au fond de son sexe … elle n’attendait que cet hommage-là !. Encore quelques va-et-vient … elle se remit à vibrer … Parfaite cette fille … le corps, les seins, le sexe, elle est vraiment faite pour l’amour ! Et c’est avec lui qu’elle faisait l’amour ! Quelle chance il avait !
Il comprit qu’ils allaient se laisser emporter, aussi il se retira et lui demanda de se retourner pour de se mettre à quatre pattes. Michèle s’exécuta.
Des siècles que son mari ne lui avait plus demandé ça ! Quelques rares fois, il y a bien longtemps, il l’avait prise en levrette … elle en avait conservé le souvenir de sensations agréables … mais entachées d’une idée de péché … son éducation ! Pierre n’avait pas persévéré … et elle n’aurait jamais osé lui demander de recommencer, bien élevée quelle était ! … Dommage que son mari n’ait pas eu l’idée de « la forcer » quelque peu. La femme avait conquis sa place dans la société … Mai pas au lit ! Au lit, elle est seule en face de l’homme … et sous l’œil de son éducation … Et si ni Monsieur, ni Madame, n’ose … la routine s’installe vite …
Alors il faut prendre un amant … mais pas n’importe lequel … et il faut être capable de sauter le pas … Elle n’avait jamais osé … sans doute n’en avait-elle d’ailleurs jamais eu envie ? Et là elle venait de sauter le pas … et l’amant était bien choisi … un peu sur catalogue. Elle aura donc un amant. Et un mari bien sûr. Et pas question de rien changer dans son couple … Elle aura d’un côté une vie conjugale qu’elle ne renie pas … mais avec sa vie sexuelle pauvre. Et de l’autre une vie de sensualité. Cette nuit elle avait appris, beaucoup appris, elle s’était d’abord laissée guidée … puis elle s’était décidée à prendre sa part dans leurs ébats … elle s’était même mise à tutoyer Louis … ce qu’elle n’avait pas envisagé d’abord. Et elle savait maintenant qu’à l’avenir elle participera à leurs choix … que si elle veut prendre son amant dans la bouche par exemple … il faudra qu’il se montre convaincant s’il veut autre chose … En tant que femme, elle était devenue socialement l’égale de l’homme … Elle allait devenir son égale au lit.
Louis la calla bien, les cuisses ouvertes sur le lit, et lui plaça le buste et les avant-bras bien à plat sur le matelas. Ses fesses étaient offertes. Elle n’était plus que fesses en fait. Il pénétra alors une nouvelle fois ce sexe ouvert et parfaitement lubrifié. Bien profondément. Il sentait nettement que dans cette position-là, le col de son utérus ne pouvait plus maintenant s’effacer plus avant, et que son insistance à s’enfoncer en elle devait la faire souffrir quelque peu … il s’adonna à quelques va-et-vient bien prononcés, tout en lui faisant rouler les hanches qu’il tenait fermement de ses mains ... Et elle accompagna cette manière qu’il avait de la prendre … Elle voulait prendre sa part à cette façon qu’il avait de se saisir d’elle … Elle ne voulait pas être « prise » mais se donner. Elle adorait ça cette manière qu’il avait de disposer d’elle, de la pousser à se donner complètement, et de la complicité qu’elle y mettait.
Mais il ne fallait pas se laisser emporter … elle était si douée … Il se retira d’elle.
- Tu es toute liquide, Michèle, et mon sexe est tout imprégné de toi … il pourra parfaitement te pénétrer quand je te sodomiserai … mais pour que je n’aie pas à forcer, je vais enduire mes doigts de vaseline, et les faire pénétrer doucement en toi ; un peu à la fois, tu t’habitueras à cette intrusion … et tu te décontracteras. Quand tu seras bien calme, et humide de vaseline, j’approcherai mon membre, bien lubrifié par toi, j’introduirai doucement mon gland … et alors avec mon aide, je te tiendrai par les hanches, tu appuieras doucement et fermement … tu verras tu m’aspireras en toi … n’aie pas peur …
Il s’enduisit un doigt de vaseline, puis lui caressa doucement la rondelle ; une fois que celle-ci eût accepté cette cajolerie, il enfonça doucement ce doigt en elle, et l’y fit tourner un long moment. Il le retira, pénétra à nouveau son vagin de son membre, quelques va-et-vient encore … sans trop en forcer la profondeur. Puis il s’enduisit deux doigts de vaseline, et recommença la même opération. Elle accepta rapidement cette double intrusion … Et après une nouvelle pénétration vaginale, il recommença la même manœuvre, avec trois doigts cette fois. La sentant bien préparée, et comme il le lui avait dit, il approcha son gland de son anus maintenant décontracté et lubrifié, et l’y fit pénétrer.
- Pousse maintenant Michèle, pousse, pousse à ton rythme …
Il la saisit fermement par les hanches l’aida à avaler son sexe … il l’encouragea de la voix à pousser … et n’eut pas beaucoup à forcer … Elle l’avait partiellement en elle, elle l’avait accepté, … elle attendait qu’il reprît l’initiative. Il ne voulait pas la brusquer, lui accorda un moment de repos … pour qu’elle s’habitue bien à cette pénétration inconnue d’elle … Pendant ce temps, de son autre main, celle qui était restée vierge de vaseline, il lui caressa le clitoris. Effet immédiat ! Il en profita pour s’enfoncer complètement en elle, bien à fond. Elle était possédée, complètement possédée et semblait apprécier … Sans bouger en elle, il continua à lui flatter le clitoris. Une fois bien certain d’être parfaitement accueilli, il sortit à demi, reprit doucement sa place, recommença, et toujours en s’occupant du clitoris, entreprit quelques va-et-vient. Il lui demanda alors de se laisser aller, d’accompagner ces allées et venues qu’il faisait en elle, d’y mettre toute la volupté dont elle était capable, de bien vouloir à chaque fois venir se cogner sur son pubis. Elle aima cela, s’appliqua bien et prit un plaisir énorme à obéir aux suggestions de son amant. Enfin il arrêta de lui titiller le clitoris, la saisit puissamment par les hanches et se régala d’elle, de lents va-et-vient, en entrant chaque fois bien profondément en elle ... elle continua l’accueillir avec entrain, accompagnant ses mouvements. Enfin il accéléra et s’autorisa à éclater en elle … Il y demeura encore quelque temps, s’adonna encore à quelques lents va-et-vient … il lui caressa doucement le dos qu’elle avait concave sur le lit, puis se retira. Il la remit sur le dos, et lui embrassa le sexe tout liquide qu’elle avait naturellement maintenu grand ouvert.
Il lui dit que pour éviter toute contamination éventuelle, il allait aller se nettoyer le sexe et les mains … qu’elle l’attende là quelques instants.
Il revint assez vite ; elle n’avait pas bougé. Il lui embrassa de nouveau longuement le sexe … ses mains à elles s’incrustèrent dans ses cheveux. Enfin il s’allongea à ses côtés … et ils se remirent à s’embrasser et à se caresser.
- Merci Louis, merci de cette nuit extraordinaire ! Mais tu vois, le jour se lève …
- Je suis heureuse, Louis.
- Je le suis également, Michèle ... tu es adorable, et je t’adore.
- Eh bien … tout ce que tu m’as fait … tout ce que tu m’as fait faire …
- Puisque tu es heureuse, et que je suis heureux, que demander de plus ?
- Je ne demande rien de plus, je suis ravie … pourtant j’ai l’impression que je rêve, que « la grosse horloge » va se mettre à égrainer les douze coups de minuit, et que tout va disparaître. Dis-moi que tout cela est vrai, que mon bonheur est vrai …
- Tout est vrai Michèle … et je voudrais que tout cela perdure à tout jamais … mais tu vas me quitter …
- Mais je ne vais pas te quitter Louis … nous sommes si bien ensemble.
- Tu vas rester … tu ne vas pas retourner chez toi …
- Il le faut bien, mais je reviendrai, sois-en certain … je voudrais que tout cela continue …
- Mais ça continuera jusqu’au matin … même plus tard si tu le peux …
- Plus tard … tu sais que je vais devoir partir … mais quelle nuit nous avons passée …
- Oh elle n’est pas encore terminée, le jour n’est pas encore levé.
- Parce tu aurais encore quelque chose à me proposer … tu m’as déjà tellement donné, tu m’as tellement étonnée … je ne pensais pas qu’un homme et une femme puissent tant en faire en si peu de temps … c’est que tu dois être épuisé maintenant … l’homme est plus actif que la femme au lit … Et moi déjà comment je vais pouvoir travailler ce lundi ? Après avoir vécu une telle nuit ! Avec tant de souvenirs !
- Tu reviens ici après ton travail … ?
- Tu sais bien que je suis mariée … mon mari rentrera ce soir … il faudra que je l’attende à la maison … que je lui demande si son voyage s’est bien passé, s’il n’est pas trop fatigué … ?
- Et que tu lui dises que tu t’es ennuyée …
- Ne plaisante pas … je t’en prie … tua me fais mal …
- Tu reviendras me voir ?
- Tu voudras me revoir ?
- Je veux te revoir. Et souvent ! Le plus souvent possible ! Allez ne nous laissons pas aller à la tristesse … embrassons nous.
Longs embrassements. Longues caresses. Elle sentit son membre reprendre vie …
- Mais dis donc, Louis, tu ne vas pas à nouveau me désirer ?
- Aurais-tu perdu de ta séduction ? Serais-tu devenue sans intérêt ?
- C’est que tu m’étonnes … jamais je n’aurais cru …
- En femme expérimentée tu n’aurais pas cru que … ?
- Tu sais bien que mon expérience est nulle … que seulement j’ai entendu dire … ou lu que …
- Je sais.
- Je vais être très fatiguée aujourd’hui … et j’ai tellement de travail à faire … même si je n’ai pas de cours à donner …
- Tu regrettes notre nuit sans sommeil ? Tu veux que je te renvoie dormir chez toi ? … Je crains que nous ne puissions pas dormir … si nous restons mélangés ici dans le lit …
- À voir ta vigueur renaissante, je le crains également …
- Je peux te reconduire tout de suite chez toi … ou alors nous pouvons profiter pleinement de cette nuit que le hasard nous a réservée … et dont il ne nous fera peut-être plus cadeau avant longtemps ? Il faut choisir. La raison ? Ou le plaisir d’être ensemble ? Je te ramène … et sûr, même seule, tu ne pourras dormir ? Ou nous continuons à nous épuiser l’un l’autre ?
- Tu le sais bien, je reste … tu as raison, je ne pourrai pas dormir, même seule chez moi … je ne peux pas, je ne veux pas repartir maintenant … même si je cours le risque, outre la fatigue, de ressentir en plus dans mon corps toutes les conséquences de tes assauts ... moi qui n’ai jamais connu qu’une vie sexuelle toute calme …
- Allez Michèle, cessons là les discours, embrasons-nous, caressons-nous …
- Oui mais pas sans savoir d’abord ce dont tu vas encore faire de mon corps ?
- Que veux-tu que j’en fasse ? Honnêtement je n’ai rien envisagé … si nous laissions faire les choses … ?
- Tu n’as vraiment rien envisagé ? Pourrais-tu ne plus en venir à l’envie de me pénétrer de-ci ou de-là ?
- Évidemment que je vais encore te pénétrer … quand le moment sera venu ... lorsque cela redeviendra une nécessité pour nous deux.
- Tu pourras encore ? Deux fois le vagin déjà, une fois la bouche … alors encore une fois la bouche … pour égaliser … ou une fois de plus le vagin, pour maltraiter encore ma matrice … que je ne puisse plus oublier son existence en moi au cours les jours qui viennent ?
- C’est vraiment douloureux ? Intolérable ? Tu as souffert ? Tu souffres ?
- Oh que non ! Je ne souffre pas, j’adore. Je n’avais jamais connu ça, et j’adore que tu frappes mon intimité … une partie de moi que j’ignorais et que tu as fait vivre … Et j’espère que tu me feras connaître ça encore … même si demain je dois encore ressentir tes passages en moi … pas une douleur, oh non … le souvenir d’un bonheur, d’un bonheur qui continuera à m’habiter … à moins que tu ne choisisses de …
- Bien sûr, tu étais venue pour te faire sodomiser, seulement sodomiser … et avec un préservatif encore ! Tu as raison, c’est évident, il faut que nous le fassions … je vais sortir des préservatifs …
- Oui, ça me plairait bien que tu me sodomises … Mais pourras-tu encore … ?
- Évidemment.
- Soit … mais tu as vraiment envie d’utiliser un préservatif ? C’est que je me suis habituée maintenant à te ressentir directement en moi, à sentir ta semence m’investir … et que je n’ai pas envie d’en être privée …
- Bien sûr sans préservatif. C’est toi qui paraissais y tenir … mais tu n’auras pas à subir cette punition-là, je ne vais pas t’en imposer un. Je vais donc te sodomiser Michèle … Mais cela ne veut pas dire qu’auparavant tu ne me connaîtras pas à nouveau dans ta bouche ou ton vagin … Non, cela signifie qu’en fin de compte je te sodomiserai … et que c’est là que j’explorerai en toi. Mais pour le moment, prenons notre temps, embrassons-nous, explorons nos corps …
Toujours allongés l’un face à l’autre, ils s’embrassèrent longuement, leurs doigts reprirent l’exploration de leurs visages et de leurs dos. Puis Louis plaça Michèle sur le dos et laissa sa bouche descendre sur son cou, s’attarder quelque peu sur le haut de sa poitrine pendant que de ses doigts il lui flattait un sein. Celui-ci reprit vie aussitôt … tout comme son sexe à lui. Sa bouche descendit encore, se mit à circuler autour du sein ; elle l’effleura d’abord des lèvres, puis le suçota, lui donna des coups de langue ; quand elle en atteignit l’auréole, il se mit alors à s’arrondir … Michèle se remit à gémir. D’autant plus que la main de Louis, qui lui avait exploré le ventre, s’était maintenant emparée de son sexe. Enfin il avala le téton et pinça le clitoris. Michèle écarta d’instinct les jambes et son bassin entra en transes. Il la laissa se calmer doucement, ne se contentant plus que de lui caresser paresseusement le sein.
- Merci Louis, de tous le plaisir que tu me donnes … tu devrais te retourner, que je puise plus facilement m’occuper de ton sexe.
Il s’exécuta. Allongé à côté d’elle sa bouche rejoignit immédiatement sa vulve ouverte ; elle saisit aussitôt dans ses mains le membre dressé. Oh qu’il adorait ça, Louis ! Puis sa langue vint lui effleurer le gland, avant que sa bouche ne l’avalât. Il était aux anges. N’y tenant plus, il se coucha sur elle, lui enserra la tête de ses genoux, et la pénétra plus profondément avant de se remettre à lui butiner la fleur. Elle eut quelques soubresauts … mais la bouche envahie, elle ne pouvait plus guère gémir. Il s’enfonça profondément dans sa gorge et s’adonna à quelques va-et-vient en elle, Il avait conscience qu’elle étouffait, aussi Il n’insista pas, se retourna et se replaça à côté d’elle. Les yeux en larmes, mais tout sourire, elle suffoquait quelque peu. Il lui fallait reprendre son souffle … elle le fit tout en caressant de ses doigts si fins le visage de son amant. Quelle féminité !
- Je croyais que tu allais m’étouffer Louis … mais j’avais confiance en toi … et comme j’ai aimé ça ! J’ai imaginé que tu allais te vider tout au fond de ma gorge … je l’attendais … avec un peu d’angoisse … à cause de l’étouffement … mais comme j’aurais aimé ça … de recevoir là ta semence …
- Mais non Michèle … je n’allais pas le faire … pas cette fois-ci en tout cas. Une autre fois sans doute, si tu aimes cela … si tu veux que j’éjacule au fond de ta gorge, si surtout tu me fais confiance parce que persuadée que ne vais pas t’étouffer … pas complètement.
- Je le veux … une autre fois … tu le feras une autre fois … promis ?
Elle mit un long moment à reprendre complètement son souffle … sans cesser de lui caresser le visage. Quelle finesse ses doigts ! En avait-il déjà connu d’aussi fins, d’aussi délicats ? Comme elle savait en jouer sur lui ! De quelle douceur ils l’inondaient ! Quelle sérénité ils lui apportaient ! Certainement il avait fait connaître des tas de sensations à Michèle … mais qu’est-ce qu’elle lui en faisait, elle aussi, découvrir ! … Par elle, « la femme » s’était révélée à lui cette nuit … Quelle réjouissance il ressentait à lui caresser le corps, les seins … Ah ces petits seins tellement vivants ! Il adorait les seins menus … mais ceux-ci étaient vraiment exceptionnels. Quelle sensualité, quelle vie en eux ! Mais il n’y avait pas que les doigts, les seins chez elles … il y avait tout en fait … un corps parfait … rien à jeter. Et quelle savoir-faire elle avait, inné en elle … Ah, sa vie sexuelle « pépère », ça avait été un beau gâchis. Ils allaient rattraper ça …
Le calme revenu, il se plaça une nouvelle fois sur elle et s’enfonça d’un seul coup, au fond de son sexe … elle n’attendait que cet hommage-là !. Encore quelques va-et-vient … elle se remit à vibrer … Parfaite cette fille … le corps, les seins, le sexe, elle est vraiment faite pour l’amour ! Et c’est avec lui qu’elle faisait l’amour ! Quelle chance il avait !
Il comprit qu’ils allaient se laisser emporter, aussi il se retira et lui demanda de se retourner pour de se mettre à quatre pattes. Michèle s’exécuta.
Des siècles que son mari ne lui avait plus demandé ça ! Quelques rares fois, il y a bien longtemps, il l’avait prise en levrette … elle en avait conservé le souvenir de sensations agréables … mais entachées d’une idée de péché … son éducation ! Pierre n’avait pas persévéré … et elle n’aurait jamais osé lui demander de recommencer, bien élevée quelle était ! … Dommage que son mari n’ait pas eu l’idée de « la forcer » quelque peu. La femme avait conquis sa place dans la société … Mai pas au lit ! Au lit, elle est seule en face de l’homme … et sous l’œil de son éducation … Et si ni Monsieur, ni Madame, n’ose … la routine s’installe vite …
Alors il faut prendre un amant … mais pas n’importe lequel … et il faut être capable de sauter le pas … Elle n’avait jamais osé … sans doute n’en avait-elle d’ailleurs jamais eu envie ? Et là elle venait de sauter le pas … et l’amant était bien choisi … un peu sur catalogue. Elle aura donc un amant. Et un mari bien sûr. Et pas question de rien changer dans son couple … Elle aura d’un côté une vie conjugale qu’elle ne renie pas … mais avec sa vie sexuelle pauvre. Et de l’autre une vie de sensualité. Cette nuit elle avait appris, beaucoup appris, elle s’était d’abord laissée guidée … puis elle s’était décidée à prendre sa part dans leurs ébats … elle s’était même mise à tutoyer Louis … ce qu’elle n’avait pas envisagé d’abord. Et elle savait maintenant qu’à l’avenir elle participera à leurs choix … que si elle veut prendre son amant dans la bouche par exemple … il faudra qu’il se montre convaincant s’il veut autre chose … En tant que femme, elle était devenue socialement l’égale de l’homme … Elle allait devenir son égale au lit.
Louis la calla bien, les cuisses ouvertes sur le lit, et lui plaça le buste et les avant-bras bien à plat sur le matelas. Ses fesses étaient offertes. Elle n’était plus que fesses en fait. Il pénétra alors une nouvelle fois ce sexe ouvert et parfaitement lubrifié. Bien profondément. Il sentait nettement que dans cette position-là, le col de son utérus ne pouvait plus maintenant s’effacer plus avant, et que son insistance à s’enfoncer en elle devait la faire souffrir quelque peu … il s’adonna à quelques va-et-vient bien prononcés, tout en lui faisant rouler les hanches qu’il tenait fermement de ses mains ... Et elle accompagna cette manière qu’il avait de la prendre … Elle voulait prendre sa part à cette façon qu’il avait de se saisir d’elle … Elle ne voulait pas être « prise » mais se donner. Elle adorait ça cette manière qu’il avait de disposer d’elle, de la pousser à se donner complètement, et de la complicité qu’elle y mettait.
Mais il ne fallait pas se laisser emporter … elle était si douée … Il se retira d’elle.
- Tu es toute liquide, Michèle, et mon sexe est tout imprégné de toi … il pourra parfaitement te pénétrer quand je te sodomiserai … mais pour que je n’aie pas à forcer, je vais enduire mes doigts de vaseline, et les faire pénétrer doucement en toi ; un peu à la fois, tu t’habitueras à cette intrusion … et tu te décontracteras. Quand tu seras bien calme, et humide de vaseline, j’approcherai mon membre, bien lubrifié par toi, j’introduirai doucement mon gland … et alors avec mon aide, je te tiendrai par les hanches, tu appuieras doucement et fermement … tu verras tu m’aspireras en toi … n’aie pas peur …
Il s’enduisit un doigt de vaseline, puis lui caressa doucement la rondelle ; une fois que celle-ci eût accepté cette cajolerie, il enfonça doucement ce doigt en elle, et l’y fit tourner un long moment. Il le retira, pénétra à nouveau son vagin de son membre, quelques va-et-vient encore … sans trop en forcer la profondeur. Puis il s’enduisit deux doigts de vaseline, et recommença la même opération. Elle accepta rapidement cette double intrusion … Et après une nouvelle pénétration vaginale, il recommença la même manœuvre, avec trois doigts cette fois. La sentant bien préparée, et comme il le lui avait dit, il approcha son gland de son anus maintenant décontracté et lubrifié, et l’y fit pénétrer.
- Pousse maintenant Michèle, pousse, pousse à ton rythme …
Il la saisit fermement par les hanches l’aida à avaler son sexe … il l’encouragea de la voix à pousser … et n’eut pas beaucoup à forcer … Elle l’avait partiellement en elle, elle l’avait accepté, … elle attendait qu’il reprît l’initiative. Il ne voulait pas la brusquer, lui accorda un moment de repos … pour qu’elle s’habitue bien à cette pénétration inconnue d’elle … Pendant ce temps, de son autre main, celle qui était restée vierge de vaseline, il lui caressa le clitoris. Effet immédiat ! Il en profita pour s’enfoncer complètement en elle, bien à fond. Elle était possédée, complètement possédée et semblait apprécier … Sans bouger en elle, il continua à lui flatter le clitoris. Une fois bien certain d’être parfaitement accueilli, il sortit à demi, reprit doucement sa place, recommença, et toujours en s’occupant du clitoris, entreprit quelques va-et-vient. Il lui demanda alors de se laisser aller, d’accompagner ces allées et venues qu’il faisait en elle, d’y mettre toute la volupté dont elle était capable, de bien vouloir à chaque fois venir se cogner sur son pubis. Elle aima cela, s’appliqua bien et prit un plaisir énorme à obéir aux suggestions de son amant. Enfin il arrêta de lui titiller le clitoris, la saisit puissamment par les hanches et se régala d’elle, de lents va-et-vient, en entrant chaque fois bien profondément en elle ... elle continua l’accueillir avec entrain, accompagnant ses mouvements. Enfin il accéléra et s’autorisa à éclater en elle … Il y demeura encore quelque temps, s’adonna encore à quelques lents va-et-vient … il lui caressa doucement le dos qu’elle avait concave sur le lit, puis se retira. Il la remit sur le dos, et lui embrassa le sexe tout liquide qu’elle avait naturellement maintenu grand ouvert.
Il lui dit que pour éviter toute contamination éventuelle, il allait aller se nettoyer le sexe et les mains … qu’elle l’attende là quelques instants.
Il revint assez vite ; elle n’avait pas bougé. Il lui embrassa de nouveau longuement le sexe … ses mains à elles s’incrustèrent dans ses cheveux. Enfin il s’allongea à ses côtés … et ils se remirent à s’embrasser et à se caresser.
- Merci Louis, merci de cette nuit extraordinaire ! Mais tu vois, le jour se lève …