Michèle 15 (le retour)
Posté: 10 Juin 2008, 19:31
Le téléphone sonna et réveilla Louis. Il s’était endormi … quand ? Il n’en savait rien, il avait perdu la notion du temps. Avant de décrocher, il jeta un œil à son réveil : quatorze heures vingt-cinq … oh qu’il avait dormi ! … Il décrocha.
- Allô, c’est Michèle … tu dormais ?
- Eh oui.
- Je ne te dérange pas ?
- Au contraire … j’aurais aimé me réveiller près de toi.
- Ça tombe bien, je suis dans le quartier, je peux passer ?
- Tu n’as pas peur que je te séquestre cette fois, que je ne te laisse pas repartir ?
- Je te fais confiance.
- Alors, viens vite.
- Plus vite que tu ne le penses, je sonne et tu m’ouvres.
Louis appuya sur le bouton de la porte. Il ouvrit et attendit Michèle à l’ascenseur. Il l’embrassa sur la joue, et la pria d’entrer. Elle avait une veste beige fermée et une jolie jupe noire et courte.
- Comme tu es belle ?
Elle sourit ; il la prit dans ses bras, et ils s’embrassèrent. Puis il déboutonna sa veste. Dessous une simple blouse blanche très décolletée … d’où ses seins jaillissaient presque totalement.
- Oh ! dit-il en jetant la veste sur un fauteuil.
- Tu ne m’avais pas dit : « seulement tes bas sous ta robe » ? Je n’ai pas de robe, seulement une blouse et une jupe … c’est permis ? … Et pas de bas non plus … la journée est chaude … et puis des bas, je n’en ai qu’une seule paire, celle que tu m’as offerte hier … et j’ai décidé de les conserver comme des reliques. Pour le moment je n’en ai pas d’autres … mais j’en achèterai, sois-en certain … même si aujourd’hui je n’ai pas eu le temps de faire les magasins …
La blouse rejoignit rapidement la veste.
- Louis, n’espère pas que je vais te laisser tout habillé …
Et elle lui enleva le polo qu’il avait sur le dos. Ils étaient maintenant tous deux torse nu. Il la contourna, lui butina le cou tout en se saisissant de ses seins …
- Tu disposes de combien de temps … Tu ne dois pas aller au travail ?
- Annulé, à cause de la grève des trains qui commence ce soir ; plusieurs collègues de province étaient attendus … aussi le président a pris la décision de remettre ce colloque à huitaine.
- Tu dois me quitter à quelle heure ?
- Je dois appeler Marie à dix-sept heures, je le lui ai promis … ou je partirai avant … ou tu me laisses me retirer dans une pièce pour l’appeler … je ne sais pas ce que nous allons nous dire … mais j’ai promis … Alors je pars avant ou tu me laisses m’isoler ?
- Je ne demande qu’à te conserver le plus possible.
- Hélas, ensuite, il faudra que je retourne à la maison …
- Reste ici le plus longtemps possible ... Je me pose une question … ta jupe, je la fais tomber … ou je la remonte sur tes hanches ?
- Tu voudrais la froisser ? Tu ne trouves pas qu’elle nous gênerait ?
Les deux boutons furent aussitôt détachés, le zip ouvert … et la jupe tomba au sol. Michèle n’avait plus que ses chaussures. Elle déboutonna le pantalon de Louis … et il alla rejoindre sa jupe. Elle lui abaissa le slip … et dans les secondes qui suivirent, elle ramassa jupe, pantalon et slip, et jeta le tout sur un fauteuil. Elle s’agenouilla et entreprit de caresser le membre de Louis. Celui-ci ne tarda guère à prendre de la vigueur … elle le prit alors en bouche ... Il lui caressa les cheveux …
- Tu ne préfères pas que nous rejoignions le lit … que je puisse également m’intéresser à ton corps ?
- Hier tu m’as beaucoup appris … aujourd’hui je veux agir … d’accord ? … Sur le lit ? … si tu veux … mais à condition que tu me laisses agir … Tu me laisseras agir ?
- Allons sur le lit …
Il la prit par la main, l’amena jusqu’au lit … et lui dit :
- Maîtresse Michaëlla, comment dois-je m’installer ? … Vous allez m’attacher ?
- Allonge-toi tout simplement.
Et elle se remit à genoux … et reprit son sexe en main.
- Tu ne veux vraiment pas t’allonger … que je puisse user de ton corps ?
Elle lui sourit, se plaça sur lui, tête-bêche, et se remit à s’occuper de son sexe. Louis lui écarta convenablement les jambes, lui saisit le clitoris entre deux doigts, et entreprit de lui dévorer la vulve. Bientôt Michèle se laissa aller à quelques soubresauts. Ses lèvres s’ouvrirent toutes grandes et son vagin s’annonça très accueillent ; il y introduisit un doigt, et commença à la faire jouir. De son côté, elle s’appliqua sur le membre de Louis, qu’elle caressait de ses mains et de sa langue, sans oublier de le faire pénétrer profondément dans sa bouche.
- Bien Michèle, tu es une reine ! Quelle expérience tu as là !
Elle lui sortit le sexe de sa bouche …
- Oui sans doute … car je te sens vivre dans ma bouche … je te sens essayer de t’enfoncer en moi … mais je t’en prie … n’essaie pas de m’enserre la tête de tes cuisses … c’est très agréable, je ne le nie pas … mais je veux être libre de mes mouvements … pas forcée … et promis, si tu veux pénétrer le fond de ma gorge, fais-le … je ne me reculerai pas … même si j’étouffe … je te prendrai au fond de ma gorge, sois-en certain … mais sans être maintenue … tu veux bien ?
- Comme tu veux ! Tu es douée … je m’en remets à toi.
- Merci Louis.
Et elle reprit sa fellation … Et Louis se remit à lui gober la vulve. Au bout de quelque temps, il lui dit :
- Si tu continues comme ça, je vais m’enfoncer dans ta gorge pour éclater … comme tu veux … ou tu ne calmes un peu … ou …
Elle retira le sexe de Louis de sa bouche :
- Comme tu veux … maintenant ou un peu plus tard … comme tu veux, je suis prête …
- Alors, agis comme tu le ressens … calme le jeu … ou donne l’estocade …
- Et elle reprit Louis en bouche … d’abord elle lui lécha le gland, tout en lui caressant la hampe. Elle le sentit prêt à exploser, aussi elle l’avala le plus profondément qu’elle pût … Louis la sentait s’abandonner … elle n’était plus qu’attente … il s’adonna à quelques va-et-vient de plus en plus prononcés et comme elle l’avait promis, elle ne recula pas …
- Bien Michèle … tu es divine … laisse-moi te pénétrer au plus profond … mais ne te laisse pas étouffer quand même … à toi de juger … tu es divine …
Et il repartit en elle, elle lui avait fait une place en elle, au plus profond de sa bouche, dans sa gorge … au-delà même … dans son œsophage … il se laissa aller longuement
- Attention Michèle … sois prudente … ne te mets pas en apnée …
Calmement, elle le laissa se vider complètement … et quand il en eut terminé, elle le relâcha … les yeux en larmes, toute essoufflée… Elle s’installa le long de son amant, et s’efforçant de lui sourire, lui caressa le visage. Il lui fallut du temps pour reprendre son souffle, mais elle était submergée de bonheur … Il lui caressa le dos.
- Merci Louis … quel plaisir tu m’as donné … merci de m’avoir laissée faire … comme une grande …
- Comme tu es douée Michèle … quels plaisirs tu me donnes … je ne vais plus te laisser repartir …
- Oui, je vais m’installer ici … non bien sûr c’est impossible … dommage.
- Mais je ne veux plus rien faire de ton corps … je te laisse maître de nos ébats …
- Tu ne veux plus rien faire de mon corps ? … surtout pas … je veux que tu t’en occupes … j’en ai besoin …
- Oh peut-être un peu quand même … j’ai grande envie de faire disparaître cette discrète toison blonde qui orne ton pubis … mais pas tout de suite … je vais te laisser le temps d’y préparer ton mari … je suppose que tu lui diras un jour que tu as envie … puis tu lui répéteras … et un jour tu reviendras à la maison avec un sexe tout nu … ton merveilleux sexe de femme entièrement déshabillé par ton amant … mais tu lui diras pas que c’est toi qui l’as fait …
- Tu aimerais me posséder vraiment toute nue ?
- Évidemment ! Pas toi ?
- Je n’avais jamais pensé à cela … mais aujourd’hui … je pense que j’aimerai ça … comme j’aime tout ce que tu aimes en moi … Bien sûr il faudra que je trouve une explication pour Pierre … tu comprends bien que je ne peux pas me mettre à faire chambre à part …
- Je comprends.
- Je la trouverai cette excuse … Tu as vraiment aimé ce que je t’ai fait ? Autant que j’ai aimé moi ?
- Plus que tu n’as aimé, toi !
- Mais de quel droit peux-tu juger de ce que j’ai aimé ? Et puis dis-moi … ça t’est déjà arrivé de « déshabiller » une femme ? Et Marie, tu lui as fait ça à Marie ?
- D’une, tu oublies Marie … et si tu veux savoir demande-le-lui …
- Bien sûr que non … je ne lui demanderai pas …
- Sois tranquille, pour proposer ça à une femme, il faut vraiment l’apprécier …
Ils se caressèrent et s’embrassèrent un long moment … Puis …
- Louis, l’heure tourne … Tu me laisses encore m’attaquer à ton corps ?
- Avec plaisir Michèle … je ne suis qu’attente de la merveilleuse initiative dont tu vas me faire profiter …
Elle se pencha à nouveau vers son sexe, et le reprit dans ses fines mains ; elle joua des doigts sur ses testicules, puis les prit en bouche un à un … alors que ses doigts s’enroulaient sur la hampe. Le sexe de Louis afficha bientôt une forme superbe. Pendant ce temps, il lui caressait le dos et les seins. Lui, frémissait de plaisir … son dos à elle tressaillait de temps à autre, tandis que ses seins roulaient sous ses doigts … Il se réjouissait de la manière dont elle prenait leur plaisir en main. Jamais il n’avait connu ça … en fait il n’avait jamais eu qu’une seule véritable femme dans sa vie, Marie … et jamais Marie … Peut-être seulement parce que leur temps, à chaque rencontre, était compté ? … ou parce que ce n’était pas son genre … ? Il se réjouissait d’avoir rencontré Michèle … et il rêvait de son sexe dénudé qu’elle lui offrira un jour … des filles épilées, il en avait rencontrées quelques unes … c’est un must chez certaines jeunes à la mode … mais pas plus leur sexe nu, que leurs autres qualités ne l’avait marqué … Et jamais il n’avait songé demander ça à Marie … comment aurait-elle réagi ? Et elle, la fille coincée comme disait Marie … elle avait trouvé ça génial … puisque ça venait de lui …
Au bout d’un moment elle se mit à genoux au dessus, puis s’abaissa sur son sexe dressé, qu’elle avala jusqu’à faire entrer leurs pubis en contact. Satisfaite elle le goûta un long moment … puis elle s’abaissa sur les coudes, et vint embrasser Louis. Il la saisit par les épaules et lui caressa le dos ... au bout d’un moment il s’adonna à quelques va-et-vient en elle … Elle laissa faire, puis …
- C’est moi … qui …
- Alors travaille !
- Mais dis … tu t’en permets des choses … tu n’es pas satisfait de moi ?
- Oh que si … je suis très content de tes prestations … d’ailleurs je vais te conserver ici … je ne vais pas te laisser repartir …
Bien appuyée sur ses mains, elle reprit elle-même les va-et-vient qu’avait entrepris Louis. Elle oscillait un peu sur les genoux et avalait son sexe au plus profond d’elle-même. Lui, il lui flattait les seins …
- Et si tu te redressais, Michèle, que tu tenais ton buste à la verticale … et que tu faisais uniquement travailler tes cuisses … outre ton vagin ?
Elle fit comme il le lui demandait … et elle y mit de l’entrain … Louis sentait son sexe frapper le col de son utérus …
- Tu es pressée … tu veux en finir … ?
- Oui … je suis fatiguée … une excellente séance de gymnastique … je vais avoir des douleurs partout …
- Mais c’est ton choix … je peux te saisir les hanches ?
- Oui, vas-y ?
Il la saisit … mais se contenta de suivre ses mouvements … puis il explosa en la maintenant fermement immobile … Elle sembla être satisfaite de cesser là on action … et elle sourit à nouveau à son amant …
Il la relâcha, et elle vint se pelotonner le long de son corps. Ils repartirent en caresses en en bisous.
- Comme je suis heureuse Louis … j’avais envie d’être active … et je te remercie de m’avoir laissé faire. Mais rassure-toi … c’est une exception … je vais redevenir femme … c’est que je me suis fatiguée … et déjà que j’avais des courbatures dans le bas-ventre … qu’est-ce que ça sera demain matin … Pourvu que je puisse me lever … et que Pierre ne s’aperçoive de rien … Tu te rends compte de la révolution dans ma vie ! … Je peux revenir te voir dès que je peux ?
- Bien entendu …
- Bon l’heure tourne … il faut que je me rhabille … je peux appeler Marie d’ici ?
- Comme tu veux, je vais me retirer dans la cuisine.
- Merci … je ne sais vraiment pas ce que je vais lui dire … mais il le faut. Allez, je me rhabille … il faut que je sois dans une tenue correcte pour l’appeler … et puis tu as raison, pas de toilette … je dois rentrer après à la maison telle que tu m’as laissée … emplie de plaisir.
- Je te prépare un petit en-cas … tu as besoin de reprendre des forces … Et puis avec Marie … ne m’implique pas dans vos règlements de compte éventuels …
- J’ai bien peur que tu ne sois malgré tout victime de dommages collatéraux … mais sois assuré que j’irai fleurir ta tombe …
- Pas de bêtises … j’ai trop besoin de toi.
- Tu ne m’as rien dit de tes relations avec Marie … tu ne lui diras rien des nôtres ? Promis ?
- Évidemment.
- Je ne veux pas te perdre, Louis ! Et toi ?
- Tu le sais bien …
- Il faudra que je trouve un arrangement avec Marie … je suppose qu’elle ne veut pas non plus te perdre ?
- Demande-le-lui.
- Bien sûr, ta discrétion … Louis … et si je te demande si tu ne veux pas la perdre non plus … ?
- Je te répondrai …
- Oublions Marie … je sais …
- Je crois donc qu’elle et moi nous devrons nous arranger … te partager … je ne lui dirai rien de nos relations à toi et moi … et elle cessera de me parler de toi … entre nous, nous t’ignorerons … nous t’oublierons … Évidemment ce sera de l’hypocrisie … tu ne quitteras pas mes pensées d’une seconde … et peut-être pas les siennes … Toi par contre, est-ce que tu pourras jouer ce jeu … lui faire l’amour … et continuer à penser à moi … et vice-versa … ?
- Quel autre choix j’aurais ?
- Rompre avec elle !
- Et peut-être qu’elle pensera de même ?
- Sans doute … mais si l’une de nous rompt avec toi … ça risque d’être également la rupture entre Marie et moi …
- Et ça tu ne veux pas ?
- Vingt ans qu’on se connaît et s’apprécie … sans elle je serais orpheline … et elle aussi sans doute … Aussi si tu y mets du tien … et que tu gères ta double-vie dans la discrétion … sans doute sera-t-il possible de trouver un arrangement … même si le simple fait de savoir que tu continues à lui donner du plaisir sera un enfer pour moi.
- Tu sais bien que je serai discret …
- Je vais essayer de trouver un arrangement avec Marie … Pas par plaisir … par sagesse. Allez, je l’appelle.
Il se rhabilla et passa dans la cuisine.
- Allô, c’est Michèle … tu dormais ?
- Eh oui.
- Je ne te dérange pas ?
- Au contraire … j’aurais aimé me réveiller près de toi.
- Ça tombe bien, je suis dans le quartier, je peux passer ?
- Tu n’as pas peur que je te séquestre cette fois, que je ne te laisse pas repartir ?
- Je te fais confiance.
- Alors, viens vite.
- Plus vite que tu ne le penses, je sonne et tu m’ouvres.
Louis appuya sur le bouton de la porte. Il ouvrit et attendit Michèle à l’ascenseur. Il l’embrassa sur la joue, et la pria d’entrer. Elle avait une veste beige fermée et une jolie jupe noire et courte.
- Comme tu es belle ?
Elle sourit ; il la prit dans ses bras, et ils s’embrassèrent. Puis il déboutonna sa veste. Dessous une simple blouse blanche très décolletée … d’où ses seins jaillissaient presque totalement.
- Oh ! dit-il en jetant la veste sur un fauteuil.
- Tu ne m’avais pas dit : « seulement tes bas sous ta robe » ? Je n’ai pas de robe, seulement une blouse et une jupe … c’est permis ? … Et pas de bas non plus … la journée est chaude … et puis des bas, je n’en ai qu’une seule paire, celle que tu m’as offerte hier … et j’ai décidé de les conserver comme des reliques. Pour le moment je n’en ai pas d’autres … mais j’en achèterai, sois-en certain … même si aujourd’hui je n’ai pas eu le temps de faire les magasins …
La blouse rejoignit rapidement la veste.
- Louis, n’espère pas que je vais te laisser tout habillé …
Et elle lui enleva le polo qu’il avait sur le dos. Ils étaient maintenant tous deux torse nu. Il la contourna, lui butina le cou tout en se saisissant de ses seins …
- Tu disposes de combien de temps … Tu ne dois pas aller au travail ?
- Annulé, à cause de la grève des trains qui commence ce soir ; plusieurs collègues de province étaient attendus … aussi le président a pris la décision de remettre ce colloque à huitaine.
- Tu dois me quitter à quelle heure ?
- Je dois appeler Marie à dix-sept heures, je le lui ai promis … ou je partirai avant … ou tu me laisses me retirer dans une pièce pour l’appeler … je ne sais pas ce que nous allons nous dire … mais j’ai promis … Alors je pars avant ou tu me laisses m’isoler ?
- Je ne demande qu’à te conserver le plus possible.
- Hélas, ensuite, il faudra que je retourne à la maison …
- Reste ici le plus longtemps possible ... Je me pose une question … ta jupe, je la fais tomber … ou je la remonte sur tes hanches ?
- Tu voudrais la froisser ? Tu ne trouves pas qu’elle nous gênerait ?
Les deux boutons furent aussitôt détachés, le zip ouvert … et la jupe tomba au sol. Michèle n’avait plus que ses chaussures. Elle déboutonna le pantalon de Louis … et il alla rejoindre sa jupe. Elle lui abaissa le slip … et dans les secondes qui suivirent, elle ramassa jupe, pantalon et slip, et jeta le tout sur un fauteuil. Elle s’agenouilla et entreprit de caresser le membre de Louis. Celui-ci ne tarda guère à prendre de la vigueur … elle le prit alors en bouche ... Il lui caressa les cheveux …
- Tu ne préfères pas que nous rejoignions le lit … que je puisse également m’intéresser à ton corps ?
- Hier tu m’as beaucoup appris … aujourd’hui je veux agir … d’accord ? … Sur le lit ? … si tu veux … mais à condition que tu me laisses agir … Tu me laisseras agir ?
- Allons sur le lit …
Il la prit par la main, l’amena jusqu’au lit … et lui dit :
- Maîtresse Michaëlla, comment dois-je m’installer ? … Vous allez m’attacher ?
- Allonge-toi tout simplement.
Et elle se remit à genoux … et reprit son sexe en main.
- Tu ne veux vraiment pas t’allonger … que je puisse user de ton corps ?
Elle lui sourit, se plaça sur lui, tête-bêche, et se remit à s’occuper de son sexe. Louis lui écarta convenablement les jambes, lui saisit le clitoris entre deux doigts, et entreprit de lui dévorer la vulve. Bientôt Michèle se laissa aller à quelques soubresauts. Ses lèvres s’ouvrirent toutes grandes et son vagin s’annonça très accueillent ; il y introduisit un doigt, et commença à la faire jouir. De son côté, elle s’appliqua sur le membre de Louis, qu’elle caressait de ses mains et de sa langue, sans oublier de le faire pénétrer profondément dans sa bouche.
- Bien Michèle, tu es une reine ! Quelle expérience tu as là !
Elle lui sortit le sexe de sa bouche …
- Oui sans doute … car je te sens vivre dans ma bouche … je te sens essayer de t’enfoncer en moi … mais je t’en prie … n’essaie pas de m’enserre la tête de tes cuisses … c’est très agréable, je ne le nie pas … mais je veux être libre de mes mouvements … pas forcée … et promis, si tu veux pénétrer le fond de ma gorge, fais-le … je ne me reculerai pas … même si j’étouffe … je te prendrai au fond de ma gorge, sois-en certain … mais sans être maintenue … tu veux bien ?
- Comme tu veux ! Tu es douée … je m’en remets à toi.
- Merci Louis.
Et elle reprit sa fellation … Et Louis se remit à lui gober la vulve. Au bout de quelque temps, il lui dit :
- Si tu continues comme ça, je vais m’enfoncer dans ta gorge pour éclater … comme tu veux … ou tu ne calmes un peu … ou …
Elle retira le sexe de Louis de sa bouche :
- Comme tu veux … maintenant ou un peu plus tard … comme tu veux, je suis prête …
- Alors, agis comme tu le ressens … calme le jeu … ou donne l’estocade …
- Et elle reprit Louis en bouche … d’abord elle lui lécha le gland, tout en lui caressant la hampe. Elle le sentit prêt à exploser, aussi elle l’avala le plus profondément qu’elle pût … Louis la sentait s’abandonner … elle n’était plus qu’attente … il s’adonna à quelques va-et-vient de plus en plus prononcés et comme elle l’avait promis, elle ne recula pas …
- Bien Michèle … tu es divine … laisse-moi te pénétrer au plus profond … mais ne te laisse pas étouffer quand même … à toi de juger … tu es divine …
Et il repartit en elle, elle lui avait fait une place en elle, au plus profond de sa bouche, dans sa gorge … au-delà même … dans son œsophage … il se laissa aller longuement
- Attention Michèle … sois prudente … ne te mets pas en apnée …
Calmement, elle le laissa se vider complètement … et quand il en eut terminé, elle le relâcha … les yeux en larmes, toute essoufflée… Elle s’installa le long de son amant, et s’efforçant de lui sourire, lui caressa le visage. Il lui fallut du temps pour reprendre son souffle, mais elle était submergée de bonheur … Il lui caressa le dos.
- Merci Louis … quel plaisir tu m’as donné … merci de m’avoir laissée faire … comme une grande …
- Comme tu es douée Michèle … quels plaisirs tu me donnes … je ne vais plus te laisser repartir …
- Oui, je vais m’installer ici … non bien sûr c’est impossible … dommage.
- Mais je ne veux plus rien faire de ton corps … je te laisse maître de nos ébats …
- Tu ne veux plus rien faire de mon corps ? … surtout pas … je veux que tu t’en occupes … j’en ai besoin …
- Oh peut-être un peu quand même … j’ai grande envie de faire disparaître cette discrète toison blonde qui orne ton pubis … mais pas tout de suite … je vais te laisser le temps d’y préparer ton mari … je suppose que tu lui diras un jour que tu as envie … puis tu lui répéteras … et un jour tu reviendras à la maison avec un sexe tout nu … ton merveilleux sexe de femme entièrement déshabillé par ton amant … mais tu lui diras pas que c’est toi qui l’as fait …
- Tu aimerais me posséder vraiment toute nue ?
- Évidemment ! Pas toi ?
- Je n’avais jamais pensé à cela … mais aujourd’hui … je pense que j’aimerai ça … comme j’aime tout ce que tu aimes en moi … Bien sûr il faudra que je trouve une explication pour Pierre … tu comprends bien que je ne peux pas me mettre à faire chambre à part …
- Je comprends.
- Je la trouverai cette excuse … Tu as vraiment aimé ce que je t’ai fait ? Autant que j’ai aimé moi ?
- Plus que tu n’as aimé, toi !
- Mais de quel droit peux-tu juger de ce que j’ai aimé ? Et puis dis-moi … ça t’est déjà arrivé de « déshabiller » une femme ? Et Marie, tu lui as fait ça à Marie ?
- D’une, tu oublies Marie … et si tu veux savoir demande-le-lui …
- Bien sûr que non … je ne lui demanderai pas …
- Sois tranquille, pour proposer ça à une femme, il faut vraiment l’apprécier …
Ils se caressèrent et s’embrassèrent un long moment … Puis …
- Louis, l’heure tourne … Tu me laisses encore m’attaquer à ton corps ?
- Avec plaisir Michèle … je ne suis qu’attente de la merveilleuse initiative dont tu vas me faire profiter …
Elle se pencha à nouveau vers son sexe, et le reprit dans ses fines mains ; elle joua des doigts sur ses testicules, puis les prit en bouche un à un … alors que ses doigts s’enroulaient sur la hampe. Le sexe de Louis afficha bientôt une forme superbe. Pendant ce temps, il lui caressait le dos et les seins. Lui, frémissait de plaisir … son dos à elle tressaillait de temps à autre, tandis que ses seins roulaient sous ses doigts … Il se réjouissait de la manière dont elle prenait leur plaisir en main. Jamais il n’avait connu ça … en fait il n’avait jamais eu qu’une seule véritable femme dans sa vie, Marie … et jamais Marie … Peut-être seulement parce que leur temps, à chaque rencontre, était compté ? … ou parce que ce n’était pas son genre … ? Il se réjouissait d’avoir rencontré Michèle … et il rêvait de son sexe dénudé qu’elle lui offrira un jour … des filles épilées, il en avait rencontrées quelques unes … c’est un must chez certaines jeunes à la mode … mais pas plus leur sexe nu, que leurs autres qualités ne l’avait marqué … Et jamais il n’avait songé demander ça à Marie … comment aurait-elle réagi ? Et elle, la fille coincée comme disait Marie … elle avait trouvé ça génial … puisque ça venait de lui …
Au bout d’un moment elle se mit à genoux au dessus, puis s’abaissa sur son sexe dressé, qu’elle avala jusqu’à faire entrer leurs pubis en contact. Satisfaite elle le goûta un long moment … puis elle s’abaissa sur les coudes, et vint embrasser Louis. Il la saisit par les épaules et lui caressa le dos ... au bout d’un moment il s’adonna à quelques va-et-vient en elle … Elle laissa faire, puis …
- C’est moi … qui …
- Alors travaille !
- Mais dis … tu t’en permets des choses … tu n’es pas satisfait de moi ?
- Oh que si … je suis très content de tes prestations … d’ailleurs je vais te conserver ici … je ne vais pas te laisser repartir …
Bien appuyée sur ses mains, elle reprit elle-même les va-et-vient qu’avait entrepris Louis. Elle oscillait un peu sur les genoux et avalait son sexe au plus profond d’elle-même. Lui, il lui flattait les seins …
- Et si tu te redressais, Michèle, que tu tenais ton buste à la verticale … et que tu faisais uniquement travailler tes cuisses … outre ton vagin ?
Elle fit comme il le lui demandait … et elle y mit de l’entrain … Louis sentait son sexe frapper le col de son utérus …
- Tu es pressée … tu veux en finir … ?
- Oui … je suis fatiguée … une excellente séance de gymnastique … je vais avoir des douleurs partout …
- Mais c’est ton choix … je peux te saisir les hanches ?
- Oui, vas-y ?
Il la saisit … mais se contenta de suivre ses mouvements … puis il explosa en la maintenant fermement immobile … Elle sembla être satisfaite de cesser là on action … et elle sourit à nouveau à son amant …
Il la relâcha, et elle vint se pelotonner le long de son corps. Ils repartirent en caresses en en bisous.
- Comme je suis heureuse Louis … j’avais envie d’être active … et je te remercie de m’avoir laissé faire. Mais rassure-toi … c’est une exception … je vais redevenir femme … c’est que je me suis fatiguée … et déjà que j’avais des courbatures dans le bas-ventre … qu’est-ce que ça sera demain matin … Pourvu que je puisse me lever … et que Pierre ne s’aperçoive de rien … Tu te rends compte de la révolution dans ma vie ! … Je peux revenir te voir dès que je peux ?
- Bien entendu …
- Bon l’heure tourne … il faut que je me rhabille … je peux appeler Marie d’ici ?
- Comme tu veux, je vais me retirer dans la cuisine.
- Merci … je ne sais vraiment pas ce que je vais lui dire … mais il le faut. Allez, je me rhabille … il faut que je sois dans une tenue correcte pour l’appeler … et puis tu as raison, pas de toilette … je dois rentrer après à la maison telle que tu m’as laissée … emplie de plaisir.
- Je te prépare un petit en-cas … tu as besoin de reprendre des forces … Et puis avec Marie … ne m’implique pas dans vos règlements de compte éventuels …
- J’ai bien peur que tu ne sois malgré tout victime de dommages collatéraux … mais sois assuré que j’irai fleurir ta tombe …
- Pas de bêtises … j’ai trop besoin de toi.
- Tu ne m’as rien dit de tes relations avec Marie … tu ne lui diras rien des nôtres ? Promis ?
- Évidemment.
- Je ne veux pas te perdre, Louis ! Et toi ?
- Tu le sais bien …
- Il faudra que je trouve un arrangement avec Marie … je suppose qu’elle ne veut pas non plus te perdre ?
- Demande-le-lui.
- Bien sûr, ta discrétion … Louis … et si je te demande si tu ne veux pas la perdre non plus … ?
- Je te répondrai …
- Oublions Marie … je sais …
- Je crois donc qu’elle et moi nous devrons nous arranger … te partager … je ne lui dirai rien de nos relations à toi et moi … et elle cessera de me parler de toi … entre nous, nous t’ignorerons … nous t’oublierons … Évidemment ce sera de l’hypocrisie … tu ne quitteras pas mes pensées d’une seconde … et peut-être pas les siennes … Toi par contre, est-ce que tu pourras jouer ce jeu … lui faire l’amour … et continuer à penser à moi … et vice-versa … ?
- Quel autre choix j’aurais ?
- Rompre avec elle !
- Et peut-être qu’elle pensera de même ?
- Sans doute … mais si l’une de nous rompt avec toi … ça risque d’être également la rupture entre Marie et moi …
- Et ça tu ne veux pas ?
- Vingt ans qu’on se connaît et s’apprécie … sans elle je serais orpheline … et elle aussi sans doute … Aussi si tu y mets du tien … et que tu gères ta double-vie dans la discrétion … sans doute sera-t-il possible de trouver un arrangement … même si le simple fait de savoir que tu continues à lui donner du plaisir sera un enfer pour moi.
- Tu sais bien que je serai discret …
- Je vais essayer de trouver un arrangement avec Marie … Pas par plaisir … par sagesse. Allez, je l’appelle.
Il se rhabilla et passa dans la cuisine.