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Céline 15 - Jean-Marc

MessagePosté: 30 Oct 2008, 11:29
de tentation
Lou-Di-Han remit une fois de plus un billet de deux cents euros à Armelle. Habituée à recevoir maintenant de l’argent, elle les mit dans son sac de façon toute naturelle.

- Nous allons faire le point toutes les eux, tu veux bien ?

- Tu sais Lou-Di-Han, il faut que je rentre maintenant, tu vois l’heure … ce sera pour une autre fois.

- Comme tu veux … tu es heureuse ?

- Absolument … quel mec, dis donc !

- J’ai vu Madame Mia-Soun ; elle est d’accord pour Jean-Marc. Tu te souviens de Jean-Marc ? Dimanche ça t’irait ? Dimanche après-midi … ou dimanche matin si tu préfères ? Tu veux ?

- OK pour dimanche ; je serai là à quatorze heures. Ça te va ?

- Quatorze heures pour votre rencontre … mais si tu le veux bien, sois-là à midi, nous déjeunerons ensemble … et tu seras libre pour Jean-Marc à quatorze heures. Et même si tu veux, nous déjeunerons à trois, toi, lui et moi … ou à deux, toi et moi … mais je pense que s’il déjeunait avec nous, ça te ferait une bonne occasion de le connaître un peu avant de vous retrouver seuls tous les deux. OK pour un déjeuner à trois ?

- OK.

- Mais si tu veux que nous discutions un peu entre femmes avant qu’il n’arrive, nous pouvons nous voir à 11 :30.

- Oui, c’est une bonne idée … mais onze heures trente, et repas à midi, tu ne trouves pas que ce soit un peu tôt ?

- Oh nous pouvons nous voir à midi trente toutes les deux, déjeuner à treize … et vous vous retireriez tous les vers quatorze heures. Ça te va ?

- Oui ; j’arriverai à midi trente. À dimanche.

- Tu veux manger comment, français, arabe, asiatique ?

- Je pense qu’asiatique … ça s’arrangerait bien avec le salon, et tu pourrais me conseiller.

- D‘accord. À dimanche midi trente ici. Je t’embrase et te fais raccompagner … un baiser « normal », tu veux bien ?

Et elles s’embrassèrent longuement. Lou-Di-Han sonna, une ombre asiatique apparut, et accompagna Armelle vers la sortie.

Lou-Di-Han alla rejoindre Laurent. Normalement, elle aurait dû le laisser partir, mais par sécurité elle se devait de laisser Armelle prendre de l’avance.

- Alors Armelle ?

- Formidable ! Mais pourquoi tu m’avais dit qu’il fallait la prendre fermement et par surprise … T’as vu comme elle en veut cette fille ! Et dis donc, avec elle il y a intérêt à avoir la santé !

- Oui, je savais qu’elle en voulait … mais tu sais « les jeunes filles » sont parfois fantasques … aussi comme je voulais t’éviter une désillusion au cas où, j’ai un peu forcé le tableau. Mais tu vois, tout s’est passé comme je l’espérais. C’est qu’elle en veut des hommes notre Armelle.

- Dis, s’il y a moyen … et si elle me réclame, pense à moi.

- J’y penserai … Mais avec « les jeunes filles fantasques … » ? Bien sûr si elle te redemande, et si Madame Mia-Soun est d‘accord … Mais en attendant … je t’ai amené dans une drôle d’aventure … d’abord en te testant, ensuite en te faisant un peu peur … Mais tu sais c’était vraiment nécessaire : Madame Mia-Soun tenait vraiment à la satisfaire cette fille. Je ne sais pas bien pourquoi. C’est elle qui a exigé que je te teste … ça ne t’a pas déplu au moins ?

- Oh que non … toi aussi t’es un régal. Remercie Madame Mia-Soun.

- Moi aussi je t’ai apprécié … et pour te remercier d’avoir donné autant de plaisir à Armelle, je vais demander à Madame Mia-Soun qu’elle te confie Milène pour un après-midi. Je pense qu’elle dira oui … ça te plairait Milène pour tout un après-midi ? Elle je pense que oui …

- Et je ne pourrais pas t’avoir toi encore … plutôt que Milène ?

- Eh non Laurent … et ce n’est pas très gentil pour Milène ce que tu dis là ; elle a l’air de t’apprécier, elle … Et moi, tu sais, ce n’est pas mon job … si je t’ai testé l’autre fois, c’était sur ordre … normalement jamais tu n’aurais dû me faire l’amour … Mais je ne le regrette pas crois-moi, tu as été formidable. Allez, je ne dirai pas à Milène que tu as voulu la faire remplacer … Et puis tu sais, après tu pourras reprendre « tes habitudes » avec « nos bourgeoises » que tu sembles affectionner, et qui elles aussi te redemandent. Mais bien sûr, ce sera à nouveau la routine … c’est à dire en temps limité. Mais tu auras eu de la chance, avec moi, avec Armelle, et avec Milène de vraiment avoir le temps de prendre ton pied. Et tu auras encore une nouvelle fois avec Milène,

- Dommage j’aurais bien voulu encore avec toi.

- Mais si tu veux, et si Armelle ne t’a pas trop exténué, je peux demander à Milène de te tenir encore un peu compagnie ce soir … comme elle a fait avant qu’on ne t’appelle dans la salle de massage ? Sauf que maintenant, si tu le désires, tu pourras faire ce que tu voudras avec elle … maintenant tu n’as plus à « te réserver » pour satisfaire pleinement Armelle. Alors Milène … ?

- Bien sûr que j’la veux

- Bien sûr elle a toujours ses règles … mais l’autre fois, ça ne t’a pas arrêté …

- Ça m’dérange pas.

- J’appelle Milène, et je vous laisse tous les deux. A+

Lou-Di-Han appela Milène. Au moins Laurent allait être occupé un certain temps, le temps qu’Armelle puise disparaître du quartier. Puis elle se rendit chez Madame Mia-Soun.

- Bon travail Lou-Di-Han … si tu veux, nous reparlerons de cela une autre fois, je suis fatiguée … c’était un peu stressant tout ça en fait … mais je pense que dimanche tu pourras lui exposer ce qu’on attend d’elle … Elle devrait être d’accord. Elle n’a pas de raison de dire non. Qu’en penses-tu ?

- Oui, ça a l’air en bonne voie. Dimanche avec Jean-Marc, nous devrions aboutir.

- Le seul écueil que je voyais, ça aurait été que Martial l’appelle et lui mette d’autres idées en tête … ça aurait pu être une catastrophe … mais Dieu merci cela ne se pourra pas … cette pauvre Armelle n’a pas eu de chance, elle vient de se faire voler son portable, justement celui dont elle avait donné le numéro à Martial. Est-ce bête quand même ?

- Et comment vous savez ça, elle vous a appelé ?

- Pas du tout … Une fois dehors elle a sorti son téléphone … et pas de chance « deux voyous » passaient justement par là ; ils le lui ont fauché … et ont disparu sur un deux roues non immatriculé.

- Pauvre fille !

- Tu crois ? Si Marial s’était décidé à l’appeler … et que persuasif comme il l’est, il l’avait re-séduite … ça risquait de foutre tout notre boulot par terre. Lui restera à racheter un téléphone … avec un autre numéro. Pas de chance pour elle … mais excellent pour nous. Bon, « les voyous » m’ont donné comme convenu sa carte SIM, j’ai vérifié, c’est bien la sienne. Je leur ai laissé l’appareil. Mais il est quelconque, ils n’en tireront pas grand-chose … mais comme je les ai indemnisés …

- Vous avez fait ça ?

- Avions-nous le choix ? Et puis ça c’est bien passé … si elle n’avait pas sorti son téléphone, il aurait fallu lui piquer son sac … et ça, ça aurait été « plus grave ». Bon tout se termine bien. Tu as eu raison de ne pas relâcher Laurent tout de suite … suppose qu’il se soit précipité à la recherche d’Armelle et qu’il l’ait trouvée, là où « nos petits voyous » opéraient, ou bien se préparaient à le faire. Face à « cette brute », ils n’auraient pas fait le poids.

- Ne crachez pas sur « la brute », Madame Mia-Soun … j’ai beaucoup apprécié la manière avec laquelle « il m’a travaillée » mardi … et Armelle également. Sans compter Milène et ses collègues …

- Allez, bonne nuit Lou-Di-Han, et encore bravo.

Le dimanche Lou-Di-Han conduisit Armelle au second étage : une porte discrète, dans le hall d’entrée conduisait à un vestibule d’où un ascenseur permettait de rejoindre le second étage. Elles entrèrent dans une pièce cossue composée d’un coin salon et d’un coin salle à manger. Lou-Di-Han débarrassa Armelle de son manteau ; elle apparut alors dans une magnifique robe noire, courte et collante.

- Oh comme il va être ravi de te découvrir comme cela, Jean-Marc. Il va apprécier. Pas de soutien-gorge, merveilleux … et peut-être même que tu es nue la dessous ?

- N’exagérons pas tout de même ...

Elles s’assirent dans les fauteuils profonds, échangèrent les politesses d’usage, puis Lou-Di-Han expliqua qu’elles allaient choisir leur menu, et qu’un traiteur asiatique allait venir leur apporter leur déjeuner. Jean-Marc était présent, et si Armelle le permettait, il partagerait leur repas, sinon, il les rejoindrait au dessert.

- OK pour Jean-Marc … autant que je fasse sa connaissance tout de suite.

Lou-Di-Han commanda du thé. Elles choisirent leur menu, et l’hôtesse ouvrit une porte qui donnait sur une chambre magnifique.

- Voilà, c’est là que Laurent et toi allaient faire connaissance. Il y a là une salle de bains avec toilette ; donc si tu veux te rafraîchir … ou si tu désirais te mettre à l’aise, nue sous ta robe … ce qui serait une excellente idée … et qui devrait plaire à Jean-Marc …

- Nous verrons …

- Écoute, Jean-Marc va arriver dans un quart d’heure environ … nous prendrons notre déjeuner peu après … je pense que ce serait le bon moment … tu ne trouves pas ?

- Tu veux que je me mette nue sous ma robe, c’est ça ?

- Ce serait mieux, non ?

- OK.

Armelle ôta sa culotte et la jeta, bien en évidence, juste devant le lit.

- Je conserve mes bas ?

- Oui, ta robe et tes bas, c’est parfait … allons prendre notre thé.

Je t’explique : jusqu’à maintenant, tu étais venue au salon de massage, qui occupe le rez-de-chaussée et le premier étage. Au dessus, où nous sommes maintenant nous avons ce qu’on appelle une maison d’hôtes, avec comme tu vois des suites, salon, chambre … il y a quelques suites comme celle-ci, mais aussi de plus spacieuses ; nous avons également un bar. Cette maison d’hôtes occupe les deuxième, troisième et quatrième étage.

- Allons, parlons de toi maintenant : tu as conservé un bon souvenir de Laurent ?

- Excellent ! … Sauf que je voulais « le mettre à genoux » … ce genre de safari c’est plus facile à réaliser pour une femme que pour un homme … mis je n’y suis pas arrivée … Ses batteries ne se déchargent pas, c’est à croire.

- Mais cela mis à part … au point de vue sexuel ?

- Du tonnerre. Bon, par contre je suis rentrée tard … encore plus tard que lundi, et mon mec, je n’ai pas bien su quoi lui dire … En plus je suis repartie ce matin … Bon quand même pas sapée comme je suis ici … je suis allée me changer dans mon bureau où j’avais laissé cette robe.

- Et tu te sens « en forme » pour Jean-Marc ?

- Oui bien sûr …

- Et après, des hommes tu en revoudras d’autres ?

- Sans doute. Si tu en as … ou alors au hasard de rencontres en ville …

- Des rencontres en ville … c’est aléatoire … et avec des résultats incertains. J’ai quelque chose à te proposer, histoire de joindre l’utile à l’agréable. Ici, nous pouvons t’en trouver des hommes … Dans le salon de massage … le plaisir et l’argent, quand tu le veux … ça ressemble un peu à ce que tu as connu avec Martial et Laurent … enfin, je te donnerai plus de détails si tu veux … Mais il y a aussi la maison d’hôtes … là c’est beaucoup plus romantique … Des hommes louent une de « nos suites » où ils invitent une dame : elle est leur invitée, ils se rencontrent d’abord au bar, ou dans un salon privé comme celui-ci ; ils partagent un repas, et ensuite se retirent dans la chambre. Et ce pour la nuit. Ou pour la journée. Là cela se passe plus dans la durée, avec des hommes qui ont leurs habitudes ici, que nous connaissons bien, qui sont riches. Généralement ces hommes-là sont charmants … et cela te rapporte au bas mot cinq cents euros, parfois plus. Sans compter que certains - pas tous- s’ils sont satisfaits de toi, te glissent un cadeau dans ton sac … des bijoux parfois, ou de l’argent.

- C’est plus alléchant … mais je vis avec un mec … aussi si je disparais la nuit …

- Certains choisissent la nuit, certes, mais il y en a qui viennent le jour … peut-être parce qu’ils ne veulent pas découcher, parce qu’ils ne veulent pas que leur femme … ou par respect pour leurs enfants ? Mais à propos de ton mec, tu ne m’as pas dit que t’en a mare de lui ?

- Oui, mais on paie le loyer de l’appart à deux … et si je dois en prendre un toute seule …

- Crois-moi si tu collabores avec nous, tu auras de quoi te payer un appart pour toi toute seule ? Et tu n’auras plus à supporter qu’il exerce sur toi « son droit de propriétaire » … ce qui, à ce que tu m’as dit, t’insupporte … Et si tu as besoin d’une caution pour le loyer, Madame Mia-Soun te rendra ce service, sois-en assurée. Et puis, tu gagneras assez pour ensuite te payer un appart à toi … avec là également la caution de Madame Mia-Soun. Allez, je vais appeler Jean-Marc et te le présenter. Nous boirons un thé avec lui, et nous passerons à table. OK ? Et quand vous serez seuls, en plus du plaisir qu’il te donnera, il t’expliquera … la maison d’hôtes c’est son domaine. Tu auras ensuite tout ton temps pour réfléchir. Tu nous donneras ta réponse quand tu voudras.

Lou-Di-Han appela Jean-Marc. Il arriva habillé « décontracté », mais avec une chemise soignée et un costume de bonne coupe.

- Jean-Marc, je te présente Armelle ; Armelle, je te présente Jean-Marc … vous pouvez vous embrasser.

Armelle lui tendit la joue ; il lui embrassa les deux, et lui frôla les lèvres au passage.

- Bonjour Lou-Di-Han.

- Bonjour Jean-Marc … mais tu ne m’embrasses pas ?

Et ils échangèrent un baiser langoureux.

- Tu aurais pu embrasser Armelle un peu plus « amicalement » … à moins qu’Armelle ait des objections ? Tu as des objections Armelle ?

- Non … pas vraiment.

Il la prit par les épaules et ils échangèrent un baiser.

- Eh bien voilà, la glace a fondu … Asseyons-nous pour le thé. Ah oui, il n’y a que deux fauteuils … mais Armelle, ils sont larges, tu dois pouvoir faire une petit place à Jean-Marc ?

- Oui, bien sûr.

- Assieds-toi d’abord Armelle, je m’installerai ensuite.

Il ôta sa veste, qu’il déposa dans la penderie, Armelle s’assit à droite ; il se glissa à gauche et lui passa d’entrée le bras autour des épaules.

- Si tu nous servais, Lou-Di-Han … Je ne t’écrase pas trop Armelle ?

- Non, c’est très bien.

Pendant que Lou-Di –Han emplissait les tasses, il lui frôla le cou de ses lèvres, puis la joue … De sa main droite il poussa la tête d’Armelle vers la sienne … elle accepta son baiser … puis elle tourna quelque peu son buste et lui enserra le cou. Ils discutèrent ensuite de choses et d’autres en dégustant leur thé. Il avait pris fermement possession de son épaule droite et la caressait. Et quand il reposait sa tasse sur la table, il lui flattait le sein … qu’il sentait s’arrondir. Elle de son côté, constatait sur le pantalon de Jean-Marc, l’intérêt qu’il lui portait. De temps en temps ils s’embrassaient.

Enfin on frappa. Tous se levèrent, Jean-Marc et Armelle se tenant par la main. Trois Asiatiques dressèrent la table ; ils demandèrent s’ils devaient servir ou si les honorables convives allaient se débrouiller seuls. Lou-Di-Han les pria de partir. Jean-Marc et Armelle échangèrent un long baiser … puis il la pria de s’asseoir avant de s’installer tout près d’elle. Lou-Di-Han s’installa face à eux, et Jean-Marc la pria de faire le service. Il avait posé la main sur la cuisse d’Armelle et la caressait gentiment. Il ouvrit la fermeture de son pantalon, libéra son sexe, posa la main de sa compagne dessus et recommença à lui caresser la cuisse … Il remonta la main … elle écarta les jambes pour lui laisser l’accès à son sexe humide. Pendant ce temps, elle s’assurait de l’évolution de la virilité de Jean-Marc.

- Allez, maintenant on mange … et pour ça vous aurez besoin de vos deux mains.

Le repas fut rondement expédié. De temps à autres Jean-Marc tendait ses baguettes avec de la nourriture à Armelle ; elle fit également de même.

De son côté Lou-Di-Han expliqua encore à Armelle l’intérêt de « la maison d’hôtes », et son fonctionnement. Et quand ils en eurent terminé de leur repas, Lou-Di-Han se leva.

- Je vous laisse. Si vous avez besoin de moi, vous m’appelez … mais je pense qu’à deux vous vous suffirez à vous-mêmes …

Ils demeurèrent assis, et Jean-Marc embrassa Armelle. Un long baiser durant lequel il lui caressa doucement un sein … Puis Jean-Marc glissa une main entre ses cuisses, qu’elle écarta tout naturellement : elle était tout humide. Il revint à son sein, tandis qu’elle lui agrippa le membre. Il lui donna la main, et ils se levèrent. Elle lui arracha aussitôt sa chemise … et l’envoya au loin. Puis elle s’en prit à son pantalon : il restait en chaussettes. Il la mena dans la chambre ; près du lit il l’embrassa encore ; elle enfonça ses doigts dans son cou ; Jean-Marc releva le bas de sa robe pour qu’elle puise sentir son membre dressé sur son ventre … Enfin, la saisissant par les hanches, il la souleva et la reposa sur son sexe ; elle l’entoura de ses jambes et se laissa aller doucement sur son membre dressé.

Il la laissa « travailler », puis lui dit … si nous allions sur le lit ? Il la souleva, sortit d’elle et la reposa sur ses jambes ; il ouvrit sa robe et la fit tomber au sol. D’un coup de pied, elle l’envoya voler, s’agenouilla et le prit en bouche …

L’après-midi passa « à toute vitesse » tant ils prenaient plaisir l’un à l’autre. Jean-Marc lui expliqua «les ficelles » qui permettaient à une femme de « fidéliser » l’homme qui lui était confié. Elle trouva cela passionnant. Elle adorait Jean-Marc … comme elle avait adoré Martial … comme elle avait adoré Laurent. Elle savait maintenant que c’était « l’homme » qu’elle adorait. Et Jean- Marc lui promit qu’elle allait être ravie de « servir » ceux qu’on allait lui proposer.

Ils ne se lassaient toujours pas l’un de l’autre … quand Lou-Di-Han revint dans la suite, leur demandant s’il fallait leur prévoir le repas du soir ? « Excellente idée » répondit Armelle.

- Eh bien il va falloir que vous choisissiez votre menu … asiatique … français … ?

- Oh mais comme tu veux … tu choisis et ce sera bien.

- Et vous m’invitez à partager votre repas … ou vous me jetez dehors ?

- Dehors bien entendu … Tu ne vois pas que tu nous déranges … Non, non, non, je plaisante Lou-Di-Han, tu dînes avec nous c’est évident … tu sais bien que « ta petite sœur » a besoin de toi … Allez, nous prenons une douche, et nous te rejoignons … tu es d’accord Jean-Marc ?

- Bien entendu Armelle.

- Lou-Di-Han, tu passes la commande … nous nous levons … et nous t’attendons pour partager notre douche. Tu es d’accord ? Et toi aussi Armelle ?

- Oui.

- Oui.

- Alors vous allez voir toutes les deux, cette douche …