C’est alors qu’il décide de me détacher, j’arrache mon bandeau, et découvre enfin l’objet de mon désir, guidé par un besoin incontrôlable je l’enlace, et c’est en l’embrassant passionnément que je l’allonge sur le lit, a la place même que j’occupais quelques secondes auparavant j’ai envie de lui, et lui aussi je le sent qui se contracte, qui se durci a mon contacte, nul besoin de liens pour le retenir, me calant entre ses reins je laisse libre cours a mes envies, le couvrant de baisers a mon tour, je décide qu’il est temps, assez joué, je ne peut m’empêcher de gémir en le sentant rentrer en moi, ses mains allant de mes seins a mes hanches, j’entame en va et vient régulier d’abord lent et profond puis plus rapidement ,presque malgré moi je gémis, de petits « oui, ho oui » sorte de ma bouche j’en veut plus, encore plus, nos mains se joignent et ensemble nous sentons monter le plaisir en nous, mais a la dernière seconde je m’arrête, la frustration qui l’envahit me comble de plaisir, jouant tel un chat avec une souris, je m’amuse a lui dispenser quelques baisers éparse, portant ses doigts a ma bouche je les lèchent , les sucent, m’amusant des envies que je fais naître en lui, ma bouche explorant son corps, je laisse ma langue jouer avec son pénis, s’entant le corps de mon ancien bourreau se contracter immédiatement, je continue ma caresse humide, mais une fois encore le laissant sur sa faim je stop tout ; cette fois ci n’en pouvant plus il me releva brusquement pour me plaquer au mur, il brûle , il n’en peut plus, prisonnière de ses bras, il m’incline légèrement vers le mur sa main suivant le sillon de mon dos, jusqu'à arriver a mes fesses dont il épouse les courbes, puis une main sur le mur et l’autre m’entourant, nos deux corps humides de sueur collés l’un a l’autre, je le sent pénétrer en moi il se donne avec violence et c’est bon, alors je m’abandonne dans le ballet de nos corps enlacés il va et vient, c’est de plus en plus fort, c’est tellement bon ; je sent une chaleur m’envahir, il cris presque je le sent se durcir, je sent chaque spasmes de son corps, je sent son plaisir jaillir en moi au moment où le mien atteint son paroxysme. La tête me tourne, le calme après la tempête je profite de se moment suspendu, de cet instant de bonheur intense. Et c’est épuisé que nous retombons enlacé sur le lit l’un dans l’autre.
je recevrais vos comm et conseil avec plaisir
