sébastien
Posté: 09 Nov 2008, 20:29
Lorsque je repris conscience, j’avais les yeux bandés, mes mains étaient retenues par deux cordes de soie, et sous moi je sentais le présence d’un lit ; il n’y avait aucun bruit dans la pièce, un courant d’aire me fit remarquer que je ne portais en tout et pour tout que mon ensemble de dentelles noirs. Quand soudain je senti une présence se rapprocher de moi, et un baiser fut délicatement posé sur ma nuque, faisant parcourir un frisson de surprise dans tout mon corps ; je sentis alors ses lèvres descendrent épousant la forme de mon corps, jusqu’à ce transformer en un contacte humide ; sa langue glissant négligemment entre mes seins et poursuivant son chemin en suivant la ligne médiane de mon ventre. Tandis que ses baisers continuent l’exploration de mon ventre je sent la présence de ce corps chaud au dessus du mien, le contacte de sa main remontant le long de ma cuisse me fit frissonner de plus belle, ses doigts me caressant je laisse échapper un soupir de plaisir ; il m’embrasse, enfin, et je lui rend son baiser avec toute la passion et l’envie que ses caresses ont déclanchées en moi. Je voudrais le prendre dans mes bras, le forcer à entrer en moi, mais je suis toujours attaché et je ne peux que le supplier de me faire l’amour… il refuse prétextant que ma torture ne prendra fin que lorsqu’il en aura décidé ainsi. Alors de nouveau un baiser me cueille, a l’aine cette fois, et de sa bouche il entreprend un baiser intime, alors que sa langue entre en moi je sent un plaisir insoupçonné m’envahir ; j’ai envie de crier « prend moi » mais je ne peut que gémir de plaisir, offerte, a la merci de ses caprices… .
C’est alors qu’il décide de me détacher, j’arrache mon bandeau, et découvre enfin l’objet de mon désir, guidé par un besoin incontrôlable je l’enlace, et c’est en l’embrassant passionnément que je l’allonge sur le lit, a la place même que j’occupais quelques secondes auparavant j’ai envie de lui, et lui aussi je le sent qui se contracte, qui se durci a mon contacte, nul besoin de liens pour le retenir, me calant entre ses reins je laisse libre cours a mes envies, le couvrant de baisers a mon tour, je décide qu’il est temps, assez joué, je ne peut m’empêcher de gémir en le sentant rentrer en moi, ses mains allant de mes seins a mes hanches, j’entame en va et vient régulier d’abord lent et profond puis plus rapidement ,presque malgré moi je gémis, de petits « oui, ho oui » sorte de ma bouche j’en veut plus, encore plus, nos mains se joignent et ensemble nous sentons monter le plaisir en nous, mais a la dernière seconde je m’arrête, la frustration qui l’envahit me comble de plaisir, jouant tel un chat avec une souris, je m’amuse a lui dispenser quelques baisers éparse, portant ses doigts a ma bouche je les lèchent , les sucent, m’amusant des envies que je fais naître en lui, ma bouche explorant son corps, je laisse ma langue jouer avec son pénis, s’entant le corps de mon ancien bourreau se contracter immédiatement, je continue ma caresse humide, mais une fois encore le laissant sur sa faim je stop tout ; cette fois ci n’en pouvant plus il me releva brusquement pour me plaquer au mur, il brûle , il n’en peut plus, prisonnière de ses bras, il m’incline légèrement vers le mur sa main suivant le sillon de mon dos, jusqu'à arriver a mes fesses dont il épouse les courbes, puis une main sur le mur et l’autre m’entourant, nos deux corps humides de sueur collés l’un a l’autre, je le sent pénétrer en moi il se donne avec violence et c’est bon, alors je m’abandonne dans le ballet de nos corps enlacés il va et vient, c’est de plus en plus fort, c’est tellement bon ; je sent une chaleur m’envahir, il cris presque je le sent se durcir, je sent chaque spasmes de son corps, je sent son plaisir jaillir en moi au moment où le mien atteint son paroxysme. La tête me tourne, le calme après la tempête je profite de se moment suspendu, de cet instant de bonheur intense. Et c’est épuisé que nous retombons enlacé sur le lit l’un dans l’autre.
je recevrais vos comm et conseil avec plaisir jespere que vous avez passez un bon moment
C’est alors qu’il décide de me détacher, j’arrache mon bandeau, et découvre enfin l’objet de mon désir, guidé par un besoin incontrôlable je l’enlace, et c’est en l’embrassant passionnément que je l’allonge sur le lit, a la place même que j’occupais quelques secondes auparavant j’ai envie de lui, et lui aussi je le sent qui se contracte, qui se durci a mon contacte, nul besoin de liens pour le retenir, me calant entre ses reins je laisse libre cours a mes envies, le couvrant de baisers a mon tour, je décide qu’il est temps, assez joué, je ne peut m’empêcher de gémir en le sentant rentrer en moi, ses mains allant de mes seins a mes hanches, j’entame en va et vient régulier d’abord lent et profond puis plus rapidement ,presque malgré moi je gémis, de petits « oui, ho oui » sorte de ma bouche j’en veut plus, encore plus, nos mains se joignent et ensemble nous sentons monter le plaisir en nous, mais a la dernière seconde je m’arrête, la frustration qui l’envahit me comble de plaisir, jouant tel un chat avec une souris, je m’amuse a lui dispenser quelques baisers éparse, portant ses doigts a ma bouche je les lèchent , les sucent, m’amusant des envies que je fais naître en lui, ma bouche explorant son corps, je laisse ma langue jouer avec son pénis, s’entant le corps de mon ancien bourreau se contracter immédiatement, je continue ma caresse humide, mais une fois encore le laissant sur sa faim je stop tout ; cette fois ci n’en pouvant plus il me releva brusquement pour me plaquer au mur, il brûle , il n’en peut plus, prisonnière de ses bras, il m’incline légèrement vers le mur sa main suivant le sillon de mon dos, jusqu'à arriver a mes fesses dont il épouse les courbes, puis une main sur le mur et l’autre m’entourant, nos deux corps humides de sueur collés l’un a l’autre, je le sent pénétrer en moi il se donne avec violence et c’est bon, alors je m’abandonne dans le ballet de nos corps enlacés il va et vient, c’est de plus en plus fort, c’est tellement bon ; je sent une chaleur m’envahir, il cris presque je le sent se durcir, je sent chaque spasmes de son corps, je sent son plaisir jaillir en moi au moment où le mien atteint son paroxysme. La tête me tourne, le calme après la tempête je profite de se moment suspendu, de cet instant de bonheur intense. Et c’est épuisé que nous retombons enlacé sur le lit l’un dans l’autre.
je recevrais vos comm et conseil avec plaisir jespere que vous avez passez un bon moment