Florence 06 - débutante

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Florence 06 - débutante

Messagede tentation le 23 Nov 2008, 13:32

Le grand jour est arrivé. Patrick est parti un peu avant huit heures … il n’en finissait pas de se préparer … Que le temps me semblait long ! Enfin parti ! Tout de suite je me suis plongée dans un bain chaud, moussu et parfumé, mais je ne m’y suis pas attardée … trop pressée d’aller le rejoindre, ce Charles. Je me suis néanmoins coiffé « à la perfection » les poils du pubis et je me suis vêtue d’une petite culotte classique mais à dentelles, et d’un soutien-gorge « de compétition ». J’aurais voulu chausser tout doucement mes bas en me caressant les jambes … et en rêvant à la manière dont il allait me les retirer … mais le temps m’était compté ... Par dessus j’ai mis une robe saillante mais non provocante, une robe pour aller rendre visite à ma mère et l’accompagner à faire des courses. Et le soir en rentrant, il me faudra être « naturelle » … d’autant plus « naturelle », que j’aurai certainement été « très heureuse » dans la journée.

J’ai emporté dans son sac « ma robe pour la rencontre », une petite robe noire très collante qui va me mettre tellement en valeur. C’est que je veux lui plaire à cet homme. Depuis que j’ai pris la décision de me donner à Charles, il me hante. Une éternité que je l’ai prise cette décision … avant-hier soir. Et depuis « je suis sienne », il ne m’a plus quitté l’esprit. Comment va-t-il être physiquement ? Va-t-il vraiment me plaire ? De quelle manière va-t-il « prendre possession de moi » ? Je suis séduite et lui suis toute acquise … mais je suis néanmoins un peu stressée. Devrai-je simuler une certaine résistance ou le laisser m’amener directement au li ?

Et je vais lui faire « une fellation complète » … est-ce que ça ne va pas me dégoûter ? D’après Maman et Claire, ça devrait m’être très agréable. En tout cas je vais avaler sa semence ». Inévitable m’ont-elles dit. Un grand pas pour moi en tout cas … Et bientôt, mais une autre fois seulement, je vais me faire sodomiser. Par un autre. Ça aussi c’est « indispensable » paraît-il. Et je ferai tout cela. Je l’ai décidé. Mais je suis un peu nerveuse … commencer ces jeux-là à quarante-trois ans ! Mais c’est très banal me disent-elles, et je ne le regretterai pas.

À neuf heures trente j’étais chez Maman. J’ai alors revêtu ma robe pour « mon rendez-vous d’amour » et me suis redonné un coup de peigne. Les dés étaient jetés, j’étais certes un peu tendue, mais « bien dans ma peau » quand même. C’est que Maman m’aidait : après m’avoir félicitée pour ma tenue, elle m’a dit que tout se passerait bien, que Charles est vraiment l’homme le plus charmant qu’il soit, qu’il ne pourra pas me décevoir, que je n’aurai qu’à me « laisser conduire » par lui. À dix heures quinze, nous sonnions à sa porte ; il nous ouvrit : grand, en pantalon et chemise légère ; certes un peu âgé mais beau et tellement « rassurant ». Il embrassa Maman longuement sur la bouche et s’approcha de moi :

- Je peux aussi Florence?

Je ne s’attendais pas à « une attaque » aussi rapide et je suis restée quelque peu interdite. Mais Maman répondit pour moi :

- Mais bien entendu que tu peux, Charles.

Il me saisit fermement, un bras autour de l’épaule, l’autre autour de la taille et m’embrassa. Longuement également. Et j’ai apprécié. D’autant plus apprécié que par sa manière décidée de s’accaparer de mon corps, il ne m’avait laissé aucune possibilité de révolte plus ou moins feinte : déjà je m’étais abandonnée à lui ... et j’ai passé les bras autour de son cou ; ce baiser nous l’avons partagé. Et comme, il me serrait très fort contre lui … je sentais son membre haut sur mon propre ventre. « Qu’il est grand ai-je pensé (à la fois l’homme et le sexe) … et encore j’ai mes talons ».

Maman « sonna la fin de la récré ».

- Viens Florence, je vais te faire faire le tour du propriétaire.

Charles déboutonna mon manteau, m’en débarrassa posément, le posa calmement sur un cintre et l’enferma dans la penderie. Puis revint à nous. Il me regardait avec respect, me semblait-il, mais aussi avec une certaine envie. Et je soutenais son regard. Je l’imaginais penser : « Quel corps magnifique. Et quelle robe ! Quelle femme superbe ! » … Et ça m’excitait. Je me suis débarrassée de mes chaussures : qu’il est grand !

- Voilà la cuisine Florence. Charles déballe ce que j’ai apporté pendant que je fais visiter l’appartement à Flo.

Elle m’amena dans la salle de bains puis dans la chambre.

- Voilà, ma Florence, le lieu où « il va te faire femme ». Une suggestion : enlève ta culotte et pose-la sur la chaise ; je suis certaine que quand il passera la main sous ta courte robe, il appréciera de te trouver aussi accueillante … tu ne trouves pas ?

- Qu’est-ce que tu me fais faire Maman …

Et j’obéis. Nous regagnâmes le salon. Maman me fit asseoir sur le divan ; bien entendu j’ai tiré sur ma robe, mais sans succès d’ailleurs courte comme elle était, et j’ai serré les genoux. La pudeur ! Puis elle alla rejoindre Charles dans la cuisine. Ils en revinrent aussitôt ; elle s’assit dans un fauteuil tandis que Lui me rejoignait. Nous bûmes un jus de fruit, la conversation s’engagea naturellement entre lui et moi. Il passa le bras par-dessus mes épaules, presque par inadvertance. Son autre main s’égara sur mes genoux qu’elle caressa sans y prendre garde, avec une délicate attention. Et j’ai aimé ça. Maman, qui nous faisait face, prétexta les en-cas à préparer et nous laissa seuls. Il remonta un peu la main à l’intérieur de ma cuisse, mais pas trop haut, pas au-delà du bas de ma robe. Néanmoins, par réflexe, je les ai écartées. Il m’enserra de son bras et m’embrassa à nouveau. « Tout naturellement » je lui rendis son baiser et passai les bras autour de son cou. C’est qu’il me plaisait cet homme …. Sans compter que j’étais venue chez lui pour qu’« il me prenne » … et j’avais hâte d’être à lui, de le sentir en moi. Maman et Claire avaient raison : « j’aime l’homme ». Il me flatta un sein …

- Florence tu devrais aller faire un tour dans la chambre et nous débarrasser de ton soutien-gorge … Reviens me rejoindre les seins libres sous ta robe, veux-tu ?

- Si tu me le demandes …

Je me suis levée. Je me trouvais « quelque peu effrontée » : je ne le connaissais pas depuis un quart d’heure … et nous étions déjà si complices. Et j’allais déjà me retrouver nue sous ma robe. Tant pis pour ce soutien-gorge que j’avais choisi avec tant de soin ; il alla rejoindre ma jolie culotte. Je suis revenue moins d’une minute plus tard me lover contre Charles. Nous nous embrassâmes encore. Il me saisit fermement un sein qu’il caressa à travers le tissu. Puis il fit glisser la bretelle de la robe pour mieux le saisir et je sentis alors sa main d’homme, ferme et résolue, directement sur ma peau, sur mon aréole, sur mon téton. D’instinct j’ai encore écarté les jambes. La bouche de Charles me suçota le sein tandis que sa main remontait vers mon intimité. C’était évident, ma nudité lui plaisait énormément ainsi que « la fluidité » de mon « petit trésor », puisqu’il me remonta une jambe sur le divan et me saisit le sexe fermement à pleine main. « Mes poils que j’avais si bien peignés ! » ai-je pensé. La voix de Maman annonça :

- Les en-cas sont prêts, je vais vous laisser.

Et elle entra dans le salon où elle m’aperçut complètement abandonnée : Charles me butinait le sein qu’il avait dégagé, tandis que ma robe relevée et mes jambes grandes ouvertes il me « travaillait » le sexe de sa main.

- Je vous quitte les tourtereaux. Passez un moment agréable tous les deux ! Et elle s’échappa.

Nous continuâmes notre jeu, puis j’ouvris la chemise de Charles et l’en débarrassai. Je l’ai caressé un moment, puis lui ai bécoté le torse. Enfin j’ai ouvert son pantalon et dégagé son sexe dressé. Et tout naturellement, j’ai fait ce que jamais je n’aurais cru pouvoir faire, je l’ai pris en bouche sans même qu’il m’en eut priée. Et j’ai aimé ça. Et moi qui avais toujours considéré qu’une fellation faite à Patrick c’était un cadeau d’amour accordé à mon mari, j’ai pris grand plaisir à « travailler » le sexe de Charles, de ce Charles à qui sa mère m’avait confiée et que je ne connaissais même pas une demi-heure auparavant.

Je me suis dégagée de ses bras, me suis mise debout, j’ai ouvert la fermeture de ma robe, et je l’ai laissée tomber au sol. Uniquement habillée maintenant de mes bas, je me suis agenouillée et ai repris de plus belle en bouche cette queue si tentante. Je savais alors que j’allais lui faire « une fellation complète » donc que j’allais « avaler ». Charles se mit dans une position qui lui était confortable et me laissa opérer, se contentant de me caresser les cheveux, les épaules et le dos : que ses mains m’étaient agréables ! Je le sentis « durcir encore » et se « tendre ». Je compris alors que « ça allait venir ». Et j’étais heureuse à l’idée que pour la première fois j’allais avaler la semence d’un homme.

- N’aie pas peur ma Florence, tu verras ce sera très doux. Je vais bien me caler au fond de ta gorge, tu n’auras qu’à la laisser ouverte.

À un moment, il me saisit plus fermement la tête et s’enfonça plus encore en moi. « Ça y ai-je pensé, je vais avaler ». Et il se vida méthodiquement, saccade par saccade. Et j’ai avalé chacun de ses jets, reprenant comme je pouvais mon souffle dans les brefs temps-morts. Je perdis un peu le souffle … mais j’appréciais « ce don de l’homme ».

J’ai pensé à Maman et à Claire. « Vous aviez raison ». Mais pourquoi n’ai-je jamais fait ça avec Patrick ? C’est merveilleux ! Je ne l’ai jamais fait avec Patrick … et je le fais avec un inconnu … et j’en jouis … nous en jouissons … Il faudra que je m’y mette aussi avec Patrick … mais comment je vais lui expliquer que j’ai changé d’avis … ? ».

J’ai relevé la tête, essoufflée et je lui ai souri.

Puis nue, je me suis collée de nouveau à Charles, et l’ai embrassé. Il n’y a une heure à peine Maman et moi étions sur le chemin de chez lui … et je l’avais déjà « avalé ». Il est à peine onze heures … nous allons « en faire des choses » d’ici ce soir !

- Viens Florence, il est temps d’aller dans la chambre.

Il enleva son pantalon, et tous deux nous avançâmes vers la chambre. Il se saisit de moi et me posa allongée sur le lit. Il m’écarta les jambes au maximum, et assis au bout du lit, m’embrassa le sexe. D’instinct j’ai écarté les cuisses plus fort encore ; il flatta le haut d’un de mes bas : « nous allons prendre grand soin d’eux, ils le méritent », et l’abaissa un peu ; aussitôt il caressa la peau dégagée, puis sa bouche repartit à mon sexe. Il joua de même avec l’autre bas et finit par les abaisser tous deux avec d’infinies précautions et moult bisous, en n’oubliant pas de revenir fréquemment à mon sexe dont sa bouche et ses mains avaient pris possession.

Enfin je fus complètement nue. Il me « força » les jambes encore un peu plus et se remit à me gober lèvres et clitoris. Je gémissais, hurlais presque à force de l’attendre en moi. Il m’enfonça l’index dans le vagin. Quelle « détente » enfin cette incursion dans mon intimité. Mais ça ne me suffisait pas ! Son doigt me fouilla et je criais pour de bon. Et soudain, sans que je n’aie rien pu voir venir, il s’était allongé sur moi et m’avait pénétrée d’un coup. La délivrance enfin ! Un de ses bras m’enserra la taille et me fixa fermement contre son corps à lui. Il essaya bien de m’embrasser, mais il était tellement plus grand que moi … alors il me mordilla les cheveux, tandis que ma bouche s’écrasait dans les poils de son torse. Je lui étais complètement livrée. J’essayais bien de « me battre » contre son sexe à lui, mais il m’enserrait si fort la taille que je ne pouvais être qu’abandon. Et comme il me « tapait bien au fond » ! Enfin « il se lâcha ». Quel plaisir de le sentir m’ensemencer : j’étais sa femme à présent … « En propriétaire », il avait disposé de moi et m’avait fécondée. Je le saisis à bras le corps. Il resta en moi encore un certain temps, incapable de « ramollir ». Enfin il s’échappa, et je ne pus m’empêcher de dire :

- Merci Charles

- Mais c’est moi qui te remercie Florence.

Et nous nous embrassâmes. Puis nous reprîmes nos caresses. Le sexe de Charles reprenait de la vigueur …

- Charles, tu ne vas pas t’en tirer comme ça … Tu vas me prendre en levrette, que je te sente bien au fond de moi … mais sans te laisser aller car je veux après que tu me sodomises. La levrette en amuse-gueule avant « les affaires sérieuses », tu es d’accord ?

- D’accord. Mais si on allait manger un petit quelque chose, Viviane nous a préparé de si bonnes choses ! Nous allons reprendre des forces … et après « à nous deux !» ... Tiens passe ce peignoir. Quand ta mère m’a annoncé ta visite hier, j’ai juste eu le temps d’aller le quérir et de faire broder ton prénom dessus. Ça a été difficile, la dame a dû arrêter un autre travail pour le faire. Mais elle l’a fait, c’est le principal.

Nous nous installâmes dans la cuisine, l’un contre l’autre et mangeâmes ; parfois nous nous s’embrassions ou nous caressions. Tout à coup mon téléphone sonna ; j’étais gênée.

- Viviane m’a dit que tu es mariée et que tu t’entends bien avec ton mari ; peut-être qu’il t’appelle. J’ai envie de te revoir Florence, alors pas de bêtises, ne le fais pas attendre. Va dans la salle de bains, ce sera plus discret.

Effectivement c’était Patrick ; je lui ai dit que je faisais les magasins ... nous nous souhaitâmes une bonne journée, puis raccrochâmes. Je suis retournée auprès de mon amant. Un peu plus tard, nouvel appel. C’était Jean, mon fils cadet qui me demandait l’autorisation de s’attarder chez un copain … autorisation que je lui ai accordée sans discuter.

Nous continuâmes notre repas. À la fin :

- Florence, retournons dans la chambre si tu veux bien. Et prends ton téléphone : si ton mari appelle … et que tu es « en état », réponds-lui. Sinon, nous ferons une pause, que tu aies le temps de reprendre ton souffle avant de le rappeler. OK ? Ton mari c’est notre priorité … nous pourrons toujours reprendre nos ébats après une pause. Tu sais je suis égoïste et je veux te revoir le plus souvent possible pour que nous prenions du plaisir tous les deux. Aussi il faut que tu sois « bien dans ta tête » et que tu n’aies pas de problèmes de couple pour pouvoir te sentir bien avec moi.

Dans la chambre, je me mis aussitôt à quatre pattes :

- À toi de jouer, Charles !

Il s’essaya bien à quelques explications, mais ne parvint pas à me faire changer de positon ; il me caressa donc le dos, la taille, les hanches … et saisissant celles-ci il s’enfonça dans mon sexe. Il me pénétra très fort et me cogna violemment ; j’ai aimé ça. J’aurais voulu me mettre à hurler, le laisser faire … mais :

- Maintenant Charles, sois sérieux, sodomise-moi !

Alors il entreprit de me flatter l’anneau, de le lubrifier, d’y introduire doucement son index, lui aussi bien lubrifié, de le faire tourner … il le fit pénétrer au maximum … puis ce furent le tour de l’index et du majeur. Je hurlais de plaisir. Enfin l’annulaire vint en aide « à ses copains ». Puis il arrêta, me laissant le fondement très fortement lubrifié et tout ouvert me semblait-il : « il va me sodomiser maintenant … qu’est-ce que ça va me faire ? ». Mais non, il me pénétra à nouveau le sexe et me pilonna fortement encore quelques instants. Je ne savais plus que penser : « il devait me sodomiser … il me trahit ». Mais c’était tellement agréable … Tant pis … mais la prochaine fois … Je me suis remise à hurler.

Et Il se retira, ajouta sur son sexe une bonne dose de lubrifiant à celui que mon sexe lui avait fourni et, me saisissant fermement par les hanches, présenta son pénis à l’entrée de mon anus, le pénétra un peu :

- Pousse Florence, pousse … à ton rythme … je vais t’aider … doucement, à ton rythme.

Et il m’aida … je donnai l’impulsion, et bien agrippé à moi, il la décuplait En trois ou quatre poussée il m’avait pénétrée au maximum possible. Bien établi en moi, il s’arrêta, effectua quelques mouvements de rotation, puis s’adonna à des va-et-vient. J’étais en train de me faire sodomiser ! Je l’avais souhaité. Et j’aimais ça ! Comme c’était agréable ! Je gémissais, je criais même en me poussant fortement sur Charles pour qu’il me pénétrât plus profondément encore. Ce fut l’apothéose lorsque le chaud liquide s’insinua en moi. Il m’occupa encore quelques instants, puis se retira. Maman et Claire avaient raison, c’est sublime.

- Merci Charles, tu m’as fait un grand cadeau !

- Mais ce cadeau nous nous le sommes fait, ma Florence.

Nous allâmes prendre une douche. Bien entendu elle fut le prétexte à des caresses « savonneuses » et à des embrassades. Il reprit vite vigueur, et me « taquina » le sexe du sien. Et tandis que nous nous essuyions l’un l’autre, mon téléphone sonna de nouveau ; c’était à nouveau Patrick. Sûre de moi, je lui répondis en présence de Charles. Puis nous retournâmes au lit. Nous reprîmes caresses et baisers. Je ne me lassais pas de ces découvertes que je venais de faire. Bien entendu nous refîmes l’amour « normalement » L’après-midi n’était pas très avancé, mais :

- Florence, je n’ai qu’une envie, te voir rester ici … si tu savais, j’aimerais tant passer la nuit avec toi … mais il est préférable pour nous que tu rentres à la maison, que tu retrouves ton mari … et que tu reviennes une autre fois, dès que possible. Ton peignoir sera là à t’attendre … Et sache qu’en aucun cas je n’évoquerai nos relations intimes avec Viviane ou Claire, tout restera secret entre nous deux.

J’ai trouvé qu’il avait raison : il était sage de ne pas m’attarder trop. Sûr, je reviendrai. Mais auparavant j’ai exigé une dernière pénétration, en levrette … je voulais le sentir se vider en moi dans cette position.

En fait quand j’ai quitté Charles, le soir approchait ... c’est que nous trouvions toujours prétexte sur prétexte pour retarder notre séparation. Avant de me laisser repartir, il me donna ses numéros de téléphone et son adresse mèl. J’en ai été ravie : évidemment que je t’appellerai … Je lui ai donné moi aussi mon numéro de mobile.

- Mais ne laisse pas de SMS ni de message, on ne sait jamais. Si je vois que tu m’as appelée, je te rappellerai.

- Sois tranquille ma Florence.

Nous nous embrassâmes, et je repartis. En sortant du métro près de la maison, je l’ai appelé et je lui ai dit comme notre rencontre m’avait ravie.
tentation
 
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