Sophie (2)
Posté: 11 Avr 2006, 09:33
Un jour, donc, Sophie prit sa voiture et se rendit à la plage naturiste, se gara sur le parking tout proche, prit son sac de plage et franchit les deux ou trois cents mètres qui la séparait de la plage. Une fois arrivée sur place, elle vit tous ces gens qui tout comme sur une plage normale, soit bronzaient soit jouaient à divers jeux de ballon ou de boules, soit déambulaient, soit encore, se baignaient ! La seule différence était évidemment qu’ils étaient tous intégralement nus.
Sophie fut d’abord saisie de panique et faillit faire demi tour, tant elle se sentait ridicule et surtout l’objet de tous les regards, elle qui arrivait avec sa petite robe de plage au milieu de tous ces gens nus. En fait en regardant autour d’elle, elle se rendit compte qu’elle n’était pas la seule et tous ceux qui comme elle arrivaient, vêtus, installaient posément leurs affaires, étalaient leur serviette sur le sable et naturellement se déshabillaient, enlevant successivement leurs vêtements, puis leurs maillots qu’ils rangeaient soigneusement avant de s’allonger ou bien de se précipiter immédiatement dans l’eau.
Après un long moment d’hésitation, Sophie, qui ne s’était jamais mise nue devant quiconque, hormis son mari, se dévêtit lentement, d’abord la robe, puis le soutien gorge et enfin après une longue hésitation, son slip de bain.
Elle sentit le rouge de la honte monter à son visage, persuadée que le monde avait les yeux rivés sur elle. Elle jeta un regard furtif autour d’elle et se rendit compte qu’en réalité, personne ne lui prêtait une attention particulière et s’allongea rapidement à plat ventre.
Elle resta un long moment dans cette position mais les rayons du soleil commençant à lui brûler le dos, elle se décida à se tourner, exposant ainsi son corps dans sa nudité la plus totale, présentant ainsi sa poitrine aux yeux de tous, mais aussi son sexe qu’une toison d’un beau châtain clair qui protégeait son intimité.
Les minutes passant et le soleil toujours ardent faisant, elle ne tint plus et s’étant assise, regardait avec envie cette eau claire et rafraîchissante qui lui faisait envie mais elle n’osait des lever et traverser la bande de sable qui la séparait de l’eau bienfaitrice car il lui faudrait affronter les regards des autres. Finalement, n’y tenant plus, elle prit son courage à deux mains, se leva et courut plus qu'elle ne marcha vers l'eau salvatrice qu’elle rejoint en quelques enjambées et dans laquelle elle se plongea avec délices.
Là, rassérénée, à l’abri du regard incisif, du moins l’imaginait elle, des autres et des hommes en particulier, elle nagea longtemps avant de revenir vers le bord où elle resta assise dans l’eau, ballottée par les vagues.
Elle passa ainsi un long moment à regarder les autres baigneurs et surtout à regarder ceux qui allaient se baigner ou, mieux encore ceux qui sortaient de l’eau, beaucoup passant près d’elle. Elle eut ainsi l’occasion de voir passer un certain nombre d’hommes qui, sortant de l’eau, offraient à la vue de tous leurs corps dénudés et surtout leur sexe ballottant de droite à gauche au gré des pas et qu’elle pouvait voir dans toute leur splendeur puisque étant assise elle avait une vision directe sur l’objet de sa curiosité.
A sa grande surprise, Sophie découvrit que pas un sexe d’homme ne ressemblait à un autre. Il y en avait des petits, des gros, des boursouflés d’autres enfin affichait un gland qu’aucun prépuce ne couvrait. C’était la première fois qu’elle voyait des sexes circoncis !
Finalement, Sophie se leva et tout en tordant sa longue chevelure afin de l’essorer de l’excès d’eau, elle retourna lentement à sa place.
Toute timidité ayant disparu, elle regarda autour d’elle et commença à détailler un peu ses voisins et voisines sans toutefois lancer des regards trop ostentatoires et à sa grande surprise, constata que de nombreuses femmes étaient en partie épilées leur toison étant réduite à sa plus simple expression, à savoir qu’elles avaient éliminé toute pilosité à l’exception d’une légère touffe au dessus de la naissance de la vulve ceci ne cachant rien de leur intimité, d’autres enfin, mais celles là étaient très rares, arboraient un sexe totalement épilé ce qui de loin, leur donnaient l’apparence de petites filles si l’on ne tenait pas compte de leurs formes et surtout de leur poitrine.
Perdue dans ses pensées, elle ne réalisa pas tout de suite une présence a ses cotés. Surprise, elle se tourna et reconnu un homme auquel elle avait machinalement répondu par un sourire quelques instants auparavant lorsqu’il lui avait lui même souri.
- Oh, excusez moi, dit elle, j’étais perdue dans mes pensées !
- J’ai vu, lui dit il avec un grand sourire ! je vous demandais si c’était votre première approche du naturisme.
- Qu’est ce qui vous fait dire cela ?
- Vos marques !
- Quelles marques ?
- Celles de votre maillot, aussi bien en haut qu’en bas, celles ci montrent à l’évidence que ces parties de votre corps n’ont certainement jamais été exposées au soleil !
Rougissante, Sophie convint que c’était en effet sa première expérience en la matière et elle remarqua alors que tous les autres ne présentaient aucune marque sur leur corps indiquant qu’ils aient pu s’exposer au soleil autrement qu’intégralement nus, d’ailleurs, son interlocuteur présentait lui aussi un corps vierge de toute marque.
- Vous me permettez de m’asseoir demanda t il ? Et sans attendre la réponse, il s’installa face à Sophie.
- Donc c’est bien la première fois que pratiquez ?
- Oui
- Alors, quelle est votre première impression ?
- Agréable, mais un peu stressant.
- Stressant, pourquoi donc ?
- Vous n’avez pas été un peu stressé vous la première fois ?
- Oh, si ! Mais vous savez pour un homme, c’est sans doute différent dit il dans un grand éclat de rire !
- Ah bon ! pourquoi ?
- Réfléchissez voyons, dit il, en riant de plus belle ! Vous savez tout de même que nous les hommes, avons des réactions pas toujours contrôlables lorsque nous nous retrouvons nus devant des femmes, surtout lorsque celles ci sont charmantes ! Oh certes, toutes ne sont pas appétissantes, mais il y en a néanmoins suffisamment pour nous émouvoir et je vous aurai rencontré à mon premier jour de naturisme, je pense que vous m’auriez sans doute fait un effet immédiat.
- Flattée ! répondit Sophie rougissante.
- Je vous en prie, c’est la stricte vérité, vous êtes absolument charmante dit il, tout en détaillant le corps de Sophie.
Celle ci sentant le regard de cet homme sur son corps, prit un certain plaisir à l’examen de celui ci, même lorsqu’elle vit son regard descendre sur son ventre, elle réalisa alors que dans le cours de la conversation elle s’était assise, comme elle le faisait souvent sur la plage avec ses amies, en tailleur, offrant ainsi une vue imprenable sur son intimité. Bien qu’ayant réalisé cela, Sophie ne modifia pas sa position et fixa son interlocuteur, attendant que celui ci relève les yeux de son exploration pour croiser à nouveau son regard. Celui ci ne cilla pas un instant et lui sourit, sourire qu’elle lui rendit d’ailleurs.
- Je m’appelle François dit il, et vous ?
- Sophie.
- Eh bien je suis enchanté de faire votre connaissance Sophie.
Ils engagèrent ainsi une conversation à bâtons rompu, François était tout à fait charmant, plein d’humour, et Sophie se senti tout à fait à l’aise avec lui et supportait sans aucune gène ses regards, elle finit même par faire ce dont elle avait envie et se prit elle aussi à détailler le corps de cet homme.
Il devait avoir une trentaine d’années brun au cheveux courts, un visage harmonieux qu’éclairait de splendides yeux bleus encore plus mis en valeur par des cils d’une longueur inhabituelle chez un homme, une silhouette fine, des muscles longs jouaient sous sa peau au moindre de ses mouvements, mais surtout, Sophie, surmontant sa timidité avait discrètement par des coups d’œil rapides admiré les attributs de son interlocuteur jusqu’au moment ou il prit manifestement conscience de son manège et décroisant ses jambes lui offrit une vision complète de son anatomie.
Sophie à l’instar d’un enfant pris sur le fait en train de faire une bêtise rougit d’abord, mais finit par sourire et mentalement le remercia. Elle s’enhardit alors et c’est finalement sans aucune gêne qu’elle put enfin observer ce sexe qui, elle s’en rendit compte sans aucune honte, l’attirait tant.
François avait un sexe assez long, très régulier, le gland presque recouvert par le prépuce, cachant partiellement les bourses qui traînaient sur le sable.
Le soleil continuant à les assommer de ses rayons brûlants, François proposa d’aller se baigner, ce que Sophie accepta bien volontiers.
Ils nagèrent longtemps, puis ils revinrent à leur place.
La chaleur étant accablante, François proposa d’aller se désaltérer, ce que Sophie accepta d’enthousiasme car elle était morte de soif. Ils ramassèrent leurs affaires et se dirigèrent vers un des immeubles qui bordaient la plage et ils entrèrent dans un studio que François dit qu’il louait pour la durée de ses vacances. L’atmosphère relativement fraîche qui régnait à l’intérieur était très agréable, François ouvrit le réfrigérateur, sortit des jus de fruits en servit eux grands verres qu’ils burent d’un trait.
Sophie réalisa alors qu’ils étaient toujours tous les deux nus, mais cela ne la gêna nullement, elle se sentait parfaitement à l’aise ainsi.
Sophie s’approcha de la fenêtre et accoudée à celle ci, elle admira le point de vue.
A un moment elle senti François s’approcher derrière elle. Elle tourna la tête et vit qu’il s’était arrêté un peu en arrière et regardait lui aussi la plage par dessus son épaule. Un silence s’établit et ils restèrent ainsi durant un long moment jusqu'à ce qu’elle sentit quelque chose effleurer ses fesses, d’un geste machinal, pensant a quelque insecte, mouche ou autre, d’un mouvement vif de la main elle chassa l’intrus. En fait d’insecte, elle senti quelque chose de flasque et en même temps entendit un battement sec et un cri de douleur ! Se retournant elle vit François grimaçant de douleur les deux mains sur son bas ventre. Horrifiée, Sophie réalisa que ce qui lui avait effleuré les fesses n’était nullement un insecte mais tout simplement le sexe de François qui se tenait un peu trop près d’elle !
Elle eut alors une réaction instinctive à la fois maternelle et puérile au même titre que lorsqu’un de ses enfants se faisait mal, à savoir que s’agenouillant, elle écarta les mains de François pour souffler sur le point de choc tout en tenant le sexe de François dans ses mains.
Soudain, elle réalisa ce qu’elle était en train de faire et comme si elle était montée sur ressorts, elle se mit debout et rouge de confusion se tenant le visage des deux mains elle balbutia des mots qui se voulaient des excuses, mais elle était tellement confuse que ses propos étaient totalement inintelligibles.
Cet épisode tragi-comique fit éclater de rire François effaçant toute douleur. Il réalisa l’embarras dans lequel se trouvait Sophie et la prenant par les épaules, lui assura que ce n’était rien et qu’il avait parfaitement compris la situation et exploitant la situation à son avantage pour détendre Sophie, lui assura que c’était bien la première fois de sa vie qu’on le prenait pour un insecte lui qui se croyait normalement constitué.
Devant tant d’humour et de bonhomie, Sophie éclata à son tour de rire et reconnut, en regardant vers le bas ventre de François, qu’en effet la bestiole était plus que bien que constituée.
- Ah bon ! Vous trouvez ? Lui dit François.
Sophie sentant le rouge de la honte lui remonter aux joues bredouilla que ce n’est pas ce qu’elle voulait dire, mais que son mari…. Enfin que….Bref qu’elle ne savait pas !
- Dois je comprendre que vous n’avez guère d’expérience en la matière ? Lui dit François.
Sophie encore plus rougissante bredouilla à nouveau de sorte que François comprit aussitôt la situation dans laquelle se trouvait Sophie et la rassurant lui dit :
- Ne soyez pas intimidée ou complexée, si j’ai bien compris, vous n’avez donc que peu d’expérience des hommes voire aucune à l’exception de votre mari et aujourd’hui est un jour particulier pour vous puisque vous n’avez jamais vu autant d’hommes nus. Ai je raison ?
- Oui balbutia Sophie
- Donc votre mari présente une anatomie plus réduite que la mienne c’est cela ?
- Oui, balbutia encore Sophie.
- Vous savez la rassura François, il en est chez les hommes comme chez les femmes. En effet, vous n’êtes pas sans avoir noté bien entendu que vous n’êtes pas toutes égales devant la nature et qu’il existe chez vous mesdames tant de formes et de tailles différentes de poitrines, il en est de même d’ailleurs dès qu’il est rendu plus visible par une soigneuse épilation. Eh bien chez nous les hommes, il existe également de nombreuses disparités en la matière, des petits des gros, des longs, des boursouflés des tordus etc, etc.
-
- Ah bon, fit Sophie
- Tenez, dit François, dites moi comment est constitué votre mari, mais regardez moi bien d’abord pour faire la comparaison.
Sophie, ne réalisant pas le surréalisme de la situation baissa les yeux et fixant le sexe de François avec attention, réalisa en effet que ce qu’elle avait devant elle différait en effet grandement du seul sexe qu’elle eût jamais vu avant ce jour. François présentait un sexe d’une longueur nettement plus importante que celui de son mari, qu’il était régulier sur toute sa longueur et pendait bien droit.
- Alors ? Lui dit François,
- Eh bien…….. vous êtes nettement plus grand que lui, et beaucoup plus beau, répondit Sophie sans réaliser ce qu’elle disait.
- Ah bon ! Comment cela, expliquez moi !
- Eh bien votre sexe est long et régulier alors que le sien est fin au départ puis va s’épaississant et puis il ne pend pas droit devant comme le vôtre.
- Beaucoup plus long ? Dit François.
- Oh, oui, je dirai un bon tiers en plus.
- Tant que cela ?
- Je pense, oui, a mon avis il n’arrive pas au delà de ce niveau, dit Sophie qui, joignant le geste à la parole indiqua du doigt sur le sexe de François un endroit se situant à peu près au niveau de la collerette du gland.
François saisissant alors la main de Sophie, la lui mit doucement sur son sexe et lui fit refermer les doigts dessus. Sophie totalement déboussolée par la tournure de la conversation sentait sans le réaliser vraiment qu’elle était totalement troublée par cette situation qui néanmoins ne la choquait pas, aussi paradoxal que cela puisse paraître, elle, si prude si angélique. C’est sans réfléchir qu’elle garda dans sa main ce sexe qu’elle sentait tout chaud. Les secondes passèrent et rapidement, elle eut l’impression que ce sexe prenait vie dans sa main, elle le sentit grossir, palpiter et se dresser inexorablement, prenant une dimension qu’elle n’aurait jamais imaginé ce qui la paralysa de stupeur, se demandant quand ce développement allait s’arrêter. Finalement elle vit un sexe qui n’avait aucune commune mesure avec celui de son mari et dont la longueur devait sans doute avoisiner les vingt centimètres, ce qui excédait d’au moins sept à huit centimètres les mensurations de son époux. Tout à son admiration devant ce spectacle, elle ne réalisa pas que pendant ce temps là, François avait mis sa main sur la sienne afin de lui faire effectuer de mouvements d’avant en arrière qui découvrait alternativement un gland luisant. Elle ne réalisa pas non plus qu’ayant suivi le mouvement que lui avait imprimé la main de François, elle avait continué seule le mouvement toujours admirative devant le spectacle qui s’offrait à elle. Elle n’avait pas non plus réalisé l’émoi dans lequel ce qui se passait l’avait plongée, aussi, lorsque François recula à petit pas, elle le suivi, sans toutefois le lâcher et cesser ce qu’elle était en train de faire. Arrivés près du lit vers lequel François les avait lentement entraînés, il la fit asseoir et s’assit à ses cotés, puis il s’allongea sur le dos et laissa Sophie, qui était dans un état second, continuer à le masturber doucement. Elle était absolument fascinée par ce sexe, il faut dire que c’était bien la première fois de sa vie qu’elle avait cette occasion puisque, comme déjà évoqué, ses rapports avec son mari se cantonnaient à le recevoir en elle sans autre initiative, aussi prit elle le temps d’examiner et surtout apprécier le doux contact de la fine peau sous laquelle couraient de nombreuses veines, elle était aussi fascinée par la dimension de ce qu’elle tenait dans sa main qui n’arrivait même pas à faire le tour de ce pieu dont la raideur la remplissait d’admiration. D’autre part elle trouvait extraordinaire le fait que la peau puisse coulisser sur le muscle qu’elle recouvrait et tout aussi passionnant le spectacle du gland dont l’énorme collerette était alternativement caché par le prépuce au fur et à mesure des va et vient que sa main effectuait le long de ce sexe. Elle avait noté aussi que quand elle remontait un peu plus sa main jusqu’à emprisonner le gland, cela tirait évidemment sur la peau du sexe de sorte que les bourses remontaient légèrement. Les bourses, tiens au fait ça non plus elle n’y avait jamais touché ! Elle lâcha un instant le sexe de François, ce qui faute de soutien et compte tenu du fait que celui-ci était allongé sur le dos tomba sur son ventre le bout atteignant le niveau du nombril et saisit délicatement le bourses et c’est avec surprise qu’elle constata que les testicules de la forme d’un gros œuf de pigeon roulaient sous sa main à l’intérieur. Elle les caressa un long moment à la satisfaction manifeste de François, puis reprit en main le sexe qui entre-temps n’avait en rien perdu de sa vigueur
De longues minutes passèrent et Sophie qui commençait à réaliser ce qu’elle faisait, ne s’arrêta pas pour autant et appréciait cette situation, sentant vibrer ce sexe dont la peau si douce roulait sous ses doigts serrés dessus. A un moment, elle sentit le sexe de François se raidir encore plus, puis se mettre a vibrer de spasmes qui le dilatait par à coups et subitement elle vit jaillir du bout du sexe des jets de liquide, ce qui lui arracha un petit cri de surprise, mais ne lui fit toutefois pas relâcher son étreinte mais arrêter son mouvement. Elle fut totalement paralysée par ce qu’elle venait de voir et surtout par la puissance du jet laiteux qui était monté à au moins cinquante centimètres avant de retomber sur François, mais aussi sur le bras de Sophie qui resta stupéfaite devant ce spectacle auquel elle assistait pour la première fois et dont elle était aussi une actrice. Elle était en effet stupéfaite de la puissance du jet, mais aussi de constater que ce liquide, source de vie, de couleur laiteuse s’était échappé de l’extrémité du gland par a coups jusqu’à ce que la source se tarissant, les jets diminuaient de puissance pour ne laisser place qu’à quelques rejets qui sourdaient de l’extrémité du gland glissant lentement le long de celui-ci jusqu’à la main de Sophie qui ne l’avait pas lâché. Elle reprit la masturbation qu’elle avait interrompue sous le coup de la surprise au moment de l’éjaculation et se rendit compte alors que de ce liquide dont les dernières gouttes lui avaient dégoulinées sur la main était visqueux et lui faisait glisser le sexe de François dans la main.
Petit à petit, elle sentit la vigueur de François décroître et n’eut plus dans sa main qu’un sexe presque réduit de moitié et surtout à nouveau flasque et souple. Déçue, elle finit par le lâcher et contempla François qui les yeux mi clos savourait ce moment.
Sophie réalisa subitement le coté irréel de la situation et ce qui venait de se passer, ce qu’elle venait de faire à cet homme qu’elle ne connaissait que depuis le début de l’après midi et que finalement, elle y avait pris grand plaisir.
En fait, c’était bien la première fois qu’elle touchait un sexe d’homme car même avec son mari, qui était le seul homme de sa vie, elle n’avait jamais posé la main sur ses attributs. Elle repassa ainsi dans sa tête ce qu’avait été sa vie sexuelle et pris conscience que celle-ci s’était bornée, malgré tout l’amour qu’elle portait à Arnaud, qu’à de simples rapports.
Sophie fut d’abord saisie de panique et faillit faire demi tour, tant elle se sentait ridicule et surtout l’objet de tous les regards, elle qui arrivait avec sa petite robe de plage au milieu de tous ces gens nus. En fait en regardant autour d’elle, elle se rendit compte qu’elle n’était pas la seule et tous ceux qui comme elle arrivaient, vêtus, installaient posément leurs affaires, étalaient leur serviette sur le sable et naturellement se déshabillaient, enlevant successivement leurs vêtements, puis leurs maillots qu’ils rangeaient soigneusement avant de s’allonger ou bien de se précipiter immédiatement dans l’eau.
Après un long moment d’hésitation, Sophie, qui ne s’était jamais mise nue devant quiconque, hormis son mari, se dévêtit lentement, d’abord la robe, puis le soutien gorge et enfin après une longue hésitation, son slip de bain.
Elle sentit le rouge de la honte monter à son visage, persuadée que le monde avait les yeux rivés sur elle. Elle jeta un regard furtif autour d’elle et se rendit compte qu’en réalité, personne ne lui prêtait une attention particulière et s’allongea rapidement à plat ventre.
Elle resta un long moment dans cette position mais les rayons du soleil commençant à lui brûler le dos, elle se décida à se tourner, exposant ainsi son corps dans sa nudité la plus totale, présentant ainsi sa poitrine aux yeux de tous, mais aussi son sexe qu’une toison d’un beau châtain clair qui protégeait son intimité.
Les minutes passant et le soleil toujours ardent faisant, elle ne tint plus et s’étant assise, regardait avec envie cette eau claire et rafraîchissante qui lui faisait envie mais elle n’osait des lever et traverser la bande de sable qui la séparait de l’eau bienfaitrice car il lui faudrait affronter les regards des autres. Finalement, n’y tenant plus, elle prit son courage à deux mains, se leva et courut plus qu'elle ne marcha vers l'eau salvatrice qu’elle rejoint en quelques enjambées et dans laquelle elle se plongea avec délices.
Là, rassérénée, à l’abri du regard incisif, du moins l’imaginait elle, des autres et des hommes en particulier, elle nagea longtemps avant de revenir vers le bord où elle resta assise dans l’eau, ballottée par les vagues.
Elle passa ainsi un long moment à regarder les autres baigneurs et surtout à regarder ceux qui allaient se baigner ou, mieux encore ceux qui sortaient de l’eau, beaucoup passant près d’elle. Elle eut ainsi l’occasion de voir passer un certain nombre d’hommes qui, sortant de l’eau, offraient à la vue de tous leurs corps dénudés et surtout leur sexe ballottant de droite à gauche au gré des pas et qu’elle pouvait voir dans toute leur splendeur puisque étant assise elle avait une vision directe sur l’objet de sa curiosité.
A sa grande surprise, Sophie découvrit que pas un sexe d’homme ne ressemblait à un autre. Il y en avait des petits, des gros, des boursouflés d’autres enfin affichait un gland qu’aucun prépuce ne couvrait. C’était la première fois qu’elle voyait des sexes circoncis !
Finalement, Sophie se leva et tout en tordant sa longue chevelure afin de l’essorer de l’excès d’eau, elle retourna lentement à sa place.
Toute timidité ayant disparu, elle regarda autour d’elle et commença à détailler un peu ses voisins et voisines sans toutefois lancer des regards trop ostentatoires et à sa grande surprise, constata que de nombreuses femmes étaient en partie épilées leur toison étant réduite à sa plus simple expression, à savoir qu’elles avaient éliminé toute pilosité à l’exception d’une légère touffe au dessus de la naissance de la vulve ceci ne cachant rien de leur intimité, d’autres enfin, mais celles là étaient très rares, arboraient un sexe totalement épilé ce qui de loin, leur donnaient l’apparence de petites filles si l’on ne tenait pas compte de leurs formes et surtout de leur poitrine.
Perdue dans ses pensées, elle ne réalisa pas tout de suite une présence a ses cotés. Surprise, elle se tourna et reconnu un homme auquel elle avait machinalement répondu par un sourire quelques instants auparavant lorsqu’il lui avait lui même souri.
- Oh, excusez moi, dit elle, j’étais perdue dans mes pensées !
- J’ai vu, lui dit il avec un grand sourire ! je vous demandais si c’était votre première approche du naturisme.
- Qu’est ce qui vous fait dire cela ?
- Vos marques !
- Quelles marques ?
- Celles de votre maillot, aussi bien en haut qu’en bas, celles ci montrent à l’évidence que ces parties de votre corps n’ont certainement jamais été exposées au soleil !
Rougissante, Sophie convint que c’était en effet sa première expérience en la matière et elle remarqua alors que tous les autres ne présentaient aucune marque sur leur corps indiquant qu’ils aient pu s’exposer au soleil autrement qu’intégralement nus, d’ailleurs, son interlocuteur présentait lui aussi un corps vierge de toute marque.
- Vous me permettez de m’asseoir demanda t il ? Et sans attendre la réponse, il s’installa face à Sophie.
- Donc c’est bien la première fois que pratiquez ?
- Oui
- Alors, quelle est votre première impression ?
- Agréable, mais un peu stressant.
- Stressant, pourquoi donc ?
- Vous n’avez pas été un peu stressé vous la première fois ?
- Oh, si ! Mais vous savez pour un homme, c’est sans doute différent dit il dans un grand éclat de rire !
- Ah bon ! pourquoi ?
- Réfléchissez voyons, dit il, en riant de plus belle ! Vous savez tout de même que nous les hommes, avons des réactions pas toujours contrôlables lorsque nous nous retrouvons nus devant des femmes, surtout lorsque celles ci sont charmantes ! Oh certes, toutes ne sont pas appétissantes, mais il y en a néanmoins suffisamment pour nous émouvoir et je vous aurai rencontré à mon premier jour de naturisme, je pense que vous m’auriez sans doute fait un effet immédiat.
- Flattée ! répondit Sophie rougissante.
- Je vous en prie, c’est la stricte vérité, vous êtes absolument charmante dit il, tout en détaillant le corps de Sophie.
Celle ci sentant le regard de cet homme sur son corps, prit un certain plaisir à l’examen de celui ci, même lorsqu’elle vit son regard descendre sur son ventre, elle réalisa alors que dans le cours de la conversation elle s’était assise, comme elle le faisait souvent sur la plage avec ses amies, en tailleur, offrant ainsi une vue imprenable sur son intimité. Bien qu’ayant réalisé cela, Sophie ne modifia pas sa position et fixa son interlocuteur, attendant que celui ci relève les yeux de son exploration pour croiser à nouveau son regard. Celui ci ne cilla pas un instant et lui sourit, sourire qu’elle lui rendit d’ailleurs.
- Je m’appelle François dit il, et vous ?
- Sophie.
- Eh bien je suis enchanté de faire votre connaissance Sophie.
Ils engagèrent ainsi une conversation à bâtons rompu, François était tout à fait charmant, plein d’humour, et Sophie se senti tout à fait à l’aise avec lui et supportait sans aucune gène ses regards, elle finit même par faire ce dont elle avait envie et se prit elle aussi à détailler le corps de cet homme.
Il devait avoir une trentaine d’années brun au cheveux courts, un visage harmonieux qu’éclairait de splendides yeux bleus encore plus mis en valeur par des cils d’une longueur inhabituelle chez un homme, une silhouette fine, des muscles longs jouaient sous sa peau au moindre de ses mouvements, mais surtout, Sophie, surmontant sa timidité avait discrètement par des coups d’œil rapides admiré les attributs de son interlocuteur jusqu’au moment ou il prit manifestement conscience de son manège et décroisant ses jambes lui offrit une vision complète de son anatomie.
Sophie à l’instar d’un enfant pris sur le fait en train de faire une bêtise rougit d’abord, mais finit par sourire et mentalement le remercia. Elle s’enhardit alors et c’est finalement sans aucune gêne qu’elle put enfin observer ce sexe qui, elle s’en rendit compte sans aucune honte, l’attirait tant.
François avait un sexe assez long, très régulier, le gland presque recouvert par le prépuce, cachant partiellement les bourses qui traînaient sur le sable.
Le soleil continuant à les assommer de ses rayons brûlants, François proposa d’aller se baigner, ce que Sophie accepta bien volontiers.
Ils nagèrent longtemps, puis ils revinrent à leur place.
La chaleur étant accablante, François proposa d’aller se désaltérer, ce que Sophie accepta d’enthousiasme car elle était morte de soif. Ils ramassèrent leurs affaires et se dirigèrent vers un des immeubles qui bordaient la plage et ils entrèrent dans un studio que François dit qu’il louait pour la durée de ses vacances. L’atmosphère relativement fraîche qui régnait à l’intérieur était très agréable, François ouvrit le réfrigérateur, sortit des jus de fruits en servit eux grands verres qu’ils burent d’un trait.
Sophie réalisa alors qu’ils étaient toujours tous les deux nus, mais cela ne la gêna nullement, elle se sentait parfaitement à l’aise ainsi.
Sophie s’approcha de la fenêtre et accoudée à celle ci, elle admira le point de vue.
A un moment elle senti François s’approcher derrière elle. Elle tourna la tête et vit qu’il s’était arrêté un peu en arrière et regardait lui aussi la plage par dessus son épaule. Un silence s’établit et ils restèrent ainsi durant un long moment jusqu'à ce qu’elle sentit quelque chose effleurer ses fesses, d’un geste machinal, pensant a quelque insecte, mouche ou autre, d’un mouvement vif de la main elle chassa l’intrus. En fait d’insecte, elle senti quelque chose de flasque et en même temps entendit un battement sec et un cri de douleur ! Se retournant elle vit François grimaçant de douleur les deux mains sur son bas ventre. Horrifiée, Sophie réalisa que ce qui lui avait effleuré les fesses n’était nullement un insecte mais tout simplement le sexe de François qui se tenait un peu trop près d’elle !
Elle eut alors une réaction instinctive à la fois maternelle et puérile au même titre que lorsqu’un de ses enfants se faisait mal, à savoir que s’agenouillant, elle écarta les mains de François pour souffler sur le point de choc tout en tenant le sexe de François dans ses mains.
Soudain, elle réalisa ce qu’elle était en train de faire et comme si elle était montée sur ressorts, elle se mit debout et rouge de confusion se tenant le visage des deux mains elle balbutia des mots qui se voulaient des excuses, mais elle était tellement confuse que ses propos étaient totalement inintelligibles.
Cet épisode tragi-comique fit éclater de rire François effaçant toute douleur. Il réalisa l’embarras dans lequel se trouvait Sophie et la prenant par les épaules, lui assura que ce n’était rien et qu’il avait parfaitement compris la situation et exploitant la situation à son avantage pour détendre Sophie, lui assura que c’était bien la première fois de sa vie qu’on le prenait pour un insecte lui qui se croyait normalement constitué.
Devant tant d’humour et de bonhomie, Sophie éclata à son tour de rire et reconnut, en regardant vers le bas ventre de François, qu’en effet la bestiole était plus que bien que constituée.
- Ah bon ! Vous trouvez ? Lui dit François.
Sophie sentant le rouge de la honte lui remonter aux joues bredouilla que ce n’est pas ce qu’elle voulait dire, mais que son mari…. Enfin que….Bref qu’elle ne savait pas !
- Dois je comprendre que vous n’avez guère d’expérience en la matière ? Lui dit François.
Sophie encore plus rougissante bredouilla à nouveau de sorte que François comprit aussitôt la situation dans laquelle se trouvait Sophie et la rassurant lui dit :
- Ne soyez pas intimidée ou complexée, si j’ai bien compris, vous n’avez donc que peu d’expérience des hommes voire aucune à l’exception de votre mari et aujourd’hui est un jour particulier pour vous puisque vous n’avez jamais vu autant d’hommes nus. Ai je raison ?
- Oui balbutia Sophie
- Donc votre mari présente une anatomie plus réduite que la mienne c’est cela ?
- Oui, balbutia encore Sophie.
- Vous savez la rassura François, il en est chez les hommes comme chez les femmes. En effet, vous n’êtes pas sans avoir noté bien entendu que vous n’êtes pas toutes égales devant la nature et qu’il existe chez vous mesdames tant de formes et de tailles différentes de poitrines, il en est de même d’ailleurs dès qu’il est rendu plus visible par une soigneuse épilation. Eh bien chez nous les hommes, il existe également de nombreuses disparités en la matière, des petits des gros, des longs, des boursouflés des tordus etc, etc.
-
- Ah bon, fit Sophie
- Tenez, dit François, dites moi comment est constitué votre mari, mais regardez moi bien d’abord pour faire la comparaison.
Sophie, ne réalisant pas le surréalisme de la situation baissa les yeux et fixant le sexe de François avec attention, réalisa en effet que ce qu’elle avait devant elle différait en effet grandement du seul sexe qu’elle eût jamais vu avant ce jour. François présentait un sexe d’une longueur nettement plus importante que celui de son mari, qu’il était régulier sur toute sa longueur et pendait bien droit.
- Alors ? Lui dit François,
- Eh bien…….. vous êtes nettement plus grand que lui, et beaucoup plus beau, répondit Sophie sans réaliser ce qu’elle disait.
- Ah bon ! Comment cela, expliquez moi !
- Eh bien votre sexe est long et régulier alors que le sien est fin au départ puis va s’épaississant et puis il ne pend pas droit devant comme le vôtre.
- Beaucoup plus long ? Dit François.
- Oh, oui, je dirai un bon tiers en plus.
- Tant que cela ?
- Je pense, oui, a mon avis il n’arrive pas au delà de ce niveau, dit Sophie qui, joignant le geste à la parole indiqua du doigt sur le sexe de François un endroit se situant à peu près au niveau de la collerette du gland.
François saisissant alors la main de Sophie, la lui mit doucement sur son sexe et lui fit refermer les doigts dessus. Sophie totalement déboussolée par la tournure de la conversation sentait sans le réaliser vraiment qu’elle était totalement troublée par cette situation qui néanmoins ne la choquait pas, aussi paradoxal que cela puisse paraître, elle, si prude si angélique. C’est sans réfléchir qu’elle garda dans sa main ce sexe qu’elle sentait tout chaud. Les secondes passèrent et rapidement, elle eut l’impression que ce sexe prenait vie dans sa main, elle le sentit grossir, palpiter et se dresser inexorablement, prenant une dimension qu’elle n’aurait jamais imaginé ce qui la paralysa de stupeur, se demandant quand ce développement allait s’arrêter. Finalement elle vit un sexe qui n’avait aucune commune mesure avec celui de son mari et dont la longueur devait sans doute avoisiner les vingt centimètres, ce qui excédait d’au moins sept à huit centimètres les mensurations de son époux. Tout à son admiration devant ce spectacle, elle ne réalisa pas que pendant ce temps là, François avait mis sa main sur la sienne afin de lui faire effectuer de mouvements d’avant en arrière qui découvrait alternativement un gland luisant. Elle ne réalisa pas non plus qu’ayant suivi le mouvement que lui avait imprimé la main de François, elle avait continué seule le mouvement toujours admirative devant le spectacle qui s’offrait à elle. Elle n’avait pas non plus réalisé l’émoi dans lequel ce qui se passait l’avait plongée, aussi, lorsque François recula à petit pas, elle le suivi, sans toutefois le lâcher et cesser ce qu’elle était en train de faire. Arrivés près du lit vers lequel François les avait lentement entraînés, il la fit asseoir et s’assit à ses cotés, puis il s’allongea sur le dos et laissa Sophie, qui était dans un état second, continuer à le masturber doucement. Elle était absolument fascinée par ce sexe, il faut dire que c’était bien la première fois de sa vie qu’elle avait cette occasion puisque, comme déjà évoqué, ses rapports avec son mari se cantonnaient à le recevoir en elle sans autre initiative, aussi prit elle le temps d’examiner et surtout apprécier le doux contact de la fine peau sous laquelle couraient de nombreuses veines, elle était aussi fascinée par la dimension de ce qu’elle tenait dans sa main qui n’arrivait même pas à faire le tour de ce pieu dont la raideur la remplissait d’admiration. D’autre part elle trouvait extraordinaire le fait que la peau puisse coulisser sur le muscle qu’elle recouvrait et tout aussi passionnant le spectacle du gland dont l’énorme collerette était alternativement caché par le prépuce au fur et à mesure des va et vient que sa main effectuait le long de ce sexe. Elle avait noté aussi que quand elle remontait un peu plus sa main jusqu’à emprisonner le gland, cela tirait évidemment sur la peau du sexe de sorte que les bourses remontaient légèrement. Les bourses, tiens au fait ça non plus elle n’y avait jamais touché ! Elle lâcha un instant le sexe de François, ce qui faute de soutien et compte tenu du fait que celui-ci était allongé sur le dos tomba sur son ventre le bout atteignant le niveau du nombril et saisit délicatement le bourses et c’est avec surprise qu’elle constata que les testicules de la forme d’un gros œuf de pigeon roulaient sous sa main à l’intérieur. Elle les caressa un long moment à la satisfaction manifeste de François, puis reprit en main le sexe qui entre-temps n’avait en rien perdu de sa vigueur
De longues minutes passèrent et Sophie qui commençait à réaliser ce qu’elle faisait, ne s’arrêta pas pour autant et appréciait cette situation, sentant vibrer ce sexe dont la peau si douce roulait sous ses doigts serrés dessus. A un moment, elle sentit le sexe de François se raidir encore plus, puis se mettre a vibrer de spasmes qui le dilatait par à coups et subitement elle vit jaillir du bout du sexe des jets de liquide, ce qui lui arracha un petit cri de surprise, mais ne lui fit toutefois pas relâcher son étreinte mais arrêter son mouvement. Elle fut totalement paralysée par ce qu’elle venait de voir et surtout par la puissance du jet laiteux qui était monté à au moins cinquante centimètres avant de retomber sur François, mais aussi sur le bras de Sophie qui resta stupéfaite devant ce spectacle auquel elle assistait pour la première fois et dont elle était aussi une actrice. Elle était en effet stupéfaite de la puissance du jet, mais aussi de constater que ce liquide, source de vie, de couleur laiteuse s’était échappé de l’extrémité du gland par a coups jusqu’à ce que la source se tarissant, les jets diminuaient de puissance pour ne laisser place qu’à quelques rejets qui sourdaient de l’extrémité du gland glissant lentement le long de celui-ci jusqu’à la main de Sophie qui ne l’avait pas lâché. Elle reprit la masturbation qu’elle avait interrompue sous le coup de la surprise au moment de l’éjaculation et se rendit compte alors que de ce liquide dont les dernières gouttes lui avaient dégoulinées sur la main était visqueux et lui faisait glisser le sexe de François dans la main.
Petit à petit, elle sentit la vigueur de François décroître et n’eut plus dans sa main qu’un sexe presque réduit de moitié et surtout à nouveau flasque et souple. Déçue, elle finit par le lâcher et contempla François qui les yeux mi clos savourait ce moment.
Sophie réalisa subitement le coté irréel de la situation et ce qui venait de se passer, ce qu’elle venait de faire à cet homme qu’elle ne connaissait que depuis le début de l’après midi et que finalement, elle y avait pris grand plaisir.
En fait, c’était bien la première fois qu’elle touchait un sexe d’homme car même avec son mari, qui était le seul homme de sa vie, elle n’avait jamais posé la main sur ses attributs. Elle repassa ainsi dans sa tête ce qu’avait été sa vie sexuelle et pris conscience que celle-ci s’était bornée, malgré tout l’amour qu’elle portait à Arnaud, qu’à de simples rapports.