Un long moment passa ainsi, les deux jeunes femmes ne se rendant pas compte qu’en fait elles étaient en train de s’exciter mutuellement ce qui les amenaient à se tortiller sur leurs sièges et a imperceptiblement ouvrir les jambes ce qui dévoilait leur intimité, ce qui n’échappait pas à François qui pouvait percevoir que leur bas ventre montrait lui semblait il quelques signes d’humidité. Cela eut bien entendu pour conséquence de réveiller la vigueur de François dont sexe avait retrouvé son développement.
Christine émoustillée par le spectacle que lui avaient donné son amie et François une heure auparavant et n’y tenant plus, se leva et sans un mot, faisant face à François le poussa doucement vers un fauteuil et sans autre forme de procès, l’enjamba et descendant sur lui, lui saisit le sexe qui affichait ses quelques 20 centimètres, le guida vers son propre sexe l’inséra légèrement, puis le lâchant puisqu’il était déjà engagé finit de descendre sur François pour s’empaler littéralement. Elle grogna de plaisir, jouissant de l’instant présent, comblée jusqu’au plus profond d’elle-même par ce pieu qui lui labourait le ventre et dont elle savourait chaque centimètre, tant en longueur qu’en largeur. Puis, effectuant des mouvements du bassin d’avant en arrière, elle chercha son plaisir qu’elle atteignit rapidement en poussant de petits gémissements. Elle s’assagit alors et reprit un peu son souffle et c’est alors que de ses bras puissants, François la souleva s’échappant ainsi de son ventre à la grande déception de Christine, mais cette déception fut de courte durée, car en fait François s’étant levé, l’avait entraînée vers le lit où il l’allongea sur le dos, lui ouvrit largement les jambes avant de la pénétrer brutalement jusqu’au plus profond d’elle-même. Il s’activa ainsi de longues minutes, puis se retirant, tourna Christine a plat ventre la tira au bord du lit, lui faisant poser les genoux à terre le reste du corps restant sur le lit offrant ainsi le bas de son dos et d’un geste brusque la pénétra de nouveau violemment avant de s’activer en lui caressant la poitrine d’une main, tandis que le l’autre, il avait trouvé le clitoris qu’il excitait du bout d’un doigt. Christine au sommet de l’extase, n’arrêtait pas de gémir de plaisir. C’est alors que Sophie qui ne perdait pas une miette du spectacle, excitée au possible par ce qu’elle voyait, s’approcha et s’agenouillât afin de regarder cet énorme pieu en train de labourer le ventre de son amie qui n’en pouvait plus de plaisir, Elle constata ainsi combien les lèvres étaient distendues par le passage de ce sexe dont les va et vient lui paraissaient interminables, de plus elle voyait les testicules de François, qui eux aussi étaient bien proportionnés, ballotter dans les bourses et heurter à la fin de chaque pénétration l’entrejambe de Christine. N’y tenant plus, Sophie saisit les bourses de François, ce qui fit sursauter celui-ci tant il ne s’y attendait pas et les pétrit, faisant rouler les testicules dans sa main, arrachant un grognement de plaisir à celui-ci.
François qui se donnait corps et âme à Christine, avait totalement oublié la présence de Sophie et le contact de sa main sur ses attributs, lui rappela sa présence. Se dégageant de Christine, il installa Sophie dans la même position que son amie cote à cote et aussitôt la pénétra s’acharnant dans son ventre tout comme il le faisait quelques instant plus tôt avec Christine, laquelle déçue d’être délaissée, voulut se redresser, mais François la remit dans la même position et quittant Sophie revint dans Christine le temps de quelques aller retour, puis revint dans Sophie. Ce manège dura un long moment pour le plus grand plaisir des deux femmes qui attendaient à tour de rôle impatiemment le moment d’être à nouveau pénétrée. François couvert de sueur s’était mis à haleter, puis se dégageant, allongea Sophie sur le dos, lui ouvrit largement les jambes, puis, saisissant Christine, l’allongea sur son amie, lui ouvrant également largement les jambes, ensuite, s’allongeant lui-même sur le dos de Christine, la pénétra à nouveau et la quittant aussitôt, « descendit » de quelques centimètres vers le sexe de Sophie qui était tout contre celui de son amie, quittant ce deuxième ventre, il remonta aussitôt vers le premier. Ce manège durât encore un long moment pour le plus grand plaisir des deux amies qui gémissaient de plaisir jusqu’à ce que François, épuisé, leur demanda laquelle voulait recevoir sa semence. Sophie lui dit tu n’as qu’à en faire cadeau à Christine, tu m’as déjà comblée hier. François d’un coup de rein pénétra une dernière fois Sophie, puis reprit possession de Christine dont un dernier gémissement fit comprendre à Sophie que ça y était, François avait dispensé sa semence. D’ailleurs, si elle ne l’avait pas compris, le liquide chaud qu’elle sentait venir de l’étage au dessus, à savoir le ventre de Christine, lui aurait fait réaliser que le flot que dispensait François avait bien jailli puisque qu’il dégoulinait du ventre de son amie sur son sexe à elle.
François, littéralement épuisé, se dégageât du ventre de Christine et se laissa lourdement basculer sur le coté, près des deux amies qui aussitôt se positionnèrent de part et d’autre de leur amant qui n’en pouvait plus.
Ils gisaient ainsi tous les trois reprenant leurs esprits. Au bout d’un long moment Sophie se leva pour aller se rafraîchir en se passant le visage sous l’eau et revint vers le lit où Christine et François étaient étalés.
Sophie alla chercher des rafraîchissements pour tout le monde et vint s’allonger au coté de François ; ils restèrent tous trois immobiles et silencieux appréciant ces instants de repos et de silence puis, François leur proposa de retourner se baigner, ce qu’elles acceptèrent d’enthousiasme ayant vraiment besoin de se rafraîchir.
Ils se ruèrent tous trois hors du studio, traversèrent en riant la bande de sable qui les séparaient de l’eau salvatrice et plongèrent avec délice dans cette eau si fraîche qui ramenait ainsi leurs corps à une température qui avait frôlé la limite supérieure durant leurs ébats. Ils jouèrent comme des enfants, heureux.
Après presque une heure passée dans l’eau, ils éprouvèrent le besoin de se sustenter et revinrent dans le studio ou François sortit quelques paquets de biscuits qu’ils dévorèrent tout en étanchant leur soif de quelques verres de jus de fruits bien frais, puis l’après midi touchant à sa fin, Sophie et Christine ramassèrent leurs affaires et dirent au revoir à François, non sans lui avoir promis de revenir dès qu’elles le pourraient.
Sur le chemin du retour vers leurs voitures, Christine demanda à Sophie comment elle avait rencontré François. Sophie lui promit qu’elle lui raconterait cela, mais pour le moment elle n’avait pas le temps car elle tenait absolument à rentrer chez elle, ce qu’elle fit sans tarder afin de ne pas renouveler une arrivée tardive chez elle comme la veille et éviter toute question de la part de Arnaud.
Arrivée la première chez elle, Sophie se précipita sous la douche, elle était en train de se sécher quand elle entendit son mari dans la chambre en train de se changer. Elle sortit de la salle de bain sans avoir revêtu son peignoir de bain et trouva Arnaud en train d’enfiler un vieux jean usé qu’il avait l’habitude de porter à la maison, il tourna la tête et ouvrit des yeux ronds et admiratifs à la vue de son épouse qui, dans le plus simple appareil alla se choisir des dessous.
Arnaud était ébahi car, il avait bien entendu vu son épouse nue en de multiples occasions, en particulier lorsqu’elle prenait sa douche, mais c’était bien la première fois qu’il la voyait se montrer ainsi devant lui avec autant de naturel. Emoustillé par le spectacle enchanteur de ces fesses bien formées dont la fermeté ne faiblissait pas, Arnaud, sentant le désir monter en lui, s’approcha de son épouse qui lui tournait le dos et lui posant les mains sur ses hanches superbement arrondies, se colla contre elle et l’embrassa tendrement dans le cou. Sophie, tout comme une chatte tendit le cou et tout aussi tendrement lova sa tête contre celle de son mari qui, remontant ses mains des hanches de sa femme, emprisonna doucement les seins dont il sentit la pointe se durcir. Tout en gardant une main sur la poitrine de Sophie, Arnaud laissa lentement descendre l’autre main vers le ventre jusqu’à atteindre le pubis encore tout humide de la douche que Sophie venait de prendre. Il sentit Sophie bouger et constata qu’elle avait en fait légèrement modifié son assise et écarté les jambes de sorte qu’il put pousser son avantage jusqu’entre ses jambes. Il la sentit frissonner, nota que sa respiration s’accélérait puis elle se dégagea lui fit face et l’embrassa goulûment tout en lui déboutonnant sa chemise qu’elle enleva. Elle s’attaqua ensuite à la ceinture du pantalon qu’elle dégrafa et fit glisser le long de ses jambes jusqu’à ce qu’il tombe sur ses chevilles. Elle se laissa alors glisser le long de son corps et lorsqu’elle fut agenouillée, elle lui fit alternativement soulever chaque jambe afin de le délivrer de son pantalon qui lui emprisonnait les chevilles. Ce faisant, elle avait donc une vue imprenable sur son bas ventre dont elle ne pouvait ignorer l’excitation puisque son sexe avait depuis un moment déjà adopté une position très horizontale. Elle se releva et repoussant Arnaud jusqu’au lit, elle l’allongea sur le dos l’enjamba, s’accroupit sur lui tout en lui maintenant le sexe verticalement et s’empala littéralement ainsi qu’elle l’avait vu faire quelques heures auparavant par Christine.
Ils restèrent longtemps dans cette position, conjuguant leurs mouvements de hanches afin d’attiser leur plaisir, puis Sophie, épuisée, allongea ses jambes de part et d’autre d’Arnaud et se laissa glisser sur le dos entre les jambes de celui ci, lui offrant une nouvelle vision, celle de son sexe dans lequel était planté celui d’Arnaud.
Lorsqu’elle eut repris son souffle, Arnaud se dégagea, puis vint s’allonger sur Sophie qui gisait les jambes largement ouvertes et la pénétra à nouveau sans aucune difficulté tant elle était humide de plaisir. Rapidement il la sentit à nouveau s’agiter sous ses coups de boutoir, gémissante de plaisir ce qui déclencha chez lui une explosion de plaisir simultané qui inonda le ventre de Sophie.
Il restèrent ensuite immobiles un long moment, l’un dans l’autre jusqu’à ce que Arnaud, épuisé par ce moment de bonheur intense qu’il venait de vivre pour la première fois, perdant sa vigueur s’échappa alors du ventre de Sophie. Il roula alors sur le coté, prit sa femme dans ses bras, ce dont elle profita pour lover sa tête au creux de son épaule, heureuse, comblée.
En 18 ans de vie commune, ils avaient eu maints rapports sexuels, mais c’était vraiment la première fois qu’ils avaient une telle communion, une telle intensité.
Sophie, réalisa que si cela avait pu se produire, ce qu’elle venait de vivre comme expérience avec François avait été le déclic dont ils venaient de bénéficier tous les deux. Elle n’éprouva aucune honte à analyser tout ceci alors que seulement quelques heures avant, elle était dans les bras d’un autre homme auquel elle s’était donnée avec passion, non pas sentimentalement, mais physiquement. Cet homme lui avait fait découvrir un jour plus tôt la jouissance physique et elle réalisa qu’elle y avait pris goût, ce qui l’avait en quelque sorte libérée.
Ils restèrent longtemps allongés sans un mot, récupérant de leurs efforts, puis Sophie se leva et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une nouvelle douche, Arnaud, entendant couler l’eau vint la rejoindre et ils prirent donc leur douche ensemble, ce qui leur arrivait pour la première fois.
Une fois séchés, Sophie, toujours dans le plus simple appareil se précipita vers la cuisine afin d’étancher sa soif, elle fut rejointe par Arnaud qui entre temps avait revêtu un caleçon qu’elle lui ôta aussitôt lui disant qu’il n’avait pas besoin de cela puisqu’ils étaient seuls dans l’appartement.
Ils passèrent la soirée en parfait amoureux, heureux.
A suivre
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