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Sophie (7)

MessagePosté: 14 Mai 2006, 06:09
de ichiro [Crawler]
Sophie accueillit son mari avec passion ce soir la, heureuse qu’elle était de le retrouver, lui-même faisant montre de la même passion, une passion qu’ils découvraient avec bonheur.

Ils préparèrent ensemble le repas dans une complicité qu’ils découvraient, ce qui entraîna quelques crises de rire qu’ils n’avaient jamais connues jusque là ce qui rendit leur repas on ne peut plus joyeux et même la corvée que constituait le fait de débarrasser la table se fit dans une atmosphère de fête.

Sophie qui avait quelques tâches ménagères complémentaires à effectuer rejoignit ensuite son mari au salon et vint s’asseoir ou plutôt se lover contre lui dans le canapé et restèrent ainsi silencieux un long moment, appréciant ces instants qu’ils n’avaient en réalité jamais connus auparavant.

Arnaud finit par rompre le silence :

- Sais tu que depuis hier, je n’arrête pas de penser a ce bonheur intense que tu m’as donné ?
- Mais je ne t’ai rien donné, nous nous sommes donné du bonheur mutuellement.
- Oui, je me suis mal exprimé, je voulais dire que ce que tu m’as fait, tu ne l’avais jamais fait auparavant….et…..
- Et quoi ? tu n’as pas aimé ? Moi en tout cas, j’ai aimé !
- Euh non, ce n’est pas ce que je veux dire….En fait j’ai été surpris de ton initiative et ensuite………
- Ensuite quoi ? tu ne vas pas me dire que tu regrettes ?
- Non, non, pas du tout….mais……..
- Mais quoi ?
- Eh bien……..simplement je me pose la question………
- Mais enfin cesse de tourner autour du pot, dis moi ce qui te tracasse.
- Eh bien voila………euh….pourquoi……..euh…ou plutôt comment…..enfin….qu’est ce qui t’as pris ? On n’avait jamais fait l’amour comme ça !

Sophie sentit le rouge lui monter aux joues et d’un air candide lui répondit :

- Je ne sais pas, tu m’as excitée et lorsque je t’ai enlevé ton pantalon, je me suis retrouvée avec ton sexe devant les yeux et je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai eu envie de le prendre en main et puis cela a été la spirale, mais si cela t’a choqué je ne le ferai plus, mais ce serait dommage, nous avons eu tellement de bonheur.
- Oh non, s’il te plait, ce n’est pas du tout ce que je voulais dire au contraire mais j’essaie de comprendre comment après tout ce temps, cela a pu se produire seulement maintenant.

Sophie sentant la conversation virer sur un plan qui risquait d’entraîner des questions plus gênantes de la part de son mari, tout restant lovée contre lui, laissa descendre sa main vers la ceinture du pantalon de son mari, la défit, dégrafa le pantalon, baissa la glissière de la braguette baissa le caleçon et prenant en main le sexe qui le remplissait dit à Arnaud :

- Tu vois, hier soir, je suis tombée amoureuse de ça !

Arnaud regarda son épouse d’un air interloqué.

- Eh bien regarde comme c’est beau, dit Sophie tout en imprimant un très lent mouvement de va et vient avec sa main, regarde ce magnifique prépuce qui se découvre a chaque va et vient, regarde comme ça vibre de désir, sens comme c’est chaud et vivant.

Arnaud que l’initiative de son épouse avait jeté dans un autre monde n’écoutait plus ce que celle-ci disait, d’autant que Sophie s’était tue, ne pouvant continuer à parler alors qu’elle avait emprisonné ce sexe tout raide dans sa bouche et qu’avec sa tête elle effectuait des mouvements de va et vient, puis s’arrêtait pour sucer simplement le gland goulûment tout en excitant l’extrémité de celui-ci avec la langue tout en lui massant les testicules qu’elle sentait rouler doucement dans sa main, ce qui arracha un grognement de plaisir a Arnaud qu’elle sentait vibrer de plus en plus.

Poursuivant son avantage, elle sortit le gland de sa bouche et descendit le long du sexe en léchant doucement celui-ci. Elle arriva rapidement au niveau des testicules qu’elle se mit a lécher alors qu’en même temps elle avait saisi a pleine main le sexe durci d’Arnaud en lui imprimant de lent mouvements de va et vient, puis elle saisit dans sa bouche un des testicules caressant l’autre d’une main alors que de l’autre main elle continuait a masturber son mari.

Subitement, elle sentit dans sa main que le sexe d’Arnaud se durcissait encore plus et commençait a être saisi de spasmes qui occasionnait une dilatation rapide de celui-ci ; relâchant alors le testicule qu’elle avait dans sa bouche, elle releva la tête pour voir ce qui se passait, juste a temps pour voir le liquide laiteux jaillir du sexe de son mari.

Sophie resta surprise devant ce spectacle décevant qu’elle ne pouvait que comparer avec celui que lui avait procuré François qui projetait sa semence à presque 50 centimètres de hauteur. En effet, au cours de sa vie sexuelle avec Arnaud, elle n’avait jamais eu l’occasion d’admirer une de ses éjaculations puisque qu’a chaque rapport qu’elle avait eu avec son mari l’éjaculation s’était produite dans son ventre.

Les quelques jets de sperme qui avaient jailli à guère plus de 10 ou 15 centimètres étaient en partie retombés dans ses cheveux et sur l’abdomen d’Arnaud, mais elle n’en avait cure et restait le regard fixé sur l’extrémité du gland d’où sourdait encore quelques gouttes laiteuses. Elle s’empressa alors d’envelopper de sa bouche ce gland qui laissait perler le plaisir auquel était parvenu Arnaud et aspirant goulûment elle se rendit compte que cela entraîna une réaction d’excitation supplémentaire de la part de son mari.

Quelques minutes passèrent ainsi et elle sentit que la vigueur d’Arnaud faiblissait et progressivement, elle n’eut plus dans sa bouche qu’un objet mou et flasque dont elle appréciait tout de même l’état.

Reprenant son souffle, elle relâcha son étreinte mais resta la tête sur les cuisses de son mari, contemplant ce sexe qui venait de lui procurer tant de plaisir et le caressa doucement tout en le couvrant de baisers.

Arnaud lui la tête à la renverse se laissait faire

Sophie se surprit à penser que l’avant veille, lorsqu’elle avait pratiqué une fellation à François le jet de sperme avait été beaucoup plus …violent et abondant ! Elle se promit donc de vérifier cela à la prochaine occasion.

Heureux, ils s’assoupirent et lorsque Sophie émergea de ces quelques dizaines de minutes de semi sommeil, lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle se trouva face contre le sexe d’Arnaud. Reprenant aussitôt ses esprits, elle saisit aussitôt dans sa bouche ce sexe provoquant et commença à le sucer, à le faire rouler dans sa bouche avec sa langue. Tout ceci finit par avoir des répercutions et elle sentit cette tige perdre progressivement sa mollesse et se tendre dans sa bouche, ce qui lui permit alors de s’activer avec plus d’énergie puisqu’elle ne risquait plus de le perdre, tendu qu’il était.

Arnaud sortit de son sommeil et stupéfait réalisa que le rêve qu’il était en train de faire s’était transformé en réalité. Constatant que son mari était réveillé, Sophie se dégagea, mais ce ne fut que pour enjamber Arnaud en lui tournant le dos tout en lui maintenant le sexe d’une main afin de le guider vers son orifice et de s’empaler dessus. Humide comme elle l’était, la pénétration s’effectua d’un seul coup dans sa totalité et une fois en place, elle commença à agiter les hanches et saisit une main d’Arnaud qu’elle guida vers le mont de venus de sorte que ses doigts qu’elle guida de la même manière atteignissent le petit bouton caché entre ses lèvres. Arnaud, bon élève continua alors seul à exciter son épouse tandis que celle-ci continuait ses mouvements de hanches jusqu’à ce qu’une explosion de plaisir engendre des spasmes au fond de son ventre, spasmes qui emprisonnaient encore plus Arnaud qui n’y résista pas de sorte qu’il arriva au plaisir au même moment que Sophie.

Ils restèrent ainsi un moment, jusqu’à ce que Arnaud ayant perdu sa vigueur, Sophie le sentit la quitter. Elle revint alors se lover contre lui et ils passèrent un long moment silencieux, l’un contre l’autre à savourer ces instants jusqu’à ce que le téléphone retentisse.

Sophie se leva et alla répondre ; C’était Christine qui lui proposait de l’accompagner dans l’après midi pour aller faire un peu de shopping. Les deux jeunes femmes s’étant mises d’accord, Sophie raccrocha et se revint vers son mari qui, elle s’en rendit compte alors, ne l’avait pas quittée des yeux un instant. Il est vrai qu’elle était totalement nue, tout comme lui d’ailleurs, puisqu’ils n’avaient bien évidemment pas pris le soin ni l’un ni l’autre de se revêtir. Elle vit donc qu’il ne perdait pas une miette du spectacle qu’elle lui offrait, elle se découvrit y prendre un certain plaisir et s’arrêtant devant lui, la laissa profiter du spectacle, suivant le mouvement de ses yeux qui balayaient son corps admirant ses courbes, s’attardant sur sa poitrine dont la pointe avait durci, puis sur ses hanches avant de descendre vers son ventre dont la toison châtain cachait cette fente objet de tout son désir. Elle se mit onduler des hanches écartant légèrement les jambes, elle vit alors que Arnaud ne quittait plus des yeux son bas ventre. Il faut dire que Arnaud qui était resté assis, ou plutôt vautré sur le canapé avait un point de vue remontant sur son épouse et son regard exorbité allait de son bas ventre à la poitrine dont il admirait le doux ballottement dont elle était affectée au fur et à mesure des déhanchements que Sophie effectuait. Son regard finit par se fixer définitivement sur son bas ventre qui oscillait devant ses yeux et dont par moment il apercevait l’intimité suintante de sa semence. Sophie qui prenait un profond plaisir à ce qu’elle faisait car elle découvrait ce pouvoir qu’elle possédait avec son corps, elle découvrait combien un homme, fut il son mari, pouvait être en quelque sorte dominé, excité en jouant devant lui de son corps. Elle vit que Arnaud commençait à retrouver quelque vigueur, mais cette vigueur était mitigée, elle s’amusait de voir ce sexe commencer à enfler, mais sans toutefois aller jusqu’à une érection complète. Se posant la question de savoir si cette « tiédeur » relative avait un rapport avec le fait qu’ils avaient fait l’amour peu de temps auparavant ou bien si Arnaud, qui ne l’avait jamais honorée plusieurs fois d’affilée n’en était tout simplement pas capable physiologiquement. Elle redoubla donc de provocation envers ce malheureux Arnaud dont les yeux signifiaient qu’il n’en pouvait plus d’excitation et de contorsions en poses des plus suggestives, elle finit par descendre progressivement sur les genoux, puis se renversant en arrière tout en ouvrant largement les jambes lui offrant ainsi une vision incomparable sur son entrejambe qui luisait d’humidité, cette humidité étant un mélange de ses propres sécrétions mélangées à la semence qu’il lui avait dispensée. Sophie vit alors son mari se mettre à se masturber avec frénésie. Ce spectacle la ravit, elle n’avait en effet jamais vu un homme se masturber et elle trouva ce spectacle intéressant, d’autant que la vivacité avec laquelle il faisait cela contrastait avec les mouvements qu’elle avait imprimés à François deux jours auparavant. Au fond d’elle-même elle se dit qu’il faudrait qu’elle n’oublie pas ce détail. Arnaud à force de masturbation forcenée était arrivé à un degré d’érection proche de la normale jaillit du canapé dont il n’avait pas bougé durant tout ce temps et se jeta littéralement sur Sophie qu’il pénétra à la hussarde pour s’activer avec frénésie dans son ventre. Au bout de quelques minutes, hors d’haleine, Arnaud se retira sans avoir pu parvenir à ses fins. Ayant récupéré son souffle, il s’excusa tout penaud de n’avoir pas pu finaliser leur rapport, supputant que le peu de temps qui s’était écoulé depuis leur rapport précédent était la cause de cette « panne sèche ». Quelque peu déçue, Sophie ne put s’empêcher de faire la comparaison avec François, qui lui, avait enchaîné deux rapports rapprochés avec le plus grand succès et à sa plus grande satisfaction, elle ! Tout en assurant Arnaud que cela ne revêtait aucune importance, Sophie comprit alors, malgré tout l’amour qu’elle portait à son mari que celui-ci ne lui donnerait réellement jamais totalement satisfaction au plan sexuel. Elle comprit aussi que ce serait donc avec d’autres hommes qu’elle trouverait cet épanouissement sexuel et qu’à 38 ans, il ne fallait plus perdre de temps car elle savait très bien que la beauté et l’attirance qu’une femme peut provoquer chez un homme n’étaient pas éternelles. C’était donc décidé, elle allait donc entrer totalement dans le clan de ses amies, Christine, Brigitte et Monique, grandes croqueuses d’hommes s’il en était. Elle allait donc leur montrer de quoi elle était capable, maintenant qu’elle avait goûté à ce que d’aucuns appellent « le plaisir défendu » ! Il est vrai qu’elle avait pas mal de retard à rattraper en la matière, mais ce qu’elle avait vécu avec François lui laissait augurer de nombreux plaisirs.

A suivre ...