Sophie (8)
Posté: 11 Juil 2006, 06:20
Lorsqu’elle se réveilla, Sophie constata que le soleil était déjà haut dans le ciel et que Arnaud était déjà parti.
Après un petit déjeuner frugal, elle appela Christine et les deux jeunes femmes décidèrent de se retrouver chez Christine.
S’étant douchée et vêtue, Sophie se rendit donc chez son amie où se trouvaient déjà Brigitte et Monique, lesquelles, manifestement avaient été mises au courant par Christine des récents évènements. Elles l’accablèrent donc de questions auxquelles, Sophie répondit avec bonhomie finalement fière pour une fois d’être le centre d’intérêt de ses amies sur ce sujet bien particulier, jusqu’à ce que Brigitte lui posât la question de savoir si, lorsqu’elle avait connu François le premier jour, elle avait eu l’occasion de le sucer !!! Devant l’air ébahi et ahuri de Sophie, Monique et Brigitte, comprirent qu’évidemment la réponse était non ! Christine elle ne dit évidemment rien puisqu’elle avait été témoin de la première de Sophie en la matière.
- Dis moi Sophie, dit Monique, tu n’as pas osé ou quoi ?
- Ben, heu… bredouilla Sophie.
- Allons, tu ne vas pas me dire que tu ne sais pas que cela se fait, dit Monique qui, fine mouche avait parfaitement compris que Sophie était trop candide pour avoir songé que cela puisse se faire.
- Eh bien, heu…. Bredouilla à nouveau Sophie.
- Bon, je vois que vraiment toute ton éducation reste encore à faire dit Monique. Est-ce que l’as au moins masturbé ?
- Oui, dit Sophie avec un sourire ravi, même que j’ai trouvé cela excitant au possible, surtout lorsqu’il a éjaculé.
- Quoi ? dit Monique, c’était la première fois que tu faisais cela à un homme ?
- Euh, oui répondit Sophie.
- Tu n’avais jamais fait cela à Arnaud ?
- Euh, non, répondit Sophie rougissante d’avouer à ses complices que vraiment son expérience en matière sexuelle était donc vraiment limitée.
- Ca alors, dit Monique, mais dis moi qu’est que vous avez fait ton mari et toi depuis toutes ces années ?
Sophie toute honteuse finit par dire à ses amies qu’en effet, sa vie sexuelle s’apparentait en effet plus à un désert et qu’elle avait réalisé cela depuis deux jour, depuis qu’elle avait connu François qui lui avait fait découvrir ce qu’était vraiment l’amour physique, qu’elle avait découvert l’orgasme, qu’elle avait pris un plaisir énorme à ce qu’elle avait vécu depuis deux jours, mais que finalement cela avait été bénéfique puisqu’elle avait aussi depuis éprouvé du plaisir avec son mari. Elle leur dit aussi ce qu’elle avait décidé, à savoir qu’elle était bien décidée à rattraper le temps perdu et qu’elle voulait dorénavant connaître de nombreuses expériences avec d’autres partenaires.
- Tu nous en vois fort aise, dit Brigitte qui n’avait rien dit jusqu’à présent, mais dit toi bien que faire l’amour avec un homme n’est pas tout, certes on y éprouve parfois des plaisirs intenses, mais ce plaisir ne peut être total si tu ne pratiques pas tous les jeux de l’amour et sucer son partenaire fait partie de ces plaisirs.
- Ca je sais, et je dois avouer que j’y ai pris un plaisir intense
- Attends, dit Brigitte ! Tu viens de nous dire que tu n’avais pas sucé François ! Tu te fiches de nous là !
- Pas du tout, tu m’as demandé si je l’avais sucé le premier jour, je t’ai répondu non, mais tu ne m’as pas posé la question pour le deuxième jour, ajouta Sophie avec un large sourire.
- Oh la coquine, dit Brigitte en éclatant de rire, alors comment tu as trouvé cela?
- Très excitant, surtout lorsqu’il a éjaculé dans ma bouche.
- Ah, parce que dès la première fois tu es allée jusqu’au bout ? Eh bien bravo ma chérie, dit Brigitte .Au fait, comment tu as trouvé le goût et la texture ?
- Surprenant, surtout que j’en avais vraiment plein la bouche .Je ne sais pas s’ils sont tous comme ça, mais en tout cas j’ai été surprise par la quantité.
- Oh tu verras, c’est variable de l’un à l’autre. Et puis tu pourras déjà comparer avec Arnaud.
- Oh Arnaud, c’est fait, je l’ai masturbé aussi et je peux te dire que ceux que j’avais déjà ressenti avec mon ventre s’est vérifié, peu de puissance dans le jet et petite quantité.
- Je vois que tu progresse vraiment très vite, dit Brigitte en riant, nous n’avons finalement pas grand’chose à t’apprendre ou te conseiller, sauf en ce qui concerne ce que tu fais avec la semence que tu auras reçue dans la bouche.
- Oh, pas de problème de ce côté-là, répondit Sophie, j’ai tout avalé.
- Eh bien vraiment tu ne perds pas de temps ! Après tout tu as raison,, du moment que l’on a ce liquide déjà en bouche, pourquoi ne pas l’avaler purement et simplement, comme ça, pas besoin de se lever pour aller cracher dans un lavabo.
- Bon, ce n’est pas tout ça, si tu nous présentais ton étalon ? A moins que tu ne sois jalouse et veuille le garder pour toi toute seule.
- Mais non voyons, d’ailleurs Christine en a déjà bien profité, non ? Alors pourquoi pas vous, pas de problème pour moi, mais je ne sais pas comment François va le prendre.
- Allez y sans moi, dit Christine, j’ai un rendez vous avec le professeur principal de ma fille cet après midi, mais si j’ai fini assez tôt, je vous rejoindrai la bas.
Sophie, Brigitte et Monique se retrouvèrent sur le parking du camp naturiste. Comme si elle était une vieille habituée, Sophie prit la tête du groupe et se rendit tout droit sur la plage où, dès son arrivée, elle se mit nue. C’est alors qu’elle savoura une forme de revanche car elle constata que malgré l’assurance dont elles pouvaient faire preuve avec les hommes, Sophie constata que ses amies étaient moins fières au moment de se mettre totalement nues en public. En fait cela ne s’appliquait qu’à Brigitte et Monique car Christine, elle, ayant déjà l’expérience, s’était « mise « en tenue » sans problème et tout comme Sophie, savourait l’instant présent et sans rien dire, observaient ses deux autres amies qui jetaient des coups d’œil inquiets autour d’elles. Finalement, l’une après l’autre, elles se déshabillèrent rapidement et présentèrent ainsi leur corps entièrement dénudé à la vue de tous. Sophie put alors constater que ses amies présentaient une particularité qu’elle avait déjà notée chez d’autres pratiquantes de la plage naturiste, à savoir qu’elles ne présentaient absolument aucune pilosité au niveau du bas ventre, offrant de la sorte une vision totale sur leur intimité.
Brigitte, une petite brune de 33 ans, cheveux courts bouclés, bien faite, présentant des courbes agréables, hanches bien prononcées, plutôt petite mais avec une poitrine qui bien que lourde n’en demeurait pas moins ferme, ne présentant aucune tendance à s’avachir, de sorte que ses mamelons qu’elle avait assez proéminents avaient l’air d’agresser quiconque aurait pu se trouver en face d’elle. Ces mamelons étaient cernés d’une aréole d’un brun très prononcé qui devait se voir de loin. Cette poitrine voluptueuse qu’elle arborait, paraissait quelque peu disproportionnée par rapport à son buste fin, mais la fermeté de ses seins était telle que l’ensemble était on ne peut plus plaisant, d’autant que sa taille fine et son ventre plat participaient à une certaine harmonie qu’aucune pilosité donc ne venait rompre. Lorsqu’elle était debout, on distinguait donc les plis inguinaux à l’emplanture des jambes et du buste, et au milieu de ces plis, on ne pouvait bien évidemment que voir le début de la fente du sexe qu’aune toison n’abritait ni ne cachait de sorte que l’on pouvait donc voir que de celui-ci, au grand étonnement de Sophie, émergeaient les petites lèvres qui formaient une proéminence notable. Cela surprit Sophie dont l’expérience en la matière était évidemment limitée puisqu’elle n’avait jamais eu l’occasion de voir d’autre femme nues en détail et d’aussi près, mais par contre, elle connaissait son propre corps et elle savait que ses petites lèvres ne dépassaient pas des grandes lèvres et ne formaient aucune excroissance comme cela était le cas avec Brigitte.
Monique quant à elle, était plus passe partout, pas vraiment belle, mais loin d’être une déesse non plus, plutôt filiforme, à la limite de la maigreur, une toute petite poitrine dont la particularité était de présenter des aréoles imposantes qui, en exagérant un peu, occupaient la presque totalité des petits seins qui bien évidemment étaient relativement peu affectés par l’attraction terrestre. Tout comme Brigitte, donc, Monique avait le pubis intégralement rasé, ce qui compte tenu de son allure longiligne, lui donnait vraiment l’apparence d’une préadolescente.
L’une et l’autre avaient noté le regard appuyé qu’avait porté Sophie sur leur bas ventre et en avait souri, ce qui la mit un peu dans l’embarras.
- Ca a l’air de te surprendre dit Brigitte.
- Quoi donc dit Sophie, ne s’attendant pas à cette question.
- Allons, ne fais pas l’innocente, tu sais très bien de quoi je parle.
- Eh bien, oui et non, répondit Sophie, ces jours ci, j’avais déjà vu d’autres femmes également rasées, et je me demandais ce qui les avaient poussées à cela et comme je ne pouvais pas leur poser la question, je vais donc vous la poser à vous.
- C’est très simple, répondit Brigitte, c’est un de mes amants qui m’a demandé de le faire, car il trouvait cela bien plus mignon que cette toison que nous avons à cet endroit. En fait, ce n’est même pas moi qui l’ai fait, c’est lui qui m’a enlevé tout cela ajouta t elle en montrant la toison que Sophie arborait. Je dois avouer que j’y ai pris un certain plaisir lorsqu’il m’a fait cela et depuis j’entretiens régulièrement cet état de fait qui d’ailleurs plaît particulièrement aux hommes.
- Et ton mari, qu’est ce qu’il a dit quand il t’a vue comme ça ?
- En fait, il a été surpris car il ne l’a pas vu, mais senti le soir dans le lit, lorsqu’il a commencé à me caresser, du coup, il s’est arrêté, a allumé la lumière et vérifié de visu. Il a trouvé cela adorable ! Mais bien sûr il m’a demandé ce qui m’avait pris. Je ne lui ai bien évidemment pas dit que cela n’était pas mon initiative, mais il a aimé.
- Et toi ? Dit Sophie se tournant vers Monique.
- Exactement la même raison, répondit Monique.
- Ah bon ! Un de tes amant aussi, donc !
- Non, non, dit Monique en riant.
- Je ne comprends pas répondit Sophie, tu me dit que c’est exactement la même raison, et tu me dis que ce n’est pas un de tes amants, je ne comprends plus !
- Parce que c’est le même homme que celui qui a fait ça à Brigitte, répondit elle en éclatant de rire aussitôt imitée par celle-ci. Elle m’avait dit que cet homme était « un bon coup » alors je suis devenue sa maîtresse, moi aussi et dès qu’il m’a proposé de me raser, j’ai aussitôt accepté car Brigitte m’avait dit que ce n’était pas désagréable du tout comme sensation d’une part, et d’autre part que cela excitait les hommes et j’ai pu vérifier que c’est tout à fait vrai. D’autre part, je dois avouer que cela m’a procuré une autre sensation inattendue, une fois rasée, cela donne une impression de fraîcheur à cet endroit qui n’est plus protégé par la toison. Dommage d’ailleurs que cette sensation ne perdure pas car finalement ce n’est pas désagréable du tout.
- C’est tout à fait vrai renchérit Monique en éclatant de rire. Maintenant, lorsque l’on te dit que cela excite les hommes, tu n’as qu’à regarder ceux qui sont en face de nous et qui n’arrêtent pas de nous regarder. C’est tout de même significatif tu ne crois pas ? après tout, nous ne sommes pas les seules à être nues sur cette plage et sans nous considérer comme les plus remarquables de la plage, tu noteras tout de même qu’ils ne nous quittent pas des yeux, tout au moins certaine partie de notre corps.
Sophie tournant la tête, vit alors en effet que deux jeunes hommes qui se trouvaient à quelques mètres d’elles, avaient en effet le regard fixé sur ses amies et plus particulièrement sur leur entrejambe. Elle eut alors le regard attiré vers le bas ventre de ces jeunes hommes dont l’âge ne devait guère excéder les 20 ans et s’aperçut que la vision qu’ils avaient sur les trois amies avait un effet non négligeable sur leur tenue. En d’autre termes, ces jeunes gens commençaient à avoir une érection, mais apparemment ils ne s’en étaient nullement rendu compte polarisés qu’ils étaient sur l’entrejambe des quatre amies, mais plus particulièrement sur celle de Monique et Brigitte qui n’avaient à aucun moment fait quoi que ce soit pour cacher cette partie de leur anatomie. Finalement, les deux jeunes gens réalisèrent qu’ils étaient eux aussi l’objet du regard des trois amies, et prirent aussitôt conscience de leur état, ce qui déclencha aussitôt une réaction simultanée qui consista à les faire rouler instantanément à plat ventre en rougissant et en détournant le regard. Cette réaction somme toute puérile, fit sourire les quatre amies.
- Qu’en penses tu ? dit Monique en se tournant vers Brigitte, tu ne les trouve pas mignons ?
- Tout a fait, répondit aussitôt Brigitte, tu penses à la même chose que moi ?
- Je vois que l’on s’est comprises, comme d’habitude, dit Monique.
- Tout à fait renchérit Brigitte.
Elles entamèrent alors un grand numéro de charme, souriant aux deux jeunes gens tout prenant des poses avantageuses faisant ressortir leurs courbes sans toutefois que cela n’entraînât de réaction particulière chez les garçons qui apparemment se montraient trop timides pour affronter les trois amies. Brigitte prit alors les choses en main et entraînant Monique se leva et se dirigeant vers l’eau, passa tout près des jeunes gens en leur disant que s’ils restaient ainsi trop longtemps ainsi, ils allaient cuire sur place et qu’ils feraient mieux de faire comme elles et d’aller se rafraîchir. Quelque peu interloqués, les jeunes gens les regardèrent s’éloigner vers l’eau et s’étant consultés d’un regard, se levèrent et suivirent les deux amies en courant et se jetèrent littéralement dans l’eau. Au passage Sophie remarqua qu’ils étaient toujours en érection, et c’est probablement pour cacher ou plutôt pour éviter que trop de monde ne se rende compte de cet état qu’ils avaient couru se jeter dans l’eau où ils se retrouvèrent aussitôt en compagnie des deux amies bien entendu les attendaient. Commença alors une séance de jeux effrénés, tous quatre s’amusant comme des gamins sous le regard à la fois amusé et intéressé de Sophie qui ne voyait toujours pas où ses amies voulaient en venir. Elle se rendit compte que les jeunes femmes avaient quelque peu calmé le jeu, les jeunes gens se tenant de plus en plus près d’elles. Ils restèrent ainsi un long moment dans l’eau et finirent par rejoindre le sable chaud de la plage, où ils ne firent que passer, les jeunes gens ayant au passage pris leurs serviettes, qu’ils tenaient devant eux en se séchant la tête et le visage, en suivant Brigitte et Monique qui avaient chacune pris quelque chose dans leur sac et qui se dirigeaient tout droit vers les dunes qui bordaient la plage à quelques dizaines de mètres de là. Ils disparurent tous les quatre dans les dunes sans que cela n’eut attiré l’attention de quiconque, sauf de Sophie bien sûr. Curieuse, celle-ci résista quelques minutes, puis, n’y tenant plus, se leva et suivant les traces de pas dans le sable, s’enfonça dans les dunes. Ayant parcouru plusieurs dunes, elle découvrit, en franchissant le sommet de l’une d’elle, que ce à quoi elle s’attendait de la part de ses amies, se vérifiait. Ne voulant nullement déranger les acteurs du spectacle qu’elle avait aperçu, au passage du sommet de la dune, elle se replia doucement et s’allongea sur le sable afin de jouir du spectacle en question. Elle avait certes raté les préliminaires, qui somme toutes avaient du être très court, mais elle pût néanmoins assister à la pose de préservatifs sur l’anatomie des deux garçons dont, le moins que l’on puisse dire est qu’ils prenaient un grand plaisir à se faire ainsi « vêtir » par Brigitte et Monique. Sophie savait certes que ces objets existaient, mais elle n’en avait jamais vu, et encore moins utilisé, puisque avec son mari il n’en avait jamais été question, mais elle se dit en découvrant la scène, qu’elle avait sûrement été d’une imprudence voire d’une inconscience totale d’avoir fait l’amour avec François sans aucune précaution. Tout à ses pensées, elle n’en suivait pas moins le spectacle et vit qu’une fois « vêtus », les deux garçons basculèrent littéralement Brigitte et Monique qui n’en attendaient pas moins puisque dès qu’elles furent sur le dos, ouvrirent largement les jambes ce dont les garçons profitèrent aussitôt pour les pénétrer et s’activer en elles. Quelques minutes passèrent, puis l’un des garçons se retirant, tapa sur l’épaule de son ami qui aussitôt fit de même et ils changèrent de partenaire, alors que Brigitte et Monique, les jambes toujours largement ouvertes, n’avaient pas bougé en les attendant. Après plusieurs changements, Sophie vit l’un après l’autres les deux garçons secoués de spasmes et cesser de s’agiter. Ils basculèrent rapidement sur le côté reprenant leur souffle tandis que Brigitte et Monique n’avaient, elles, pas bougé si ce n’est qu’elles avaient simplement allongé les jambes, tout en les laissant ouvertes. Rapidement les deux garçons avaient perdu toute vigueur, et Sophie constata que les préservatifs quoique toujours en place sur la virilité des deux garçons, avaient quelque peu glissé de sorte qu’elle put constater que le bout du préservatif était plein de ce liquide blanchâtre dont elle avait déjà pu admirer la nature chez François et Arnaud lorsqu’elle les avait masturbés, sauf que là, celui-ci était emprisonné.
Sophie reprit le chemin de la plage, revint s’allonger sur le sable ou elle attendit ses amies qui d’ailleurs ne tardèrent pas à revenir accompagnées des deux garçons et tous quatre se dirigèrent aussitôt vers l’eau où ils passèrent un long moment à se rafraîchir avant de revenir s’installer près de Sophie qui n’avait toujours pas bougé mais qui au fond d’elle-même se disait qu’après tout, ses amies avaient raison et que ce type de rencontre était une excellent occasion d’assouvir ses besoins ou envies sexuelles. Toue à ses pensées, elle réalisa brusquement que ses amies et les garçons étaient en train de s’asseoir près d’elle.
- Alors Sophie dit Brigitte, tu es en train de rêver on dirait, au fait, je te présente Luc et Alain.
- Enchantée dit Sophie en regardant successivement les deux garçons
- Enchanté aussi répondirent en cœur Luc et Alain.
- Tu semblais bien absorbée dans tes pensées reprit Brigitte, à quoi pensais tu ?
- A vous, répondit Sophie sentant le rouge lui monter au front.
- Comment ça à nous, que veux tu dire ?
- Eh bien à ce que vous faisiez !
- Ce que nous faisions ? Nous sommes allées faire un tour avec ces jeunes gens, quel mal y a-t-il à cela, dit Brigitte avec candeur.
- Allons Brigitte, ne prends pas pour une idiote, d’une part on est suffisamment amies pour que tu ne me racontes pas d’histoires et d’autre part, je vous ai suivis, j’ai vu ce que vous faisiez.
- Ca alors ! On nous a vraiment changé notre Sophie, dit Brigitte, tu te rends compte Monique ? Tu aurais cru ça d’elle ? Décidemment, je crois bien que nous allons avoir une concurrente sérieuse, il va falloir que nous protégions nos hommes, dit elle en riant.
Durant cet échange, les deux garçons étaient restés totalement cois, se demandant manifestement s’ils rêvaient, mais leurs regards n’avaient néanmoins pas quitté Sophie qui manifestement ne leur déplaisait pas du tout, ce qui se traduisait par un des regards on ne peut plus appuyés sur son corps.
Cet échange entre Brigitte et elle, le regard concupiscent des garçons et cette décision qu’elle avait prise de vivre des expériences sexuelles (et pourquoi pas avec ces jeunes inconnus) provoquèrent chez Sophie un élan de chaleur dans son ventre, elle sentit d’ailleurs qu’au fond d’elle-même elle était prête à recevoir la virilité d’un homme, mais elle était quelque peu paralysée ne sachant comment s’y prendre, aussi, elle fut reconnaissante à son amie Brigitte lorsque celle-ci après avoir fouillé dans son sac, lui tendit deux petits étuis en lui disant qu’elle était persuadée que ces jeunes gens, vu l’intérêt manifeste qu’ils semblaient porter à Sophie, se feraient certainement un plaisir de lui prouver qu’il n’y avaient nullement besoin d’un troisième pour remédier à cette situation. Sans hésiter un instant, Sophie saisit les deux étuis, se leva et sans se retourner, se dirigea vers les dunes au sein desquelles elle s’enfonça et, retrouvant l’endroit protégé ou elle avait vu ses amies s’ébattre près d’une heure auparavant. En chemin, elle avait bien entendu été rattrapée par Luc et Alain qui n’en demandaient pas tant et qui le prouvaient par une érection de bon aloi.
Les jeunes gens étalèrent leurs serviettes sur le sable tandis que Sophie, qui n’avait pas lâché les étuis contenant les préservatifs, en ouvrait un et se remémorant ce qu’elle avait vu faire par ses amies une heure auparavant et s’agenouillant pour être à la bonne hauteur, tenta immédiatement « d’habiller » celui qui se prénommait Luc, mais son inexpérience en la matière fit qu’elle n’y arriva pas, ce que voyant, Luc saisit le préservatif et le posa lui-même, ce qui permit à Sophie de bien observer la manœuvre. Dans le même temps, Alain, avait pris le deuxième préservatif et s’en était également revêtu. Sophie s’étant relevée, fut alors prise en sandwich par les deux garçons, le premier l’embrassant avec fougue, tandis que le deuxième collé contre son dos lui pétrit les seins. N’éprouvant nulle autre envie que de satisfaire ce pour quoi elle était venue, Sophie se dégagea et s’allongea sur les serviettes et ouvrit largement les jambes invitant ainsi ces deux jeunes gens. Devant cet « encouragement » Luc le premier, se présenta et s’allongeant sur Sophie commença à la pénétrer. Sophie le reçut avec satisfaction et se cambrant fit que Luc la pénétra totalement. Il s’agita ainsi en elle et subitement ressortit à la plus grande déception de Sophie qui sentait le plaisir monter en elle. La déception fut de coure durée, car en fait Luc, avait laissé la place à Alain qui s’engouffra aussitôt dans Sophie jusqu’au plus profond d’elle-même. Les jeunes gens alternèrent ainsi un certain ombre de fois, Sophie sentit plusieurs fois son plaisir exploser dans son ventre puis elle sentit l’un de ses partenaires secoué de spasmes et s’immobiliser en elle en reprenant son souffle, mais ceci ne dura pas car son deuxième partenaire impatient, avait chassé le premier pour la reprendre, s’enfoncer en elle pour atteindre lui aussi l’extase. Les deux garçons s’étendirent de part et d’autre de Sophie, tous trois reprenant leur souffle. Après quelques instants de récupération, Luc et Alain se levèrent ; Sophie vit alors que compte tenu du fait que les garçons n’étaient plus en érection, leur sexe ne remplissaient bien évidemment plus les préservatifs et qu’ainsi plus de la moitié de la longueur de ceux-ci pendaient lamentablement au bout du sexe et que le bout était rempli de la semence que les garçons avaient émise. S’étant assise pour mieux voir le spectacle qui lui était offert, elle avait bien entendu une vision directe sur les objets de son attention, ce qui d’ailleurs ne semblait nullement gêner les deux garçons qui la laissèrent regarder tout à loisir. Elle put de la sorte constater que le contenu des deux préservatifs n’était nullement comparable en couleur. En effet, à son grand étonnement, elle vit que l’un des garçons avait un sperme dont la couleur laiteuse s’apparentait tout à fait à ce qu’elle avait vu de l’émission de François et Arnaud, l’autre par contre présentait un sperme qui tirait légèrement sur le jaune. Ayant terminé son inspection, Sophie se leva et les garçons, comprenant que l’intermède était terminé, se débarrassèrent des préservatifs et les enterrèrent dans le sable, puis, toujours ans un mot, suivirent Sophie qui avait repris le chemin de la plage où elle retrouva ses amies qui les attendaient.
L’après midi touchant à sa fin, les trois amies décidèrent de rentrer et après avoir dit au revoir aux deux garçons et avoir répondu un « peut être » laconique à la question de savoir si elles comptaient revenir le lendemain.
Dès qu’elles furent toutes les trois, Brigitte et Monique pressèrent Sophie de questions :
- Alors, Sophie, raconte nous, tu as fait l’amour avec les deux ?
- Enfin, Brigitte, tu crois vraiment que je serais allée avec ces charmants jeunes gens pour parler de la pluie et du beau temps ? Bien sûr que j’ai fait l’amour avec eux !
- Vraiment, je n’en reviens pas. Subitement tu passes d’une attitude et d’un comportement plutôt pudibond à un stade ……….disons, on ne peut plus libéré et tu as l’air de trouver cela naturel ! Tu comprends tout de même que nous soyons étonnées, non ?
- Certes, mais ne vous avais je pas dit plus tôt dans l’après midi que j’avais dorénavant décidé de rattraper mon retard, de connaître d’autres partenaires et d’en profiter ? Eh bien là j’ai eu une occasion et je dois avouer avoir pleinement profité des ces instants avec ces deux garçons que tout comme vous je ne connaissais nullement et qui au fond m’ont procuré du plaisir, quoique je trouve que l’utilisation de préservatif enlève beaucoup de sensations et surtout le plaisir de se sentir inondée. Je n’ai fait que profiter des ces garçons tout comme eux se sont certainement dit que j’étais une bonne occasion ! comme cela chacun était content que l’autre (ou les autres) soi(en)t un moyen d’assouvissement d’un désir purement sexuel, sans aucun sentiment. Je leur sais gré aussi de n’avoir pas dit un mot ; Nous étions là pour faire l’amour, c’est tout ! et je suis bien décidée à recommencer avec d’autres dès que l’occasion se présentera. Et vous d’ailleurs, n’est ce pas ce que vous faites ?
- Oui, bien sûr répondit Monique, mais disons que nous, nous n’avons pas connu qu’un seul homme dans notre vie, nous avons une certaine expérience et nous aimons cela !
- Alors, vous vous auriez le droit d’aimer cela et pas moi ? s’esclaffa Sophie.
- Ce n’est pas ce que je veux dire voyons, dit Monique entre deux hoquets de rire, je veux simplement dire que tu as rapidement franchi la frontière, en tout cas, bienvenue dans le club ! et je peux t’assurer que je pense que nous allons faire un quatuor de choc.
- Il faudra que je remercie François de m’avoir découvrir ce que j’ai manqué depuis tant d’années, en plus je l’aime bien, il est vraiment très courtois, plein de prévenance, pas macho pour deux sous, de plus il me semble être un amant formidable, il m’a faite vibrer et c’est donc lui qui m’a fait découvrir tout cela. Vous vous rendez compte, en moins d’une semaine, j’ai connu quatre hommes, j’en ai masturbé deux, François et Arnaud auxquels j’ai également fait une fellation, alors que je n’avais jamais touché un sexe d’homme de ma vie, fait l’amour une bonne dizaine de fois alors qu’avec Arnaud nous n’avions de rapports qu’une fois par semaine au mieux et cela s’apparentait plus à un acte hygiénique sans émotion ni extase que je n’ai finalement découverte réellement qu’avec François. Pour lui, je serai donc disponible quand il voudra, comme il voudra.
- Finalement, l’adage qui dit que l’appétit vient en mangeant se trouve être parfaitement justifié avec toi, dit Brigitte, je suis heureuse de constater que ton approche des hommes a donc sensiblement changé et que à l’inverse de nombreuses femmes, tu ne te comportes plus comme une « victime » en quelque sorte, « victime » à la disposition de ces messieurs pour lesquels nous ne sommes dans la majorité des cas que des objets d’assouvissement de leurs désirs et qu’ils collectionnent. Après tout nous aussi nous pouvons assouvir nos désirs et collectionner ces messieurs sans pour autant tomber dans la nymphomanie et puis tu verras, qu’une fois au lit, ils sont parfois beaucoup moins fiers et arrogants que lorsqu’ils se pavanent lorsqu’ils sont en groupe, se vantant de leurs exploits.
- Tout à fait, renchérit Monique, tu verras qu’il faut parfois vraiment y mettre de la bonne volonté avec certains dont la vigueur laisse à désirer, paralysé qu’ils sont lorsqu’ils se rendent compte qu’en fait ils sont le jouet de nos propres désirs et qu’ils ne sont plus dominateurs. Cela se produit essentiellement avec les hommes un peu mûrs, c'est-à-dire qui ont passé les trente ou trente cinq ans, par contre, avec les jeunes aucun problème, ce sont de vraies machines à forniquer. Ceux là, dès qu’ils savent qu’ils vont faire l’amour, ils deviennent raides comme des pieux et sont des machines à répétition qu’ils faut tempérer, sinon, l’affaire est terminée en moins de deux minutes, au contraire des vieux qui eux prennent le temps surtout qu’ils savent qu’ils n’auront pas de deuxième chance avant un long temps de récupération.
- Qu’est ce que tu entends par « des vieux » ?
- Eh bien des vieux !
- Oui, mais quel âge ?
- Oh, le plus vieux avait soixante trois ans.
- Soixante trois ans ! Tu plaisantes ?
- Pas du tout, répondit Monique avec un large sourire.
- Mais pourquoi tu as fait l’amour avec ce vieux ?
- Oh celui là, c’est un cas spécial.
- Comment ça, celui la, tu fais souvent l’amour avec des vieux ?
- Ca m’arrive, oui, ils sont doux prévenants et attendrissants, mais celui dont je te parle c’était le premier, il y a longtemps !
- Comment ça s’est passé, dit Brigitte, tu ne m’avais pas raconté cette histoire.
- Oh c’était il y a longtemps, j’avais dix huit ou dix neuf ans, mes parents étaient tous les deux absents de la maison et un après midi, un de leur vieux amis était passé pour leur emprunter quelque chose, je l’ai fait entrer et on a discuté un long moment, il était drôle comme tout et très intéressant, il n’a pas arrêté de me faire rire et surtout de me regarder avec un œil qui en disait long mais à aucun moment il n’a eu de parole ou de propos déplacés, mais à un moment il m’a dit avec une certaine tristesse qu’il était dur de vieillir, comme je lui ai demandé pourquoi alors qu’il paraissait tout à fait bien et heureux de vivre, il m’a dit que s’il avait eu trente ou quarante ans de moins il aurait certainement tenté sa chance avec moi, mais qu’à présent il ne pouvait que rêver et m’admirer car il me trouvait absolument charmante.
- Et alors, dit Sophie, c’était très correct de sa part, tu ne vas pas nous dire qu’il t’a sauté dessus ensuite en contradiction avec ce qu’il venait de te dire, non ?
- Pas du tout, au contraire, tout de suite après avoir dit cela, il s’est levé en disant qu’il m’avait suffisamment ennuyée comme cela et qu’il fallait qu’il parte.
- Bon, s’il est parti, tu l’as retrouvé une autre fois alors !
- Attends, laisse moi aller jusqu’au bout, je t’ai pas dit qu’il était parti, j’ai dit qu’il s’était levé pour partir, mais comme il m’avait émue d’une part, et d’autre part comme il était très bien conservé et aussi parce que subitement quand il m’a dit cela j’ai senti le désir monter dans mon ventre ainsi qu’une envie profonde de faire cette expérience.
- Et alors, qu’est ce que tu as fait ?
- Ne sois pas impatiente, j’y arrive. Eh bien je lui ai dit qu’il ne fallait pas qu’il parte. Il m’a demandé pourquoi et en guise de réponse, je me suis déshabillée devant lui.
- Comme ça ? sans rien dire ? D’un seul coup ?
- Oui !
- Et alors ?
- Eh bien il m’a regardé faire en admirant le spectacle.
- Et qu’est ce qu’il a fait ? il t’a sauté dessus ?
- Pas du tout, il n’a pas bougé.
- Bon tu arrêtes de nous faire mariner, continues, qu’est ce qu’il s’est passé après ?
- Comme il ne bougeait pas, c’est moi qui me suis approchée et j’ai commencé à lui défaire son pantalon, mais il m’a arrêtée en me disant qu’il ne pouvait pas, que j’étais la fille de ses amis. Ce à quoi je lui ai dit que j’étais majeure, et que je faisais ce que je voulais. Et finalement il s’est laissé faire et je l’ai complètement déshabillé et nous avons fait l’amour.
- Et c’était bien ?
- Oh oui, il a pris tout son temps, il était très doux, il ne cherchait pas que son propre plaisir, mais aussi à m’en procurer, ce à quoi il est d’ailleurs arrivé et je dois avouer que c’était bien la première fois, puisque tous les autres partenaires que j’avais eu avant étaient des jeunes de mon âge qui prenaient leur plaisir point à la ligne.
- Et il est parti tout de suite après ?
- Non, finalement il est resté on a passé le reste de l’après midi ensemble et a même passé la nuit avec moi, il m’a encore fait l’amour et c’était toujours aussi bien.
- Tu l’as revu après ?
- Oui, de temps en temps, ça me faisait du bien de me retrouver avec un homme doux et tendre et qui savait me procurer du plaisir.
- Ca a duré longtemps ?
- Pas très, non, car nous avons déménagé, quitté la région et je ne l’ai plus jamais revu. Je l’ai regretté d’ailleurs car outre le fait qu’il était très doux, c’était un homme très sincère, il m’a avoué que cela faisait longtemps qu’il n’avait pas pris autant de plaisir avec une femme. Vous pensez bien que moi, du haut de mes dix huit ans et quelques, j’étais fière comme tout qu’un homme me dise cela, surtout un homme âgé ayant sans nul doute pas mal d’expérience. Son seul problème était que ses érections n’étaient pas très vives, ce qui m’avait d’ailleurs étonnée car bien évidemment tous mes autres partenaires étaient des jeunes de mon âge qui étaient raides comme des pieux alors que lui c’était plutôt un peu mou, il fallait donc que je stimule un peu et ce qu’il appréciait particulièrement et lui procurait une érection a peu près correcte, c’était lorsque je lui faisais une fellation. C’est d’ailleurs avec lui que je suis allée jusqu’au bout pour la première fois.
- Que veux tu dire par jusqu’au bout dit Sophie.
- Eh bien jusqu'à ce qu’il éjacule dans ma bouche voyons !
- Et tu fais ça avec tous tes partenaires. Dit Sophie.
- Sophie, vraiment tu nous étonneras toujours, ne sois pas stupide, voyons, tu sais tout de même qu’il faut être prudentes avec toutes les maladies sexuellement transmissibles, et quand on met des préservatifs aux hommes que l’on ne connaît pas ou dont on n’est pas sures, la fellation avec éjaculation dans la bouche n’a aucun sens, par contre, ceux que tu connais et dont tu es sure, tu peux aller jusqu’au bout.
Tout en devisant de la sorte, elles étaient arrivées devant le domicile de Sophie qui les quitta donc non sans que les trois amies soient convenues de se téléphoner dès le lendemain afin de convenir de ce qu’elles feraient.
Rentrée chez elle Sophie prit sa douche et alla préparer le repas du soir en attendant son mari.
A suivre....
Piranha
Après un petit déjeuner frugal, elle appela Christine et les deux jeunes femmes décidèrent de se retrouver chez Christine.
S’étant douchée et vêtue, Sophie se rendit donc chez son amie où se trouvaient déjà Brigitte et Monique, lesquelles, manifestement avaient été mises au courant par Christine des récents évènements. Elles l’accablèrent donc de questions auxquelles, Sophie répondit avec bonhomie finalement fière pour une fois d’être le centre d’intérêt de ses amies sur ce sujet bien particulier, jusqu’à ce que Brigitte lui posât la question de savoir si, lorsqu’elle avait connu François le premier jour, elle avait eu l’occasion de le sucer !!! Devant l’air ébahi et ahuri de Sophie, Monique et Brigitte, comprirent qu’évidemment la réponse était non ! Christine elle ne dit évidemment rien puisqu’elle avait été témoin de la première de Sophie en la matière.
- Dis moi Sophie, dit Monique, tu n’as pas osé ou quoi ?
- Ben, heu… bredouilla Sophie.
- Allons, tu ne vas pas me dire que tu ne sais pas que cela se fait, dit Monique qui, fine mouche avait parfaitement compris que Sophie était trop candide pour avoir songé que cela puisse se faire.
- Eh bien, heu…. Bredouilla à nouveau Sophie.
- Bon, je vois que vraiment toute ton éducation reste encore à faire dit Monique. Est-ce que l’as au moins masturbé ?
- Oui, dit Sophie avec un sourire ravi, même que j’ai trouvé cela excitant au possible, surtout lorsqu’il a éjaculé.
- Quoi ? dit Monique, c’était la première fois que tu faisais cela à un homme ?
- Euh, oui répondit Sophie.
- Tu n’avais jamais fait cela à Arnaud ?
- Euh, non, répondit Sophie rougissante d’avouer à ses complices que vraiment son expérience en matière sexuelle était donc vraiment limitée.
- Ca alors, dit Monique, mais dis moi qu’est que vous avez fait ton mari et toi depuis toutes ces années ?
Sophie toute honteuse finit par dire à ses amies qu’en effet, sa vie sexuelle s’apparentait en effet plus à un désert et qu’elle avait réalisé cela depuis deux jour, depuis qu’elle avait connu François qui lui avait fait découvrir ce qu’était vraiment l’amour physique, qu’elle avait découvert l’orgasme, qu’elle avait pris un plaisir énorme à ce qu’elle avait vécu depuis deux jours, mais que finalement cela avait été bénéfique puisqu’elle avait aussi depuis éprouvé du plaisir avec son mari. Elle leur dit aussi ce qu’elle avait décidé, à savoir qu’elle était bien décidée à rattraper le temps perdu et qu’elle voulait dorénavant connaître de nombreuses expériences avec d’autres partenaires.
- Tu nous en vois fort aise, dit Brigitte qui n’avait rien dit jusqu’à présent, mais dit toi bien que faire l’amour avec un homme n’est pas tout, certes on y éprouve parfois des plaisirs intenses, mais ce plaisir ne peut être total si tu ne pratiques pas tous les jeux de l’amour et sucer son partenaire fait partie de ces plaisirs.
- Ca je sais, et je dois avouer que j’y ai pris un plaisir intense
- Attends, dit Brigitte ! Tu viens de nous dire que tu n’avais pas sucé François ! Tu te fiches de nous là !
- Pas du tout, tu m’as demandé si je l’avais sucé le premier jour, je t’ai répondu non, mais tu ne m’as pas posé la question pour le deuxième jour, ajouta Sophie avec un large sourire.
- Oh la coquine, dit Brigitte en éclatant de rire, alors comment tu as trouvé cela?
- Très excitant, surtout lorsqu’il a éjaculé dans ma bouche.
- Ah, parce que dès la première fois tu es allée jusqu’au bout ? Eh bien bravo ma chérie, dit Brigitte .Au fait, comment tu as trouvé le goût et la texture ?
- Surprenant, surtout que j’en avais vraiment plein la bouche .Je ne sais pas s’ils sont tous comme ça, mais en tout cas j’ai été surprise par la quantité.
- Oh tu verras, c’est variable de l’un à l’autre. Et puis tu pourras déjà comparer avec Arnaud.
- Oh Arnaud, c’est fait, je l’ai masturbé aussi et je peux te dire que ceux que j’avais déjà ressenti avec mon ventre s’est vérifié, peu de puissance dans le jet et petite quantité.
- Je vois que tu progresse vraiment très vite, dit Brigitte en riant, nous n’avons finalement pas grand’chose à t’apprendre ou te conseiller, sauf en ce qui concerne ce que tu fais avec la semence que tu auras reçue dans la bouche.
- Oh, pas de problème de ce côté-là, répondit Sophie, j’ai tout avalé.
- Eh bien vraiment tu ne perds pas de temps ! Après tout tu as raison,, du moment que l’on a ce liquide déjà en bouche, pourquoi ne pas l’avaler purement et simplement, comme ça, pas besoin de se lever pour aller cracher dans un lavabo.
- Bon, ce n’est pas tout ça, si tu nous présentais ton étalon ? A moins que tu ne sois jalouse et veuille le garder pour toi toute seule.
- Mais non voyons, d’ailleurs Christine en a déjà bien profité, non ? Alors pourquoi pas vous, pas de problème pour moi, mais je ne sais pas comment François va le prendre.
- Allez y sans moi, dit Christine, j’ai un rendez vous avec le professeur principal de ma fille cet après midi, mais si j’ai fini assez tôt, je vous rejoindrai la bas.
Sophie, Brigitte et Monique se retrouvèrent sur le parking du camp naturiste. Comme si elle était une vieille habituée, Sophie prit la tête du groupe et se rendit tout droit sur la plage où, dès son arrivée, elle se mit nue. C’est alors qu’elle savoura une forme de revanche car elle constata que malgré l’assurance dont elles pouvaient faire preuve avec les hommes, Sophie constata que ses amies étaient moins fières au moment de se mettre totalement nues en public. En fait cela ne s’appliquait qu’à Brigitte et Monique car Christine, elle, ayant déjà l’expérience, s’était « mise « en tenue » sans problème et tout comme Sophie, savourait l’instant présent et sans rien dire, observaient ses deux autres amies qui jetaient des coups d’œil inquiets autour d’elles. Finalement, l’une après l’autre, elles se déshabillèrent rapidement et présentèrent ainsi leur corps entièrement dénudé à la vue de tous. Sophie put alors constater que ses amies présentaient une particularité qu’elle avait déjà notée chez d’autres pratiquantes de la plage naturiste, à savoir qu’elles ne présentaient absolument aucune pilosité au niveau du bas ventre, offrant de la sorte une vision totale sur leur intimité.
Brigitte, une petite brune de 33 ans, cheveux courts bouclés, bien faite, présentant des courbes agréables, hanches bien prononcées, plutôt petite mais avec une poitrine qui bien que lourde n’en demeurait pas moins ferme, ne présentant aucune tendance à s’avachir, de sorte que ses mamelons qu’elle avait assez proéminents avaient l’air d’agresser quiconque aurait pu se trouver en face d’elle. Ces mamelons étaient cernés d’une aréole d’un brun très prononcé qui devait se voir de loin. Cette poitrine voluptueuse qu’elle arborait, paraissait quelque peu disproportionnée par rapport à son buste fin, mais la fermeté de ses seins était telle que l’ensemble était on ne peut plus plaisant, d’autant que sa taille fine et son ventre plat participaient à une certaine harmonie qu’aucune pilosité donc ne venait rompre. Lorsqu’elle était debout, on distinguait donc les plis inguinaux à l’emplanture des jambes et du buste, et au milieu de ces plis, on ne pouvait bien évidemment que voir le début de la fente du sexe qu’aune toison n’abritait ni ne cachait de sorte que l’on pouvait donc voir que de celui-ci, au grand étonnement de Sophie, émergeaient les petites lèvres qui formaient une proéminence notable. Cela surprit Sophie dont l’expérience en la matière était évidemment limitée puisqu’elle n’avait jamais eu l’occasion de voir d’autre femme nues en détail et d’aussi près, mais par contre, elle connaissait son propre corps et elle savait que ses petites lèvres ne dépassaient pas des grandes lèvres et ne formaient aucune excroissance comme cela était le cas avec Brigitte.
Monique quant à elle, était plus passe partout, pas vraiment belle, mais loin d’être une déesse non plus, plutôt filiforme, à la limite de la maigreur, une toute petite poitrine dont la particularité était de présenter des aréoles imposantes qui, en exagérant un peu, occupaient la presque totalité des petits seins qui bien évidemment étaient relativement peu affectés par l’attraction terrestre. Tout comme Brigitte, donc, Monique avait le pubis intégralement rasé, ce qui compte tenu de son allure longiligne, lui donnait vraiment l’apparence d’une préadolescente.
L’une et l’autre avaient noté le regard appuyé qu’avait porté Sophie sur leur bas ventre et en avait souri, ce qui la mit un peu dans l’embarras.
- Ca a l’air de te surprendre dit Brigitte.
- Quoi donc dit Sophie, ne s’attendant pas à cette question.
- Allons, ne fais pas l’innocente, tu sais très bien de quoi je parle.
- Eh bien, oui et non, répondit Sophie, ces jours ci, j’avais déjà vu d’autres femmes également rasées, et je me demandais ce qui les avaient poussées à cela et comme je ne pouvais pas leur poser la question, je vais donc vous la poser à vous.
- C’est très simple, répondit Brigitte, c’est un de mes amants qui m’a demandé de le faire, car il trouvait cela bien plus mignon que cette toison que nous avons à cet endroit. En fait, ce n’est même pas moi qui l’ai fait, c’est lui qui m’a enlevé tout cela ajouta t elle en montrant la toison que Sophie arborait. Je dois avouer que j’y ai pris un certain plaisir lorsqu’il m’a fait cela et depuis j’entretiens régulièrement cet état de fait qui d’ailleurs plaît particulièrement aux hommes.
- Et ton mari, qu’est ce qu’il a dit quand il t’a vue comme ça ?
- En fait, il a été surpris car il ne l’a pas vu, mais senti le soir dans le lit, lorsqu’il a commencé à me caresser, du coup, il s’est arrêté, a allumé la lumière et vérifié de visu. Il a trouvé cela adorable ! Mais bien sûr il m’a demandé ce qui m’avait pris. Je ne lui ai bien évidemment pas dit que cela n’était pas mon initiative, mais il a aimé.
- Et toi ? Dit Sophie se tournant vers Monique.
- Exactement la même raison, répondit Monique.
- Ah bon ! Un de tes amant aussi, donc !
- Non, non, dit Monique en riant.
- Je ne comprends pas répondit Sophie, tu me dit que c’est exactement la même raison, et tu me dis que ce n’est pas un de tes amants, je ne comprends plus !
- Parce que c’est le même homme que celui qui a fait ça à Brigitte, répondit elle en éclatant de rire aussitôt imitée par celle-ci. Elle m’avait dit que cet homme était « un bon coup » alors je suis devenue sa maîtresse, moi aussi et dès qu’il m’a proposé de me raser, j’ai aussitôt accepté car Brigitte m’avait dit que ce n’était pas désagréable du tout comme sensation d’une part, et d’autre part que cela excitait les hommes et j’ai pu vérifier que c’est tout à fait vrai. D’autre part, je dois avouer que cela m’a procuré une autre sensation inattendue, une fois rasée, cela donne une impression de fraîcheur à cet endroit qui n’est plus protégé par la toison. Dommage d’ailleurs que cette sensation ne perdure pas car finalement ce n’est pas désagréable du tout.
- C’est tout à fait vrai renchérit Monique en éclatant de rire. Maintenant, lorsque l’on te dit que cela excite les hommes, tu n’as qu’à regarder ceux qui sont en face de nous et qui n’arrêtent pas de nous regarder. C’est tout de même significatif tu ne crois pas ? après tout, nous ne sommes pas les seules à être nues sur cette plage et sans nous considérer comme les plus remarquables de la plage, tu noteras tout de même qu’ils ne nous quittent pas des yeux, tout au moins certaine partie de notre corps.
Sophie tournant la tête, vit alors en effet que deux jeunes hommes qui se trouvaient à quelques mètres d’elles, avaient en effet le regard fixé sur ses amies et plus particulièrement sur leur entrejambe. Elle eut alors le regard attiré vers le bas ventre de ces jeunes hommes dont l’âge ne devait guère excéder les 20 ans et s’aperçut que la vision qu’ils avaient sur les trois amies avait un effet non négligeable sur leur tenue. En d’autre termes, ces jeunes gens commençaient à avoir une érection, mais apparemment ils ne s’en étaient nullement rendu compte polarisés qu’ils étaient sur l’entrejambe des quatre amies, mais plus particulièrement sur celle de Monique et Brigitte qui n’avaient à aucun moment fait quoi que ce soit pour cacher cette partie de leur anatomie. Finalement, les deux jeunes gens réalisèrent qu’ils étaient eux aussi l’objet du regard des trois amies, et prirent aussitôt conscience de leur état, ce qui déclencha aussitôt une réaction simultanée qui consista à les faire rouler instantanément à plat ventre en rougissant et en détournant le regard. Cette réaction somme toute puérile, fit sourire les quatre amies.
- Qu’en penses tu ? dit Monique en se tournant vers Brigitte, tu ne les trouve pas mignons ?
- Tout a fait, répondit aussitôt Brigitte, tu penses à la même chose que moi ?
- Je vois que l’on s’est comprises, comme d’habitude, dit Monique.
- Tout à fait renchérit Brigitte.
Elles entamèrent alors un grand numéro de charme, souriant aux deux jeunes gens tout prenant des poses avantageuses faisant ressortir leurs courbes sans toutefois que cela n’entraînât de réaction particulière chez les garçons qui apparemment se montraient trop timides pour affronter les trois amies. Brigitte prit alors les choses en main et entraînant Monique se leva et se dirigeant vers l’eau, passa tout près des jeunes gens en leur disant que s’ils restaient ainsi trop longtemps ainsi, ils allaient cuire sur place et qu’ils feraient mieux de faire comme elles et d’aller se rafraîchir. Quelque peu interloqués, les jeunes gens les regardèrent s’éloigner vers l’eau et s’étant consultés d’un regard, se levèrent et suivirent les deux amies en courant et se jetèrent littéralement dans l’eau. Au passage Sophie remarqua qu’ils étaient toujours en érection, et c’est probablement pour cacher ou plutôt pour éviter que trop de monde ne se rende compte de cet état qu’ils avaient couru se jeter dans l’eau où ils se retrouvèrent aussitôt en compagnie des deux amies bien entendu les attendaient. Commença alors une séance de jeux effrénés, tous quatre s’amusant comme des gamins sous le regard à la fois amusé et intéressé de Sophie qui ne voyait toujours pas où ses amies voulaient en venir. Elle se rendit compte que les jeunes femmes avaient quelque peu calmé le jeu, les jeunes gens se tenant de plus en plus près d’elles. Ils restèrent ainsi un long moment dans l’eau et finirent par rejoindre le sable chaud de la plage, où ils ne firent que passer, les jeunes gens ayant au passage pris leurs serviettes, qu’ils tenaient devant eux en se séchant la tête et le visage, en suivant Brigitte et Monique qui avaient chacune pris quelque chose dans leur sac et qui se dirigeaient tout droit vers les dunes qui bordaient la plage à quelques dizaines de mètres de là. Ils disparurent tous les quatre dans les dunes sans que cela n’eut attiré l’attention de quiconque, sauf de Sophie bien sûr. Curieuse, celle-ci résista quelques minutes, puis, n’y tenant plus, se leva et suivant les traces de pas dans le sable, s’enfonça dans les dunes. Ayant parcouru plusieurs dunes, elle découvrit, en franchissant le sommet de l’une d’elle, que ce à quoi elle s’attendait de la part de ses amies, se vérifiait. Ne voulant nullement déranger les acteurs du spectacle qu’elle avait aperçu, au passage du sommet de la dune, elle se replia doucement et s’allongea sur le sable afin de jouir du spectacle en question. Elle avait certes raté les préliminaires, qui somme toutes avaient du être très court, mais elle pût néanmoins assister à la pose de préservatifs sur l’anatomie des deux garçons dont, le moins que l’on puisse dire est qu’ils prenaient un grand plaisir à se faire ainsi « vêtir » par Brigitte et Monique. Sophie savait certes que ces objets existaient, mais elle n’en avait jamais vu, et encore moins utilisé, puisque avec son mari il n’en avait jamais été question, mais elle se dit en découvrant la scène, qu’elle avait sûrement été d’une imprudence voire d’une inconscience totale d’avoir fait l’amour avec François sans aucune précaution. Tout à ses pensées, elle n’en suivait pas moins le spectacle et vit qu’une fois « vêtus », les deux garçons basculèrent littéralement Brigitte et Monique qui n’en attendaient pas moins puisque dès qu’elles furent sur le dos, ouvrirent largement les jambes ce dont les garçons profitèrent aussitôt pour les pénétrer et s’activer en elles. Quelques minutes passèrent, puis l’un des garçons se retirant, tapa sur l’épaule de son ami qui aussitôt fit de même et ils changèrent de partenaire, alors que Brigitte et Monique, les jambes toujours largement ouvertes, n’avaient pas bougé en les attendant. Après plusieurs changements, Sophie vit l’un après l’autres les deux garçons secoués de spasmes et cesser de s’agiter. Ils basculèrent rapidement sur le côté reprenant leur souffle tandis que Brigitte et Monique n’avaient, elles, pas bougé si ce n’est qu’elles avaient simplement allongé les jambes, tout en les laissant ouvertes. Rapidement les deux garçons avaient perdu toute vigueur, et Sophie constata que les préservatifs quoique toujours en place sur la virilité des deux garçons, avaient quelque peu glissé de sorte qu’elle put constater que le bout du préservatif était plein de ce liquide blanchâtre dont elle avait déjà pu admirer la nature chez François et Arnaud lorsqu’elle les avait masturbés, sauf que là, celui-ci était emprisonné.
Sophie reprit le chemin de la plage, revint s’allonger sur le sable ou elle attendit ses amies qui d’ailleurs ne tardèrent pas à revenir accompagnées des deux garçons et tous quatre se dirigèrent aussitôt vers l’eau où ils passèrent un long moment à se rafraîchir avant de revenir s’installer près de Sophie qui n’avait toujours pas bougé mais qui au fond d’elle-même se disait qu’après tout, ses amies avaient raison et que ce type de rencontre était une excellent occasion d’assouvir ses besoins ou envies sexuelles. Toue à ses pensées, elle réalisa brusquement que ses amies et les garçons étaient en train de s’asseoir près d’elle.
- Alors Sophie dit Brigitte, tu es en train de rêver on dirait, au fait, je te présente Luc et Alain.
- Enchantée dit Sophie en regardant successivement les deux garçons
- Enchanté aussi répondirent en cœur Luc et Alain.
- Tu semblais bien absorbée dans tes pensées reprit Brigitte, à quoi pensais tu ?
- A vous, répondit Sophie sentant le rouge lui monter au front.
- Comment ça à nous, que veux tu dire ?
- Eh bien à ce que vous faisiez !
- Ce que nous faisions ? Nous sommes allées faire un tour avec ces jeunes gens, quel mal y a-t-il à cela, dit Brigitte avec candeur.
- Allons Brigitte, ne prends pas pour une idiote, d’une part on est suffisamment amies pour que tu ne me racontes pas d’histoires et d’autre part, je vous ai suivis, j’ai vu ce que vous faisiez.
- Ca alors ! On nous a vraiment changé notre Sophie, dit Brigitte, tu te rends compte Monique ? Tu aurais cru ça d’elle ? Décidemment, je crois bien que nous allons avoir une concurrente sérieuse, il va falloir que nous protégions nos hommes, dit elle en riant.
Durant cet échange, les deux garçons étaient restés totalement cois, se demandant manifestement s’ils rêvaient, mais leurs regards n’avaient néanmoins pas quitté Sophie qui manifestement ne leur déplaisait pas du tout, ce qui se traduisait par un des regards on ne peut plus appuyés sur son corps.
Cet échange entre Brigitte et elle, le regard concupiscent des garçons et cette décision qu’elle avait prise de vivre des expériences sexuelles (et pourquoi pas avec ces jeunes inconnus) provoquèrent chez Sophie un élan de chaleur dans son ventre, elle sentit d’ailleurs qu’au fond d’elle-même elle était prête à recevoir la virilité d’un homme, mais elle était quelque peu paralysée ne sachant comment s’y prendre, aussi, elle fut reconnaissante à son amie Brigitte lorsque celle-ci après avoir fouillé dans son sac, lui tendit deux petits étuis en lui disant qu’elle était persuadée que ces jeunes gens, vu l’intérêt manifeste qu’ils semblaient porter à Sophie, se feraient certainement un plaisir de lui prouver qu’il n’y avaient nullement besoin d’un troisième pour remédier à cette situation. Sans hésiter un instant, Sophie saisit les deux étuis, se leva et sans se retourner, se dirigea vers les dunes au sein desquelles elle s’enfonça et, retrouvant l’endroit protégé ou elle avait vu ses amies s’ébattre près d’une heure auparavant. En chemin, elle avait bien entendu été rattrapée par Luc et Alain qui n’en demandaient pas tant et qui le prouvaient par une érection de bon aloi.
Les jeunes gens étalèrent leurs serviettes sur le sable tandis que Sophie, qui n’avait pas lâché les étuis contenant les préservatifs, en ouvrait un et se remémorant ce qu’elle avait vu faire par ses amies une heure auparavant et s’agenouillant pour être à la bonne hauteur, tenta immédiatement « d’habiller » celui qui se prénommait Luc, mais son inexpérience en la matière fit qu’elle n’y arriva pas, ce que voyant, Luc saisit le préservatif et le posa lui-même, ce qui permit à Sophie de bien observer la manœuvre. Dans le même temps, Alain, avait pris le deuxième préservatif et s’en était également revêtu. Sophie s’étant relevée, fut alors prise en sandwich par les deux garçons, le premier l’embrassant avec fougue, tandis que le deuxième collé contre son dos lui pétrit les seins. N’éprouvant nulle autre envie que de satisfaire ce pour quoi elle était venue, Sophie se dégagea et s’allongea sur les serviettes et ouvrit largement les jambes invitant ainsi ces deux jeunes gens. Devant cet « encouragement » Luc le premier, se présenta et s’allongeant sur Sophie commença à la pénétrer. Sophie le reçut avec satisfaction et se cambrant fit que Luc la pénétra totalement. Il s’agita ainsi en elle et subitement ressortit à la plus grande déception de Sophie qui sentait le plaisir monter en elle. La déception fut de coure durée, car en fait Luc, avait laissé la place à Alain qui s’engouffra aussitôt dans Sophie jusqu’au plus profond d’elle-même. Les jeunes gens alternèrent ainsi un certain ombre de fois, Sophie sentit plusieurs fois son plaisir exploser dans son ventre puis elle sentit l’un de ses partenaires secoué de spasmes et s’immobiliser en elle en reprenant son souffle, mais ceci ne dura pas car son deuxième partenaire impatient, avait chassé le premier pour la reprendre, s’enfoncer en elle pour atteindre lui aussi l’extase. Les deux garçons s’étendirent de part et d’autre de Sophie, tous trois reprenant leur souffle. Après quelques instants de récupération, Luc et Alain se levèrent ; Sophie vit alors que compte tenu du fait que les garçons n’étaient plus en érection, leur sexe ne remplissaient bien évidemment plus les préservatifs et qu’ainsi plus de la moitié de la longueur de ceux-ci pendaient lamentablement au bout du sexe et que le bout était rempli de la semence que les garçons avaient émise. S’étant assise pour mieux voir le spectacle qui lui était offert, elle avait bien entendu une vision directe sur les objets de son attention, ce qui d’ailleurs ne semblait nullement gêner les deux garçons qui la laissèrent regarder tout à loisir. Elle put de la sorte constater que le contenu des deux préservatifs n’était nullement comparable en couleur. En effet, à son grand étonnement, elle vit que l’un des garçons avait un sperme dont la couleur laiteuse s’apparentait tout à fait à ce qu’elle avait vu de l’émission de François et Arnaud, l’autre par contre présentait un sperme qui tirait légèrement sur le jaune. Ayant terminé son inspection, Sophie se leva et les garçons, comprenant que l’intermède était terminé, se débarrassèrent des préservatifs et les enterrèrent dans le sable, puis, toujours ans un mot, suivirent Sophie qui avait repris le chemin de la plage où elle retrouva ses amies qui les attendaient.
L’après midi touchant à sa fin, les trois amies décidèrent de rentrer et après avoir dit au revoir aux deux garçons et avoir répondu un « peut être » laconique à la question de savoir si elles comptaient revenir le lendemain.
Dès qu’elles furent toutes les trois, Brigitte et Monique pressèrent Sophie de questions :
- Alors, Sophie, raconte nous, tu as fait l’amour avec les deux ?
- Enfin, Brigitte, tu crois vraiment que je serais allée avec ces charmants jeunes gens pour parler de la pluie et du beau temps ? Bien sûr que j’ai fait l’amour avec eux !
- Vraiment, je n’en reviens pas. Subitement tu passes d’une attitude et d’un comportement plutôt pudibond à un stade ……….disons, on ne peut plus libéré et tu as l’air de trouver cela naturel ! Tu comprends tout de même que nous soyons étonnées, non ?
- Certes, mais ne vous avais je pas dit plus tôt dans l’après midi que j’avais dorénavant décidé de rattraper mon retard, de connaître d’autres partenaires et d’en profiter ? Eh bien là j’ai eu une occasion et je dois avouer avoir pleinement profité des ces instants avec ces deux garçons que tout comme vous je ne connaissais nullement et qui au fond m’ont procuré du plaisir, quoique je trouve que l’utilisation de préservatif enlève beaucoup de sensations et surtout le plaisir de se sentir inondée. Je n’ai fait que profiter des ces garçons tout comme eux se sont certainement dit que j’étais une bonne occasion ! comme cela chacun était content que l’autre (ou les autres) soi(en)t un moyen d’assouvissement d’un désir purement sexuel, sans aucun sentiment. Je leur sais gré aussi de n’avoir pas dit un mot ; Nous étions là pour faire l’amour, c’est tout ! et je suis bien décidée à recommencer avec d’autres dès que l’occasion se présentera. Et vous d’ailleurs, n’est ce pas ce que vous faites ?
- Oui, bien sûr répondit Monique, mais disons que nous, nous n’avons pas connu qu’un seul homme dans notre vie, nous avons une certaine expérience et nous aimons cela !
- Alors, vous vous auriez le droit d’aimer cela et pas moi ? s’esclaffa Sophie.
- Ce n’est pas ce que je veux dire voyons, dit Monique entre deux hoquets de rire, je veux simplement dire que tu as rapidement franchi la frontière, en tout cas, bienvenue dans le club ! et je peux t’assurer que je pense que nous allons faire un quatuor de choc.
- Il faudra que je remercie François de m’avoir découvrir ce que j’ai manqué depuis tant d’années, en plus je l’aime bien, il est vraiment très courtois, plein de prévenance, pas macho pour deux sous, de plus il me semble être un amant formidable, il m’a faite vibrer et c’est donc lui qui m’a fait découvrir tout cela. Vous vous rendez compte, en moins d’une semaine, j’ai connu quatre hommes, j’en ai masturbé deux, François et Arnaud auxquels j’ai également fait une fellation, alors que je n’avais jamais touché un sexe d’homme de ma vie, fait l’amour une bonne dizaine de fois alors qu’avec Arnaud nous n’avions de rapports qu’une fois par semaine au mieux et cela s’apparentait plus à un acte hygiénique sans émotion ni extase que je n’ai finalement découverte réellement qu’avec François. Pour lui, je serai donc disponible quand il voudra, comme il voudra.
- Finalement, l’adage qui dit que l’appétit vient en mangeant se trouve être parfaitement justifié avec toi, dit Brigitte, je suis heureuse de constater que ton approche des hommes a donc sensiblement changé et que à l’inverse de nombreuses femmes, tu ne te comportes plus comme une « victime » en quelque sorte, « victime » à la disposition de ces messieurs pour lesquels nous ne sommes dans la majorité des cas que des objets d’assouvissement de leurs désirs et qu’ils collectionnent. Après tout nous aussi nous pouvons assouvir nos désirs et collectionner ces messieurs sans pour autant tomber dans la nymphomanie et puis tu verras, qu’une fois au lit, ils sont parfois beaucoup moins fiers et arrogants que lorsqu’ils se pavanent lorsqu’ils sont en groupe, se vantant de leurs exploits.
- Tout à fait, renchérit Monique, tu verras qu’il faut parfois vraiment y mettre de la bonne volonté avec certains dont la vigueur laisse à désirer, paralysé qu’ils sont lorsqu’ils se rendent compte qu’en fait ils sont le jouet de nos propres désirs et qu’ils ne sont plus dominateurs. Cela se produit essentiellement avec les hommes un peu mûrs, c'est-à-dire qui ont passé les trente ou trente cinq ans, par contre, avec les jeunes aucun problème, ce sont de vraies machines à forniquer. Ceux là, dès qu’ils savent qu’ils vont faire l’amour, ils deviennent raides comme des pieux et sont des machines à répétition qu’ils faut tempérer, sinon, l’affaire est terminée en moins de deux minutes, au contraire des vieux qui eux prennent le temps surtout qu’ils savent qu’ils n’auront pas de deuxième chance avant un long temps de récupération.
- Qu’est ce que tu entends par « des vieux » ?
- Eh bien des vieux !
- Oui, mais quel âge ?
- Oh, le plus vieux avait soixante trois ans.
- Soixante trois ans ! Tu plaisantes ?
- Pas du tout, répondit Monique avec un large sourire.
- Mais pourquoi tu as fait l’amour avec ce vieux ?
- Oh celui là, c’est un cas spécial.
- Comment ça, celui la, tu fais souvent l’amour avec des vieux ?
- Ca m’arrive, oui, ils sont doux prévenants et attendrissants, mais celui dont je te parle c’était le premier, il y a longtemps !
- Comment ça s’est passé, dit Brigitte, tu ne m’avais pas raconté cette histoire.
- Oh c’était il y a longtemps, j’avais dix huit ou dix neuf ans, mes parents étaient tous les deux absents de la maison et un après midi, un de leur vieux amis était passé pour leur emprunter quelque chose, je l’ai fait entrer et on a discuté un long moment, il était drôle comme tout et très intéressant, il n’a pas arrêté de me faire rire et surtout de me regarder avec un œil qui en disait long mais à aucun moment il n’a eu de parole ou de propos déplacés, mais à un moment il m’a dit avec une certaine tristesse qu’il était dur de vieillir, comme je lui ai demandé pourquoi alors qu’il paraissait tout à fait bien et heureux de vivre, il m’a dit que s’il avait eu trente ou quarante ans de moins il aurait certainement tenté sa chance avec moi, mais qu’à présent il ne pouvait que rêver et m’admirer car il me trouvait absolument charmante.
- Et alors, dit Sophie, c’était très correct de sa part, tu ne vas pas nous dire qu’il t’a sauté dessus ensuite en contradiction avec ce qu’il venait de te dire, non ?
- Pas du tout, au contraire, tout de suite après avoir dit cela, il s’est levé en disant qu’il m’avait suffisamment ennuyée comme cela et qu’il fallait qu’il parte.
- Bon, s’il est parti, tu l’as retrouvé une autre fois alors !
- Attends, laisse moi aller jusqu’au bout, je t’ai pas dit qu’il était parti, j’ai dit qu’il s’était levé pour partir, mais comme il m’avait émue d’une part, et d’autre part comme il était très bien conservé et aussi parce que subitement quand il m’a dit cela j’ai senti le désir monter dans mon ventre ainsi qu’une envie profonde de faire cette expérience.
- Et alors, qu’est ce que tu as fait ?
- Ne sois pas impatiente, j’y arrive. Eh bien je lui ai dit qu’il ne fallait pas qu’il parte. Il m’a demandé pourquoi et en guise de réponse, je me suis déshabillée devant lui.
- Comme ça ? sans rien dire ? D’un seul coup ?
- Oui !
- Et alors ?
- Eh bien il m’a regardé faire en admirant le spectacle.
- Et qu’est ce qu’il a fait ? il t’a sauté dessus ?
- Pas du tout, il n’a pas bougé.
- Bon tu arrêtes de nous faire mariner, continues, qu’est ce qu’il s’est passé après ?
- Comme il ne bougeait pas, c’est moi qui me suis approchée et j’ai commencé à lui défaire son pantalon, mais il m’a arrêtée en me disant qu’il ne pouvait pas, que j’étais la fille de ses amis. Ce à quoi je lui ai dit que j’étais majeure, et que je faisais ce que je voulais. Et finalement il s’est laissé faire et je l’ai complètement déshabillé et nous avons fait l’amour.
- Et c’était bien ?
- Oh oui, il a pris tout son temps, il était très doux, il ne cherchait pas que son propre plaisir, mais aussi à m’en procurer, ce à quoi il est d’ailleurs arrivé et je dois avouer que c’était bien la première fois, puisque tous les autres partenaires que j’avais eu avant étaient des jeunes de mon âge qui prenaient leur plaisir point à la ligne.
- Et il est parti tout de suite après ?
- Non, finalement il est resté on a passé le reste de l’après midi ensemble et a même passé la nuit avec moi, il m’a encore fait l’amour et c’était toujours aussi bien.
- Tu l’as revu après ?
- Oui, de temps en temps, ça me faisait du bien de me retrouver avec un homme doux et tendre et qui savait me procurer du plaisir.
- Ca a duré longtemps ?
- Pas très, non, car nous avons déménagé, quitté la région et je ne l’ai plus jamais revu. Je l’ai regretté d’ailleurs car outre le fait qu’il était très doux, c’était un homme très sincère, il m’a avoué que cela faisait longtemps qu’il n’avait pas pris autant de plaisir avec une femme. Vous pensez bien que moi, du haut de mes dix huit ans et quelques, j’étais fière comme tout qu’un homme me dise cela, surtout un homme âgé ayant sans nul doute pas mal d’expérience. Son seul problème était que ses érections n’étaient pas très vives, ce qui m’avait d’ailleurs étonnée car bien évidemment tous mes autres partenaires étaient des jeunes de mon âge qui étaient raides comme des pieux alors que lui c’était plutôt un peu mou, il fallait donc que je stimule un peu et ce qu’il appréciait particulièrement et lui procurait une érection a peu près correcte, c’était lorsque je lui faisais une fellation. C’est d’ailleurs avec lui que je suis allée jusqu’au bout pour la première fois.
- Que veux tu dire par jusqu’au bout dit Sophie.
- Eh bien jusqu'à ce qu’il éjacule dans ma bouche voyons !
- Et tu fais ça avec tous tes partenaires. Dit Sophie.
- Sophie, vraiment tu nous étonneras toujours, ne sois pas stupide, voyons, tu sais tout de même qu’il faut être prudentes avec toutes les maladies sexuellement transmissibles, et quand on met des préservatifs aux hommes que l’on ne connaît pas ou dont on n’est pas sures, la fellation avec éjaculation dans la bouche n’a aucun sens, par contre, ceux que tu connais et dont tu es sure, tu peux aller jusqu’au bout.
Tout en devisant de la sorte, elles étaient arrivées devant le domicile de Sophie qui les quitta donc non sans que les trois amies soient convenues de se téléphoner dès le lendemain afin de convenir de ce qu’elles feraient.
Rentrée chez elle Sophie prit sa douche et alla préparer le repas du soir en attendant son mari.
A suivre....
Piranha