Sophie (9)
Posté: 21 Juil 2006, 06:11
Quand Sophie se réveilla, le soleil était déjà haut dans le ciel et Arnaud était bien évidemment déjà parti, elle s’étira langoureusement dans son lit, puis finit par se lever, alla prendre son petit déjeuner, fit sa toilette, s’habilla et téléphona à ses amies pour savoir ce qu’elles avaient l’intention de faire. Aucune d’entre elles ne pouvant l’accompagner à la plage, elle décida donc d’y aller tout seule. Elle prit donc ses affaires et se rendit donc à la plage naturiste où elle eut le plaisir de voir que François était là.
Elle le rejoignit donc, se déshabilla et s’allongea à ses cotés. Ils passèrent un long moment à bavarder, elle s’enquerrant de ce qu’il avait fait la veille lui disant qu’elle était venue avec des amies (elle ne lui fit tout de même pas part de ce qu’elle avait fait avec les deux jeunes gens). Ils allèrent se baigner de temps à autre, puis se dirigèrent vers le studio que louait François. Ils se rafraîchirent jusqu’à ce que François, appuyé à une table et admirant Sophie qui s’était installée dans un transat, commença à montrer ostensiblement que Sophie lui faisait toujours autant d’effet, la preuve étant que son anatomie commençait à combattre l’attraction terrestre. Sophie, toujours allongée sur le transat, admirait l’évolution du phénomène avec amusement. En effet, elle n’avait jusqu’à présent jamais vu que des sexes flaccides ou en érection, l’excitation de ses quelques amants ayant déjà largement accompli son œuvre, de sorte que c’est avec grand intérêt qu’elle suivit l’évolution de la chose, ce qui d’ailleurs provoquait chez François un surcroît d’excitation puisqu’il avait bien entendu remarqué que Sophie ne quittait pas des yeux son bas ventre. Elle fut donc intéressée de constater que dans un premier temps, le sexe de François avait commencé à enfler pour ensuite et simultanément s’allonger tout en se redressant progressivement alors que le prépuce découvrait petit à petit le gland que l’érection rendait de plus en plus luisant. Finalement, l’évolution ou plutôt la transformation s’acheva lorsque François, ou plutôt son sexe eut atteint sa dimension « de croisière », c'est-à-dire les quelque vingt centimètres que celui-ci devait avoir en situation « opérationnelle ». Sophie se dit alors qu’il faudrait qu’elle en ait le cœur net et se promit à la prochaine occasion qu’elle retrouverait François, d’apporter un mètre de couturière afin de procéder à une mesure exacte de l’objet de ses désirs et de son plaisir. Du fait de sa position dans le transat qu’elle occupait toujours, Sophie avait une vision du sexe de François qu’elle n’avait jamais eue lors de ses rencontres précédentes ; en effet, sa position en contrebas (en contre champ diraient les cinéastes) lui procurait donc un angle de vue inhabituel qui faisait que le sexe de François lui paraissait ainsi plus impressionnant encore. De plus, cela lui permettait de découvrir « les dessous de l’affaire », à savoir le dessous du gland avec son frein auquel se rattachait en quelque sorte le prépuce. En outre, elle avait aussi une vue imprenable sur les bourses au sein desquelles se trouvaient les deux splendides testicules qui lestaient celles-ci. Le spectacle de cet homme dont la vue de sa maîtresse mollement allongée, nue sur un transat avait transformé l’anatomie lui procurait une sensation de plaisir intense qui petit à petit lui taraudait le ventre provoquant une excitation dont elle appréciait à l’avance les conséquences, sachant que François allait bientôt lui faire l’amour, ce que d’ailleurs elle appelait de tout son corps. Sophie, les yeux toujours fixés sur le sexe triomphant de François, lui tendit la main. François se détachant de la table contre laquelle il était toujours resté appuyé, s’approcha de Sophie qui eut alors à quelques centimètres de son visage ce pieu dont elle savait qu’il allait la transpercer avant peu. Se redressant légèrement, elle saisit alors le sexe de François, le caressa, lui imprima quelques mouvement de va et vient, admirant la vigueur de ce muscle, le rose du gland alternativement découvert par le prépuce, puis commença à l’effleurer du bout des lèvres, appréciant la douceur de la peau, douceur qu’elle avait déjà appréciée. Elle sentit alors François se raidir un peu et émettre un grognement de plaisir, ce qui l’encouragea à pousser plus loin son aventure en passant sa langue tout au long de cette verge raidie par le plaisir, en découvrant ainsi du bout de la langue les irrégularités et en particulier le bourrelet que constitue la frontière du gland du reste de la verge. Elle redécouvrit alors la douceur infinie du gland et s’aventurant plus loin, titilla du bout de la langue l’orifice qui béait à l’extrémité de celui-ci. Enfin, ouvrant la bouche, elle prit entre ses lèvres l’extrémité du gland et se mit à le sucer doucement, telle une sucette. Elle sentit alors les mains de François lui saisir la tête de part et d’autre qui l’attiraient plus vers lui, la forçant à ouvrir très grand la bouche afin d’engloutir cet énorme pieu.
Elle éprouva subitement l’envie d’absorber en totalité de ce mat, à la manière de ce que réalisait une femme que ses amies lui avaient dit avoir vu faire sur une vidéo circulant sur Internet. A sa grande surprise, alors qu’elle s’attendait à éprouver normalement des hauts le corps lorsque l’extrémité du gland atteindrait le fond de sa gorge, elle ressentit une sensation bizarre un peu comparable à celle éprouvée lorsque François l’avait pénétrée la première fois, son gros sexe forçant le passage entre ses lèvres pas habituées du tout à ce volume. Constatant que les choses se passaient bien elle fit pénétrer plus avant le sexe de François qu’elle sentit franchir le seuil de l’arrière gorge jusqu’à ce qu’elle sente qu’elle ne pourrait pas aller beaucoup plus loin du fait d’une sorte de blocage associé à une gêne prononcée. Sophie réalisa alors qu’en réalité, ce blocage et cette gêne devaient être dus au fait elle n’était pas bien positionnée et que pour réaliser cet exploit, elle devait avoir la tête, donc la gorge, en extension. Dégageant le sexe de François de sa bouche, elle se releva, entraîna son amant vers le lit, le fit allonger, l’enjamba, s’allongea tête bêche sur buste et reprit ce qu’elle avait commencé tandis que François ravi du spectacle que lui présentait Sophie, à savoir son intimité dont les lèvres légèrement ouvertes du fait que les jambes de Sophie étaient largement écartées, laissaient apercevoir une humidité prononcée. Sophie donc reprenant le sexe de François en bouche lui fit reprendre son trajet vers le fond de sa gorge et progressivement lui fit franchir le passage de l’arrière gorge sans problème. Poussant un peu plus, elle sentit le pieu envahir peu à peu l’œsophage jusqu’à ce que finalement elle ne puisse plus aller plus loin car elle avait absorbé la totalité du sexe. Son menton était en contact avec le pubis de François et elle avait le nez sur les bourses qu’elle saisit aussitôt dans sa main pétrissant les testicules qu’elle sentait rouler sous ses doigts. Tout à son bonheur d’avoir réussi cet exploit, c’est à peine si elle sentit que pendant ce temps là, François avait commencé à profiter de la situation, sa langue s’égarant entre ces splendides lèvres ourlées de cette légère toison châtain clair qui faisaient ressortir le rose de celles-ci. Sophie prit un plaisir extrême à faire effectuer des va et vient complets au sexe de François, jusqu’à ce qu’elle ressente les signes annonciateurs d’une prochaine éjaculation, raidissement supplémentaire puis dilatation spasmodique de la tige et enfin les spasmes. Dès le début de ces symptômes, Sophie avait intégralement englouti le mat de sorte que l’éjaculation se produisit largement au-delà de son arrière gorge, c’est à dire directement dans son œsophage. Triomphante elle se dégagea dès que les dernières émissions de semence eurent lieu et se retournant vers son amant lui dit d’un air triomphant :
- Tu as vu ? Pas une goutte dans la bouche, tout directement dans l’œsophage, même pas besoin d’avaler.
Pour appuyer ses dires, Sophie ouvrit grand la bouche pour prouver à son amant que c’était vrai. François qui, tout occupé qu’il était à fouiller le sexe de Sophie avec sa langue n’avait pas réalisé ce qu’elle avait réalisé resta pantois le sexe toujours en érection maximum, nullement « découragé » par l’éjaculation qu’il venait d’avoir. Tout excité par la performance il retourna Sophie, la jetant plus qu’il ne l’allongea sur le dos, lui écarta les jambes, ce en quoi elle l’aida très volontiers excitée elle aussi par cette réaction subite et l’empala littéralement, pénétrant d’un seul coup d’un seul jusqu’au plus profond de sa maîtresse dont le puits était copieusement lubrifié par l’excitation de sorte que cette pénétration se fit avec la plus grande facilité pour leur bonheur réciproque. Le fait d’avoir éjaculé quelques instants auparavant permit à François de « tenir » longtemps, explorant diverses positions avec Sophie qui n’en pouvait plus de bonheur physique, atteignant plusieurs fois l’orgasme, le dernier fut le summum, François atteignant lui aussi l’orgasme au même moment, déchargeant au fond de son ventre toute la semence que son organisme avait pu reproduire depuis le précédent.
Epuisés les deux amants s’immobilisèrent reprenant leur souffle, toujours emboîtés l’un dans l’autre, jusqu’à ce que l’énergie de François déclinant rapidement son sexe s’échappe du puits dont il avait pris possession puis rempli de sa sève.
Ayant récupéré, ils se rafraîchirent puis coururent vers la plage proche et plongèrent dans l’eau avec délices. Ils revinrent ensuite au studio où ils avalèrent une collation avant de s’accorder une sieste récupératrice.
François fut le premier à se réveiller de cette petite sieste et lorsqu’il se leva sans faire de bruit afin de ne pas réveiller Sophie, il vit que celle-ci dormait presque à plat ventre, une jambe à moitié remontée et l’autre tendue, lui offrant une vision sans égale sur sa croupe et son entre jambe dont la toison châtain et peu dense à cet endroit laissait apercevoir le sillon sacré qui laissait à peine deviner les petites lèvres affleurantes suintantes du trop plein de semence.
François prit un siège, l’approcha du lit où dormait Sophie, s’assit et resta à contempler celle-ci qui dormait paisiblement, nue, offrant son beau corps aux yeux de son amant.
Lorsque Sophie s’éveilla, François n’avait pas bougé et était toujours à regarder ce corps qui, bien qu’à l’orée de la quarantaine, pouvait largement rivaliser avec beaucoup de femmes plus jeunes. Elle comprit que son amant confortablement installé la regardait sans doute dormir depuis un moment sans faire de bruit. Elle en éprouva un certain plaisir et s’étirant avec délices, elle s’exposa encore plus au regard de son amant qui bien entendu n’en perdait pas une miette.
Celui-ci ayant l’œil fixé avec insistance sur son pubis, elle lui demanda :
- Qu’est ce qu’il y a ?
- Oh rien, répondit il.
- Comment ça rien ! Tu as le regard braqué sur mon sexe, enfin sur mon pubis, puisque j’ai les jambes fermées. Tu es frustré, tu veux en voir plus, dit elle en ouvrant un peu les jambes en lui jetant un regard coquin.
- En fait, oui et non.
- Je ne comprends pas, explique toi, voyons.
- Voilà ! Tu ne crois pas que tu serais beaucoup mieux, plus désirable encore si tu t’épilais, en tout ou partie ?
- Tu veux que je m’épile ? Entièrement ?
- Je ne sais pas moi, peut être pas entièrement si tu ne veux pas, mais au moins l’entre jambe et ne laisser qu’un triangle ou une barre sur le pubis, non ?
- Je ne sais pas, je n’y ai jamais pensé. Mais à y réfléchir, je trouve cela excitant comme idée.
- C’est vrai, tu le ferais ?
- Tu as un rasoir et de la mousse à raser je suppose, non ?
- Euh, oui ! Tu veux faire ça maintenant ?
- Non !
- Ah, dit François déçu.
- Non je ne vais pas le faire moi, dit Sophie d’un air coquin s’amusant des variations d’expression du visage de François, tu vas le faire, toi.
- Tu veux que je te rase moi-même ? Youpi ! Ca c’est une idée, dit François jaillissant de son siège qui se dirigea vers la salle de bain dont il revint en brandissant rasoir et mousse à raser.
La demi heure suivante ils s’occupèrent de la toison de Sophie. Finalement, d’hésitations en modifications, le ventre de Sophie se retrouva totalement glabre. Elle alla s’admirer dans un miroir et pour la première fois depuis qu’elle avait dépassé l’âge de la puberté, elle pu voir que son bas ventre laissait apparaître le début de la fente de son sexe. Elle trouva cela très mignon et se tournant vers François lui demanda ce qu’il en pensait. Celui-ci en admiration devant ce spectacle restait coi, mais Sophie nota que l’élévation progressive de son sexe parlait pour lui.
- J’ai l’impression qu’il a envie d’inaugurer cette nouvelle présentation, dit Sophie en montrant du doigt le sexe de François dont l’extrémité grimpait rapidement vers le plafond.
En guise de réponse, François l’entraîna vers le lit où ils firent l’amour avec fougue.
Après avoir repris leur souffle, ils se précipitèrent vers la plage et plongèrent dans une eau rafraîchissante, ce qui permit à Sophie de percevoir les premiers changements de sensations liés au fait qu’elle n’avait plus de toison du tout. En effet celle-ci étant maintenant absente elle ne percevait plus cet espèce de frôlement causé par l’inertie que présentait les poils pubiens lors de déplacement lents dans l’eau. Plus tard hors de l’eau, elle éprouva ce même manque de sensation lorsque la brise soufflait. Plus de poils, plus d’agitation de ceux-ci par le vent, donc disparition de cette impression de frôlement. Par contre, hors de l’eau, elle ressentait presque une sensation de fraîcheur au niveau du pubis. Bref, elle adorait. Elle en était même si contente que s’approchant d’un couple de jeunes gens qui se trouvaient non loin d’eux, elle leur dit :
- Vous êtes les premiers, à voir mon ventre nouvellement rasé, qu’en pensez vous ?
- Splendide dit le garçon, souriant, après avoir jeté un coup d’œil sur le ventre de Sophie qu’il avait précisément devant ses yeux et dont il voyait le moindre détail. Il émis un sifflement admiratif en rentrant dans le jeu.
- Et puis en plus je trouve ce qu’est doux, maintenant qu’il n’y a plus de poils.
- Sans doute, répondit le garçon avec un sourire d’envie.
- Vous n’avez pas l’air de me croire, dit Sophie.
- Euh, si bien sûr, répondit il l’air gêné sans toutefois quitter le ventre de Sophie des yeux.
- Et vous mademoiselle, se tournant vers la voisine du malheureux garçon, voisine qui arborait une toison d’un noir de geai très drue, qu’en pensez vous ?
- C’est effectivement très beau comme cela, dit elle avec un regard envieux sur le ventre de Sophie. Qu’en penses tu Edouard ? Dit elle en se tournant vers son compagnon littéralement hypnotisé par le ventre de Sophie.
- Oh oui, répondit il d’un ton on ne peu plus convaincu.
- Tu aimerais que je fasse la même chose ? demanda t elle d’un air subitement coquin.
- Oh oui !
- Bon eh bien demain quand je reviendrai je serai comme ça.
- C’est vrai, tu vas le faire ?
- Puisque je viens de te le dire ! Ca faisait déjà un moment que j’y pensais, mais j’avais peur que ça te choque.
- Pourquoi devrait il attendre demain, demanda François qui n’était pas intervenu jusqu’à présent, observant ces échanges d’un oeil amusé.
- Eh bien parce Edouard, passe ses vacances dans la résidence avec ses parents. Je viens le rejoindre tous les jours ici, car je suis avec mes parents également en vacances dans le village voisin.
- Je comprends, dit François et tes parents, tu permets que je te dise « tu », j’espère, ne sont pas naturistes ?
- Oh non, pas du tout, d’ailleurs, ils ne savent pas que je viens ici.
- Tu penses qu’ils seraient choqués s’ils l’apprenaient ?
- Oh oui, ils sont gentils, mais très pudiques, même pire que ça : prudes !!
- C’est dommage ! Maintenant, comme je vois que tu as l’air soulagée, voire délivrée à l’idée que ton ami Edouard sera absolument ravi de t’admirer totalement glabre et qu’en plus il risque de passer un horrible nuit à attendre demain d’avoir le plaisir de t’admirer dans ta nouvelle tenue d’Eve, si vous le voulez tous les deux, vous pouvez venir chez moi, où vous trouverez tout ce qu’il faut pour faire cela. D’ailleurs, comme vous le disait Sophie il y a quelques instants, c’est juste ce qu’elle vient de faire.
- C’est pas trop difficile d’aller tout raser demanda la jeune fille à Sophie ?
- Je n’en sais rien, répondit celle-ci avec un grand sourire, c’est François qui s’est chargé de l’opération.
- Pourquoi ? demanda candidement la jeune fille.
- Eh bien parce que ce n’est pas facile d’aller raser partout entre les jambes quand on ne voit pas ce que l’on fait et puis c’est un moment délicieux pour tous les deux, répondit toujours avec un grand sourire.
- C’est vrai alors, on peut venir chez vous ?
- Bien sûr, dit François, puisque je vous l’ai proposé.
Dans la foulée, François se leva, aussitôt imité par Sophie, puis par la jeune fille et enfin par Edouard qui apparemment mal à l’aise leur tournait le dos en ramassant sa serviette qu’il tint ensuite devant lui. Sophie comprit que le malheureux, émoustillé par cette conversation et aussi à l’idée de bientôt voir son amie ne plus rien cacher de son intimité, avait une érection.
Tout en se dirigeant vers le studio de François, ils menèrent une conversation à bâtons rompus et Sophie apprit que la jeune fille, qui se prénommait Alix, avait 18 ans, que son ami n’était guère plus âgé puisqu’il affichait 19 ans, qu’ils venaient tous les deux d’avoir leur bac et qu’ils allaient entamer des études de lettres.
Edouard était un garçon robuste d’environ 1.70 metre, le cheveu roux, en fait certains diraient plutôt qu’il était blond vénitien. Sous des dehors décontractés, transparaissait tout de même une certaine timidité qui le rendait tout à fait charmant. Côté attributs masculins, Sophie avait fini par les voir, car Edouard dont l’érection avait cessé, avait fini par jeter sa serviette sur l’épaule. Il arborait un sexe de taille plutôt petite, tavelé de tâches de rousseur, comme le reste de son corps et circoncis.
Alix elle, était toute petite, elle ne devait pas mesurer plus de 1.50 mètre, elle avait le cheveu noir, court. Elle avait un corps d’une beauté extrême, formidablement proportionné, des jambes fines à la croisée desquelles la touffe pubienne très drue prenait une place importante, attirant automatiquement le regard. Les hanches étaient bien dessinées, que sa taille fine mettait en valeur. La poitrine, menue dans l’absolu, présentait tout de même un volume intéressant pour son corps, n’altérant pas les proportions merveilleuses de celui-ci. Les seins, très hauts placés étaient apparemment d’une fermeté hors du commun, car ils ne bronchaient absolument pas au gré des pas de Alix. Ils était elle étaient « coiffés » de pointes surmontant une aréole qui saillait légèrement donnant l’impression d’un empilement de cônes du plus bel effet, d’autant que aréoles et pointes étaient, bizarrement pour une femme aussi brune, de teinte marron très clair qui rendaient cette poitrine absolument adorable.
A suivre ....
Elle le rejoignit donc, se déshabilla et s’allongea à ses cotés. Ils passèrent un long moment à bavarder, elle s’enquerrant de ce qu’il avait fait la veille lui disant qu’elle était venue avec des amies (elle ne lui fit tout de même pas part de ce qu’elle avait fait avec les deux jeunes gens). Ils allèrent se baigner de temps à autre, puis se dirigèrent vers le studio que louait François. Ils se rafraîchirent jusqu’à ce que François, appuyé à une table et admirant Sophie qui s’était installée dans un transat, commença à montrer ostensiblement que Sophie lui faisait toujours autant d’effet, la preuve étant que son anatomie commençait à combattre l’attraction terrestre. Sophie, toujours allongée sur le transat, admirait l’évolution du phénomène avec amusement. En effet, elle n’avait jusqu’à présent jamais vu que des sexes flaccides ou en érection, l’excitation de ses quelques amants ayant déjà largement accompli son œuvre, de sorte que c’est avec grand intérêt qu’elle suivit l’évolution de la chose, ce qui d’ailleurs provoquait chez François un surcroît d’excitation puisqu’il avait bien entendu remarqué que Sophie ne quittait pas des yeux son bas ventre. Elle fut donc intéressée de constater que dans un premier temps, le sexe de François avait commencé à enfler pour ensuite et simultanément s’allonger tout en se redressant progressivement alors que le prépuce découvrait petit à petit le gland que l’érection rendait de plus en plus luisant. Finalement, l’évolution ou plutôt la transformation s’acheva lorsque François, ou plutôt son sexe eut atteint sa dimension « de croisière », c'est-à-dire les quelque vingt centimètres que celui-ci devait avoir en situation « opérationnelle ». Sophie se dit alors qu’il faudrait qu’elle en ait le cœur net et se promit à la prochaine occasion qu’elle retrouverait François, d’apporter un mètre de couturière afin de procéder à une mesure exacte de l’objet de ses désirs et de son plaisir. Du fait de sa position dans le transat qu’elle occupait toujours, Sophie avait une vision du sexe de François qu’elle n’avait jamais eue lors de ses rencontres précédentes ; en effet, sa position en contrebas (en contre champ diraient les cinéastes) lui procurait donc un angle de vue inhabituel qui faisait que le sexe de François lui paraissait ainsi plus impressionnant encore. De plus, cela lui permettait de découvrir « les dessous de l’affaire », à savoir le dessous du gland avec son frein auquel se rattachait en quelque sorte le prépuce. En outre, elle avait aussi une vue imprenable sur les bourses au sein desquelles se trouvaient les deux splendides testicules qui lestaient celles-ci. Le spectacle de cet homme dont la vue de sa maîtresse mollement allongée, nue sur un transat avait transformé l’anatomie lui procurait une sensation de plaisir intense qui petit à petit lui taraudait le ventre provoquant une excitation dont elle appréciait à l’avance les conséquences, sachant que François allait bientôt lui faire l’amour, ce que d’ailleurs elle appelait de tout son corps. Sophie, les yeux toujours fixés sur le sexe triomphant de François, lui tendit la main. François se détachant de la table contre laquelle il était toujours resté appuyé, s’approcha de Sophie qui eut alors à quelques centimètres de son visage ce pieu dont elle savait qu’il allait la transpercer avant peu. Se redressant légèrement, elle saisit alors le sexe de François, le caressa, lui imprima quelques mouvement de va et vient, admirant la vigueur de ce muscle, le rose du gland alternativement découvert par le prépuce, puis commença à l’effleurer du bout des lèvres, appréciant la douceur de la peau, douceur qu’elle avait déjà appréciée. Elle sentit alors François se raidir un peu et émettre un grognement de plaisir, ce qui l’encouragea à pousser plus loin son aventure en passant sa langue tout au long de cette verge raidie par le plaisir, en découvrant ainsi du bout de la langue les irrégularités et en particulier le bourrelet que constitue la frontière du gland du reste de la verge. Elle redécouvrit alors la douceur infinie du gland et s’aventurant plus loin, titilla du bout de la langue l’orifice qui béait à l’extrémité de celui-ci. Enfin, ouvrant la bouche, elle prit entre ses lèvres l’extrémité du gland et se mit à le sucer doucement, telle une sucette. Elle sentit alors les mains de François lui saisir la tête de part et d’autre qui l’attiraient plus vers lui, la forçant à ouvrir très grand la bouche afin d’engloutir cet énorme pieu.
Elle éprouva subitement l’envie d’absorber en totalité de ce mat, à la manière de ce que réalisait une femme que ses amies lui avaient dit avoir vu faire sur une vidéo circulant sur Internet. A sa grande surprise, alors qu’elle s’attendait à éprouver normalement des hauts le corps lorsque l’extrémité du gland atteindrait le fond de sa gorge, elle ressentit une sensation bizarre un peu comparable à celle éprouvée lorsque François l’avait pénétrée la première fois, son gros sexe forçant le passage entre ses lèvres pas habituées du tout à ce volume. Constatant que les choses se passaient bien elle fit pénétrer plus avant le sexe de François qu’elle sentit franchir le seuil de l’arrière gorge jusqu’à ce qu’elle sente qu’elle ne pourrait pas aller beaucoup plus loin du fait d’une sorte de blocage associé à une gêne prononcée. Sophie réalisa alors qu’en réalité, ce blocage et cette gêne devaient être dus au fait elle n’était pas bien positionnée et que pour réaliser cet exploit, elle devait avoir la tête, donc la gorge, en extension. Dégageant le sexe de François de sa bouche, elle se releva, entraîna son amant vers le lit, le fit allonger, l’enjamba, s’allongea tête bêche sur buste et reprit ce qu’elle avait commencé tandis que François ravi du spectacle que lui présentait Sophie, à savoir son intimité dont les lèvres légèrement ouvertes du fait que les jambes de Sophie étaient largement écartées, laissaient apercevoir une humidité prononcée. Sophie donc reprenant le sexe de François en bouche lui fit reprendre son trajet vers le fond de sa gorge et progressivement lui fit franchir le passage de l’arrière gorge sans problème. Poussant un peu plus, elle sentit le pieu envahir peu à peu l’œsophage jusqu’à ce que finalement elle ne puisse plus aller plus loin car elle avait absorbé la totalité du sexe. Son menton était en contact avec le pubis de François et elle avait le nez sur les bourses qu’elle saisit aussitôt dans sa main pétrissant les testicules qu’elle sentait rouler sous ses doigts. Tout à son bonheur d’avoir réussi cet exploit, c’est à peine si elle sentit que pendant ce temps là, François avait commencé à profiter de la situation, sa langue s’égarant entre ces splendides lèvres ourlées de cette légère toison châtain clair qui faisaient ressortir le rose de celles-ci. Sophie prit un plaisir extrême à faire effectuer des va et vient complets au sexe de François, jusqu’à ce qu’elle ressente les signes annonciateurs d’une prochaine éjaculation, raidissement supplémentaire puis dilatation spasmodique de la tige et enfin les spasmes. Dès le début de ces symptômes, Sophie avait intégralement englouti le mat de sorte que l’éjaculation se produisit largement au-delà de son arrière gorge, c’est à dire directement dans son œsophage. Triomphante elle se dégagea dès que les dernières émissions de semence eurent lieu et se retournant vers son amant lui dit d’un air triomphant :
- Tu as vu ? Pas une goutte dans la bouche, tout directement dans l’œsophage, même pas besoin d’avaler.
Pour appuyer ses dires, Sophie ouvrit grand la bouche pour prouver à son amant que c’était vrai. François qui, tout occupé qu’il était à fouiller le sexe de Sophie avec sa langue n’avait pas réalisé ce qu’elle avait réalisé resta pantois le sexe toujours en érection maximum, nullement « découragé » par l’éjaculation qu’il venait d’avoir. Tout excité par la performance il retourna Sophie, la jetant plus qu’il ne l’allongea sur le dos, lui écarta les jambes, ce en quoi elle l’aida très volontiers excitée elle aussi par cette réaction subite et l’empala littéralement, pénétrant d’un seul coup d’un seul jusqu’au plus profond de sa maîtresse dont le puits était copieusement lubrifié par l’excitation de sorte que cette pénétration se fit avec la plus grande facilité pour leur bonheur réciproque. Le fait d’avoir éjaculé quelques instants auparavant permit à François de « tenir » longtemps, explorant diverses positions avec Sophie qui n’en pouvait plus de bonheur physique, atteignant plusieurs fois l’orgasme, le dernier fut le summum, François atteignant lui aussi l’orgasme au même moment, déchargeant au fond de son ventre toute la semence que son organisme avait pu reproduire depuis le précédent.
Epuisés les deux amants s’immobilisèrent reprenant leur souffle, toujours emboîtés l’un dans l’autre, jusqu’à ce que l’énergie de François déclinant rapidement son sexe s’échappe du puits dont il avait pris possession puis rempli de sa sève.
Ayant récupéré, ils se rafraîchirent puis coururent vers la plage proche et plongèrent dans l’eau avec délices. Ils revinrent ensuite au studio où ils avalèrent une collation avant de s’accorder une sieste récupératrice.
François fut le premier à se réveiller de cette petite sieste et lorsqu’il se leva sans faire de bruit afin de ne pas réveiller Sophie, il vit que celle-ci dormait presque à plat ventre, une jambe à moitié remontée et l’autre tendue, lui offrant une vision sans égale sur sa croupe et son entre jambe dont la toison châtain et peu dense à cet endroit laissait apercevoir le sillon sacré qui laissait à peine deviner les petites lèvres affleurantes suintantes du trop plein de semence.
François prit un siège, l’approcha du lit où dormait Sophie, s’assit et resta à contempler celle-ci qui dormait paisiblement, nue, offrant son beau corps aux yeux de son amant.
Lorsque Sophie s’éveilla, François n’avait pas bougé et était toujours à regarder ce corps qui, bien qu’à l’orée de la quarantaine, pouvait largement rivaliser avec beaucoup de femmes plus jeunes. Elle comprit que son amant confortablement installé la regardait sans doute dormir depuis un moment sans faire de bruit. Elle en éprouva un certain plaisir et s’étirant avec délices, elle s’exposa encore plus au regard de son amant qui bien entendu n’en perdait pas une miette.
Celui-ci ayant l’œil fixé avec insistance sur son pubis, elle lui demanda :
- Qu’est ce qu’il y a ?
- Oh rien, répondit il.
- Comment ça rien ! Tu as le regard braqué sur mon sexe, enfin sur mon pubis, puisque j’ai les jambes fermées. Tu es frustré, tu veux en voir plus, dit elle en ouvrant un peu les jambes en lui jetant un regard coquin.
- En fait, oui et non.
- Je ne comprends pas, explique toi, voyons.
- Voilà ! Tu ne crois pas que tu serais beaucoup mieux, plus désirable encore si tu t’épilais, en tout ou partie ?
- Tu veux que je m’épile ? Entièrement ?
- Je ne sais pas moi, peut être pas entièrement si tu ne veux pas, mais au moins l’entre jambe et ne laisser qu’un triangle ou une barre sur le pubis, non ?
- Je ne sais pas, je n’y ai jamais pensé. Mais à y réfléchir, je trouve cela excitant comme idée.
- C’est vrai, tu le ferais ?
- Tu as un rasoir et de la mousse à raser je suppose, non ?
- Euh, oui ! Tu veux faire ça maintenant ?
- Non !
- Ah, dit François déçu.
- Non je ne vais pas le faire moi, dit Sophie d’un air coquin s’amusant des variations d’expression du visage de François, tu vas le faire, toi.
- Tu veux que je te rase moi-même ? Youpi ! Ca c’est une idée, dit François jaillissant de son siège qui se dirigea vers la salle de bain dont il revint en brandissant rasoir et mousse à raser.
La demi heure suivante ils s’occupèrent de la toison de Sophie. Finalement, d’hésitations en modifications, le ventre de Sophie se retrouva totalement glabre. Elle alla s’admirer dans un miroir et pour la première fois depuis qu’elle avait dépassé l’âge de la puberté, elle pu voir que son bas ventre laissait apparaître le début de la fente de son sexe. Elle trouva cela très mignon et se tournant vers François lui demanda ce qu’il en pensait. Celui-ci en admiration devant ce spectacle restait coi, mais Sophie nota que l’élévation progressive de son sexe parlait pour lui.
- J’ai l’impression qu’il a envie d’inaugurer cette nouvelle présentation, dit Sophie en montrant du doigt le sexe de François dont l’extrémité grimpait rapidement vers le plafond.
En guise de réponse, François l’entraîna vers le lit où ils firent l’amour avec fougue.
Après avoir repris leur souffle, ils se précipitèrent vers la plage et plongèrent dans une eau rafraîchissante, ce qui permit à Sophie de percevoir les premiers changements de sensations liés au fait qu’elle n’avait plus de toison du tout. En effet celle-ci étant maintenant absente elle ne percevait plus cet espèce de frôlement causé par l’inertie que présentait les poils pubiens lors de déplacement lents dans l’eau. Plus tard hors de l’eau, elle éprouva ce même manque de sensation lorsque la brise soufflait. Plus de poils, plus d’agitation de ceux-ci par le vent, donc disparition de cette impression de frôlement. Par contre, hors de l’eau, elle ressentait presque une sensation de fraîcheur au niveau du pubis. Bref, elle adorait. Elle en était même si contente que s’approchant d’un couple de jeunes gens qui se trouvaient non loin d’eux, elle leur dit :
- Vous êtes les premiers, à voir mon ventre nouvellement rasé, qu’en pensez vous ?
- Splendide dit le garçon, souriant, après avoir jeté un coup d’œil sur le ventre de Sophie qu’il avait précisément devant ses yeux et dont il voyait le moindre détail. Il émis un sifflement admiratif en rentrant dans le jeu.
- Et puis en plus je trouve ce qu’est doux, maintenant qu’il n’y a plus de poils.
- Sans doute, répondit le garçon avec un sourire d’envie.
- Vous n’avez pas l’air de me croire, dit Sophie.
- Euh, si bien sûr, répondit il l’air gêné sans toutefois quitter le ventre de Sophie des yeux.
- Et vous mademoiselle, se tournant vers la voisine du malheureux garçon, voisine qui arborait une toison d’un noir de geai très drue, qu’en pensez vous ?
- C’est effectivement très beau comme cela, dit elle avec un regard envieux sur le ventre de Sophie. Qu’en penses tu Edouard ? Dit elle en se tournant vers son compagnon littéralement hypnotisé par le ventre de Sophie.
- Oh oui, répondit il d’un ton on ne peu plus convaincu.
- Tu aimerais que je fasse la même chose ? demanda t elle d’un air subitement coquin.
- Oh oui !
- Bon eh bien demain quand je reviendrai je serai comme ça.
- C’est vrai, tu vas le faire ?
- Puisque je viens de te le dire ! Ca faisait déjà un moment que j’y pensais, mais j’avais peur que ça te choque.
- Pourquoi devrait il attendre demain, demanda François qui n’était pas intervenu jusqu’à présent, observant ces échanges d’un oeil amusé.
- Eh bien parce Edouard, passe ses vacances dans la résidence avec ses parents. Je viens le rejoindre tous les jours ici, car je suis avec mes parents également en vacances dans le village voisin.
- Je comprends, dit François et tes parents, tu permets que je te dise « tu », j’espère, ne sont pas naturistes ?
- Oh non, pas du tout, d’ailleurs, ils ne savent pas que je viens ici.
- Tu penses qu’ils seraient choqués s’ils l’apprenaient ?
- Oh oui, ils sont gentils, mais très pudiques, même pire que ça : prudes !!
- C’est dommage ! Maintenant, comme je vois que tu as l’air soulagée, voire délivrée à l’idée que ton ami Edouard sera absolument ravi de t’admirer totalement glabre et qu’en plus il risque de passer un horrible nuit à attendre demain d’avoir le plaisir de t’admirer dans ta nouvelle tenue d’Eve, si vous le voulez tous les deux, vous pouvez venir chez moi, où vous trouverez tout ce qu’il faut pour faire cela. D’ailleurs, comme vous le disait Sophie il y a quelques instants, c’est juste ce qu’elle vient de faire.
- C’est pas trop difficile d’aller tout raser demanda la jeune fille à Sophie ?
- Je n’en sais rien, répondit celle-ci avec un grand sourire, c’est François qui s’est chargé de l’opération.
- Pourquoi ? demanda candidement la jeune fille.
- Eh bien parce que ce n’est pas facile d’aller raser partout entre les jambes quand on ne voit pas ce que l’on fait et puis c’est un moment délicieux pour tous les deux, répondit toujours avec un grand sourire.
- C’est vrai alors, on peut venir chez vous ?
- Bien sûr, dit François, puisque je vous l’ai proposé.
Dans la foulée, François se leva, aussitôt imité par Sophie, puis par la jeune fille et enfin par Edouard qui apparemment mal à l’aise leur tournait le dos en ramassant sa serviette qu’il tint ensuite devant lui. Sophie comprit que le malheureux, émoustillé par cette conversation et aussi à l’idée de bientôt voir son amie ne plus rien cacher de son intimité, avait une érection.
Tout en se dirigeant vers le studio de François, ils menèrent une conversation à bâtons rompus et Sophie apprit que la jeune fille, qui se prénommait Alix, avait 18 ans, que son ami n’était guère plus âgé puisqu’il affichait 19 ans, qu’ils venaient tous les deux d’avoir leur bac et qu’ils allaient entamer des études de lettres.
Edouard était un garçon robuste d’environ 1.70 metre, le cheveu roux, en fait certains diraient plutôt qu’il était blond vénitien. Sous des dehors décontractés, transparaissait tout de même une certaine timidité qui le rendait tout à fait charmant. Côté attributs masculins, Sophie avait fini par les voir, car Edouard dont l’érection avait cessé, avait fini par jeter sa serviette sur l’épaule. Il arborait un sexe de taille plutôt petite, tavelé de tâches de rousseur, comme le reste de son corps et circoncis.
Alix elle, était toute petite, elle ne devait pas mesurer plus de 1.50 mètre, elle avait le cheveu noir, court. Elle avait un corps d’une beauté extrême, formidablement proportionné, des jambes fines à la croisée desquelles la touffe pubienne très drue prenait une place importante, attirant automatiquement le regard. Les hanches étaient bien dessinées, que sa taille fine mettait en valeur. La poitrine, menue dans l’absolu, présentait tout de même un volume intéressant pour son corps, n’altérant pas les proportions merveilleuses de celui-ci. Les seins, très hauts placés étaient apparemment d’une fermeté hors du commun, car ils ne bronchaient absolument pas au gré des pas de Alix. Ils était elle étaient « coiffés » de pointes surmontant une aréole qui saillait légèrement donnant l’impression d’un empilement de cônes du plus bel effet, d’autant que aréoles et pointes étaient, bizarrement pour une femme aussi brune, de teinte marron très clair qui rendaient cette poitrine absolument adorable.
A suivre ....