toc toc toc.
- entrez !
- Bonjour Monsieur Belanteau. Je ne vous dérange pas ?
- Entrez Céline ; je vous félicite pour vos brillants résultats universitaires.
- C'est à moi de vous remercier, Monsieur Belanteau, pour le soutien que vous m'avez apporté.
- Je vous ai sans doute apporté un peu d'aide, Céline, mais seulement parce que vous êtes brillante et que vous la méritiez. Un bel avenir s’ouvre à vous.
- Mon avenir ? Bien entendu je vais me lancer dans une thèse de doctorat : j'en rêve depuis des années ! Et j'aimerais, Monsieur Belanteau, que vous acceptiez d'être mon directeur de thèse. Puis-je compter sur vous ?
- Euh …
- Monsieur Belanteau, je vous vois hésitant ... pourtant comment pourrais-je la soutenir cette thèse sans votre aide ?
- Rassurez-vous Céline, je ne suis pas le seul dans cette université à pouvoir vous aider : cela fait quelques mois que je suis votre travail, et croyez-moi, certains de mes collègues sauront vous guider comme il se doit.
- Mais Monsieur …
- Croyez-moi Céline, des professeurs comme Madame Raimel ou comme Monsieur Britone pourront vous épauler avec une grande efficacité.
- Mais Monsieur Belanteau, vous m'avez prise sous votre aile cette dernière année, et alors que je vois poindre maintenant le but que je m'étais fixé, je ne me sens pas prête à changer de mentor.
- Ne vous inquiétez pas Céline, prenez contact avec Madame Raimel ou avec Monsieur Britone, ou avec un autre professeur encore, et croyez-moi, ils seront ravis d'apporter leur soutien à une étudiante aussi brillante que vous, qui obtiendra au plus vite son titre de docteur.
- Mais Monsieur Belanteau, après tous ces mois à travailler sous votre direction, je n'avais pas envisagé que vous puissiez refuser …
- Céline, vous allez devenir docteur, vous allez bientôt être titulaire d'une chaire universitaire ; il est donc temps d'élargir un peu votre horizon, et de travailler avec d'autres collègues. Croyez-moi, vous abordez l'ultime étape de votre formation dans cette université, il est donc bon que vous appreniez à travailler avec d'autres que moi.
- Permettez-moi de penser autrement Monsieur Belanteau : je suis tellement habituée à travailler avec vous … je suis tellement admirative de votre œuvre …
- Croyez que je suis navré Céline, mais ma charge de travail pour la prochaine année universitaire ne me permettra pas de vous apporter l'aide que vous pouvez attendre de moi. Prenez contact, comme je vous le propose, avec un de mes collègues.
- Vous êtes injuste, Monsieur Belanteau, moi avec votre aide c'est une équipe qui marche, et on ne change pas une équipe qui marche.
- En effet, c'était une équipe qui marchait mais tout a une fin dans ce bas monde et croyez-moi, vous allez bientôt vous retrouver dans une autre équipe qui marchera elle aussi, et comme vous m'avez enthousiasmé par votre travail, vous allez enthousiasmer un autre collègue et vous travaillerez avec lui avec le même plaisir que vous l'avez fait avec moi.
- Mais je ne veux pas de cela, Monsieur Belanteau …
- Mais si, mais si, Céline : vous êtes jeune, vous avez tout votre avenir devant vous, ne vous enfermez pas dans cette habitude de ne collaborer qu'avec moi, ouvrez votre horizon.
- Je ne peux pas envisager cette ouverture-là, Monsieur Belanteau.
- Je vous le répète, Céline, ma charge de travail à venir ne me permettra pas de vous apporter l'aide dont vous aurez besoin.
- Je ne peux pas envisager, Monsieur Belanteau, de me lancer dans ma thèse sans vous. Si vous refusez, eh bien je renoncerai à la soutenir.
- Absurde Céline. Vous êtes brillante, et cette thèse j'en suis persuadé, sera une œuvre remarquable ; vous ne pouvez pas y renoncer sur un coup de tête, par un simple caprice … seulement parce que pour une fois vous vous trouvez devant la nécessité de faire face à quelque chose que vous n'aviez pas prévu. Croyez-moi, il vous arrivera encore à l'avenir, de vous retrouver face à une situation imprévue. C'est la vie Céline, prenez un peu de recul et faites le bon choix, contactez un de mes collègues.
- Je ne veux pas Monsieur Belanteau : je veux continuer à travailler avec vous, et avec personne d'autre.
- Voilà qui n'est pas raisonnable Céline, et vous m'avez toujours donné l'impression d'être une jeune femme raisonnable.
- Raisonnable bien sûr, mais parce que je travaillais sous votre aile. Si j'ai toujours été brillante et raisonnable, comme vous le dites, c'était pour mériter votre estime. C'est votre estime qui m'est nécessaire, c'est pour l’obtenir que je veux préparer ma thèse sous votre direction, et obtenir l'admiration de tous lorsque je la soutiendrai.
- Attention Céline, vous sortez là des rails de la collaboration universitaire professeur-étudiant. Vous pénétrez dans le domaine de l’affectif. Danger !
- Bien sûr, Monsieur Belanteau, que j'entre dans le domaine de l'affectif comme vous l'affirmez avec tant de pudeur. Croyez-vous sincèrement qu'on travaille uniquement par amour du travail … le travail dans le vide, le travail qui se suffit à lui-même, le domaine du gratuit en ignorant le domaine de l'affectif ? Désolée, Monsieur Belanteau, mon travail, je ne l'ai pas enfermé seulement dans le domaine du gratuit, mais je l'ai effectué également dans le domaine de l'affectif, pour être aimée de ceux qui comptent pour moi, pour vous entre autres. Mon travail sans votre attention, sans vos félicitations n'a plus d'intérêt.
-Céline, vous étiez une étudiante brillante, une jeune et belle étudiante brillante, et tout à coup vous vous révélez être en plus de cet être brillant, une femme de chair et de sang. Vous m'étonnez vous me gênez …
- Monsieur Belanteau, je vous admire beaucoup, j'admire votre travail, et je vous respecte beaucoup, mais cessons si vous le voulez bien ces hypocrisies bienséantes. Bien sûr que je suis une femme, une femme jeune et belle comme vous venez de le dire … et pas seulement une machine à travailler. Une femme qui sait qu'elle vous plaît … pas seulement à cause de son travail … qui vous plaît physiquement également et qui est très fière de vous plaire physiquement, qui guette vos regards involontaires, qui les attend, qui y prend un plaisir immense, même si vous vous montrez très correct et distant avec elle.
- Vous sortez des limites du tolérable Céline !
- Non, Monsieur Belanteau, je me permets simplement de vous dire les choses telles que je les vois. J'admets que je me montre impertinente certes, mais ce doctorat je le veux, et je veux y parvenir avec votre aide. Nous entretenons des relations certes platoniques, mais des relations auxquelles je ne veux pas renoncer. Si vous refusez de m’aider plus avant, dites-moi que c’est parce que vous manquez de temps, seulement parce que vous manquez de temps, et je renoncerai à votre aide et à ma thèse parce que je ne peux envisager de la soutenir sans vous.
- Vous faites là du chantage !
- Absolument pas Monsieur Belanteau. Je suis seulement très réaliste. Sans votre aide, je renonce.
- Je vous demande de réfléchir.
- C’est tout réfléchi. Vous allez me dire en me regardant droit dans les yeux, ou que vous acceptez ce que je souhaite, ou que vous n'avez pas le temps ou bien ...
- Céline, en effet, ma charge de travail ...
- Bien sûr Monsieur Belanteau que vous avez une trentaine d'années de plus que moi, que vous êtes sans doute marié, que vous avez vraisemblablement des enfants plus âgés que moi. Est-ce une raison pour me refuser d'être mon directeur de thèse, simplement parce que la jeune femme que je suis perturbe votre tranquillité petite-bourgeoise ?
Soit je travaille avec un de vos collègues et vous en aurez des remords, soit je renonce à cette thèse et comment assumerez-vous cela alors ?
Bien sûr que vous devez accepter de m'aider à préparer ma thèse même si nos relations ne seront plus uniquement des relations professeur-étudiant …parce qu'il s'y ajoutera également un peu de relations d’homme à femme. Ne niez pas l'évidence, Monsieur Belanteau : de temps à autre, je perçois bien que votre regard se pose sur mes seins, sur mes jambes, sur mon cou, sur mon oreille, sur ma bouche, le regard d'un homme à qui une femme fait envie certes, mais encore le regard honteux d'un potache pris en faute, un livre porno caché sous sa couette. Si vous prétendez me refuser votre aide, au fond, n'est-ce pas seulement à cause de tout cela, à cause de cet affectif qui s'est installé entre nous?
- Ecoutez Céline …
- Non Monsieur Belanteau, répondez à ma question. Je suis allée trop loin maintenant … en dehors des voies tracées de la bienséance, aussi vous devez me répondre : ce refus de m'aider est-ce la conséquence de cette note d'affectif qui s’est glissée entre nos relations de travail ? Vous pouvez refuser de m’aider certes, mais pas de n’être pas sincère avec moi.
- Oui Céline, vous avez raison : si je refuse, je le confesse, c'est en partie pour des raisons affectives.
- Je n'ai pas à vous juger, Monsieur Belanteau, mais pensez-vous que renoncer à m'aider soit la bonne solution ?
- Bien entendu Céline, que j'ai pensé à tout cela. Mais comment pourrions-nous vivre maintenant une simple relation professeur-étudiante, surtout après tout ce que vous venez de déballer là ? Et comment pourrions-nous vivre cette même relation, agrémentée d'intime ? Comment pourrais-je vous prendre dans mes bras, vous caresser, vous embrasser, faire l'amour avec vous alors que je dois être plus âgé que votre père ? Comment pourrais-je vous aimer comme un homme aime une femme dans ces conditions ?
- Moi, je vous aime tout court, Monsieur Belanteau, comme une femme aime un homme. Même si vous êtes sans doute marié et père de famille, même si je n'aurai, pour les côtés affectif et intime qu'à devoir me contenter que de moments volés.
- Je ne sais pas Céline comment nous allons pouvoir résoudre tout cela. Fuir ce côté affectif en arrêtant là notre collaboration était certainement la moins mauvaise solution.
- Mais je suis jeune, Monsieur Belanteau, et je ne veux pas me laisser enfermer dans "la tragédie du Cid", je veux vivre, je veux accomplir un travail qui me passionne … et sans renoncer à ma vie de femme.
- Bien sûr je vous comprends, mais …
- Merci Monsieur Belanteau : je n'accepte dans ce que vous venez de dire que ce « comment nous allons pouvoir résoudre tout cela » ; vous venez de montrer que vous acceptez notre réalité. Merci Monsieur Belanteau d’accepter d’être à la fois mon directeur de thèse et mon amant.
- Vous allez un peu vite Céline.
- Mais non Monsieur Belanteau, nous allons résoudre tout cela : je vais être fière de vous, et vous allez être fier de moi : nous allons réussir cette thèse et notre vie amoureuse.
- Quelle révolution Céline ! Vous m’avez convaincu : nous allons réussir. Pour ta thèse, je n’ai aucun doute. Pour notre vie amoureuse, il faudra sans doute faire quelques progrès … une étudiante, c'est une étudiante, une femme, c'est autre chose. Finis comme tu le disais, mes regards à la dérobée. Mes regards, il me faudra les assumer … c'est-à-dire les prolonger par des gestes de tendresse quand nous serons seuls bien entendu. Et il te faudra également les assumer … ne plus faire semblant de ne te rendre compte de rien. En tête-à-tête nous nous tutoierons, et tu m’appelleras Roland ; en public, évidemment nous ne pourrons pas nous permettre ces privautés. Et puis il te faudra être femme, vraiment femme avec moi. Pourrons-nous nous ménager du temps libre à nous deux, des soirées, des week-ends, quelques voyages ? Le pourras-tu ?
- Et vous ? Je suppose que vous avez une vie de famille …
- Bien sûr Céline, Roland a une vie de famille. Mais tu sais la vie universitaire fait qu'on doit assister aussi à des tas de conférences de-ci de-là. Mais toi ?
- C'est vrai, je vis avec un ami ; Jérôme qu'il s’appelle. Mais lui comme moi, sommes très pris par nos études, aussi nous avons une vie de couple "en relatifs pointillés". Avons-nous un avenir commun ? Je ne me suis pas vraiment posé la question. Lui non plus sans doute. Nous avons certes nos habitudes, notre confort, mais est-ce là la vraie passion ? Pas au point de ne pas pouvoir trouver pour moi tout au moins, quelques arrangements.
- Revenons à nous deux : tu es libre maintenant Céline ? Pour ma part, je dispose d'un peu de temps pas d'énormément de temps, seulement d'une heure et demie : je dois déjeuner avec le président de l'université, des tas de problèmes à régler.
- Fini l'emploi du temps surchargé qui ne permet pas à Monsieur Belanteau d'être le directeur de thèse de son étudiante préférée … il peut lui consacrer une heure et demie. Oui je dispose également de ce temps, comment pourrais-je ne pas en disposer ?
- Demeurons donc dans ce bureau ; pas très confortable certes, sans le confort nécessaire à des relations amoureuses, mais quand même ...
Il est bien évident que ton joli corsage blanc est bien suffisant pour satisfaire ton besoin de pudeur, tout en permettant à tes seins de pouvoir s'exprimer pleinement dans le dialogue auquel je compte les convier, un dialogue dont je rêve en cachette … depuis si longtemps déjà. Aussi passe donc dans le cabinet de toilette et enlève ce soutien-gorge qui les entrave et risquerait de nous poser quelques problèmes mécaniques. Ensuite reviens vite me rejoindre, là dans ce fauteuil. Dommage pourtant que pour cette fête qui va être la nôtre, tu aies décidé aujourd’hui de te déguiser en bonhomme : les jupes et les robes sont parfaitement adaptées au corps de la femme, surtout lorsqu'il est aussi bien dessiné que le tien. Il te faudra à l'avenir, féminité oblige, t’afficher en femme, t’afficher très femme, être fière de tes atouts et les mettre en valeur : je te veux la plus belle.
- Leçon apprise Roland, je m'occupe immédiatement des problèmes mécaniques urgents et je prends note de ta volonté de me voir mettre en valeur mon corps de femme. Femme, ton étudiante le sera toujours pour toi. Superbement femme, pleinement femme, entièrement femme. Tu ne seras pas déçu. Tu as fait le bon choix : ma thèse sera brillante et la femme sera à l'image de sa thèse.
Céline effleura de ses lèvres celles de Roland, et s'échappa rapidement vers le cabinet de toilette :
- Je reviens de suite.
Céline ôta donc sa blouse et son soutien-gorge ; elle se tourna devant la glace : vont-ils lui plaire me seins ? … Bien sûr, il n’arrête pas de les regarder. Quelle étrange demande que la sienne, de me demander de retirer mon soutien-gorge … et de remettre ma blouse ? Je pense qu’il veut pouvoir les toucher directement … Il aurait pu ouvrir mon soutien-gorge lui-même … mais bien sûr comme ça, ça sera plus simple pour lui … et pour moi aussi.
Mais pourquoi n’ai-je pas mis une jupe ce matin ? Il n’a pas aimé le pantalon … normal en fait … il aurait préféré voir mes jambes … évidemment elles sont belles … et ça lui aurait permis d’avoir en plus directement accès à mon intimité … Mais ce matin je ne pensais pas à la manière dont les choses allaient évoluer … il faut dire que je l’ai dragué … moi qui n’avais jamais dragué personne … qui ne m’étais jamais laissée draguer … Jamais je n’aurais cru pouvoir faire ça … et je l’ai fait. Il me plaît comme homme depuis longtemps … et je voulais continuer à le voir régulièrement … pour le travail. Mais comme il ne voulait pas … et que je ne voulais pas le perdre … Jamais je n’aurais cru pouvoir me lancer dans une telle opération de séduction …
Maintenant que je l’ai provoqué, que va-t-il me faire ? … Il sera dans un fauteuil, m’a-t-il dit. … mais après … Il va s’occuper de mes seins, sûr … sans quoi il ne m’aurait pas demandé d’ôter mon soutien-gorge … Va-t-il les saisir à pleines mains … les caresser … ?
Je n’ai aucune expérience des hommes … je n’en connais qu’un d’homme, Jérôme … mon copain de lycée … on se plaisait bien … puis est venu le jour où on a décidé de faire l’amour … plus sans doute pour faire comme tout le monde que par envie … on n’avait d’expérience ni l’un ni l’autre … mais en fait, on n’a pas essayé d’en acquérir non plus … ni entre nous, ni en dehors … Bien sûr que j’ai quelque fois été amoureuse … mais pas au point de vouloir sauter le pas … sans doute qu’il l’a été également … mais nous avons continué notre train-train pseudo-amoureux … sûrement qu’on n’a pas trop besoin l’un de l’autre … ni d’autres … qu’on se contente de faire l’amour « comme ça », un peu par habitude … parce que ça se fait … Parce que « ça fait du bien » … sans plus en fait.
On a fini par prendre un appartement ensemble … mais toujours sans envie de connaître l’amour, le vrai … une véritable vie de vieux … De vieux … mais quand je vois comment Roland me regarde parfois … comme jamais Jérôme ne m’a regardée … comme si il ne s’était jamais senti mâle avec moi … comme si je n’avais jamais eu envie de devenir femelle à son contact … Les dés étaient pipés … nous étions copains comme garçons et filles peuvent l’être au collège … et nous n’avons pas évolué … Sans doute j’ai eu besoin de voir les regards d’un vieux sur moi, pour avoir envie de devenir femme … femelle … Je me suis mise à l’aimer mon professeur, à l’aimer en femme … parce que son regard sur mon corps a fait de moi une femme. Je suis tombée amoureuse du regard qu’il posait sur moi … ce regard que Jérôme n’a jamais eu … trop habitué de me trouver à ses côtés …
Nous vivons ensemble Jérôme et moi … mais mes seins … maintenant j’y pense, franchement il ne « les a jamais fait exploser » comme on dit dans les magazines … Et il faut l’avouer, ça ne m’a pas manqué. Mais avec Roland ce sera autre chose ! … J’en suis sûre … Mes seins … et mon sexe, je veux qu’il les fasse vivre … D’ailleurs s’il m’a demandé d’enlever mon soutien gorge … Jamais Jérôme n’a fait ça … Mes seins, est-ce qu’ils lui ont jamais fait envie … ? Je me pose la question maintenant … une question que je ne m’étais jamais posée … je deviens femme. Ils sont bien faits mes seins … pas trop gros certes … mais bien roulés comme disent les mecs … des seins qui n’ont jamais dû plaire à Jérôme … enfin je le crois … Des seins sur lesquels j’ai souvent surpris le regard d’envie de Roland … Et comme j’aimais ça, ces regards d’homme! … et comme j’étais en attente de ces mains d’hommes sur eux… Les regards de Roland c’était bien … mais comme il m’a donné le besoin de ses mains à lui sur mes seins … Je n’ai jamais « appelé » les mains de Jérôme sur eux … mais j’étais malade d’envie de celles de Roland … C’est pourquoi, à cause de ce besoin, que j’ai pu, sans l’avoir vraiment prévu, le provoquer. Et maintenant, je vais les avoir ses mains sur mes seins … je vais devenir sa maîtresse … la maîtresse d’un homme plus vieux que mon père … et j’en suis ravie.
Puis elle ôta son pantalon et son slip et fit un brin de toilette … Elle regarda son triangle tout noir … Je vais lui plaire ? Elle se rhabilla…
Elle se regarda encore une fois dans la glace … Je suis belle avec mes longs cheveux noirs et mes yeux assortis … Certes assez petite … mais il n’est pas très grand non plus, lui. Allez, je vais y aller, il doit s’impatienter.
Que va-t-il faire de moi … il va s’occuper de mes seins, sûr, puisque … Il va m’embrasser aussi … Il va embrasser mes seins également, je le sais. ... Jérôme ne les a jamais embrassés … Et après ? … Va-t-il baisser mon pantalon tout de suite ? … Ou va-t-il me demander de me déshabiller moi-même ? … Pour me prendre par terre ? Ou sur son bureau ? … Il n’y a pas de lit … Ce ne sera pas trop confortable … … Une chose est certaine … Je vais devenir femme de l’autre côté de cette porte … je sais qu’avec lui je vais enfin devenir femme … Jérôme m’a dépucelée, lui va me faire femme. Je vais le tromper, Jérôme … et je m’en fous … C’est Roland que je veux ! Je serai sa femme … malgré Jérôme … Je n’ai jamais été vraiment sa femme à Jérôme … Même si je vis avec lui. Je vais maintenant être la femme de Roland … même s’il est marié. J’ai soif qu’il me pénètre … il va me pénétrer … bientôt, de l’autre côté de la porte … Comme je me sens femelle … jamais je n’avais eu face à un homme, cette envie-là … de me faire pénétrer … Utilisera-t-il un préservatif ? Ce serait sage … mais j’ai tellement envie de sentir son sperme en moi tout l’après-midi … Allez, j’y vais.