Céline 07 - Martial

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Céline 07 - Martial

Messagede tentation le 14 Sep 2008, 16:58

- Ah bonjour Martial, tu t’installes là, à un mètre de la table. Je te présente Armelle

- Bonjour Armelle, enchanté.

- Armelle, Voici Martial ; placée comme tu es sur le ventre, tu ne peux pas trop le voir … Recule dans le coin, Martial pour te montrer un peu plus à elle … Tu pourras mieux le regarder bientôt Armelle, mais jette un œil … Comme tu l’as vu sur l’écran tout à l’heure, il est très beau, il devrait te plaire.

Allongée sur le ventre comme elle l’était, une serviette qui lui couvrait les fesses et les jambes, Armelle dut en effet relever un peu a tête afin de pouvoir embrasser Martial de son regard, d’abord le bas des jambes, puis le peignoir … et enfin son visage ; ils se sourirent.

- Bonjour Martial … à vrai dire, je ne me sens pas très à l’aise tu sais … tu peux comprendre ça ?

- Bien sûr. Moi non plus je ne me sens pas très à l’aise … mais sûr nous serons bientôt de bons amis, tu verras …

- J’ai demandé à Armelle de se mettre sur le ventre d’abord, afin qu’elle puisse s’habituer à ta présence avant d’affronter vraiment ton regard … et de le croiser. Tu vois le corps magnifique qu’elle a ! … ses cheveux ! … et ses épaules … Peut-on trouver une femme plus parfaite ? Et son dos ! Et sa taille ! … Tu ne dis rien, ça te coupe le souffle ?

- Oh oui … tu es vraiment magnifique Armelle … J’adore ton corps … la perfection ! … Tu me fais un grand honneur en m’acceptant près de toi … et je t’en remercie. Tu es très belle … c’est un grand cadeau que tu me fais … Sois assurée que je vais me montrer très respectueux de toi … tu ne regretteras rien.

- Armelle, tu as aimé les compliments de Martial ?

- Bien entendu … mon corps … le respect … mais il me fait rougir … Je te remercie Martial. Sois le bienvenu à mes côtés.

- Merci Armelle de ta gentillesse ... et surtout de ta beauté.

- Tu as l’habitude que les hommes te trouvent belle, n’est-ce pas ?

- On me dit ça parfois … mais chaque fois, je suis gênée …

- Alors, n’insiste pas trop Martial, ne parle plus … tu gênes notre belle Armelle …

Lou-Di-Han continuait de masser le dos d’Armelle des épaules à la taille. Depuis l’entrée de Martial, elle avait augmenté la pression de ses mains afin de la faire se concentrer sur son propre corps … et de lui laisser le temps de s’habituer à la présence d’un bel homme à ses côtés. Elle se focalisa ensuite sur sa taille tellement marquée et sur ses hanches, rien que là, l’arrière, le flanc droit, le gauche … en ayant bien soin de descendre ses mains jusqu’au ventre …

Armelle en frémissait. Quel plaisir lui apportaient ces mains de femme … Et en la présence de Martial !

Et si des mains d’homme me faisaient la même chose ? … les mains d’un homme inconnu ? … Mais non … je suis une femme fidèle … Lou-Di-Han me masse et Martial me regarde … Mais quand même, sa présence m’excite … Pour le moment il ne voit que mon dos, seulement mon dos … Mais Lou-Di-Han va retirer la serviette, et il m’apercevra nue … de dos certes, mais nue … Et après je devrai me retourner … et là je serai livrée, complètement nue, au regard d’un homme … d’un homme que je n’avais jamais vu il y a un quart d’heure … Et j’ai osé accepter ça ! … Lou-Di-Han m’a influencée certes, mais j’ai accepté ce défi-là … et je suis heureuse de l’avoir relevé … À part des médecins, Jérôme et Roland, aucun homme ne m’a vue nue … les médecins n’en parlons pas, ils sont indifférents … comme Jérôme d’ailleurs … Seul Roland adore mon corps … et pourtant je vais me faire masser nue devant un homme, un homme qui lui aussi l’adore, mon corps, ; et qui paie pour voir ça. Et ça m’excite en plus. Ce n’est pas un si gros péché … me faire masser nue devant un homme … qui ne va que me regarder, seulement me regarder : « les yeux, pas les mains ». Pas très honnête tout de même ce que je fais là … Quand même je le trompe un peu Roland … Heureusement il n’en saura rien.

- Tu aimes Armelle que les hommes te regardent sur la plage … ? Dis la vérité …

Armelle sortit de sa rêverie :

- Bien sûr que j’aime ça … ce serait hypocrite de dire le contraire … mais ici je ne suis pas sur la plage … et il y a Martial … il n’est pas « des hommes », lui … il est seul … il m’a été présenté … il m’a parlé … et je lui ai répondu … Et il me regarde pendant que tu me masses ... Ça change tout.

- Oui, il n’est pas « des hommes », c’est Martial … et il te regarde … et tu pourras le voir bientôt … quand tu te retourneras …

Lou-Di-Han contourna la table, retira la serviette qui couvrait le bas du corps d’Armelle et entreprit de lui masser les jambes de bas en haut ... les deux à la fois, puis une à une … Avant de s’attaquer à ses cuisses, elle les écarta quelque peu. Armelle eut un petit réflexe pudique de résistance … mais céda immédiatement devant la détermination de Lou-di-Han.

Martial voit mon sexe ouvert … avec les miroirs il ne peut pas ne pas le voir dans l’un ou l’autre … il le voit, mais moi, sur le ventre, je ne peux pas suivre son regard … Que pense-t-il de moi … que je m’offre à lui, sûr ! Je n’aurais jamais dû accepter sa présence ici … Je suis une femme fidèle … les yeux, seulement les yeux … mais quand même …

Lou-Di-Han se consacrait maintenant à ses cuisses, une à la fois, en partant du genou, et en remontant toujours de plus en plus haut, mais en prenant soin de ne jamais atteindre le sexe. Armelle « surveillait » la progression de des mains expertes de l’hôtesse … Elle attendait même, sensuellement, leur contact avec son sexe… Elle n’était plus qu’attente de ces mains de femme sur son intimité… Une grande agitation dans sa tête … une grande agitation au niveau de son sexe … La véritable raison pour laquelle elle était venue sans Roland, c’était de pouvoir « tester » l’effet qu’allaient lui faire ces mains-là sur « son sanctuaire » … « Mais qu’attend-elle enfin ? ».

Lou-Di-Han, la voyant « mûre » se décida enfin … elle lui écarta encore les jambes … au maximum possible … Aucune manifestation de résistance cette fois-ci. Elle lui flatta le sexe de la main. Armelle se cabra de plaisir. Alors elle lui souligna lentement les grosses lèvres du bout du doigt … juste un effleurement, le toucher d’une plume. Puis ce furent les petites … Enfin elle lui titilla le clitoris, toujours avec autant de légèreté. Finalement elle approcha sa bouche du bas de la vulve, en écarta fermement les lèvres, lécha l’ouverture du vagin, et remonta jusqu’au clitoris. Armelle frémissait … elle avait envie de hurler … elle l’aurait fait, seule avec Lou-Di-Han … mais il y avait Martial, Martial qu’elle ne voyait pas. Elle se retint donc, ne laissant échapper que quelques soupirs … « Comme elle me fait jouir ! Et Martial assiste à tout ça ! Et de me savoir observée par Martial, ça augmente encore mon plaisir » … Elle se laissa enfin aller à émettre un cri.

- Si tu le veux bien Armelle, laissons Martial te masser un peu les épaules, tout doucement … Tu le veux bien ? Tu le veux bien sûr … Il va te masser les épaules, ça va te détendre. OK ?

Bien sûr qu’elle le voulait ! La présence de Martial, qu’elle ne voyait pas, qu’elle n’entendait pas, mais dont elle imaginait le regard, la hantait !

Je me suis « libérée » en sa présence. Il m’a vue jouir, il m’a entendue crier … une sorte de complicité intime entre nous deux vient de s’installer. C’était « les yeux, pas les mains » et j’accepte maintenant « après les yeux, les mains » … mais ce sera « les mains sur les épaules seulement ». Je suis ici en cachette de Roland … et en plus j’exagère, je laisse un homme … ! Et si j’ose, c’est à cause de ce plaisir qui a envahi mon sexe ! … Bien sûr j’ai adoré ces mains de femmes … et cette bouche de femme. Je suis d’ailleurs venue pour mesurer le plaisir que je pourrais en tirer. Mais comme maintenant je préférerais des mains d’homme … et une bouche d’homme ! Les mains de Martial sur mon sexe, puis sa bouche … puisqu’il est là à me regarder. Pourquoi encore ces mains de femme ? Je l’ai faite l’expérience que je voulais faire … je sais désormais ! À présent j’ai soif de mains d’hommes sur mon sexe, des mains de Martial qui est là, tout près … Comme il doit avoir envie lui aussi que ce soient ses mains à lui plutôt que celles de Lou-Di-Han, ses mains sur mon sexe. Comme je suis excitée ! Je les veux ses mains à lui, mais pas seulement ses mains, ses mains et sa bouche … Trop excitée … Il ne m’a pas encore touchée … et je veux son sexe aussi … le sentir au contact du mien. Dans le mien ! … Je vais tromper Roland, c’est évident maintenant … Je vais le tromper, mais rien qu’une fois, une seule fois … Je ne peux vraiment plus résister. Une seule fois … ensuite, je redeviendrai fidèle … Et il n’en saura rien, il ne saura pas que je me suis donnée à un autre … Lou-Di-Han m’a promis qu’il n’en saurait rien. Une fois, une fois seulement … et jamais plus je ne reverrai Martial … Il va me masser les épaules … les épaules … mais qu’est-ce que j’en ai à faire des épaules ! Ce que je veux, c’est qu’il me pénètre … Et tout de suite ! Je ne peux plus attendre … sinon je vais lui demander d’approcher … lui saisir le membre … il doit être terriblement dur … il doit tellement s’exciter en ma présence … Le saisir et le prendre dans ma bouche … Non, je ne peux pas faire ça … je ne peux pas … je vais devoir encore attendre … attendre qu’il se décide à me montrer lui-même qu’il est un homme ! Il va me masser les épaules … puis il se décidera … et me pénétrera.

- Il est évident qu’Armelle est d’accord, alors masse-lui les épaules … tout doucement … et si tu vois le moindre signe de résistance, tu arrêtes aussitôt, tu n’attends pas qu’elle te dise de le faire … Elle est la reine ici.

Ah comme Armelle appréciait maintenant ces mains d’hommes sur son corps … et ces mains de femmes sur son sexe … Mais comme elle aurait eu envie d’un échange de ces mains … Lou-Di-Han savait ce qui se passait dans le corps et dans la tête d’Armelle … mais elle devait encore les faire patienter tous les deux … continuer de « la travailler », elle … tant pis si lui avait « la crampe ». Elle avait détecté de la tension dans ses bras à elle … ils s’étaient agités, imperceptiblement certes, mais cette nervosité lui montrait qu’elle risquait de prendre une initiative quelconque, brusque et imprévisible.

Elle veut « se faire sauter » tout de suite, « elle ne tient plus », c’est évident … Comme elle est impatiente ! Et si elle entreprend quoi que ce soit, Martial va être dépassé … même s’il sait qu’il ne doit rien faire sans mon accord …. Si je lui ai demandé de rencontrer Armelle, c’est bien sûr pour son plaisir à lui, et son plaisir à elle … mais notre objectif principal, à lui et à moi, c’est « de la former ». Le plaisir bien sûr … mais avec la dame « sous contrôle ». Et s’il elle entreprend quelque chose, et qu’il ne résiste pas, c’est certain je vais le perdre le contrôle de la situation car ils se déchaîneront en s’entraînant mutuellement ! Avec des patients ordinaires, ce serait parfait, je dirais bravo : ils viennent pour ça, aussi plus vite ça se passe, plus vite c’est terminé. Mais eux deux ne sont pas des patients ordinaires, il s’agit de « prendre en main Armelle » et il me faut la rendre complètement dépendante, dépendante de Martial d’abord, mais aussi dépendante de « l’homme ».

Elle abandonna donc ce sexe devenu liquide qu’elle avait en mains pour aller jouer les pompiers ; elle contourna la table :

- Retourne-toi maintenant Armelle, tu veux ? Mets-toi sur le dos !

Armelle s’exécuta sans hésiter … sa nudité n’avait pas changé, mais elle faisait dorénavant face à Martial … qui découvrait son visage, ses seins, son ventre … Martial qui la regardait, qui prenait connaissance de son anatomie à elle, avec soin, avec attention et tellement de plaisir … et de désir. Il semblait découvrir quelque chose d’exceptionnel. Et elle, elle suivait son regard à lui, qui la scrutait. Leurs regards parfois se croisaient, échangeaient leurs bonheurs réciproques ; alors ils se souriaient … Puis il repartait à explorer ce corps superbe qui s’offrait à sa vue. Plus d’hypocrisie, elle était vraiment nue à présent. Et comme elle jouissait d’être nue, complètement nue et offerte à Martial. Ils étaient complices. Comme il la voulait ! Comme elle le voulait ! Aucune ambiguïté entre eux, ils allaient être amants.

Il bande, c’est sûr ! Et je suis toute liquide, toute attente, entièrement femelle. Et je vais faire l’amour avec Martial, qui n’est pas « mon homme », mais l’homme que je veux maintenant, et qui me veut. Et je n’en ai pas honte. « Mon homme » c’est Roland … Robert ici … Avec lui je suis femme ! … Mais ici avec Martial ... un simple flirt, je vais être femme aussi, je le sens, je le sais. Je vais être femme avec lui, mais une seule fois, une fois seulement ! Il va me prendre et je vais me donner à lui. Une seule fois, pour partager du bonheur, de l’émotion, de la jouissance, de la sensualité. Ensuite nous ne nous reverrons plus et je redeviendrai fidèle, fidèle à « mon homme ». Avec Martial nous ne nous reverrons plus … notre rencontre d’aujourd’hui est conjoncturelle, due uniquement au hasard … Je ne me fais pas épiler toutes les semaines, ni masser … je ne reviendrai plus au salon de sitôt, je ne retrouverai plus Martial sur mon chemin. Une rencontre fortuite … et je vais faire l’amour avec lui. C’est une trahison évidemment. Mais puisque ça va se terminer là et que Roland n’en saura rien, n’en saura jamais rien … Ça n’aura été qu’une passade ... mais une passade qui me laissera certainement un beau souvenir … Je pourrais encore dire non bien sûr, me lever, aller me rhabiller, partir … Mais ce serait « un acte manqué » qui me hanterait toute la vie. Non. Je vais faire l’amour avec Martial … et Roland ne saura jamais que j’ai eu un jour cette faiblesse.

Comme je suis son regard qui m’explore toute : mon visage, mes épaules, mes seins, ma taille, mon sexe, mes jambes, mes pieds même … Comme il admire mon corps, ce corps qu’il avait vu réagir sous les mains de Lou-Di-Han et les siennes. Son regard est comme des caresses qu’il me fait sans y mettre les mains. Comme j’aime les ressentir les caresses de ses yeux partout sur mon corps … Un simple flirt … et je suis fidèle … et j’ai la conscience tranquille … Bien sûr qu’il va devenir mon amant ! Pour moi c’est évident. Mais lui … qui me voit m’émouvoir là, sur cette table, est-il sûr que je vais à cent pour cent être sienne ? La règle du jeu n’est-elle pas « officiellement », « les yeux, pas les mains ». Même s’il m’a déjà massé les épaules.

Les mains de Lou-Di-Han avaient repris leur travail, et Armelle en jouissait … mais elle appréciait surtout « le regard » de Martial qui la massait dans les moindres recoins de son corps. Et elle l’observait Martial … l’attention qu’il prêtait à son anatomie, l’envie évidente qu’il avait d’elle … « Comme je le fais bander mon flirt, sûr ! » Elle examinait son peignoir à la dérobée, là où une petite bosse pourrait se révéler… mais avec ce vêtement-là, comment être certaine de quoi que ce soit ? … Et elle ne pouvait pas trop appuyer son regard … ça ne se fait pas … « Je le fais bander ce mec, j’en suis certaine ! ». Et elle partit d’un coup d’un grand éclat de rire, un rire franc de bonheur … le bonheur d’une femme rayonnante et stressée qui a besoin de se défouler. Puis reprenant son self-control, elle lui offrit un superbe sourire, sourire qu’il lui rendit … Il en profita pour se rapprocher sensiblement de la table, tout près d’elle … il l’avait maintenant à portée de ses doigts … il pouvait la toucher … il allait la toucher …

Elle jeta un œil dans les miroirs : son corps, ses seins, sa taille, ses jambes … comme elle se voyait magnifique … avec son visage tellement serein …

Je n’ai pas le visage d’une femme qui s’apprête à tromper « son homme » … Et pourtant je vais le faire … Une seule fois certes, mais je vais le faire ! Je suis vraiment bandante ! Comme je le tiens à ma merci, le Martial, avec les atouts que j’ai ! Et mon sexe … comme il l’appelle, lui ! Je suis belle, vraiment belle, très belle … Il bande, c’est évident ! Comment pourrait-il ne pas bander ? Je voudrais m’en assurer vraiment … en avoir le cœur net … Mais ça ne se fait pas …

Il a envie de me sauter … mais on lui a dit « les yeux, pas les mains » Néanmoins il m’a déjà massée, aussi il doit manifestement avoir envie de joindre ses mains à celles de Lou-Di-Han … Mais qu’attend-il ? La règle du jeu bien sûr … mais elle a déjà été violée … Alors qu’attend-il ? S’il ne se décide pas, je vais devoir prendre l’initiative … ça ne se fait pas bien sûr, mais je vais quand même devoir le provoquer, lui demander d’avancer, de se placer à hauteur de ma taille … alors là, je pourrai allonger la main, lui saisir fermement le sexe et « le branler ». Il ne tiendra plus et « me prendra » … c’est quand même mieux de « sauter » une femme que de se faire « branler » par elle. Mieux pour les deux ! Allez, je lui laisse encore trois minutes, et je me lance. Un comble quand même … il meurt d’envie autant que moi et ne se décide pas, alors que me sens vraiment femelle, épouvantablement femelle, obnubilée par son sexe, et qu’il ne peut pas ne pas s’en rendre compte ! Elle sourit à nouveau à Martial … une sorte d’invitation, d’encouragement … et il lui rendit son sourire.

Lou-Di-Han continuait à lui masser le cou, le buste, la taille … mais sans insister sur les seins … et Armelle s’en sentait frustrée … « c’est lui qui devrait … et mieux que ça !».

Lou-Di-Han recouvrit le buste d’Armelle d’une serviette chaude et contourna la table. Elle entreprit ses pieds un par un, puis remonta vers les genoux. Elle lui écarta alors franchement les jambes, lui massa la cuisse gauche et remonta jusqu’à son sexe toujours ouvert, qui se mit à vibrer. Elle fit de même avec l’autre cuisse. Armelle était toute attente … « Qu’elle se concentre sur mon sexe … uniquement sur lui » pensa-t-elle. … En réponse à cet appel silencieux, Lou-Di-Han le caressa et le caressa, ce sexe. Enfin elle approcha son visage et lui titilla le clitoris de sa langue.

- Martial, si tu venais m’aider ?

Ça y est enfin, elle va lui demander de prendre la relève … il va s’occuper de mon sexe … je pourrais protester pour la forme … mais je n’en ferai rien, bien sûr … j’ai déjà trop attendu …

- Martial que je vais procéder à l’épilation d’Armelle … tu veux bien lui masser à nouveau les épaules … comme tout à l’heure ? Tu veux bien ? L’épilation ça n’est pas douloureux … mais c’est un peu stressant … aussi si tu veux bien nous aider …

- Bien sûr Lou-Di-Han … que je le veux bien … mais à condition qu’Armelle soit d’accord.

- Bien sûr qu’Armelle est d’accord … tu l’as déjà massée, et elle a apprécié … Masse-la gentiment, pudiquement comme tout à l’heure … ça va l’aider pendant que je l’épile … Tu es d’accord Armelle, n’est-ce pas ?

J’ai évidemment terriblement envie des mains de Martial … ses mains sur mes épaules … mais je les veux également sur ma taille, sur mes seins, sur mon sexe … Lou-Di-Han va m’épiler … les mains de Martial sur mon sexe ce sera donc pour après … Comme je veux devenir sienne ! … Une fois, une seule fois … ! Je suis fidèle … ce sera donc une seule fois.

Elle ne répondit pas plus que la première fois … mais elle les attendait tant les mains de Martial !

Il lui caressa les épaules comme convenu, puis le visage. Elle appréciait ça … et regardait attentivement de ses yeux grands ouverts le magnifique visage de ce beau brun aux yeux bleus. Pendant ce temps Lou-Di-Han avait transformé la table de massage en table gynécologique … mais Armelle semblait n’avoir rien remarqué ... seul Martial retenait son attention.

Idéal pour Lou-di-Han, qui allait pouvoir calmement l’amener dans « son piège » : en faire une femme dépendante de sa sexualité, dépendance qu’elle allait entretenir et exploiter. Elle lui calla les jambes très ouvertes et particulièrement en hauteur : son sexe était de la sorte complètement « évasé ». Une position non nécessaire à l’épilation, mais une position qui allait se montrer « très efficace pour son éducation ». Une éducation certes occultée, mais nécessaire. Armelle était venue pour une épilation, mais à son insu elle allait être « formée » à un métier auquel elle n’avait jamais songé. Par la disposition de ses jambes, elle allait faire offrande de son sexe. Pour le moment rien n’était vraiment évident, mais pendant que Martial allait la distraire, elle, Lou-Di-Han, allait bien lui « travailler » le sexe. Elle allait mettre en évidence qu’il était offert, complètement ouvert, les lèvres bien séparées, l’entrée du vagin bien dégagée, le clitoris parfaitement en relief. Ce sexe allait lancer des appels ! Comment une bouche masculine ou féminine pourrait résister à l’envie de le lécher, à s’introduire dans le vagin si accueillant ? Comment des dents pourraient ne pas avoir envie de mordiller ce clitoris si arrogant ? Comment un sexe d’homme pourrait ne pas se précipiter dans ce vagin qui l’appelait tant ? Et Armelle allait ressentir combien elle était provocations … et s’apercevoir dans le jeu des miroirs allait accentuer encore sa propre excitation. Elle allait la rendre folle cette femme-là, complètement dépendante de son sexe, de son besoin de l’homme. Et comme elle avait pris soin de bien lui « bloquer » les jambes, elle allait se retrouver incapable de les bouger, et comme dans un scénario sado-maso, elle allait être réduite à un rôle d’objet sexuel … Et elle allait en jouir ! Comme elle voudra à l’avenir retrouver ces sensations-là … Et où pourra-t-elle les retrouver ? Avec son amant, lui expliquer que … ? Non ! Seulement au salon elle pourra les retrouver … elle deviendra dépendante du salon. Ce sera « Échec et mat ! ». Partie gagnée, plus aucune échappatoire.


Les mains de Martial redescendirent vers les épaules, qu’il pétrit fermement ; Armelle frémissait sous cette puissante poigne d’homme. Elle s’abandonnait complètement et fermait maintenant les yeux ; une des mains descendit, légère sur la plage entre les épaules et les seins, et l’explora ; elle parvint à la lisière du sein, le contourna délicatement avec une manière de « ne pas y toucher ». Petits mouvements involontaires d’Armelle … L’autre main abandonna l’épaule et lui caressa les lèvres, puis ses yeux clos … Elle retourna vers l’épaule tandis que Martial qui avait approché ses lèvres de la tête d’Armelle, lui soufflait légèrement sur ses paupières fermées … Nouveau tressaillement … quand il s’arrêta, elle ouvrit les yeux, et sourit à ce Martial tout proche. Il souffla à nouveau, elle referma les yeux … qu’il frôla de ses lèvres, puis de sa langue. La seconde main avait rejoint la première … Toutes deux contournaient les seins … Armelle émettait un petit râle discret … Les lèvres de Martial allèrent à la rencontre des siennes … petit souffle encore, puis frôlement. Ses mains s’étaient enhardies, et caressaient maintenant franchement les seins qui s’arrondissaient … Puis ses doigts effleurèrent les aréoles Elle frémit. « Spécial » ce massage des épaules ! … Mais s’en rendait-elle compte ? Martial glissa enfin sa langue entre les lèvres sans défense d’Armelle ; elles s’entrouvrirent … ils s’embrassèrent. Puis sa bouche descendit sur les épaules … nouveaux frémissements. Oubliés les scrupules d’Armelle ! Martial était aux anges, son érection était magnifique … mais comme il en souffrait après toute cette attente ! Comme il lui « aurait bien sauté dessus ! … Mais il allait devoir « la faire durer » … l’épilation ça demande du temps … Il se pencha plus avant, et lui prit les tétons dans la bouche … Armelle ne tenait plus, elle s’adonnait à des soubresauts … ses mains descendirent jusqu’au ventre …

Il va enfin devenir mon amant ! … Je le sais … mais que c’est long ! Comme j’attends ça ! J’ai les jambes maintenues grandes ouvertes « attachées » aux bras de la table gynécologique, le sexe offert … Oubliée ma volonté de fidélité ! Il va me pénétrer … Une fois, rien qu’une fois ! Je ne le reverrai plus ensuite … Seulement une petite faute … un égarement. Je me sens tellement bien ! Il va « me prendre » … et après fini, je serai à nouveau fidèle à Roland ! Il va me prendre avec un préservatif … Lou-Di-Han l’a dit … ce sera la première fois de ma vie que je ferai l’amour avec un préservatif … Dommage, j’aime tellement sentir le sperme couler en moi, s’infiltrer, s’insinuer, se déposer … je vais être frustrée, sûr … Mais la sécurité … Dommage. Un amant … un amant pour une seule fois, et … un préservatif »

Lou-Di-Han avait posé la cire maintenant, mais elle n’avait rien perdu du travail de « son coéquipier » ; elle avait été attentive à la manière dont il avait complètement pris possession d’Armelle ; elle était ravie de la tournure que prenaient les choses. Bravo Martial ! Un bel assaut ! Elle allait elle aussi « faire son travail », et à eux deux ils allaient la rendre complètement esclave de ses sens … Le jeu se décantait ; on en était à « Échec et mat en trois coups ! ». Elle effleura de ses doigts les lèvres offertes, puis le clitoris. Après les doigts, ce fut la bouche de Lou-Di-Han qui prit la relève : elle lui embrassa voluptueusement le sexe, laissa sa langue explorer à fond petites et grandes lèvres, puis les aspira une à une. Enfin ce fut le tour de l’entrée du vagin où sa langue s’enfonça le plus possible … Ce vagin tout accueil … qui allait bientôt avaler le sexe de Martial ! Finalement ce fut le tour du clitoris, qui se dressa sous la caresse de sa langue et les agacements de ses dents.

La cire avait refroidi. Celle-ci promptement ôtée, elle rejoignit Martial. Tournant le dos à Armelle, et avant qu’elle n’ait le réflexe de rouvrir les yeux, avec toute la perfection de sa technique professionnelle, elle enfila prestement un préservatif sur ce sexe d’homme qui n’en pouvait plus d’attendre.

- Martial, tu devrais aller prendre soin du pubis d’Armelle … si elle le veut bien, évidemment … Aide-la à oublier la légère petite douleur qu’elle pourrait connaître … constate la douceur … une merveille, tu verras ! … Caresse-le, embrasse-le, rends-lui les honneurs qu’il mérite … Un si joli pubis, et un splendide sexe de femme, tu verras … Armelle te sera très reconnaissante de l’aider à oublier le petit traumatisme que je viens de lui faire subir … N’est-ce pas Armelle ?

Celle-ci persévéra à ne pas répondre à ce genre de questions. Elle avait tellement soif de cet homme ! « Qu’il se dépêche ! Qu’il fasse vite « son métier d’homme » … mais qu’on ne me pose surtout aucune question ».

- Allez, dépêche-toi … Armelle s’impatiente. Apaise-la …

Il contourna la table, et se plaça entre les jambes que Lou-Di-Han avait maintenues vraiment très écartées pour bien mettre en évidence l’offrande qu’elle lui faisait de son sexe. Il passa les doigts sur le pubis. Quelle douceur ! Manifestement elle appréciait cette flatterie-là ... mais au diable les doigts ! Il n’en pouvait plus d’attendre. Il approcha ses lèvres, et lécha là où la cire avait été posée, là où sa sensibilité avait peut-être été exacerbée. Mais sa langue glissa vers d’autres délices, elle parcourut les lèvres … tellement liquides. Il reprit son souffle et en profita pour jeter un œil à Lou-Di-Han … Elle avait été formelle : « c’est moi qui te donnerai le signal !». Mais elle ne le donnait toujours pas … Et que son membre lui faisait mal ! Intenable ! Il était au supplice après cette longue attente. D’autant que maintenant il était confronté à ce sexe de femme ouvert et liquide qui l’implorait …

Et Armelle aussi souffrait … Même les jambes « fixées » comme elles l’étaient, elle parvenait à agiter son bassin. Comme elle voulait l’« engloutir » enfin ce sexe d’homme ! « Mais pourquoi ne se décide-t-il pas ? Il va falloir que je le supplie … ? ».

Pourtant Lou-Di-Han restait inflexible … elle voulait une Armelle complètement esclave de ses sens. Donc toujours pas de feu vert. Aussi Martial dépité, pointa-t-il sa langue sur l’extrémité du clitoris … puis le saisit entre ses dents tout en continuant à en lécher la pointe. Elle était de plus en plus liquide. Folle de son besoin d’être pénétrée, elle avait bien tenté de libérer ses jambes, mais placées comme elles l’étaient, elle n’y était pas parvenue. Elles ne pouvaient se libérer, ses jambes, alors elles vibraient. Esclave de son besoin du sexe de l’homme, et devant son incapacité de pouvoir dégager ses jambes pour aller à son devant, elle perdit alors tout contrôle sur elle-même et se mit à pousser des hurlements, vraiment des hurlements ! L’appel désespéré au mâle ! C’était un des signaux qu’attendait Lou-Di-Han : « Elle est à point maintenant » ! Et pour « sauvegarder la légalité », comme elle avait promis à Armelle qu’en aucun cas Martial n’aurait de relation sexuelle avec elle sans qu’elle l’autorisât, elle lui dit doucement à l’oreille :

- Martial va te pénétrer : il a mis un préservatif … tu n’as pas d’objection … ? C’est évident, tu veux qu’il te fasse l’amour ! Lui aussi te veut, sois-en certaine … tu lui fais tellement envie! Quel plaisir vous allez partager !

Toute à ses gémissements elle ne répondit pas. Bien sûr qu’elle n’allait pas répondre … comme d’habitude.
- Martial, Armelle veut que tu lui fasses l’amour … Prends bien soin d’elle … Fais-le lui à la perfection, elle le mérite.

- Armelle je vais te pénétrer, tu le veux bien ?

- Ouiii …

C’est qu’il y avait urgence, là, aucun temps à perdre, aussi elle répondit immédiatement à Martial. Il détacha la ceinture de son peignoir, saisit son sexe tellement douloureux d’une main, l’approcha de celui qu’Armelle lui offrait avec tant d’empressement, s’agrippa à sa taille de l’autre main et la pénétra d’un coup. Puis la saisissant énergiquement par les hanches, il s’enfonça en elle comme jamais il ne l’avait fait dans aucune femme …

C’est qu’il était surexcité … cette longue attente le sexe dur que lui avait imposée Lou-Di-Han, prolongée cerise sur le gâteau, par une « prolongation » devant ces jambes maintenues ouvertes au maximum qui mettaient en valeur ce sexe ouvert et tellement liquide comme jamais il n’avait vu un sexe de femme !

Et elle, Armelle, poussée par Lou-Di-Han au-delà de ses limites dans son besoin du « sexe de l’homme » !

Enfin ils étaient intimement réunis ! Comme ils avaient soif l’un de l’autre ! Mais ses jambes à elle étaient « fixées » de telle sorte qu’elle ne pouvait absolument pas participer à leur étreinte. Ah qu’elle aurait voulu les avoir libres et l’aider à la pénétrer plus profondément encore ... Mais elles ne pouvaient que vibrer ses jambes, pas reprendre leur liberté … Dieu merci à voir leur agitation, Martial les aida à se dégager et les posa sur ses hanches ; elle les enroula immédiatement autour de sa taille et forte de ce nouvel appui, elle attira son sexe au plus profond d’elle. Avec quelle fougue elle l’accueillait ! Un rapport sauvage, bestial ! Il ne résista évidemment pas longtemps et éclata.

Il reprit quelques va-et-vient pour la forme et se retira ; il se débarrassa de son préservatif qu’il jeta sur le tas de serviettes, fit asseoir Armelle sur la table, et l’embrassa longuement. Elle s’accrocha à son cou et se leva. Un long moment ils restèrent attachés l’un à l’autre, à s’embrasser et à se caresser.

Il allait donc continuer d’accomplir sa tâche, pour son propre plaisir et pour celui d’Armelle … mais aussi pour la bonne marche du salon de Madame Mi-Soun. Aussi Lou-Di-Han, prétextant le nettoyage de la salle de massage, les pria de rejoindre la salle attenante, là où étaient leurs vêtements. Il la saisit par la taille et l’entraîna :

- Viens Armelle, nous allons faire l’amour maintenant, faire l’amour comme des fous … allez viens !

Elles le suivit docilement, accrochée elle aussi à sa taille.
tentation
 
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