Sophie (4)

Libre à vous d'imaginer.

Modérateur: Janus

Sophie (4)

Messagede Invité le 22 Avr 2006, 15:31

Sophie passa une nuit remplie de rêves faits d’amour avec François, Arnaud et plein d’autres hommes qui l’avaient comblée encore et encore et maintenant, elle se voyait saisissant a pleine main un de ces sexes qui l’assaillaient et le sentait glisser et vivre dans les mouvements qu’elle lui imprimait. Elle fut soudain réveillée par une masse qui l’écrasait et lui ouvrait les jambes. Ouvrant les yeux, elle réalisa instantanément que dans son rêve, elle avait effectivement saisi son mari et celui ci réveillé de si douce manière l’avait aussitôt enjambée et était en train de la pénétrer, seulement cette fois aucun lubrifiant naturel ne facilitait la pénétration et c’est cette douleur qui l’avait réveillée ! Elle se laissa faire sachant que de toute façon cela ne durerait pas longtemps (elle avait vite appris à faire la comparaison avec un amant, un vrai) et effectivement très rapidement elle ressentit Arnaud agité de soubresauts et sentit vaguement dans son ventre l’épanchement de la semence de son mari qui, aussitôt après s’allongea auprès d’elle en reprenant son souffle.

Rapidement, elle se leva, alla prendre une douche prenant soin de bien se laver le ventre, puis enfila une robe de chambre et retrouva Arnaud qui était en train de prendre son petit déjeuner vêtu de pied en cap, prêt a partir au travail, ce qu’il fit sans tarder non sans l’avoir tendrement enlacée et embrassée.

Profitant du fait qu’elle se retrouvait seule à la maison, puisque les enfants qui étaient partis en stage de langue durant les deux mois d’été en Angleterre ne risquaient pas de la déranger, elle retourna s’allonger dans son lit et son esprit commença à vagabonder, réfléchissant à tout ce qu’elle avait vécu dans les dernières 24 heures. Elle n’en revenait pas, elle si calme, si posée, si timide, elle qui, elle le réalisait, n’avait jamais vibré aux choses du sexe, comprit, malgré l’amour qu’elle portait à son mari, que celui ci ne faisait pas du tout partie de ce que ses amies Brigitte, Monique et Christine appelaient un « bon coup », expression qui l’avait à plusieurs reprises choquée et que dont bien évidemment elle n’avait pas saisi la signification ! Maintenant, elle savait ! Elle avait adoré les heures passées avec François et lui était reconnaissante de lui avoir fait découvrir ce qu’était réellement l’amour physique, de lui avoir fait découvrir ce qu’était un orgasme. Réfléchissant à tout cela, elle réalisa qu’elle n’éprouvait aucune honte, ni sentiment de culpabilité à l’égard de Arnaud. Elle comprit enfin ce que voulaient dire ses amies qu’elle regardait avec désapprobation lorsque celles ci évoquaient devant elle deux formes d’infidélité. L’infidélité purement sexuelle avec ce que cela procurait en terme de plaisir pur recherché et l’infidélité sentimentale, beaucoup plus dangereuse en terme de pérennité du couple puisque facteur éventuel de rupture dès lors que des sentiments intervenaient entre amants. Sophie se dit aussi que maintenant elle pourrait ne plus rester, presque choquée, à l’écart des discussions que tenaient Brigitte, Monique et Christine en comparant les mérites respectifs des amants que par ci par là elles prenaient au gré de leurs envies ou des occasions.

Sophie s’habilla, s’occupa rapidement des tâches ménagères, sortit faire quelques courses afin de réapprovisionner le réfrigérateurs de denrées diverses et appela successivement ses amies afin de savoir si elles comptaient aller à la plage dans l’après midi. Christine ayant seule répondu par l’affirmative, Sophie mangea légèrement d’une salade composée et d’un bol de fromage blanc, prépara ses affaires de plage et partit retrouver celle ci.

Arrivée la première, elle étala sa serviette de bain enleva sa robe de plage et tout naturellement, toute à ses pensées qui l’avaient ramenée 24 heures en arrière lorsqu’elle s’était rendue à la plage naturiste ou finalement elle avait rapidement trouvé ses aises, elle dégrafa son soutien gorge, le posa sur son sac et commença à enlever son slip de bain, lorsqu’elle réalisa subitement qu’elle était sur une plage publique ! Elle s’assit donc rapidement, mais n’avait pas remis son soutien gorge, ce qui en soit, ne pouvait choquer quiconque, puisque de nombreuses femmes arboraient ainsi leur poitrine, ce qu’elle s’était toujours refusée à faire, par pudeur. Le temps passant, elle profitait pleinement des rayons du soleil qu’elle sentait chauffer sa poitrine, pas du tout habituée à ce traitement.

Perdue dans ses pensées, elle fut ramenée à la réalité par un : Sophie ! C’est toi ? C’est pas vrai ! Qu’est ce qui t’arrive ?

Se redressant brutalement, Sophie vit Christine debout devant elle, les yeux ébahis rivés sur sa poitrine. Réalisant qu’elle n’avait pas remis son soutien gorge Sophie lui répondit par un large sourire pendant que celle ci s’installait puis, comme à son habitude, enleva elle aussi son soutien gorge.

- Ce n’est pas possible dit Christine, une vrai blonde très fine, très grande, bien faite, quoique sa poitrine manquât singulièrement de volume, tu as fait un pari avec quelqu’un dit elle en jetant un regard alentour, il y a quelqu’un qui surveille si tu ne craques pas et te recouvres ? Tu es bien la dernière que j’aurai cru capable de te mettre poitrine à l’air sur la plage !
- Non, pas dut tout, répondit Sophie avec un sourire sibyllin, j’en avais envie, donc je me suis lancée.
- Tu me prend pour une idiote rétorqua Christine, on ne change pas d’idée comme ça. Allez, raconte !

Sophie essaya d’esquiver et d’éluder cette avalanches de questions mais Christine était tenace et Sophie finit par lui raconter que la veille, prise d’une curiosité subite, elle s’était rendue sur la plage naturiste et qu’elle y avait passé l’après midi.

Christine, mâchoire pendante de stupéfaction n’en croyaient pas ses oreilles.

- Attends, tu te moques de moi là ? Toi, aller sur une plage naturiste et seule en plus, c’est impossible, je ne te crois pas !

Sophie eut beau lui affirmer et jurer que c’était la plus stricte vérité, Christine ne la croyait pas. Finalement à force de discussions elle finit pas convenir que cela pouvait être vrai, car si cela n’avait pas été le cas, elle ne voyait pas comment subitement Sophie pourrait oser enlever son soutien gorge sur une plage où elle avait coutume de venir et apparemment se sentir à l’aise.

Du coup, de nombreuses questions fusèrent quant à la plage naturiste, Sophie y répondit sans détours de sorte qu’elle sentit qu’elle avait attisé la curiosité de Christine, elle fut d’ailleurs aussitôt confortée dans ce sentiment lorsque celle ci proposa qu’elles s’y rendissent afin que elle aussi puisse satisfaire cette curiosité qu’elle reconnaissait bien volontiers.

Elles prirent aussitôt le chemin de la plage naturiste où elles arrivèrent rapidement.

Ayant stationné leurs voitures sur le parking que Sophie connaissait déjà, elles se dirigèrent vers la plage où elles trouvèrent un espace suffisamment grand pour les accueillir, sans voisins qui pourraient écouter leur conversation.

Ayant posé leurs affaires, Christine subitement quelque peu empruntée s’était assise mais avait gardé son maillot, ne sachant réellement quelle attitude adopter. C’est alors que Sophie, lentement, la regardant se débarrassa de son soutien gorge, puis de son slip de bain, s’exposant ainsi dans sa totale nudité à Christine qui ne revenait pas du naturel affiché par Sophie qu’elle vit s’exposer longuement aux regards des autres et ce sans aucune gêne apparente, bras levés en train de faire un chignon à ses longs cheveux, jambes légèrement écartées afin d’assurer son équilibre sur le sable offrant ainsi une vision incomparable sur son ventre orné d’un triangle soyeux d’un beau châtain clair cachant son intimité.

Finalement, elle qui croyait être libérée, forte de ses expériences diverses et multiples, Christine se sentait comme une petite fille, presque gênée devant le comportement emprunt du plus grand naturel de Sophie. Elle réalisa alors que ce que lui avait dit Sophie était pure vérité et se demanda simultanément quelle mouche avait pu la piquer. En attendant elle se retrouvait au pied du mur et elle dégrafa son soutien gorge, hésitant tout de même à enlever son slip de bain.

Finalement elle franchit le pas et rapidement se délesta de son slip puis, plongea sur le sable plutôt qu’elle ne s’allongea, ce qui déclencha un sourire chez Sophie parfaitement à l’aise, comme si elle avait pratiqué le naturisme toute sa vie, observant son amie, bien silencieuse pour une fois.

Elle lui dit alors que son comportement risquait en fait d’attirer l’attention de leurs voisins et voisines plus que si elle agissait de manière naturelle.

Ayant réalisé le bien fondé de la réflexion de Sophie, elle finit par se libérer et s’assit tout en gardant les jambes soigneusement ramenées devant elles, genoux serrés, puis, l’inconfort de la position aidant elle allongea les jambes offrant à la vue de tous son corps nu, mais Sophie sentait que tout comme elle la veille, elle avait le sentiment que tous les regards étaient braqués sur elle. Elle lui suggéra alors de regarder autour d’elle afin de constater qu’en fait personne ne prêtait particulièrement attention.

Ceci la libéra et dès lors elle chassa tout reste de pudeur mal placée dans ces lieux et n’hésita plus à offrir aux rayons du soleil et à la vue de tous son corps.

Sophie l’ observa alors, et constata que Christine présentaient une toison pubienne, aussi blonde que ses cheveux. Elle avait une toison très réduite qui n’avait donc apparemment pas déclenché en elle le besoin ou le désir de la réduire encore plus. Cette toison très légère dont la clarté ne cachait rien de son intimité, donnait l’impression, si l’on ne regardait que cela, d’une toute jeune fille.

A mesure que les minutes passaient, Christine se sentit rapidement plus à l’aise et c’est finalement sans aucune retenue ni gêne, qu’elle se dirigea en compagnie de Sophie vers les flots bleus qui allaient pouvoir apaiser les morsures du soleil qu’aucun nuage ne cachait

Après un long bain elles sortirent de l’eau et c’est très lentement, afin que la légère brise qui soufflait les séchât, qu’elles rejoignirent leur place et c’est avec plaisir qu’elles constatèrent qu’elles ne laissaient pas les hommes environnants indifférents.

Une fois assises, elles reprirent leur discussions habituelles qui consistait comme déjà évoqué, à critiquer parfois avec férocité les hommes environnants, mais cette fois, les commentaires de Christine concernant les attributs de ces messieurs étaient d’autant plus féroces qu’aucun maillot ne cachait quoi que ce soit, de sorte qu’elle s’en donnait à cœur joie, riant de celui ci dont la taille réduite attirait de sa part une certaine commisération, trouvant celui la bien monté mais peu esthétique tant l’objet était difforme, admirant enfin tel ou tel d’être nanti d’une anatomie plus qu’honorable, entraînant ainsi l’éternelle question de savoir ce que ces messieurs pourraient afficher en étant « en forme ».

Le naturel ayant repris ses droits et s’étant longuement adonnée à son passe temps favori, elle finit tout de même par revenir sur Sophie dont l’attitude particulièrement décontractée en ce lieu l’étonnait encore. Elle revint sur ce qui avait motivé cette démarche de sa part. Sophie finit par lui avouer qu’à force de les entendre discuter sur ce sujet faisant ainsi montre d’une culture qu’elle n’avait pas, elle avait fini, poussée par la curiosité et mue par un désir profond de parfaire ses connaissances en la matière, de venir tenter cette expérience. Elle ajouta que totalement convaincue par un après midi passé sur place s’y sentant à l’aise elle avait décidé de persévérer dans cette voie se sentant moins épiée et détaillée par les hommes que sur une plage dite normale.

Sophie n’avait pas plutôt terminé ses explications que Christine le regard presque hagard fixé par dessus l’épaule de Sophie, dit à mi voix : Oh la, la, regarde celui là, une vrai splendeur !

Sophie dû, elle, se retourner. Elle reconnut alors François qui se dirigeait vers elles et arrivé à leur niveau, dit à Sophie : Il me semblait bien avoir reconnu ta somptueuse chevelure, comment vas tu depuis hier ? Et il se pencha pour l’embrasser chastement sur les joues. Sophie qui n’avait bien évidemment pas touché un mot à Christine de son aventure de la veille, se sentit rougir sous son œil aussitôt inquisiteur. François, très décontracté et toujours debout à coté d ‘elle, son magnifique sexe à hauteur de ses yeux pendant entre ses jambes lui dit :
- Tu me présentes à ton amie ?

Sophie surmontant son embarras, dit :

- Je te présente François, François, je te présente Christine.

François, toujours aussi décontracté, s’approcha de Christine et lui serra la main, constatant en souriant qu’elle n’avait pas un instant quitté son anatomie des yeux, anatomie qu’il présentait forcement dans son intégralité puisque assises toutes les deux, elles se retrouvaient les yeux en face de cette splendeur à moins de cinquante centimètres.

François demanda à Sophie s’il pouvait s’asseoir avec elles et devant la réponse positive, il s’assit donc en tailleur, ce qui l’obligea, d’un geste nonchalant à relever son sexe sur ses pieds croisés devant lui pour éviter qu’il n’écrasât celui ci avec ses talons. Christine n’avait pas raté un instant du spectacle, muette comme une carpe.

François dit à Sophie qu’il était heureux de la revoir mais n’en dit pas plus, ce qui déclencha bien entendu un élan de curiosité de la part de Christine qui n’en pouvaient plus mais qui se réfrénaient de poser quelque question que ce soit, se réservant bien évidemment de les poser à la première occasion.

Cette retenue ne dura en fait pas longtemps et Christine, hasarda une question :

- Ca fait longtemps que vous vous connaissez ?
- Non, depuis hier répondit François avant que Sophie ait pu placer un mot, nous avons sympathisé et je l’ai trouvé absolument charmante.

Sophie soulagée du tact et de la délicatesse dont faisait preuve François lui adressa un regard reconnaissant qui attira chez lui un léger sourire, mais pour aussi discret que cela fut, cela n’avait pas échappé à Christine qui lança à Sophie un regard plein de sous entendu qui fit comprendre à celle ci qu’elle avait compris.

Le soleil dardant toujours ses rayons brûlants, ils partirent tous se baigner, et s’amusèrent comme des fous tels des enfants, jouant à se « noyer » l’un l’autre dans une joyeuse mêlée. Bien entendu, François ne se priva pas de quelque peu laisser traîner ses mains sur Sophie qui de fit même pour leur plus grand plaisir mutuel, mais Sophie se rendit compte lors d’une immersion qu’elle n’était pas la seule à pratiquer ce petit jeu, elle surprit en effet une main de Christine enserrant le sexe de François qui aussitôt laissa la sienne s’égarer entre les cuisses de celle ci qui, immédiatement comme un réflexe, écarta les jambes. Cette vision fut certes fugace dans l’agitation générale, mais Sophie l’avait tout de même noté, sans toutefois que cela ne l’affecta nullement. Elle avait en effet passé un moment extraordinaire avec François la veille, mais elle ne considérait pas pour autant celui ci comme sa chose, ayant pris conscience depuis la veille qu’il n’était qu’un amant, le premier certes, purement sexuel, même si elle avait apprécié au plus haut point sa douceur, son tact, sa délicatesse. Elle avait sans aucun doute trompé Arnaud, mais ses réflexions l’avaient amenée à la conclusion que bien que n’étant pas un bon coup au lit, (elle l’avait découvert depuis la veille) elle n’en était pas moins toujours amoureuse folle de Arnaud.

Une fois sortis de l’eau, ils se séchèrent et reprirent leur conversation jusqu’à ce que Sophie, morte de soif, ne demandât à François s’il n’aurait pas quelque chose à leur offrir à boire.

François s’étant aussitôt excusé de ne pas le leur avoir proposé plus tôt, lui répondit que bien entendu il les invitait cordialement à prendre un rafraîchissement dans son modeste studio.

Un grand éclat de rire avait ponctué leur départ de la plage, en effet, Christine avait commencé à remettre son maillot, ce qui avait motivé une petite remarque de François qui lui avait dit : vous ne croyez pas que je sais comment vous êtes faite maintenant ? Vous ne pouvez pas m’en montrer plus d’une part, et d’autre part, la résidence fait partie du camp, donc tout le monde est dans la même tenue toute la journée.

Ayant donc abandonné leur velléité de remettre quelque maillot que ce soit, ils se retrouvèrent dans le studio que Sophie connaissait bien depuis la veille, elles s’installèrent sur le sofa qui meublait le studio et François s’activa pour faire le service, jus de fruits, sodas, sirop divers et chacun étancha sa soif.

François, très à l’aise au milieu de ces deux femmes était l’objet de tous les regards de la part de celles ci, il en avait conscience, et manifestement s’en régalait.

A un moment revenant du coin cuisine où se trouvait le réfrigérateur d’où il rapportait une nouvelle bouteille de soda, François, au lieu de faire le tour pour poser la bouteille sur la table du salon, se pencha par dessus l’épaule de Christine. Ce faisant le sexe de François effleura l’épaule de celle ci qui tournant la tête se trouva le visage contre ce qu’elle considérait comme une rare splendeur. Nullement intimidée Christine ne détourna pas la tête et admira d’on ne peut plus près ce qu’elle n’était pas loin de considérer comme un chef d’œuvre.

François, souriant restant debout à coté de Christine qui avait toujours une vue imprenable s’excusa gentiment en lui demandant s’il ne l’avait pas gênée, ajoutant que l’exiguïté du studio l’obligeait parfois à faire des acrobaties.

Christine, nullement intimidée lui répondit tout aussi souriante que cela avait au contraire été un plaisir et qu’il lui avait rarement été donné d’admirer un aussi beau sexe d’homme.

Ah bon ! fit François, n’ayant aucune expérience en la matière, pouvez vous m’expliquer ce que j’ai de plus que les autres ?

- Oh, vous savez, c’est un ensemble lui répondit Christine, belle longueur, forme régulière, gland à peine recouvert par le prépuce, de jolies veines marbrant en quelque sorte la verge, signe d’une bonne circulation sanguine gage, sûrement, de belles érections et, ajouta t elle en soulevant délicatement la verge, et se penchant légèrement pour mieux voir, bourses bien proportionnées.

François avait légèrement tressailli lorsque Christine lui avait soulevé la verge, ce qui n’avait pas échappé à Sophie qui observait la scène avec attention, se demandant jusqu’où irait son amie.

D’ailleurs celle ci se tourna vers elle et lui demanda si elle partageait son avis. Sophie qui n’avait bien entendu pas un instant évoqué ce qui avait pu se passer la veille entre François et elle lui répondit que sa culture en la matière étant assez limitée elle ne pouvait que partager son avis.

Dans le même temps, François, dont Christine n’avait toujours pas lâché la verge commençait bien entendu à montrer une certaine excitation de sorte que le soutien de Christine devenait totalement inutile et très rapidement celle si passa à une position nettement horizontale, agressivement dirigée vers le visage de Christine qui en était béate d’admiration.

François, d’un air benoît s’excusa à nouveau en disant qu’il était désolé de cette manifestation mais le contact prolongé de la main de Christine et ses commentaires l’avaient quelque peu émoustillé.

Sophie ayant senti monter le désir dans son ventre, pris la main de François l’attira près d’elle et à la plus grande surprise de Christine qui jamais au grand jamais n’aurait pu imaginer cela de la part de son amie, enveloppa le sexe de François entre ses mains et dit a Christine :

- N’est ce pas qu’il est beau ?

Sophie entendit Christine émettre un : Sophie ! de stupéfaction, ce qui ne troubla nullement celle ci tout à ce qu’elle avait commencé et qu’elle continuait à faire en regardant Christine droit dans les yeux en forme de provocation, elle décida de réaliser ce à quoi elle aspirait depuis la veille. Elle ne pensait plus qu’a cela, elle qui n’avait jamais imaginé qu’elle eut pu le faire, d’abord par répulsion, ensuite parce que comme chez beaucoup de femmes l’éducation et la culture ancestrale faisait que inconsciemment elle se sentait prisonnière de cette culture qui veut que la gent féminine ne soit finalement qu’un objet de plaisir pour les hommes et qu’aucune initiative pouvant leur apporter du plaisir à elles femmes était « politiquement incorrect » !!!

C’est donc avec délectation, tout en regardant Christine du coin de l’œil que saisissant à pleines mains cet objet du désir elle approcha sa bouche et enfourna littéralement ce sexe qu’elle commençait à bien connaître, elle le suça d’abord tel un sucre d’orge, puis fit tourner sa langue autour du gland avant de se reculer un peu afin de pouvoir essayer d’insérer la pointe de sa langue dans l’orifice béant au bout de la verge. Elle s’activa ensuite d’avant en arrière avec de plus en plus de frénésie tout en saisissant de sa main libre les bourses dans lesquelles roulaient sous ses doigts les testicules. Ceci arracha à François quelques grognements de satisfaction qui encouragèrent Sophie à continuer son œuvre sous le regard interloqué mais intéressé de Christine. Sophie ne sut combien de temps elle s’évertua ainsi tant elle prenait du plaisir à ce qu’elle faisait. Elle fut rappelée à la réalité lorsqu’elle sentit soudain les signes avant coureurs d’une éjaculation, mais pas un instant elle ne songea à s’interrompre alors qu’elle savait qu’elle allait recevoir dans sa bouche cette sève dont elle ignorait le goût et la consistance, subitement désireuse de découvrir cette sensation. Le sexe de François se raidit encore plus qu’il ne l’était déjà et commença à se dilater par petits spasmes et subitement ce fut l’inondation. Elle sentit en effet arriver dans sa bouche de violents jets de liquide chaud qui compte tenu du débit qu’avait François finit par lui remplir le peu d’espace qui restait dans sa bouche, le trop plein s’échappant autour de ses lèvres, coulant le long de son menton d’où il s’égouttait en filaments visqueux. Sophie conserva encore un moment François dans sa bouche, puis, à regrets elle cessa de l’emprisonner et se retrouva simplement avec toute la semence dans la bouche ne sachant trop que faire. C’est alors que Christine, qui n’avait pas perdu un instant de ce spectacle, stupéfaite de ce qu’elle venait de voir de la part de son amie Sophie si prude et si correcte, voire bc-bg.

Sophie après un instant d’hésitation se dit qu’après tout puisqu’elle avait la bouche pleine de sperme, il n’y avait en effet aucune raison de ne pas avaler ce liquide dont elle découvrait la saveur à la fois sucrée et salée quoique visqueux et déglutit cette source de vie.

Un long silence s’installa, François lui reprenait contact avec la réalité après ces instants de bonheur que venait de lui procurer Sophie qui elle récupérait son souffle car cet intermède l’avait quelque peu essoufflée, quant à Christine elle en était à se demander si elle rêvait ou bien si elle avait bien assisté à un spectacle dont elle n’aurait jamais imaginé que son amie Sophie eut pu un jour en être l’actrice.
Emergeant de sa torpeur, François se redressa du siège où il s’était affalé et se dirigeant vers le réfrigérateur et sortit des boissons fraîches qu’il déposa sur la table, avant de sortir les verres qu’il remplit et tendit à Christine et Sophie qui se précipitèrent dessus et les vidèrent à grands traits.

Sophie très détendue s’adressant à Christine lui dit :

- J’espère que je ne t’ai pas choquée ?
- Choquée, moi ? dit Christine dans un grand éclat de rire. Tu plaisantes ? Surprise, stupéfaite, ébahie, oui. Mais choquée, non. Tu es vraiment la dernière personne que j’aurai crue capable de « t’éclater » comme ça, toi la timide, la femme parfaite, amoureuse de son mari, n’ayant jamais commis aucun écart. J’en suis ravie pour toi qu’enfin tu te laisses aller et que tu profites de la vie, n’oublies pas que celle-ci est courte. Mais je dois tout de même te féliciter, car pour un coup d’essai, je trouve que c’est un coup de maître.
- Que veux tu dire ? Répondit Sophie.
- Allons, réalises un peu, François me paraît être un homme tout à fait charmant, de plus, il est fort beau, sans compter qu’il est très bien équipé dit elle en jetant un regard appuyé entre les jambes de François. Je ne sais pas si au lit il a pu te procurer du plaisir, mais je présume que oui, mon instinct me dit qu’il me parait certainement très doué pour cela.
- Oh oui, répondit Sophie, l’œil subitement embué en repensant à l’après midi qu’elle avait passé avec François la veille.

Sophie et Christine continuèrent à deviser et François se gardait bien d’intervenir dans leurs échanges à la fois ravi des propos élogieux qui étaient tenus sur son compte et amusé de ceux-ci.

A suivre...

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