La porte est en deux battants, on
peut apercevoir dans ce sombre terrier une multitude d'instruments
de torture, l'homme maintenant dévêtu m'ordonne de me
plaquer contre une planche, je refuse, mais le deuxième
arrive avec ma pauvre sur, un couteau sous la gorge,
et d'un simple geste de la tête m'indique de nouveau
cette table verticale. Je me résigne et met les mains et
les pieds dans les sangles. Pendant que l'homme nu m'attache
fortement, je sens entrer dans ma chair des épines : les
sangles ont des petites pointes métalliques. Mais je n'ai
pas mal, ne serait-ce que la vision de ma tendre et naïve
sur m'interdit d'avoir mal
Le deuxième homme enlève la lame de sa proie et la tire par les cheveux, elle ne sait plus où elle est, du sang s'écoule de son entrejambe "Vas-y suce, suce le !" Il l'approche de moi, je vois son visage, je ne l'oublierai jamais, une larme coule sur sa joue, à ce moment je veux mourir, pourquoi ma sur, pourquoi elle, je ne me le pardonnerai jamais ! elle prend délicatement ma verge dans sa bouche, elle ne bouge pas, l'individu lui a interdit. Le troisième homme rentre dans la pièce a son tour avec un fouet à la main. "Suce en cadence salope." Le fouet cingle. "Suce." A nouveau. "Suce " A chaque coup de fouet, elle fait un va et vient avec sa bouche, les larmes coulent sur son si doux visage "Suce" Le fouet. "Suce." Encore Je sens de nouveau cette lave, cette brûlure, non, je ne veux pas, je ne v Non ! Je déverse tout dans ta bouche, tu manques de t'étouffer, tu régurgite ma semence . "Lèche, salope " . Il commence a te fouiller l 'anus avec le manche de son fouet, tu gémis tristement, puis te pénètre sans modération, il ravage une nouvelle fois ton anus. Horreur, nouvelle arme, nouveau jeux, il prend un pistolet à barillet, prend une balle dans une pochette laissée malencontreusement dans un coin de la pièce, la met dans un des six emplacement libre, puis referme la roulette, la fait tourner. L'anus déformé de ma princesse n'offre aucune résistance lors de l'introduction du canon, il me dit de compter jusque trois non, non, je ne veux pas, je ne peux pas Chacun leur tour, les bourreaux comptent. "Un deux trois " Je me sens défaillir. "Clic " la balle n'était pas dans ce logement, les trois salauds se mettent à ricaner, un rire insupportable, insoutenable Mais qui sont-il, que veulent-ils ? |