La porte est en deux battants, on peut apercevoir dans ce sombre terrier une multitude d'instruments de torture, l'homme maintenant dévêtu m'ordonne de me plaquer contre une planche, je refuse, mais le deuxième arrive avec ma pauvre sœur, un couteau sous la gorge, et d'un simple geste de la tête m'indique de nouveau cette table verticale. Je me résigne et met les mains et les pieds dans les sangles. Pendant que l'homme nu m'attache fortement, je sens entrer dans ma chair des épines : les sangles ont des petites pointes métalliques. Mais je n'ai pas mal, ne serait-ce que la vision de ma tendre et naïve sœur m'interdit d'avoir mal …

Le deuxième homme enlève la lame de sa proie et la tire par les cheveux, elle ne sait plus où elle est, du sang s'écoule de son entrejambe … "Vas-y suce, suce le !" Il l'approche de moi, je vois son visage, je ne l'oublierai jamais, une larme coule sur sa joue, à ce moment je veux mourir, pourquoi ma sœur, pourquoi elle, je ne me le pardonnerai jamais ! elle prend délicatement ma verge dans sa bouche, elle ne bouge pas, l'individu lui a interdit. Le troisième homme rentre dans la pièce a son tour avec un fouet à la main. "Suce en cadence salope." Le fouet cingle. "Suce." A nouveau. "Suce…" A chaque coup de fouet, elle fait un va et vient avec sa bouche, les larmes coulent sur son si doux visage …

"Suce" Le fouet. "Suce." Encore… Je sens de nouveau cette lave, cette brûlure, non, je ne veux pas, je ne v… Non… ! Je déverse tout dans ta bouche, tu manques de t'étouffer, tu régurgite ma semence . "Lèche, salope…" . Il commence a te fouiller l 'anus avec le manche de son fouet, tu gémis tristement, puis te pénètre sans modération, il ravage une nouvelle fois ton anus. Horreur, nouvelle arme, nouveau jeux, il prend un pistolet à barillet, prend une balle dans une pochette laissée malencontreusement dans un coin de la pièce, la met dans un des six emplacement libre, puis referme la roulette, la fait tourner. L'anus déformé de ma princesse n'offre aucune résistance lors de l'introduction du canon, il me dit de compter jusque trois… non, non, je ne veux pas, je ne peux pas… Chacun leur tour, les bourreaux comptent. "Un … deux … trois …" Je me sens défaillir. "Clic…" la balle n'était pas dans ce logement, les trois salauds se mettent à ricaner, un rire insupportable, insoutenable… Mais qui sont-il, que veulent-ils ?