Et je te vois, ma douce sour, recroquevillée sur le lit. Tu frémis, mais ton regard est brillant, empli de haine, de haine pure. Toi si douce, je n'aurais jamais imaginé qu'il puisse y avoir autant de haine dans ton regard. L'un s'approche de toi, tu sembles te ramasser encore un peu sur toi-même, comme une bête sauvage. Mais lui ne semble voir dans cela que de la peur, et cela semble être aussi l'avis de son copain, qui se dirige maintenant vers toi. Le premier est tout près, il veut te toucher, mais voilà que tu bondis sur lui comme une panthère, et tu le griffes te le mords. Jamais je ne t'avais vue comme ça, ma petite sour. Il essaie de se défendre, de t'immobiliser, mais tu te bats comme une furie et lui fais une estafilade sur la joue. Le second se précipite pour aider son copain. Tu te bats, ma belle, et réussis à en calmer un d'un coup de pied dans les couilles. Il s'écroule par terre, se tenant le sexe et gémissant. Tu maîtrises enfin l'autre en le menaçant du même sort, voire pire. C'est bien, ma sour, tu je tiens en ton pouvoir. Tu lui ordonnes de te lécher la chatte, en lui disant qu'il a intérêt à s'appliquer. "Sæurette, on dirait bien que ça l'excite, ce salaud, de te lécher!" "Toi", dis-tu à l'autre qui est toujours par terre, "viens sucer ton pote". Je me suis relevé, l'autre sous moi reste étendu à pleurnicher comme un bébé. Je te regarde, sæurette, et il y a toujours cette lueur de haine dans ton regard; tu veux te venger, je le sais, je le sens, alors je viens te glisser une idée à l'oreille. Tu souris, elle paraît te plaire. "Toi, par terre, je veux que tu encules ton copain qui est en train de me lécher!". Mais il est déjà à genoux, en train de sodomiser l'autre. Je suis à tes côtés, nos corps se touchent. Tu reposes ta tête sur mon épaule un instant, et je sens soudain toute la honte, la haine et le mépris qu'il y a en toi. Petite sour, pardonne-moi de t'avoir entraînée là-dedans, tu n'avais rien à y faire. Tu gémis doucement. On dirait que tu prends du plaisir, et tu as raison. Tu me murmures : "Va chercher la corde". J'y vais, et quand je reviens, leur rythme s'est accéléré, on dirait bien qu'ils vont jouir. Mais voilà que tu repousses brutalement celui qui te lèche. Il crie : celui qui le suçait l'a mordu, n'ayant pas prévu ce mouvement. Il tombe lourdement sur le troisième dont la queue glisse au-dehors. Tu es une reine, ma sour : tu ne leur as pas accordé la jouissance! Ils sont étendus par terre. Tu me regardes, je te comprends. J'avais pris le flingue en même temps que la corde. Je les menace et les force à se rassembler. Alors, je les attache très serré avec la corde, de telle façon qu'ils ne puissent plus bouger. Petite sour, nous sommes libres! |